Une bourgeoise enfin à la page 1

Charlene, riche héritière, est mariée à Charles, un homme d'affaire puissant. Cette union est due un mariage arrangé, dans la haute, on ne se marie qu'entre riche. Elle avec ses galas et associations de bienfaisances, et lui entre ses, rendrez-vous d'affaires et réunions interminables ne se rencontre que pour diner. Bien sûr, dans la haute, ont fait chambres à part. Le sexe pour eux ne sert qu'a procréé, rien de plus ,préliminaire, ils ne connaissent pas, seule position pratiquée, missionnaire. L'usage veut que personne ne se tutoie.



De cette union est née une fille, Élodie, qui, elle aussi, mariée à l'age de ses trente ans, due se marier avec un homme, Jacques, fils d'industriel, qu'elle n'a pas choisi, toujours un mariage d'intérêt.
Jacques est un coureur de jupon insatiable. Mais là le bougre vise haut, il decide de basculer sa belle-mère, cette femme plus que sexagénaire, très élégante, tirée à quatre épingles le fait rêver. Il lorgne à chaque fois qu'il la croise, ses seins et ses fesses arrondies, qui le font baver d'envies. Il sait que cela sera difficile de la mettre sur les dos, mais le coquin ne désespère pas.


Un jour son beau-père soit se rendre à l'étranger, pour une grosse affaire, il decide d'emmener sa fille avec lui, car elle parle couramment l'anglais. C'est inespéré pour Jacques, dès les voyeurs dans l'avion, il se rend au manoir tenter sa chance. Charlene le reçoit en souriant. Directement, le dragueur passe à l'attaque :

-Alors belle-maman, nous sommes célibataires pour quelques jours !

Elle repond toujours avec le sourire :

-Par le fait, oui Jacques !

Il ajoute :

Et, si on se faisait un petit plaisir !

Charlene fronce légèrement les sourcils et demande :

-Ah, et quel genre de petit plaisir mon gendre !

Jacques sans se démonter répond :

-Eh bien une bonne petite baise !

Charlene sursaute, elle le foudroie du regard et dit offusqué :

-Mais Jacques, vous êtes fou !

Il l'enlace, la serre contre lui très fort et lui dit :

-Je suis sûr que tu es une chaude du cul, et que tu dois aimer ma bite !

Charlene défaille, jamais personne ne l'à insulter de la sorte, elle se cabre en le repoussant brusquement :

-Jacques, modérez vos paroles, vous êtes outrageant, vous déraillez mon ami !

Il la reprend dans ses bras et lui dit :

Je sens que tu es une grosse salope, et que tu veux te faire mettre profondément !

Elle rugit :

Jacques, cessez immédiatement, vous, devenez fou !

Il frotte son bas-ventre contre le bassin de sa belle-mère en la tenant fermement bien serré contre lui. L'effet que produit le frottement est miraculeux, sa verge se met à gonfler. Les visages sont vraiment près l'un de l'autre. Les souffles se mêlent. Jacques appuie fortement ses lèvres sur celles de Charlene. Elle appuie ses mains sur son torse et tente vainement de le repousser. Elle entrouvre les lèvres pour parler, mais le coquin y enfonce sa langue, quitte à se la faire couper par la belle-maman récalcitrante. Mais, contre toute attente, elle reste tétanisée par cette introduction rapide de la langue de son gendre dans sa cavité buccale. Le coquin noue sa langue à la sienne, Charlene souffle comme un dragon. Le baiser qu'il lui donne est interminable. Enfin, il cesse. Il se décolle du corps fébrile de sa belle-mère, et lui saisit la main, qu'il pose brusquement sur sa bite raide comme du béton.

Charlene Se met à trembler de tous ses membres en disant :

-Jacques, vous êtes fou, mais fou à lier !

Il repond :

-Tu vois dans quel état tu me mets, j'en suis sûr, que tu n'en as jamais tenu une aussi belle dans la main !

Charlene ne pense même pas à lâcher la bite qu'elle enserre dans sa main. Ses yeux étincellent, ils lancent des éclairs. Machinalement, elle presse plusieurs fois la bite de son gendre. Jacques lui dit :

-Tu la veux hein salope dis-le !

