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Plaisirs Sexuels 21

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Lue : 9511 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/01/2011

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DU REVE A LA REALITE OU RENCONTRE ALLEMANDE

L’histoire se passe lors d'un week-end chez une "marraine." Je suis en compagnie d'Yvonne, une délicieuse femme mure qui pourrait être ma mère... Elle a son appartement au dernier étage d'une résidence, en bordure de mer... Entre deux parties de jambes en l'air, nous allons à la plage.
Un jour, je suis retourné à l'appartement pour prendre des choses que nous avions oubliées (lunettes, chapeaux, crèmes).

A tout hasard, je fais un passage sur le balcon.... L’appartement d’à côté est loué, pour un mois, par un couple d’allemands dont le femme est visiblement beaucoup plus jeune que lui. Elle est assez mignonne, grande, blonde, des tenues du type chapeau de paille, maillot de bain deux pièces adorables, serviette ou paréo long noué à la poitrine, chaussures de plage. Ils passent le plus clair de leur temps à se faire bronzer, allongés sur des transats. Quand nous nous croisons, nous échangeons des souhaits de bonne journée et autres banalités. La barrage de la langue limite nos conversations... Monsieur "baragouine" un peu de français. Madame a un vocabulaire plus que limité...

Le Monsieur m'aborde par le balcon et me demande s’il pouvait me poser une question, le tout en un français difficilement exprimé, ce à quoi je lui réponds oui, ... En fait il voulait me dire que sa femme et lui sont intéressés par les sons entendus dans la soirée d'hier et cet après-midi (sons émis par Yvonne dans des circonstances que je vous laisse imaginer : langue agile et membre actifs le week-end !).

J’avoue me sentir tout drôle, un peu gêné... Il voulait savoir si je pouvais tenter la même expérience avec son épouse... Difficilement, il a mis beaucoup de formes dans sa demande, je pense pour ne pas me choquer. Je lui ai répondu que oui, surtout si elle voulait... Mais que je n’avais pas suffisamment de temps, là, tout de suite... J’aime bien les choses du sexe, mais parfois trop c'est trop... Tout en revenant vers la plage, mon imagination s'étant mise en route, je fantasmais sur tout ce que je pourrais faire à la "frau" sans pour autant envisager de pénétration et d'éjaculation. Après tout je devais garder mes "munitions" pour celle qui me faisait passer quelques agréables moments en sa compagnie...
Tout en "tartinant" le dos d'Yvonne, avec la crème bronzante, je lui racontais l'entrevue que je venais d'avoir avec nos voisins...
- "Vas-y - me dit-elle - Profite de l'occasion tant qu'ils sont là et avant qu'ils ne changent d'avis...
- Ça ne vous gène pas que j'aille baiser la voisine...
- Pas du tout, ça me fait plaisir de partager mon bonheur avec une femme qui doit être bien frustrée... Et puis, si tu sais y faire, s'il y a une prochaine fois, je pourrai peut-être participer...
- Ça alors, vous me surprenez beaucoup... Je ne pensai pas que vous aimiez aussi les femmes...
- J'aime tout ce qui peut me donner du plaisir... Hommes ou femmes, du moment que je jouis, et que je fais jouir..."

Sur ces paroles encourageantes, je quittais ma compagne pour aller remplir ma nouvelle mission...
Vêtu d'un simple caleçon de bain et d'un t-shirt, passant par notre appartement, enjambant la rambarde du balcon, je suis rentré chez eux. Monsieur (Otto) en short, Madame (Frédérike) juste en maillot de bain semblaient m'attendre ...
Je leur ai expliqué que je pouvais proposer quelques caresses immédiates, mais que pour quelque chose de plus excitant ce serait à un autre moment... M'ont-ils compris ? ...
J'ai pris Madame dans mes bras, pendant quelques instants, je lai embrassée... Quatre bises bien françaises avec des mains qui se baladaient dans son dos pour l'attirer tout contre moi.

