Pierre (4ème partie)

-Eh, tu es une vraie putain de salope, toi ! J't'adore ! me lança Pierre.
-Non, je suis simplement reconnaissant du plaisir que tu m'as donné ! Et je ne t'aime que sexuellement, mon pote ! C'est de ma femme que je suis amoureux !
-Pas de soucis, t'inquiète ! Je vais pas chercher à la draguer ! Les femmes ne m'intéressent plus trop ces temps-ci, je suppose que tu avais remarqué !
-Oh, ça veut rien dire ! Je suis sûr que si Charline te suce, tu ne diras pas non !
-Ah, ça, c'est clair ! J'ai toujours aimé son cul !
-Ben tu touches pas sans mon avis, d'accord ?
-Bien sûr, t'en fais pas !
J'entendis alors la voiture de ma femme se garer dans la cour.
Je me levais alors et mis mon short.
-Tu dis rien pour le moment, d'accord ?
-Ok !
Je sortis de la chambre en même temps que Pierre qui filait sous la douche et je regagnais l'entrée pour accueillir ma chérie.
-Tu as passé une bonne journée ?
-Très bonne et toi ?
-Excellente ! Viens voir là, toi !
Je pris ma femme dans mes bras et l'embrassais passionnément.
Elle se recula alors, l'air surprise.
-Ton haleine a un drôle de goût !
-Ah oui ? C'est peut-être le goût du sperme de Pierre !
-Quoi ? Tu l'as sucé ?
-Ca, c'est en dernier ! Il y a eu pas mal d'autres choses avant !
Je racontais alors à ma femme la partie de jambes en l'air qu'on venait d'avoir, Pierre et moi.
-Putain, mais vous êtes des pourris, tous les deux !
-Mais ma chérie, on en avait déjà parlé que je voulais essayer la baise avec un mec ! Et tu étais d'accord !
-Oui, mais je voulais être là pour en profiter !
-T'inquiète, on recommencera ! Et tu assisteras aux ébats ! Promis !
-T'as plutôt intérêt ! Et c'était comment ? Tu as aimé ?
-J'avoue que j'ai pris beaucoup de plaisir !
Pierre revenait de la douche. Il portait sa serviette en guise de seul vêtement.
-Eh ben mes salops ! Vous ne vous embêtez pas !
-Quoi ?
-Oh, dis, Luc vient de tout me raconter !
-Merde !
-Tu as aimé ?
-Carrément, je comprends pourquoi tu l'aimes tant ! S'il te baise comme il l'a fait avec moi, tu dois être la plus heureuse des femmes qu'il existe sur Terre !
-C'est le cas, mec !
Nous avons encore échangé sur ce sujet quelques minutes, puis nous passâmes à autre chose tout en préparant le dîner.
A un moment, alors que Pierre était toujours avec sa serviette sur le cul et qu'il avait ses deux mains prises par le plateau des couverts, Charline tira sur le linge et découvrit le sexe de son ami de jeunesse.
-Waouh ! J'avais pas souvenir que ta queue était aussi grosse au repos !
-Et en action, elle n'est pas mal non plus !
-Je confirme ! Dis-je à mon tour en éclatant de rire.
Charline et Pierre se mirent alors à rire aussi. Ma femme s'approcha alors de moi et tira sur mon short pour libérer ma queue.
-Tu vois, moi je préfère celle de mon mari ! J'aime pas quand c'est trop gros !
-Mais je suis d'accord avec toi, surtout quand le proprio s'en sert aussi bien que Luc !
Les rires fusèrent encore.
Ni Pierre, ni moi ne dissimulions nos sexes et je ne cherchais pas à remettre mon short.
Pierre ramassa la serviette et la jeta sur le canapé. Il reprit ses occupations en restant à poils et j'en fis autant.
Charline ne réagit pas, mais elle nous regardait à tour de rôle.
Au bout de quelques minutes, elle retira ses habits. Elle hésita quelques secondes avec sa culotte et son soutien-gorge encore en place, puis elle les retira à leur tour et les jeta aussi sur le canapé.
C'est donc à poils que nous continuâmes les préparatifs du dîner.
