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Plaisir intense pour un anniversaire surprise.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/07/2023

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Ce soir, et malgré une dure journée de travail, le directeur de la société a tenu à fêter le départ en retraite d’un de ses cadres. La petite collation a duré environ une heure.
Pendant ce laps de temps, j’ai bien vu les regards se tourner vers moi, se demandant quel collègue me ramènerait chez moi, ou dans son lit...qui sait.
Il me tarde surtout d’appeler mon mari, en déplacement pour affaire, et qui ne doit pas rentrer avant lundi. Encore un week-end à passer seule.
Je regarde l’heure, déjà dix huit heures trente. Je me précipite afin de ne pas rater le dernier bus, qui me dépose près de chez moi..
Je rentre à l’appartement, fatiguée après une longue journée de travail. Il fait nuit, l’air est froid et sec, je marche aussi vite que mes escarpins me le permettent, j’ai toujours peur que des bandes de racailles m’abordent, simplement parce que je porte une courte jupe et des talons. Enfin, le trajet se passe bien.
J’arrive devant mon immeuble, rentre et prend l’ascenseur. Quand j’ouvre la porte de l’appartement, surprise. Mon mari est là, face à moi sur le canapé, il m’attend. En me voyant, son regard change, devient sombre, enflammé.
Immédiatement mon corps répond, la chaleur s’y répand.
J’essaie de reprendre le contrôle de mes pulsions. Je quitte mon manteau dans un mouvement beaucoup plus sexy que voulu.
- Garde les, m’intime-t-il lorsque j’allais retirer mes escarpins, tu es si sublime comme ça.
Il se lève et s’approche de moi, nos yeux se croisent, la température dans la pièce monte encore d’un cran.
- Je t’ai attendue longtemps, j’ai eu le temps de penser à beaucoup de choses que je pourrai te faire, dit-il en m’enlaçant.
- Ce soir, il y avait le pot de départ d’un collaborateur qui partait en retraite. Sachant que j’étais seule à la maison, j’ai pris tout mon temps, m’excusais-je.
- Tout ton temps...dans les bras d’un collègue de travail peut-être.
- Arrêtes avec ça...je suis là maintenant, toute à toi.
J’ai très envie de lui, une tension sexuelle règne dans la pièce et je suis déjà trempée. Moi aussi j’ai pensé à lui toute la journée, ses caresses, ses doigts sur ma peau frémissante de plaisir, sur ma chatte, mon clitoris, son membre dur en moi, nos mouvements désordonnés, nos soupirs, nos cris de jouissance intense.
Alors que je me perds dans mes pensées lubriques je me sens voler puis mes jambes heurtent la table sur laquelle il m’allonge avec douceur et fermeté à la fois. Empressé, il remonte ma jupe jusqu’à ma taille, et j’aperçois un sourire espiègle s’afficher sur son visage quand il se rend compte que je ne porte pas de culotte.
- Petite cochonne, dit-il en approchant son visage pour m’embrasser. C’était pour qui cette tenue...avec une jupe courte en plus...hum...
Doucement, il pause ses lèvres sur les miennes, et sa langue vient lécher ma bouche, mais j’en veux plus. Je l’embrasse fougueusement en passant mes mains dans ses cheveux, enserrant mes jambe autour de sa taille, me presse contre lui.
Il attrape mes mains et les plaque au-dessus de ma tête, murmure à mon oreille : « Je vais te baiser toute la nuit ! »
Un soupir s’échappe de ma bouche, le désir est à son comble. De sa main il sort un de mes seins de mon fin chemisier, commence à le caresser, pince le bourgeon, tire légèrement dessus, c’est trop, je me cambre, plaque ma chatte trempée contre son bas ventre en gémissant. Alors il se dégage et lentement, beaucoup trop lentement il détache sa chemise, retire son pantalon et son caleçon. Sa bite est fièrement érigée, prête à me pénétrer, comme j’en ai tant envie. Mais il en a décidé autrement, il frotte son calibre contre ma fente, vient titiller mon clito bien gonflé. C’est bon, très bon mais j’ai besoin de plus, je le veux en moi. Il rentre enfin deux doigts dans ma chatte brûlante. Je fais des vas et viens avec mon bassin. Il me doigte profondément, de plus en plus rapidement, mais je veux son sexe épais et long, si tendu, en moi.