Ces bisous, vite transformés en bisous multiples, se sont promenés sur son cou, ses épaules, son front, ses lèvres... La tenant toujours serrée contre moi, les pointes de ses seins et ses yeux fermés m’ont laissé entendre quelle appréciait l’attention que je lui portais. Je suis passé derrière elle et mes mains lui ont carrément caressés les seins à travers son soutien gorge... Une main s’est glissée sur son slip... Puis à l'intérieur... Au premier contact, de son anatomie cachée, j'en déduisais qu'elle était épilée sauf au milieu. Ses poils semblaient couvrir une petite partie bien verticale. Je ne suis pas resté longtemps comme ça...
Nous faisant face, son mari nous regardait, assis sur le canapé, sa main passait et repassait sur son short.
Sous le tissu du petit maillot, le "robinet" était ouvert. Madame lâchait, en continu, son trop plein de bonheur... Ma main est trempée... Un de mes doigt remonte vers la source... En passant il "titille" le petit bouton qui, en gonflant, déclenche la mise sous tension. La respiration de Frédérike s' accélère... Bouche grande ouverte, elle halète... Sa gorge laisse rouler un râle continu qui devient de plus en plus aigu...

Ses mains se sont égarées sur moi, me caressant à travers mon caleçon... Bien entendu, je bande à mort...
Soudain elle cesse tout mouvement, bloque sa respiration... Toujours contre moi, dans mes bras, je la sens se raidir... Des tremblements, des soubresauts agitent son corps de plus en plus rapidement... D'un long et puissant cri venant des profondeurs de son être, elle extériorise sa jouissance. Pendant quelques secondes, elle semble hors du temps, à la limite du coma... Serrant les bras pour ne pas la laisser tomber, je serre aussi les dents pour ne pas éclater entre les doigts de sa main qui avait réussi à prendre mon membre gonflé...
Le calme revenu, nous nous sommes embrassés de nouveau... Elle ne semble pas savoir pratiquer des baisers langoureux et longs, avec une langue qui fouille vraiment...
La laissant s’assoir dans un fauteuil, je me retourne vers Otto qui avait fini d’agiter sa main et semblait ravi...
- « Ça vous a plu ?... C’est ça que vous vouliez ? ...
- Gut, gut bin ich, sie auch zufrieden - bon, bon, je suis content, elle aussi - es braucht, ja, ja noch - il faut encore, oui, oui ? ...
- Pas maintenant... Ce soir si vous voulez...
- C’est quoi ce soir ? Pourquoi pas maintenant ?... »

Avec un doigt sur ma montre, je lui explique qu’il fallait se reposer quelques heures, puis manger, et après je pourrai revenir... C’est là que je lui propose d'être accompagné d'Yvonne... Quand il a compris mon offre, il était tellement enchanté qu’il m’attrape pour m’embrasser. Depuis son fauteuil Frédérike, face à la manifestation de sa joie, demande à son mari ce qu’il y a... Celui-ci se lance, dans sa langue maternelle, en une longue explication ... Avait-il bien compris ma proposition ? L’a-t-il bien traduite à sa femme ? A-t-elle réalisé qu’elle serait la « reine » de la soirée ? Toujours est-il que lorsqu’il a fini de parler, d’un bon, Frédérike m’a sauté au cou pour un baiser de reconnaissance tout en poussant des « ja, ja et des gut, gut » (oui, oui et des bon, bon,) d’exaltation...

Nous nous sommes quittés dans la perspective d’une soirée bien chaleureuse...
Retrouvant Yvonne dans l’appartement, je lui racontais cet après-midi de débauche et de jouissance...
- « Figure-toi que je ne suis pas restée à la plage... Je suis rentrée et, sur le balcon, je vous ai entendu...
- C’est vraiment une obsession, chez vous, le sexe...
- Ce n’est pas toi qui va t’en plaindre... Ça m’a particulièrement excité... Tu vas voir tout à l’heure ce que je vais te faire...
- Nous allons rien faire ici... Les allemands nous attendent pour passer la soirée...
- C’est vrai... Moi aussi je suis invitée ?...
- Bien sur, c’est ce que vous vouliez....
- Tu es un amour... Merci... Ils vont voir, ces Teutons ce que les Gaulois sont capables de leur faire...»

Sur ces derniers mots, elle me saute au cou, m’embrasse avec ferveur tout en me malaxant l’entre jambe par dessus mon caleçon...