Nous passâmes ensuite à table, nus comme des vers et une fois le repas terminé, nous passâmes dans le salon pour déguster le digestif en regardant des vidéos musicales et en discutant.
Charline s'était installée dans le fauteuil de droite, j'étais dans le canapé, juste à côté d'elle et Pierre était à côté de moi, tourné vers nous-deux, si bien que son genou droit était contre ma cuisse gauche.
Alors que le silence s'installa, sans doute un peu à cause de la fatigue de la journée, Charline déclara :
-Et si vous vous caressiez un peu, que je profite d'un beau spectacle !
Ni Pierre, ni moi, ne répondirent. Pourtant, Pierre posa sa main droite sur ma cuisse et commença à la caresser doucement.
Je ne bougeais pas, mais je regardais ma femme droit dans les yeux. Il y avait comme une petite étincelle dedans et cet éclair était visiblement de l'excitation.
Pierre s'était rapproché de mon entrejambe et il commençait de caresser doucement mes testicules et ma queue. Je pris alors la sienne directement avec ma main droite, ce qui me fit faire face à mon invité. Je le masturbais directement dans le seul but de le faire grossir, ce qui ne tarda pas.
Il repoussa alors ma main et se baissa pour prendre ma bite dans sa bouche.
-Hummm ! Ta bouche est bonne Pierre ! dis-je.
Je tendis la main vers Charline et elle se rapprocha de moi. Elle s'installa sur l'accoudoir qui était juste à côté de moi. Elle posa sa main sur mon épaule droite et elle me poussa vers Pierre, ou plutôt vers sa queue.
Je m'allongeais alors pour atteindre la bite de mon suceur et nous nous installâmes en 69.
Je suçais alors sa verge qui grossissait à vue d'oeil et je sentais la mienne prendre de bonnes mesures aussi. !
Charline de son côté avait commencé de se masturber. Elle avait glissé sa main sur sa chatte et alternait entre pénétration digitale et caresses de clitoris, mais elle ne quittait pas des yeux notre binôme de suceurs.
Au bout d'un bon moment et d'un orgasme de sa part, elle s'approcha de moi et me dit :
-Je veux te voir l'enculer !
Je me redressais alors et fis se mettre à genou Pierre. Je le forçais à se mettre sur ses genoux et à poser sa tête sur le canapé. J'écartais alors ses fesses et crachais sur son anus pour bien le mouiller.
Je posais ensuite mon gland sur sa rondelle déjà bien dilatée et je fis rentrer ma verge bien raide dans son petit trou qui était assoupli par nos précédents ébats.
Je vis alors Charline s'approcher et elle se positionna juste derrière moi, m'entoura de ses bras au niveau des épaules et vint pincer mes tétons en frottant sa chatte contre mes fesses. Elle rythmait alors mes coups de boutoirs dans le cul de Pierre.
A ce moment-là, je rêvais que ma femme ait le gode sur elle et qu'elle m'encule à son tour. Quelle ne fut pas ma surprise de sentir une boule se présenter devant mon anus. Je me retournais et je vis Charline avec le gode dans sa main droite. Il était tout brillant, ce qui voulait dire, soit qu'elle se l'était mise dans la chatte et qu'il était enduit de sa mouille, soit qu'elle l'avait recouvert d'huile de massage.
Je m'arrêtais alors de pilonner le cul de Pierre et j'attendais l'intromission de la queue en caoutchouc dans mon anus par ma tendre femme, qui savait aussi devenir une véritable chienne quand elle le voulait bien.
J'écartais mes fesses avec mes deux mains et me penchais un peu en avant en reposant mon ventre sur le dos de Pierre, qui recommençait à bouger, ne comprenant pas pourquoi je m’étais arrêté.
-Attends deux secondes Pierre ! Dis-je. Oh oui, vas-y chérie, enfonce-moi ce putain de gode dans le cul ! Vas-y, plus profond !