Il retire ses doigts, les suce, je gémis de frustration mais ce geste est tellement érotique. Il lèche ses doigtes, vient sucer mes seins, lécher les bouts, les mordiller, un petit cri m’échappe. Son mandrin est toujours posé contre mon bouton et fait de lents vas et viens. Le plaisir est tellement intense que je pourrais avoir un orgasme avant qu’il ne me pénètre. Sa bouche descend, lancinante sur mon ventre, vient embrasser l’intérieur de mes cuisses. Je relève le bassin pour presser ma chatte dégoulinante contre sa bouche. Il passe sa langue sur mon clitoris puis l’aspire, le suce. Je tire sur ses cheveux pour qu’il continue, la sensation est tellement intense que j’ai un orgasme foudroyant. Alors que je crie de plaisir, quand il entre sa langue dans ma chatte béante, profondément et lèche mon plaisir avidement.
Malgré mon premier orgasme j’ai toujours ce besoin de le sentir au plus profond de moi.
- Je pense que tu as assez attendu, et moi aussi.
Il place ses mains sur mes hanches et je sens sa queue plus tendue que jamais, à l’entrée de ma chatte. A ce simple contact je gémis déjà. Alors, il pousse d’un coup tout son membre en moi, brusquement, ses couilles claquent contre mes fesses. Il me pénètre violemment et je cris de plaisir. Il se retire tout aussi rapidement, replace son sexe à l’entrée de mon minou et m’y empale à nouveau, en s’enfonçant en moi brutalement. Chaque fois qu’il se retire c’est un nouveau déchirement, mais la brutalité de ses pénétrations est jouissive.
Il recommence deux ou trois fois puis accélère le rythme avec toujours la même puissance, nos corps se percutent, il me retient par les hanches pour que je ne glisse pas à l’autre bout de la table. On ressemble à des bêtes sauvages, enivrées de plaisir, dans cette baise enfiévrée. Encore quelques coups et je jouis, fort, emportée par un orgasme intense. A ce moment, lui aussi jouit, poussant un long râle bestial. Après un ou deux vas et viens de plus, il répands son sperme sur moi, et, nos corps haletants, il me dit.
- Bon anniversaire ma chérie.
- Oh mon amour, moi qui croyais que tu avais oublié.
- Comment pourrais-je oublier mon trésor, d’autant que j’ai prévu quelque chose pour toi. Un cadeau dont tu te souviendras.
Depuis quelques temps je me doute que quelque chose se trame. Les allusions sont de plus en plus marquées à propos d’un séjour que mon mari me propose chez un de ses amis éleveurs et cavalier, dans le sud de la France. Finalement il m’avoue que le gentleman est enthousiaste à l’idée de me connaître. Ils ont parlé de nos jeux coquins, mais aussi chevaux, depuis un an qu’ils échangent via internet. L’homme est parait-il charmant, et très désireux de me séduire. A mon insu, mon mari lui a vanté mes mérites et montré mes photos coquines.
Je souris en lui demandant s’il cherche à m’offrir à un autre homme. Sa réponse tient dans le tendre et fougueux baiser qu’il me donne.
Il sera d’abord question de cheval, et je déciderais moi même de la suite.
Presque quatre heures de route pour rejoindre les Saints Marie de la Mer, magnifique région camarguaise. C’est Miguel, le pote de mon mari, qui nous accueille.
Élégant, souriant, cordial, tout du gentleman, physique élancé un peu sec peut être. Baise main et mots de bienvenue, nous restons dans le vouvoiement.