Quand nous avons frappé chez nos voisins, ils regardaient la télé. Ils l’ont éteinte. Je présentais Yvonne qui fait deux bises amicales à Frédérike et deux autres plus « appuyées » à Otto. Ils nous invitent à nous asseoir autour d’une table basse ou se trouvent une bouteille de cognac et quatre petits verres ou est servie une généreuse dose de breuvage. Nous levant, nous portons un toast à notre rencontre. Nous rapprochant pour entrechoquer nos verres, Yvonne en profite pour se « frotter » contre Otto. J’en profite également pour prendre Frédérike par le cou et lui demander si elle s’est bien remise de sa jouissance de cet après-midi et si elle est prête pour recommencer. Je suis persuadé qu’elle n’a rien compris, mais, interprétant la tonalité de ma demande et, par politesse, elle me répond par trois "ja" (oui) enthousiastes...
Otto, légèrement surpris du "rapprochement" d'Yvonne, en profite pour trinquer en un "gesundheit" (santé) guttural...
- "A la tienne !" lui répond Yvonne se collant contre lui et posant sa main droite sur sa braguette...
- "Il parait que tu ne bandes plus, gros buveur de bière ?"
- Wie ? (comment ?)
- Petite queue fatiguée, kaput ! " demande Yvonne en désignant l'entre jambe d'Otto et faisant le geste de montrer le plancher avec son index replié...
- " Oui difficile..." lui répond Otto en faisant le geste de faire monter son avant bras, poing fermé...

Finissant de boire son cognac et posant son verre - "On va voir ça" dit Yvonne... Passant un pouce de chaque coté des hanches, dans l'élastique, d'un geste, elle fait descendre le short jusqu'au sol . Dans cette manœuvre, Yvonne se retrouve à genoux face à un Otto nu, médusé, le sexe pendant lamentablement... D'une main elle empoigne cette verge flasque et, de l'autre, elle caresse les testicules.
La tenant toujours par le cou, avec Frédérike, nous avons suivi cette "attaque foudroyante" menée au "pas de charge."...
D'une poussée, Yvonne fait asseoir Otto dans un fauteuil et, assise par terre, s'installe entre ses jambes pour une activité phallique qui risque d'elle longue...

A mon tour je déshabille lentement Frédérike, avec des bisous réguliers sur son corps. Ses seins sont jolis, bien fermes, avec de petites aréoles marron ou pointent des tétons provocateurs. Ils réagissent très vite à mes lèvres. Son souffle dénote quelle adore mes bisous et je commence à la sentir toute mole... Ses mains se sont placées sur ma tête, de part et d’autre pour suivre chaque mouvement, voire les diriger d’après la pression que je sens.
Je lui ai enlevé son slip tout en l’embrassant. Je la fais asseoir sur le canapé, moi agenouillé entre ses jambes. Je l'ai doucement poussée pour quelle s’allonge. Elle s’est en fait placée sur ses coudes de manière à relever un peu le torse. Ainsi, elle peut suivre les réactions de son mari suivant le "travail" d'Yvonne, tout comme celui-ci peut voir sa femme réagir à mes caresses...
J’ai sa chatte droit devant moi... Une chatte aux poils bien blonds soigneusement épilés sauf sur les grandes lèvres...Une chatte déjà bien humide qui appelle ma langue... J’ai entamé le jeu qui fait qu'Yvonne (et mes autres partenaires) devient souvent bruyante ! Ce jeu ou, vous l’imaginez, ma langue et mes lèvres alternent avec mes doigts.

Je la pénètre de mon majeur, pendant que je lui suce le clitoris.
Tournant mon regard vers Otto, celui-ci était rouge, presque cramoisi... Son sexe est raide... Yvonne, experte en la matière, le masturbe alternativement avec les mains et avec la bouche... Entendant sa respiration haletante, je crains pour le cœur de cet homme peu habitué à soutenir un tel assaut... J'ai vu et je l'ai vite oublié pour me consacrer à sa femme qui est complètement en chaleur devant moi ! Elle commence à gémir, à donner de la voix. Heureusement, fenêtres et volets sont fermés. La nuit, les sons s'entendent de très loin...
C’est bizarre d’entendre le plaisir d'une allemande... C’est inhabituel pour moi... Je ne comprends pas ce qu'elle dit mais sa voix est rauque... ,Son corps s’est mis à bouger, ses jambes à s’ouvrir de plus en plus comme si elle voulait que je la pénètre encore plus loin !

Elle a joui une première fois. Il y a eu une accalmie, puis de nouveau elle a donné de la voix exprimant encore sa jouissance... Son deuxième plaisir m'a tout poissé la main tellement elle mouille !
Une fois revenue à elle, elle m'a dit "ich bin im Paradies !"(je suis au paradis )...
Entendant ahaner, je me tourne pour voir : Yvonne nue, empalée sur la bite bien raide et bien grosse du germain, yeux fermés, lèvres serrées, elle est partie dans un galop effréné qui se terminera par sa jouissance ou la reddition de son partenaire...

