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Plaisirs au bureau

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Lue : 5394 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/10/2012

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Surpris, mais tellement heureux, tu m’annonces que tu passes me voir à mon travail.
Je l’ai souvent imaginé sans jamais réellement trop y croire et enfin tu viens. Rien à faire cet après-midi heureusement, je pourrai être tout à toi.
Je regarde ma montre, tu ne devrais plus tarder.
Un coup de téléphone. C’est toi. Tu es devant. Je sors dans la cour et tu apparais. Tu es belle, tellement désirable comme toujours.
Tu viens jusqu’à moi. On s’embrasse sur la joue (des bisous qui débordent effrontément sur nos lèvres...) nous devons rester discrets mais le désir est tellement grand que la retenue est à peine visible.
Nous serons plus intimes dans mon bureau. Tu rentres et je t’emboite le pas. Je referme la porte derrière moi, m’assure que les rideaux vénitiens soient bien baissés. Nous sommes seuls.

Je te fais retirer ton manteau, te fais visiter mon bureau, deux pièces c’est rapide. Mon seul désir c’est de t’embrasser...
Tu regardes mon ordi, y découvre ta pierre qui trône amoureusement derrière mon clavier, tu esquisses un sourire, heureuse de la voir là.

Ne retenant plus mes pulsions, je t’agrippe par le bras et t’attire vers moi. Le mouvement est presque violant tant il est réalisé avec fougue et autorité. Je te plaque contre mon torse, je sens le galbe de tes seins plaqué à ma poitrine. Mes bras t’entourent, mes lèvres se collent aux tiennes. Mon baiser mélange habillement passion, désir et tendresse. Surprise par cette force virile, tu te laisses néanmoins faire, tu t’abandonnes, presque soumise à cette bouche qui dévore littéralement la tienne. Les attouchements de ma langue avec la tienne sont d’une sensualité qui te désarçonnent et t’excite immédiatement. Une douce chaleur parcourt tout ton corps et vient chauffer subtilement ton sexe.

Ainsi accolés l’un à l’autre tu peux aussi sentir mon désir qui se traduit par la protubérance de mon pantalon qui vient se frotter à ton bas ventre.
Pris d’un désir frénétique, oubliant presque le lieu où nous trouvons, le temps et l’espace semblent ne plus avoir d’emprise sur la réalité, rien ne compte plus. Rien que nous à cet instant, rien que le désir l’un de l’autre. Rien que l’envie.

Mes mains s’agitent, se confondent en caresses, se déploient avec légèreté parcourant chaque lignes de ton corps. Caressant ton dos, descendant pour attraper tes fesses que j’agrippe tantôt avec force pour te plaquer plus fort encore contre la bosse qui déforme mon pantalon tantôt avec douceur les malaxant avec tendresse. Ma main droite glissant ensuite sur tes hanches, tes cuisses, effleurant ton ventre pour bientôt saisir ton sein gauche à pleine main. Je sens sa pointe déjà durcie de plaisir ce qui enhardi davantage ma fougue et décuple mon excitation.

Mes baisers se font plus intenses. Ma langue combat la tienne avec acharnement. Le goût du plaisir se distille dans nos bouches, nos têtes en sont enivrées. Nous en perdons presque la raison tant notre extase est à son paroxysme. Nos corps tremblent de désir, le feu qui les consument semble s’accroitre inexorablement sans que rien ne puisse le contenir.
«J’ai envie de toi» , cette phrase est sortie presque dans la même fraction de seconde de nos bouches.

Ma main torture ton sein sous tes râles d’approbation et de plaisir. Mais j’ai envie du contact de ta peau. Ma main glisse sous ton pull, se fraye un chemin le long de ton ventre, tes cotes et vient au contact de ce tissus qui emprisonne encore l’objet de ma convoitise. Ni une ni deux ma main se faufile, passe sous ton bras, longe la couture de ton soutien-gorge pour atteindre ton dos et un endroit stratégique. Mes doigts agrippent l’intersection des bretelles, pincent les crochets avec le pouce, l’index et le majeur qui ne tardent pas à céder sous ma dextérité. Ainsi libéré de la pression ton sous-vêtement devient ample et me laisse tout loisir de me faufiler dessous. Ma main revient sur ta poitrine et c’est à même la peau qu’elle peut maintenant affoler ton sein. Mes doigts pincent tes tétons, roulent autour, ma main pétri ton sein tout entier. Tu aimes ça, en redemande.

Je te pousse légèrement pour que tu viennes presque t’assoir sur mon bureau. Quittant ton sein ma main redescend sur ton ventre, attrape les bords de ton pull pour les remonter en haut de ta poitrine. Pendant ce temps ma bouche, elle, a quitté la tienne, contourné ton visage pour embrasser presque sauvagement ton cou l’espace de quelques instants. Car ce que ma bouche désire se trouve un peu plus au sud. A peine à l’air libre, ton sein est immédiatement attaqué par mes lèvres qui le dévorent. Tes mains attrapent ma tête comme pour me plaquer davantage sur ce fruit qui me régale.

