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Premier emploi délurant

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Lue : 2605 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/11/2019

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Plutôt timide, effacée, effarouchée disent mes copines, je venais d’entrer en terminale horticulture.
En rentrant du lycée, début octobre, je vois dans la cour de l’ancienne ferme de mes grands-parents un homme décharger des matériaux dans le hangar. Curieuse, je m’arrête et regarde en restant à l’entrée de la propriété. Un homme mûr (entre 50 et 60 ans apparemment) sort de la grange et, me voyant, me dit bonjour. Il me demande s’il peut m’être utile. Gênée de mon attitude, je lui réponds que je suis juste curieuse car il s’agit de la ferme qu’exploitaient mes grands-parents. Il m’invite à rentrer et me dit que je peux aller où je veux sauf dans l’ancienne partie habitation qui menace d’écroulement par endroits. Nous nous mettons à parler ; il m’explique ses projets concernant la grange et les anciennes étables ainsi que la démolition programmée de l’ancienne habitation pour reconstruire, en plus grand, une maison à ossature bois. Il ajoute qu’il ne fera pas l’aménagement paysager préférant le confier à des professionnels. Quand je lui parle de ma formation, il me propose spontanément de m’occuper de son jardin ; il me dit qu’il va m’employer légalement, déclarée, et qu’il va aller voir mon lycée pour valider cet emploi comme stage ; tout l’outillage dont j’ai besoin me sera fourni. Bien entendu, je ne travaillerai que lors de mes temps libres : mercredi après-midi et samedi. Il ne me faut pas longtemps pour accepter même si je suis angoissée par le challenge. Trop heureuse de l’aubaine, je lui saute au cou pour le remercier ; il m’enlace pour un tendre câlin puis, alors que je lève la tête vers lui pour m’excuser de mon exubérance, il pose ses lèvres sur les miennes en un doux bisou. Je me sens aussitôt rougir et, en ne me tenant plus que d’une main posée sur ma taille, il éclate de rire. Il m’explique alors que ma candeur l’amuse mais qu’il ne se moque pas. Il ajoute qu’il est naturellement très câlin et tactile et que s’il dépasse mes limites je dois impérativement le lui dire immédiatement car il est très attaché au respect. Devant mon mutisme, il me propose un tour sur le terrain pour que je vois ce qu’il envisage avant qu’il ne me confie des plans ; il m’entraîne tout en me tenant par la taille, une main légère mais ferme posée sur ma hanche. Lorsque je reprends mon scooter une demi-heure plus tard après un nouveau bisou sur les lèvres, je sens toujours l’agréable chaleur de sa main sur ma hanche.
En rentrant chez mes parents, je me demande ce qui m’a pris : pourquoi ai-je accepté cet emploi qui est un vrai défi ? pourquoi ai-je accepté ces bisous alors que je refuse que mes camarades de lycée me touchent ? En même temps j’ai bien conscience que non seulement je l’ai laissé faire mais aussi que j’ai trouvé cette relation agréable ; je ne me suis jamais sentie ‘’en danger’’ ni agressée ni forcée… je ne me reconnais plus.
Le premier mercredi qui suit, je mange rapidement au lycée avant de me rendre chez mon employeur. Il m’accueille toujours aussi souriant et aussitôt m’enlace pour m’embrasser ; je colle mes lèvres aux siennes très naturellement comme si je prenais goût à ce genre de contact que j’ai toujours trouvé repoussant chez les autres. Il m’entraine vers son atelier ; il y a une table dans un coin où je trouve mon ‘’contrat de travail’’, le premier de ma vie. Il me dit de prendre le temps de le lire. Je m’assois pour le faire, il reste debout derrière moi et me caresse les épaules et le haut du dos. Je me sens bien et détendue, contrairement à mon habitude où je suis toujours sur mes gardes. Ces formalités remplies il me dit qu’avant de passer à la pratique, il veut voir mes plans et les valider puis il part continuer ses travaux. Je me mets donc au dessin ; c’est la partie la plus longue et la plus exigeante mais aussi la plus prenante car c’est de la création à l’état pur. Très concentrée, je ne vois pas le temps passer. Je suis donc surprise quand il se penche derrière moi, m’embrasse dans le cou et me dis qu’il est l’heure d’une pause goûter. Il m’emmène dans une petite pièce qu’il a aménagée sommairement : une table, un banc, une étagère où sont posées une machine à café et une bouilloire et une petite armoire contenant quelques tasses et mugs, du café, du thé, du sucre, des biscuits et des petites cuillères. Il me sert un thé à ma demande et prend un café ; nous sommes côte à côte sur le banc et nous mettons à discuter de mes études, mes goûts, mes envies pour l’avenir ; il a posé une main sur mon jean et me caresse la cuisse tout en douceur. A la fin de cette pause, il m’emmène visiter une autre pièce ayant une porte coulissante sur un rail haut et pas de verrou : il s’agit d’une assez grande pièce toute en carrelage avec, face à la porte, un lavabo surmonté d’un grand miroir, au fond à gauche, une pomme de douche posée sur un mitigeur sans bac au sol et sans parois et, en côté de la porte, un grand banc surmonté d’une dizaine de patères où je vois des vêtements d’homme accrochés ainsi qu’un drap de bain. Il m’explique qu’il s’agit d’un vestiaire que je pourrai utiliser quand j’en serai à la mise en œuvre et que je pourrai aussi me doucher, lui me fournissant le drap de bain. Me voyant rougir, il s’empresse d’ajouter que je pourrai être seule si je le désire tout en descendant sa main sur mes fesses. Je rougis encore plus et n’ose plus bouger ni parler… Il sent mon désarroi et me ramène dans la salle de travail où il m’invite à rentrer chez moi, ma journée de travail lui semblant suffisante ; quand il m’embrasse, je sens sa langue caresser mes lèvres.