Toujours demi allongée sur le divan, cuisses largement écartée, Frédérike qui, ne quittant pas son mari du regard, m'offre sa chatte dégoulinante. Je me lève... Elle m'attrape le chibre pour l'attirer vers l'entrée de son intimité grande ouverte. - Ich will Sie auf mir... drinnen ich..."(je vous veux sur moi... dedans moi). Elle a commencé à me caresser. C'est inutile, j'ai une érection devenue douloureuse tellement la pression interne est forte. Je ne la fais pas attendre d'avantage pour m'enfoncer dans ses chairs douillettement accueillantes. Ce doux contact a eu pour effet immédiat de calmer la douleur sourde qui parcourait mon pieu. Après quelques secondes, bien enfoncé dans ce gouffre en feu, j'entame une danse saccadée. -"Ihr großer Schwanz ist wirklich magisch..." (votre grosse queue est vraiment magique)...

Ma chevauchée est de courte durée... J'éclate en longues giclées bien épaisses au fond de sa grotte d'amour... Cela a pour effet de la faire cabrer, lui faire lever les jambes qu'elle croise au-dessus de mes fesses pour m'attirer encore plus profondément en elle... Cela a également pour effet, de libérer son cri de jouissance... C'est à ce moment qu'Yvonne hurle son orgasme d'un long cri strident... Otto n'est pas en reste car, à chaque spasme de son éjaculation, il grogne son plaisir...
Le calme revient dans nos corps et nos têtes... Tout en restant enfoncée, je sens ma verge ramollir doucement. Mes lèvres collée à celles de Frédérike, ma langue explore sa bouche...
-"Che feu que vous encore faire plaisir à Frédérike - me dit Otto ;
- Un moment, s'il vous plaît, il faut attendre un peu... -répondis-je ;
- Je vais m'occuper d'elle" - dit Yvonne en s'avançant pour prendre ma place ;

Je me relève et m'écarte un peu. Yvonne s'installe, assise, entre les cuisse de Frédérike, toujours demi allongée sur le divan. D'une puissante succion, elle aspire le mélange de sperme et de cyprine qui s'écoule de la chatte allemande restée ouverte...
Ecartant les lèvres vulvaires, Yvonne plonge sa langue le plus profondément possible pour remonter sous le bouton sensible qu'elle emprisonne entre ses lèvres. Surprise par cette attaque fulgurante, de véritables décharges électriques parcourent le corps de Frédérike. Maintenu aspiré dans la bouche d'Yvonne, le clitoris gonfle à vue d'œil sous l'excitation de sa langue... Poussant un hurlement orgasmique, saisissant Yvonne par les cheveux, Frédérike tente de se libérer de cette "torture". La tête de la tortionnaire ne bouge pas d'un pouce, bien au contraire le supplice s'intensifie...

Frédérike se tortille dans tous les sens... Sa tête va de droite à gauche et de gauche à droite... Elle lâche les cheveux d'Yvonne et empoigne ma queue qui recommençait à reprendre de la vigueur... Elle m'attire vers sa bouche... Je ne peux que me laisser faire si je ne veux pas être émasculé... Ses lèvres viennent aspirer mon gland, je me laisse aller au fond de sa gorge... Je sens sa langue qui fait un tour de reconnaissance... Avec sa main elle caresse ce qui reste de mon anatomie à l'extérieur de sa bouche... Un tel "traitement" fait tellement grossir ma verge que je la retire pour éviter à Frédérike de s'étouffer. Elle peut ainsi mieux me branler... Son "supplice" ne finira qu'à l'explosion de son orgasme.
Yvonne, qui ne reste pas inactive, a glissée une de ses mains entre ses cuisses pour se masturber...
Toujours assis dans son fauteuil, ne perd pas une miette du spectacle de sexe tout en essayant de redonner un peu de vigueur à son membre tout mou...
J'emprisonne la main de Frédérique qui me branle le manche pour bien me masturber et, finalement, éjaculer sur elle, sur ses seins, un peu sur son visage aussi parce quelle s’est approché pour goûter ma semence giclant...

Enfin repus, savourant une autre rasade de cognac, nous avons papoté quelques minutes afin de convenir d'une autre rencontre.
C'était une expérience nouvelle parce qu'ils étaient étrangers... C'était très jouissif parce que je me suis masturbé sur une femme, tout en sachant quelle avait envie de me voir gicler sur elle.
Nous nous sommes retrouvés une fois...

Petikokin

Si vous voulez mieux connaître Yvonne, il vous faut lire l'histoire que j'ai publiée dans la rubrique « Hétéro », sous le titre "Plaisirs sexuels 6", sous titrée "Mariées et abandonnées"
Petikokin
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Histoire de petikokin

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