Charlene pousse de nombreux soupirs, elle deglutie bruyamment, mais inconsciemment, serre encore plus fort la bite de Jacques. Avec brutalité, il lui arrache le corsage de son tailleur et lui, déchire la jupe. Charlene reste sans réagir. Jacques en profite pour lui libérer les seins du carcan de tissu qui les emprisonnait. Les seins lourds s'affaissent sur le torse de La belle-mère qui ravale sa salive sans dire un mot. Jacques lui déchire aussi la culotte, les vêtements en lambeaux gisent sur le sol aux pieds de belle-maman. Jacques ne peut s'empêcher de dire :

-Oh putain ce que tu es bien foutue Charlene !

Il palque sa main sur la toison et y enfonce ses doigts en la triturant sans ménagement. Charlene se raidit en marmonnant :

-Mon Dieu jacques, ne faites pas cela, je vous en prie !


Il la regarde droit dans les yeux et lui dit :

-J'aimerais t'entendre dire que tu ne veux pas de ma bite !


Charlene soupire bruyamment et dit :

-Vous êtes un monstre Jacques, vous profitez de ma faiblesse !


Il la serre contre lui et réitère :

-Alors, tu ne réponds pas salope, dis-le que tu veux ma bite dans ton ventre de grosse bourgeoise délaissée !


Charlene, les yeux pleins de larmes, répond entre deux souffles :

-Ne me torturez pas davantage Jacques, pensez que je suis votre belle-maman, vous êtes un monstre que je hais !



Jacques lui prend la main en souriant, s'assoit sur une chaise et dit :


-Baisse mon froc et sors ma bite bourgeoise mal baisée !


Charlene ne sait que faire, elle regarde la grosse bosse qui déforme le pantalon de son gendre :


Il rèpete en faisant les gros yeux :

-Alors, j'attends !

Charlene le regarde en tendant la main timidement vers la ceinture :


-Jacques, vous me faites faire des choses horribles !

Elle déboucle la ceinture en tremblant et baisse le pantalon. Jacques ajoute :

Le slip aussi, baisse-le, grosse bourge complexée !


Charlene s'agrippe au slip et le baisse, ses mains tremblent de plus en plus. Soudain, elle sursaute en voyant la bite jaillir d'un coup. Un cri sort de sa gorge :

-Mon Dieu qu'elle est grosse !


Jacques l'encourage :

- Regarde ce que c'est qu'une vraie bite d'homme, vas-y Branle-là !


Comme un zombi, elle saisit la verge qui lui parait monstrueuse, et commence à la branler doucement. Jacques sait que maintenant, elle va être sa soumise et accepter tous ses caprices, les plus fous soient-ils. Il lui sourit et dit :


-Eh bien, tu vois quant en veut, c'est simple hein !


Elle le regarde durement en répondant :

-Je te hais, vilain voyou !


Mais, au fur et à mesure du branlage, Charlene s'enhardit, elle accelere le rythme, elle entend Jacques geindre doucement, le bougre, se tend comme un arc. Il dit entre deux grincements de dents :


- Décalotte mon gland et Suce-moi, ma chérie, suce-moi !

Charlene cesse de branler l'engin et doucement décalotte le gland, elle regarde en faisant de grands yeux, le gland violacé qui semble redoutable. Jacques insiste :

-Suce-moi, suce-moi je t'en prie !


Charlene lui répond en faisant une moue terrible :

-Mais c'est monstrueux de faire une chose pareille, sucer une verge, c'est impensable, c'est dégoûtant, de me demander de faire ça !


Jacques repique :

-Essaie, tu verras, c'est merveilleux, pour toi et moi, vas-y, vas-y !

Charlene prend une grande aspiration, ouvre la bouche et donne quelques coups de langue sur le cèpe royal, avant de prend le gland en bouche. Elle se met à sucer le gland avec de plus en plus d'ardeur, la coquine semble y prendre du plaisir. Elle recrache le gland et dit :

-Jacques, vous êtes un monstre, vous me faites faire des choses que je n'ai jamais pratiquées de ma vie, c'est répugnant de me demander cela !


Elle reprend immédiatement le gland en bouche et sans demander son reste, suce et tète comme une vorace, en s'évertuant de faire de son mieux. Jacques est surpris par la bonne volonté de sa belle-mère, il lui dit :


-Charlene, ta bouche est merveilleuse, je dois te récompenser pour l'ardeur qui tu mets à sucer ma bite !


La belle-mère ne l'entend pas, c'est la première fois qu'elle la bite d'un homme, la coquine semble se régaler. Elle bave tellement elle tète l'engin.