La séance suivante, le samedi, voit l’approbation de mes plans après de menues corrections. Caresses et bisous continuent et j’avoue tendre les lèvres volontiers quand il se penche vers moi. Je reconnais aussi qu’une fois seule je sens encore ses mains sur moi. Vu que je le laisse faire, voire que je participe, quand il m’embrasse, ses caresses n’ont guère de limite : visage, cou, dos, fesses, cuisses… mais il ne m’a touché ni la poitrine ni plus bas. Je ne sais pas si j’y suis prête mais je ne sais pas non plus si j’oserai dire non tant je suis bien avec lui…
Le mercredi suivant, j’arrive avec mon sac contenant ma tenue de travail : bleu et bottes ; les outils que j’ai demandés sont prêts. Il m’enlace et me propose un baiser plus tendre que les bisous. Je cède à sa demande et sens un frisson m’envahir quand sa langue caresse mon palais tout en sentant ses mains caresser mon dos et mes fesses. Il m’entraine ver la salle servant de vestiaire et de douche et me demande s’il peut me regarder me changer. Je sens aussitôt mes joues en feu et n’arrive pas à répondre. Sentant ma gêne, il ne cherche pas à me convaincre et part sans rien dire. Je me mets au travail jusqu’à ce qu’il m’appelle car il estime que j’en ai fait assez vu l’heure. Il me dit qu’il me prépare un thé pendant que je me douche et ajoute que si je veux venir prendre ce thé en sous-vêtements il en profitera. Je rougis à nouveau et m’empresse de filer me doucher, certaine qu’il me laissera tranquille. Je me prélasse sous l’eau chaude et me prend à rêver à ses caresses. Après m’être séchée, j’ose l’impensable pour moi : je le rejoins en jean et en soutien-gorge, en laissant mon tee-shirt. Il sourit en me voyant et vient aussitôt m’embrasser en me caressant le dos ; un frisson de plaisir me parcourt. Pendant que nous prenons notre thé, ses mains caressent mes jambes et il me dit combien il regrette la présence de mon jean. Juste après, il m’allonge sur le banc, ma tête sur ses genoux et me caresse le ventre puis, bientôt, la poitrine en s’attardant dans le décolleté du soutif. Un doigt pénètre un instant dans le soutien-gorge sans insister. Je me sens bien et rassurée sur le respect qu’il a de mes inhibitions. Le soir, dans mon lit, je ne peux m’empêcher de me caresser les seins en repensant à ses mains sur moi…
Quand le samedi arrive, nous nous arrivons simultanément sur le chantier. Il me propose soit d’attendre qu’il se change soit de me changer en même temps que lui. Je franchis le pas et me déshabille en sa présence Après que nous soyions en tenue de travail, il m’embrasse et me dit qu’il a hâte de me retrouver en petite tenue au moment du thé. Ce moment arrive vite ; fourbue par le travail, je pars me doucher et reviens vers lui en n’ayant passé que ma culotte et mon soutien-gorge comme il en a exprimé le désir. Il m’enlace aussitôt et m’embrasse en me caressant le dos puis les fesses, sa main ayant allègrement franchi la barrière de la culotte. Je frissonne de plaisir et rougis de gêne. Il me lâche et nous nous asseyons devant notre thé. Tout en le prenant et en discutant, une de ses mains me caresse les cuisses que j’écarte sans même en prendre conscience ; je m’en rends compte quand un doigt sur la culotte suit la ligne de mon sexe. Je rougis instantanément… Il le voit et rit puis il se penche vers moi et m’embrasse tout en continuant ses caresses sur ma culotte. Quand il se redresse, je lui souris tant je suis bien. Ses mains s’emparent de l’agrafe de mon soutien-gorge et il me demande si je suis prête. Je ne réponds pas mais ferme les yeux en signe d’assentiment. Les baisers intenses se succèdent pendant que ses mains parcourent mon corps. Le plaisir m’envahit et ma culotte tombe sans que je me souvienne qu’il me l’ait enlevée. Mon esprit s’embrouille, mon corps explose de plaisir et l’orgasme m’emporte vers des contrées inconnues. Je perds toute notion de temps, d’espace, de lieu… Lorsque j’atterris enfin, je suis nue dans ses bras, il m’embrasse le front, les joues et le cou et me caresse les seins tandis qu’il est toujours habillé. Je le regarde ne sachant que faire. Il me demande si j’aime ce qui m’arrive. Je lui souris et me blottis dans ses bras. Il m’entraîne vers la salle vestiaire et me dit de m’habiller. Je le fais sans cesser de sourire tellement je me sens bien. Au moment d’un dernier baiser, il me dit de bien réfléchir car si je me laisse de nouveau déshabiller, il me fera l’amour. Dès cet instant, je sais que je me donnerai à lui.
Dès le mercredi suivant, il m’a fait l’amour et il n’y eut plus de jour de rencontre sans que nous jouissions l’un de l’autre. Ce stage m’a tout appris et de mon métier et de mon corps.
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Commentaires du récit : Premier emploi délurant

Le 15/11/2023 - 19:09 par Bigben0308
Mmmmh vraiment très excitant j engagerons bien sous ce contexte

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