On fait le tour des installations et de certains chevaux avant qu’il me présente celui qui m’est réservé. Un jeune dont Miguel souhaite me confier le dressage. Je le testerai en fin d’après midi, après le déjeuner et la traditionnelle sieste.
L’homme est charmeur et me complimente sans détours, il sait qu’il ne choque pas mon mari et qu’il ne risque pas sa jalousie. Les mots sont choisis respectueusement, même s’ils sont un peu convenus.
- Muriel vous êtes charmante et délicieuse, bien au-delà de ce que j’imaginais. Jean ne tarit pas d’éloge à votre propos mais il est loin de la réalité. Même ses photos ne brillent pas autant que l’éclat de votre visage.
On est toujours flattée par les compliments même si je doute de l’intérêt de notre hôte, qui espère surtout me mettre dans son lit, j’y suis sensible mais pas dupe.
Cela dit l’homme est charmant, et une sorte de connivence sympathique s’installe.
Quand on se retrouve dans notre chambre, pour la sieste, mon époux me pose une question sur mon instinct face à Miguel.
- Je ne sais pas, moi, on ne m’a rien proposé.
Dans un sourire, ma réponse est accompagnée de mouvements sensuels qui vont faire retarder un peu la sieste. En effet, mon mari veut assouvir une petite envie.
Jean a décidé de m’offrir à son copain, et me demande de jouer l’épouse docile.
Les deux hommes espèrent que je vais entrer dans le jeu de la séduction et que la soirée sera coquine. Être princesse d’un soir me tente, je vais me laisser porter par les circonstances qu’ils ne vont pas manquer de provoquer.
Après une longue promenade à cheval, on quitte le sentier pour le patio ombragé.
J’aime ce confort discret et douillet, le confort paisible d’une ambiance sensuelle.
On passe du patio aux pièces de la maison sans le savoir, tout est ouvert et seule la pénombre indique au visiteur le changement de lieu.
Je décide de changer de tenue pour une tenue plus adaptée à la soirée qui s’annonce.
J’obtiens l’effet escompté à mon retour auprès des gentlemans qui tentent de me déshabiller du regard et me félicitent mon bon goût.
Miguel me tend une coupe, me propose un fauteuil entre mon mari et lui.
La conversation engagée sur les équidés glisse sans détour vers les plaisirs de la vie et de plus en plus précisément sur ceux des désirs entre hommes et femmes.
Miguel me complimente et me félicite en galant gentleman et les mots se font de plus en plus précis et évocateurs de la sensualité. On échange déjà des sourires avec un brin de malice. C’est mon mari qui à décide du bon moment pour oser. Il s’adresse à Miguel.
- Muriel sait pour les photos que je t’ai montrées, ainsi que les textes que tu as lus.
- Vous êtes divine Muriel, répond Miguel, vous osez dire les mots les plus crus avec un ton ingénu qui me fait chavirer. Je vous désire Muriel, inutile de le cacher, votre mari le sait et j’ai très envie que le plaisir vous enivre. Mais prenons le temps d’émoustiller nos papilles, vous êtes belle et souhaiterais faire durer ces instants.
Je souris éberluée de tant d’audace directe sans trop savoir que répondre.
Il n’y a pas à proprement parler de basculement, les deux hommes tentent avec succès de m’entraîner vers les plaisirs qu’ils veulent m’offrir, d’abord en des mots délicieux, avant les caresses subtiles. L’érotisme s’insinue entre nous trois, il effleure nos pensées, nos peaux, puis se répand en nous, nous envahit, nous englobe. Le corps entier s’échauffe, les regards pétillent, les salives sont plus abondantes, le sexe des hommes se tend progressivement dans l’espace réduit des boxers et ma chatte s’humidifie de ces pensées. Ils osent les premiers gestes. Une main qui s’attarde sur un bras, puis le creux du cou pour un premier baiser.