Oubliant toute retenue cette fois, mes mains se saisissent de ta ceinture qui ne tarde pas à rendre grâce, suivi de près par les boutons de ton jean, lui-même se retrouvant bientôt à tes chevilles. Le lieu n’étant pas propice à un effeuillage complet je ne te retire pas complètement ton habit qui gît sur tes bottes. Avec autorité je te fais pivoter pour me tourner le dos. Posant ma main sur ton épaule je te fais basculer sur le bureau sur lequel tu t’accoudes.

Je peux avoir ainsi la vision de ta croupe qui me lance un appel presque indécent. Mes mains se posent sur tes fesses, les caressent parcourant leurs galbes de l’extérieur, au niveau de tes cuisses, puis se rejoignant au centre, mes pouces longeant le dessin de ta raie vers la terre promise. Tu te laisses faire, victime consentante de mes pulsions érotiques.

Je m’accroupis, mes lèvres viennent frôler la surface de cette peau si douce. Je parsème tes fesses de milliers de baisers, explorant chaque centimètre carré avec ma bouche. Je m’arrête sur bas de tes reins, à la naissance du sillon qui me conduira vers des lieux secrets. Ma langue en pointe glisse le long de cette faille et descend lentement. S’arrête un instant, dépose un autre baiser et reprend le chemin de la convoitise. Elle rencontre à présent un orifice que je m’empresse d’embrasser sans toutefois m’y attarder, l’objet que je convoite se trouvant plus bas encore. Elle finit enfin par atteindre son but, l’entrée de ton vagin se voit maintenant comblée par de multiple léchouilles de mon muscle lingual qui te déclenche de petits sursauts de plaisir. La durcissant au maximum j’essaie de l’enfoncer au plus profond de ton intimité. Après quelques minutes ma langue quitte cette entrée pour venir dénicher ce petit trésor qui te donne tant de plaisir aidée de mes doigts qui écartent tes lèvres intimes pour le mettre à jour. Doucement, tel un fruit délicat qu’il faut manipuler avec douceur, ma langue le lèche tendrement, en fait le tour, le lape, mes lèvres le pincent puis l’aspirent. Mes lèvres gobent bientôt tout ton sexe comme si c’était une autre bouche dans un baiser passionné. Ma langue s’introduit entre tes lèvres et te lèche de l’entrée de ton vagin jusqu’à ton clitoris. Un baiser intime qui dure quelques minutes mais que tu voudrais éternel tant il est délicieux...

N’y tenant plus et au-delà de toute pudeur ou de toute raison, je me redresse, défait à mon tour ceinture, boutons de braguette et laisse tomber jean et caleçon. Mon sexe plus excité que jamais me faisais mal tant il était compressé dans ces vêtements. Je saisi ma verge, qui était dans un garde à vous impeccable, et la place à l’entrée de ton vagin. Après en avoir frotté les parois avec mon gland, je te pénètre d’un mouvement sec jusqu’à la garde. Tu pousses un petit cri, autant de surprise de cette possession presque violente, que du plaisir que te procure mon sexe en toi. Mes mains viennent se poser sur tes hanches comme pour retenir ton corps tant mes coups de reins te poussent davantage sur le bureau. Mes va et vient sont tantôt lents tantôt rapides, tantôt violents tantôt doux. Tu ne peux contenir de petits cris de plaisir. Des «encore» saccadés sortent de ta bouche tant mes coups de boutoir ne te donnent pas de répit.

Tu te redresses sur tes bras, je te saisis par la poitrine pour te coller à moi et, pendant que mes mains s’occupent de tes seins, ma bouche se met en demeure de dévorer ton cou de mille baisers. Mon sexe entre et sort de toi à présent par des mouvements lents et sensuels. Chaque pénétration nous procure à tous deux un plaisir immense. Après de longues et délicieuses minutes, l’apogée de notre extase atteint son point culminant et explose dans nos corps simultanément. Notre jouissance est intense, presque irréelle. Nos bouches se cherchent, nos langues se trouvent dans un baiser voluptueux. Incapables de bouger, comme pour préserver ces instants de bonheur, nous restons là, l’un dans l’autre, nos bouches furieusement amoureuse l’une de l’autre ne pouvant se détacher pendant quelques minutes encore de plaisir.

Mon sexe quitte à regret cet antre qui l’a si bien accueilli, je te fais pivoter pour que tu me fasses face et colle à nouveau mes lèvres aux tiennes pour un long et intense baiser.
Nous nous rhabillons à la hâte, la respiration haletante presque honteux de ce qui venait de se passer (mais c'était si bon...), avant que quelqu'un ne décide finalement de venir nous déranger.

Après quelques minutes il est temps que tu me quittes et c'est à regret que je te laisse partir. Retrouver ta vie, me laissant dans la mienne. La tête pleine de souvenirs érotiques de la venue de ma maîtresse à mon bureau...
A quand la prochaine visite...
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