Je repris alors mes mouvements, en même temps pour entrer dans le cul de mon amant, mais aussi pour que le gode vienne bien au fond du mien. La sensation était délicieuse et très forte en même temps. Je ne tardais pas à ressentir l'orgasme monter et je finis pas ne pas pouvoir me contrôler plus longtemps. J'éjaculais alors dans les entrailles de Pierre en plusieurs salves de foutre, ce qui le fit jouir à son tour en poussant un hurlement de soulagement.
Charline retira alors le gode de mes entrailles puis je me vautrais dans le fauteuil où elle était auparavant.
-Bon, vous êtes bien gentils les mecs, mais moi, dans tout ça ?
Elle avait toujours sa main sur la chatte et un doigt y entrait de temps en temps, tandis que sa vulve recommençait à dégouliner.
-Qui veux-tu qui te lèche ? Pierre ou moi ?
-Je veux que ce soit toi, mon chéri ! Mais je veux que Pierre t'encule pendant ce temps-là !
Je commençais alors à caresser la chatte de ma femme avec ma langue tout en douceur et mes doigts entraient en action dans sa chatte et sur sa petite rondelle.
Dans le même temps, Pierre avait pris ma queue dans une main et me léchait l'anus. Il caressait mon membre avec des mouvements de haut en bas et ses doigts s’enroulaient autour de mes couilles qu’il faisait rouler l’une sur l’autre de façon très délicate. Sa langue titillait ma rondelle et s’insérait un peu plus à chaque pression.
Je reproduisais sur ma femme exactement ce que me faisait Pierre et la sensation en était décuplée. Mais je m’attardais maintenant un peu plus sur son clitoris qui commençait à gonfler et à ressortir de son capuchon. Charline commençait à gémir sous mes caresses et ce que me faisait Pierre m’excitait terriblement.
Pierre se redressa alors et présenta sa queue devant mon anus. Je relevais mon cul pour lui présenter le mieux possible et je sentis son gland écarteler les chaires de mon anus. Je ressentis comme une brûlure, mais la douleur ne dura pas très longtemps et quand son gland fut entièrement entré, je commençais a apprécier la pénétration. Charline avait ouvert les yeux et elle observait ce que Pierre me faisait et elle ne tarda pas à jouir une première fois.
Tandis que Pierre continuait de me pilonner le cul, Charline glissa vers moi et me présenta sa chatte pour que je la pénètre. Ma queue entra sans aucune difficulté dans son vagin détrempé par la jouissance. Je commençais alors à bouger en même temps que mon enculeur me donnait des coups de reins.
Ma femme était maintenant allongée sur le dos, ma queue dans sa chatte, ses jambes relevées et toutes écartées. Mes jambes passaient sous les siennes. Pierre était derrière moi, posé sur ses genoux. Sa bite était dans mon cul et c’est lui qui imprimait le rythme de nos mouvements.
Au bout de quelques minutes, Charline nous arrêta.
-On change de position les mecs ?
Elle fit allonger Pierre sur le dos et me positionna dos à lui. Elle me demanda de m’empaler sur la queue de Pierre, ce que je fis sans rechigner et surtout sans aucune difficulté. Sa verge entra dans mon anus comme dans du beurre tellement il m’avait dilaté avec ses coups de boutoir. Charline se mit debout au-dessus de nous deux, de dos et descendit pour venir poser son anus sur mon gland. Elle plia alors les genoux et s’enquilla parfaitement sur mon membre.
Nous reprîmes alors nos mouvements et la sensation était encore meilleure comme ça. Je ressentais encore mieux ma femme, son canal anal étant plus serré que son vagin.
Le plaisir ne tarda pas à monter et je fus le premier à jouir. Je ne pu m’empêcher de pousser un gros râle de plaisir en déchargeant de grands jets de sperme dans les entrailles de ma femme. Aussitôt, c’est elle qui hurla son plaisir et j’eus le plaisir de constater que sa chatte dégoulinait. Je sentais sa cyprine couler sur mes cuisses et ses jambes trembler.
C’est alors que je sentis un liquide chaud envahir mes intestins. La sensation était diaboliquement intense et m’apporta une nouvelle vague de plaisir intense. J’avais l’impression que ma queue éjaculait de nouveau.
Nous retombâmes alors sur le côté et nous affalâmes sur le sol du salon.