Qu’il est doux et particulièrement agréable de se sentir ainsi désirée par deux hommes qui partagent la même obsession, celle de me donner du plaisir. Aucun esprit de compétition entre eux, je vois, j’entends, je ressens leur connivence, leur désir commun de me voir m’abandonner à leurs caresses. Ils ont envie de me faire l’amour, de faire vibrer mon corps, d’entendre mes gémissements, de voir mes ondulations et mes convulsions. Qu’ils fassent ce qu’ils veulent, je m’offre.
Mon mari se lève, m’invite à danser et me glisse à peine perceptible.
« J’ai bien choisi ? Tu veux bien ? ».
Ma réponse tient dans mes yeux qui se ferment et le basculement de mon bassin vers le sien. On reste ainsi collé le temps de quelques notes, puis ses mains nous séparent pour lui permettre de défaire les boutons du chemisier qu’il dépose sur une chaise. Lentement il me retourne face à Miguel.
- Alors ? À toi les agrafes maintenant.
Et il me pousse vers son ami tout en gardant mes mains dans les siennes.
Miguel pose ses doigts dans mon dos, ils glissent sur ma peau sous le soutien-gorge qui se relâche sans attendre, les bretelles tombent et il regarde ma superbe poitrine sans encore y toucher. Ses yeux me brûlent littéralement. Je rougis de son émotion. Mes reins se creusent, imperceptiblement je tends mon buste. Ses mains repassent devant et délicatement entourent et dessinent mes seins avant un premier baiser au milieu puis sur les bouts durs et pointus. Mon mari tient toujours mes mains, ainsi il peut suivre mes tensions. Je me laisse faire, m’abandonne aux gestes des hommes. Miguel continue l’effeuillage alors que mon mari m’offre à lui.
La peau est délicate les doigts fins et précis me font frémir. Miguel porte un parfum frais et pourtant masculin, l’application de ses mains se fait superficielle, comme s’il survolait ma peau. La chair de poule couvre mon corps lorsqu’il a défait mes bottines et que ses mains remontent mes cuisses sous la jupe.
Il la fait glisser et je me retrouve nue avec ma seule culotte indécente. Indécente ? Parce que je sais que mes lèvres sont visibles et qu’une auréole marque l’entrée de ma chatte excitée. La culotte glisse à son tour. Mon mari se tient dans mon dos.
Il bloque mes poignets d’une main et son autre main enserre mes fesses, l’index collé à l’entrée de mon petit trou.
Il pousse mon bassin en avant pour tendre mon sexe à son ami. Miguel embrasse ma fente en petits baisers sur mes lèvres encore fermées et déjà bien mouillées. Sa langue glisse de bas en haut vers mon clito qui espère. Je gémis, ondule, résiste à la main de mon mari et pourtant j’ouvre mes cuisses. Miguel se relève et cette fois ses doigts lissent ma chatte et l’ouvrent imperceptiblement.
Son autre main palpe mes seins qu’il embrasse et gobe. Il s’agenouille de nouveau pour lécher, picorer et visiter de sa langue mon sexe que la main de mon mari pousse vers lui.
Excitée je suis, incapable de contrôler mes gestes et mes sons. Je tiens et guide la tête de Miguel vers mon clito qui réclame son attention. Il lèche, mordille, l’entoure et me fouille de deux doigts. Divin !
Jean continue de maintenir mes fesses et enserre ma poitrine de son autre main.
- Tu aimes hein, ma chérie, t’aimes qu’on ait envie de toi !
Il ne questionne pas, il affirme en entrant un peu son doigt lubrifié de mes liqueurs dans mon petit trou. Je veux jouir sans attendre davantage, le besoin est là, après l’envie la nécessité impérieuse ! Ma main quitte les cheveux de Miguel pour appliquer en force deux doigts sur mon clito et l’agiter frénétiquement. Ne pas interrompre, continuer encore et encore. Oui, c’est ça, ça y est, je jouis ! Jean soutient mon corps fébrile pendant les secondes de l’orgasme. Je me redresse et m’ébroue devant un Miguel éberlué, le visage luisant de ma mouille. Pudiquement, en un sourire sournois, je me réfugie derrière mon mari. Je l’enserre dans mes bras et ne manque pas de caresser au travers du pantalon sa virilité toute raide.
Miguel nous indique sa chambre pour un repos bienfaisant. L’endroit est érotique. Des miroirs en tête de lit et au pied, une armoire, elle aussi vitrée. Le plafond reflète les « dormeurs » aidé d’un éclairage étudié. Je m’allonge contre mon mari que j’aide à ôter ses vêtements. On se câline et quand Miguel réapparaît Jean l’invite à nous rejoindre sur mon côté disponible. Il dépose son kimono et s’allonge nu contre moi. Silence de chacun, tous absorbés à regarder les miroirs qui renvoient les images du trio. La princesse s’abandonne à ses chevaliers. Mon mari m’offre à son copain.
Pour la première fois j’ai cette sensation différente. Je suis le cadeau et mon mari me veut parfaite, telle qu’il m’a décrite à son ami. Il me pousse physiquement vers lui avec sa main et maintenant en me faisant rouler vers et sur Miguel.
Cela ne me déplaît pas au contraire, une sensation particulièrement perverse. Mon mari me demande implicitement de baiser avec un autre et je vais le faire. Une sorte de défi que je relève malicieuse et entreprenante. Je me fais princesse sensuelle pour émoustiller l’homme que je dois exciter, il doit me sentir prête à tous les démons physiques, prête à lui faire vivre et mesurer l’intensité de ses pulsions. Je me dois d’être femelle au service de ses plaisirs, de son excitation, de son érection durable jusqu'à sa jouissance intense et me prendre comme un fou. De plus l’homme me plaît et m’attire. Je glisse donc à califourchon sur Miguel et d’un regard je défie mon mari pour qu’il comprenne bien que je me donne toute entière à son ami, que je sais qu’il m’offre et que je ferais tout pour satisfaire son copain, que je serais le cadeau que les deux espèrent. Je vais être sensuelle et l’érotique baiseuse qu’il a décrite, femme de feu.
Au dessus de Miguel je m’empare de son membre dressé et plonge mon regard souriant, malicieusement dans le sien, avant d’ouvrir ma bouche sur sa queue. Je suce, joues creuses pour obtenir le premier jus lubrifiant de l’homme. Ma main masturbe, ma langue titille la fente du gland. Il se raidit, se cambre et souffle en redescendant son bassin dans le matelas. Son excitation et son plaisir troublent mon corps, je sais que je mouille terriblement. Je gère chaque spasme avant la limite que je veux garder en réserve. Pas question d’éjaculation maintenant il doit patienter, vibrer, s’épuiser de ses tensions extrêmes. Je dois être experte et parfaite. A l’écoute du corps et des sensations de l’homme que je dois combler, je me fais maîtresse de ses envies. Son plaisir est le mien. On dure, en ralentis et accélérations de fièvre. Encore un peu, encore beaucoup plus, il souffle, soupire. Je vais le faire entrer dans mon ventre. Il est temps qu’il me pénètre, que son sexe se déploie dans ma chatte avide, que cette queue raide, toute dure, gonflée, entre en moi.
Je glisse mon corps au dessus du sien, son membre suit nos peaux brûlantes, mes seins à la hauteur de sa bouche, il peut les sucer, les gober et les peloter de ses mains douces. Ma main s’insinue entre nous pour se saisir du mandrin que je guide vers mon entrée. Redressée il peut voir, tout comme mon mari, le gland à la fente ouverte entrer lentement en moi, écarter mes lèvres, ouvrir mon petit orifice et s’engouffrer dans mes gémissements de femelle qui se sent prise. Je monte et descends, m’empale sur Miguel. Lui aussi râle et s’agrippe à mes cuisses, mes hanches, ma poitrine. Il veut mon bassin contre lui, tripote mon clito découvert. Mon mari, à côté se caresse activement.
Les miroirs renvoient les images obscènes de ces jeux de luxure. Nos regards à tous se croisent au travers des glaces ou face à face. L’expression des plaisirs, des excitations, les désirs, tout le sexe s’exprime sur nos visages, nos imaginations en folie de ce partage.
Mes cris et gémissements se mélangent aux râles de mon amant tout comme les parfums envoûtants qui émanent de nos sexes. Frénétiques nous nous déchaînons, la sueur coule entre me seins remuants. Je jouis et tombe sur le côté en gardant Miguel en moi. On roule sur le lit. Maintenant, dressé sur ses bras il pilonne, bourre, mon ventre, sans que je reprenne souffle.
Mes jambes enserrent son corps et mon bassin ouvert en grand tend mon sexe à sa queue. Je suis disponible pour encore. Alors j’encourage.
« Continue...oh oui continue...t’arrêtes pas ».
Et il continue, le rut l’emporte, il me veut, il me baise, en force, en vigueur, en frénésie.
Un instant je vois au plafond ses fesses tendues qui plongent entre mes cuisses largement ouvertes, jambes croisées, pieds à la retourne quand le plaisir est au maximum. Mon mari sur le dos se masturbe en nous regardant. Il voit mes jambes s’ouvrir, mes doigts pétrir les fesses de mon amant. Il va voir l’instant précis où je vais recevoir la sève, le moment où Miguel va tapisser mon ventre de sa semence. J’attrape son bras que j’écrase entre mes doigts pour qu’il vibre de moi avec moi. Je sais qu’il va mouiller ses doigts, qu’il accompagnera le coït des amants, celui de sa femme avec son copain.
Excitation maximum, l’expression tellement perverse du trio. Ensemble dans l’instant de l’orgasme, Miguel remplit ma chatte de ses giclées, chaudes, intenses, espérées.
Je tremble, il est tétanisé. Il retombe lentement sur moi écrase mon assouvissement de femelle repue. Je le garde en moi, sans bouger. Lui seul sent mes lèvres intimes sucer encore le bout de sa queue qui se détend lentement. Il se retire lentement. Je reste cuisses ouvertes dans cette impudeur qui plaît tant à mon mari. Il peut voir la coulée blanche du sperme suinter de mon orifice rose et dilaté.
N’en pouvant plus, étant incapable d’assurer d’avantage, je m’assoupis exténuée.
On dort à trois dans le même lit. Je suis à plat ventre, un bras sous la tête, l’autre sur l’épaule de mon mari. Une jambe mélangée entre celles de Miguel.
À peine une petite interruption dans le sommeil pour offrir en simultané une fellation aux deux hommes. Je rampe à reculons vers leur ventre pour faire lever les étendards. Envie de les maîtriser ensemble. Donner le même plaisir aux deux, sentir leurs tensions, leur envie, les queues raides entre mes doigts, dans ma bouche, entre mes lèvres, jusqu'à obtenir, en un court intervalle, la saillie de leur jus entre mes doigts. Mélanger ensuite une goutte de chacun sur le bout de ma langue avant d’avaler, perverse totalement, presque vicieuse, et leur sourire. Ils ont subi, ils m’ont regardée faire, surpris par autant d’audace naturelle, en silence, satisfait des plaisirs offerts et du soulagement libéré. Retour vers le sommeil.
Au matin je sens le souffle de mon mari dans ma nuque.
- Reste un peu au lit, Miguel va te réveiller, tu me raconteras.
Endormie encore, pas vraiment surprise, j’avais anticipé que ce scénario fasse partie du cadeau anniversaire. Ma foi, la peine n’est pas trop insupportable.
Quelques minutes ou moins et la main de Miguel glisse sur mes fesses Il caresse délicatement en survol. Chair de poule inévitable, j’arrondis ma croupe et laisse le plaisir m’envelopper. Progressivement la main descend entre mes cuisses et remonte délicatement le long de ma fente. Imperceptiblement je me détends et ouvre les jambes de sorte que la main glisse maintenant entre mes lèvres qui s’humidifient. Premier couinement de contentement. Miguel persiste dans sa découverte. Lentement, longuement, il écarte d’un doigt puis de deux. Je gémis, me tortille à plat sur le drap. Son autre main a glissé sous mon sein et le palpe.
Délicieux ! Le plaisir envahi mon sexe, deux des doigts sont entrés dans ma chatte, et la fouillent. Il continue en pressions alternantes, je m’ouvre, m’écarte à son envie.
Je sais que je fais l’amour alors que mon mari est parti et qu’il imagine mes émotions, mes plaisirs, mon corps à la disposition de son copain. Il est obsédé par l’imagination de mes rapports avec Miguel et cela excite la perverse que je suis.
Les doigts ressortent pour longer mon sexe de l’extérieur jusqu’au petit bouton, puis me pénètrent à nouveau. Je mouille et lubrifie copieusement cette main coquine. Je sens les doigts se raidir et se positionner en moi. Cri rauque venu des entrailles étouffé dans le lit, je jouis en silence, tout le corps raidi, agité de spasmes inopinés, mouille d’un côté, larmes de l’autre. Un orgasme inoubliable, alors que ses doigts ne bougent pas.
Encore pantelante, je me positionne en levrette, cambre ma croupe, pour mieux me faite prendre. Il s’accroupit, avance sa queue près de ma chatte. D’un mouvement, je dévie la trajectoire, lui faisant comprendre que je veux qu’il me sodomise, qu’il prenne mon petit trou jusque là inviolé. Il se penche sur moi.
« Je n,’oserais jamais faire ça à Jean ».
J’insiste, et finalement, cède. Je sens le mandrin s’incrustait petit à petit dans mon petit orifice. Miguel y va doucement, délicatement. Pour une première, je ne ressent aucunes douleurs. Il embrasse mon cou au travers des cheveux trempés de sueur.
Il sait que maintenant, je m’abandonne totalement à lui, et que cette sodomie est la consécration de sa suprématie. Son envie décuplée par ce qu’il se joue. Je suis dilatée, ouverte, ramollie, inondée. Il pilonne mon ventre ouvert, je ne peux serrer sa queue, mes muscles sont épuisés. Progressivement je m’allonge sur le lit et son corps m’écrase. Il glisse une main sous mon pubis, deux doigts entourent son sexe à l’entrée de mes lèvres comme pour rétrécir mon trou dilaté. Je sens bien tout son membre limer l’intérieur, tout le devant de ma chatte enfoncé, et dessous, mon clito dans sa main ouverte comme pour recevoir son éjaculation. Il ne peut plus retenir son envie, ma jouissance extrême l’a excité au maximum. La chaleur de ses giclées tapisse mon ventre et chauffe mon corps entier, il jouit à son tour et moi encore avec lui. J’aspire tout de même son jus et resserre toutes mes forces sur le membre qui se vide en remplissant le mien. Son visage couvert de mes cheveux en vrac dissimulé dans mon cou qu’il mord délicatement et dont une marque restera quelques jours.
En sueur et repus, matelas défoncé. Il sort doucement, glisse sur le côté m’enlace, mon dos contre lui. Il bande encore et les caresses survolées qu’il prodigue à mes seins, mon ventre et mes cuisses ravivent sa tension. Je suis extrêmement bien et me complais dans cette situation. Il embrasse mon cou en relevant mes cheveux, mordille tendrement mon épaule.
- Muriel j’ai tant rêvé de vous ! C’est moi qui ai demandé cette faveur à Jean de pouvoir vous réveiller. Je ne savais pas si je pourrais vous faire l’amour devant lui. Bien sûr j’ai pu mais il m’a laissé au lit avec vous ce matin. Je suis heureux et…
J’écarte à peine les jambes pour qu’il se taise.
Son sexe entre sans qu’on le dirige et on fait une dernière fois l’amour ensemble. Sa tête repose sur un coussin, ainsi nos regards se croisent dans la glace en face où toute ma nudité est exposée, nos sexes emboîtés, nos jambes mélangées.
- Quelle femme ! Que vous êtes belle Muriel, votre poitrine me damne, vos jambes si longues, votre ventre plat, votre peau, vos sourires, tout en vous me plaît.
- Attention ne tombez pas amoureux.
- Si je n’étais l’ami de votre mari, je crois bien que si. Je respecte votre couple Muriel mais ma position en ce moment montre combien vous me plaisez.
Cette fois il sourit et me rassure. Situation cocasse s’il en est, conversation surréaliste quand on sait que cet échange a lieu sa queue enfoncée dans ma chatte.
Alors il se cabre davantage et entame avec vigueur les va-et-vient qui réjouissent les femmes. Il me baise comme j’aime, doux et viril, presque tendre mais ardent. On maîtrise nos rythmes en cadences parfaites, l’intensité croit vers les sommets de l’excitation, frénétiquement, divinement. Il tourne un doigt sur mon clito juste au dessus de son sexe qui me pénètre. Je caresse le membre qui entre et sort de moi, je remonte aussi les boules pour sentir tout le désir de mon amant, je les aplatis comme pour les pousser vers mon intérieur, nos mains se croisent sur nos sexes. Quand je pars vers les étoiles, je sens ses spasmes dans mes doigts. Je regarde le miroir le plus longtemps possible pour voir le partage de notre orgasme. La sève chauffe mon ventre, le tapisse. Il me rempli de sa semence une fois encore. Nos corps cabrés, collés, Miguel poings fermés sur mes hanches me prend, je suis à lui. Épuisés, assouvis, nous sommes comblés.
Assoupis, j’ouvre les yeux, nous sommes encore enlacés, nos corps collés, son sexe détendu resté en moi. Je nous délie et retrouve la salle de bains. Je suis un peu pantoise de cette tendre scène, ce n’est pas que du sexe, mais une connivence autre...
Le temps des ablutions, mon mari me rejoint.
- Alors doux ce réveil ? Me demande-t-il, tu te lèves seulement maintenant ?
- Ben dis dont, tu en sais des choses, non.
- Ben voyons, répond-il, je m’occupais du cheval qui ne voulait pas entrer dans le box.
- Je dois cela à Miguel alors ? Poursuis-je perverse. Mon dieu quels orgasmes, incroyables ! Eh quel amant ! Il a apprécié ton cadeau je crois, en tout cas il a su me le faire ressentir, à plusieurs reprises même.
Je me dirige sautillante en souriant vers la cuisine, espiègle et plus perverse que jamais. Fatiguée aussi, mais de cette fatigue qui rend joyeuse et lascive, juste les yeux un peu cernés peut être. A plus tard le temps des questions.
On se retrouve tous trois pour le petit déjeuner.
Je scrute un moment d’intimité pour me questionner. Miguel couvre mon mari de compliments pour nos choix de vie et confirme que je suis une femme adorable, une cavalière au tempérament de feu. Je dis malicieuse.
- J’ai été ravie du cadeau que mon mari m’a fait pour mon anniversaire, vous l’avez peut être remarqué ?
- Vous étiez un cadeau pour moi aussi, et le trésor que Jean m’a confié un trop courts instants.
Quel délicieux gentleman vraiment. Jean peine à maîtriser sa curiosité anxieuse.
Je fais encore languir mon mari, qui insiste pour savoir comment ça s’est passé, jusqu’à ce qu’on reprenne la route. Bien sûr, on devra s’arrêter en route, louer une chambre d’hôtel, pour lui raconter en détail, ma relation torride avec Miguel...Tans pis pour les cernes.






































































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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Plaisir intense pour un anniversaire surprise.

Le 27/07/2023 - 14:08 par OlgaT
C'est très chaud!

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