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Un odieux chantage

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Lue : 4699 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/12/2019

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Je me présente, je m’appelle Audrey, trente huit ans, mariée depuis neuf ans avec Luc, un homme extraordinaire, que j’aime plus que tout. Un seul défaut, il est accro aux jeux, le poker surtout. Aussi passe-t-il le plus clair de son temps dans les casinos, à jouer des nuits entières.
Ces copains, qui ont toujours vanté ma beauté, profitent de son absence, pour me rendre visite, espérant une aventure d’un soir. Bien évidemment, je l’ai repousse gentiment, leur faisant comprendre qu’ils perdent leur temps, que je suis une femme fidèle.
Depuis quelques temps, je sens Luc soucieux. Il mange peu, parle peu. Même sexuellement, il n’est plus, malgré mes efforts, l’amant que j’ai connu. Quand je lui demande s’il a des soucis, il trouve toujours des excuses.

Pendant que Luc était à la douche, je reçois un appel pour le moins curieux, incompréhensible. Pensant à une erreur, je raccroche au nez de mon interlocuteur. Ca remet ça une minute plus tard. Cette fois, je prends l’appel.
Un inconnu me dit qu’il aimerait bien me rencontrer, pour une affaire urgente, en toute discrétion. Personne ne doit être au courant, pas même mon mari. Surprise, mais curieuse, j’accepte le rendez-vous, qu’il me donne sous le parking désaffecté d’une grande surface. Que peut me vouloir cet inconnu.
Au bout de cinq minutes, une limousine s’arrête à ma hauteur. Un chauffeur en descend, m’ouvre la portière arrière, et me fait signe de rentrer. Je me retrouve face à face, avec un homme d’une soixantaine d’années, pas très beau, le ventre légèrement bedonnant.

-Bonsoir, me dit-il sèchement…Rudy.
-Bonsoir…vous vouliez me voir ? C’est pour quoi.

Il m’explique qu’il y a six mois, mon mari a perdu une forte somme d’argent, et qu’il refuse de payer, malgré l’échéancier qu’on lui a accordé. Il ajoute qu’il est recherché par la maffia, et que son intérêt serait de tenir ses engagements.
Je lui demande ce qu’il attend de moi, et là il me fait une proposition insensée.
Honorer les traites que mon mari a signées, par autant de nuit passées avec lui.
Je me retourne, lui envoie une cinglante gifle, et quitte le véhicule.
Arrivée chez moi, je décide d’en parler à mon époux.
Il m’explique qu’effectivement, il a perdu une importante somme d’argent, mais de ne pas m’inquiéter, qu’il allait se refaire.

Toujours est-il, qu’au téléphone, les menaces sont de plus en plus fréquentes. Jusqu’au jour, ou mon mari, rentre de sa partie, le visage en sang. Il me dit que des mecs l’ont roué de coups, à la sortie du casino.
Porter plainte ne servirait à rien. Je décide de contacter l’inconnu à la limousine.
Le rendez-vous est pris à dix huit heures, sous le même parking.
Le chauffeur ouvre la porte arrière, me demande de m’installer à l’arrière, ou m’attend toujours le même homme, toujours aussi laid.

-Vôtre mari fait le sourd, me dit-il. C’est pour ça que je me tourne une dernière fois vers vous, avant que ça aille trop loin. Vous êtes belle, avec un corps superbe. En quelques nuits, vous pouvez éponger sa dette. Qu’en pensez-vous ?
-Je pense que vous êtes un goujat, mais me laissez-vous le choix.
-Non, si ce n’est aggravé la situation en refusant.

Je décide de prendre sur moi, et de me soumettre à ce vieux porc.
L’inconnu me demande d’ouvrir le haut de ma robe, et de me caresser les seins. Devant le regard menaçant de ce pervers, j’obéis. Je fais glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules, fais passer mes seins par-dessus les balconnets.

-Ouah, qu’ils sont beaux…allez-y, titiller vos bouts…ouais, comme ça, c’est bien. Maintenant, faite glisser vôtre robe, je veux vous voir toute nue.
-Je vous en supplie, ne m’obligez pas à faire ça.
-Fred, démarre la voiture, on va déposer Madame.
-Non…non, d’accord, d’accord…

Je fais glisser la fermeture éclair, et fait tomber ma robe, sur le plancher. D’un geste, il me fait signe de continuer. Avec réticence, j’ôte ma culotte, mon chemisier, et mon soutien gorge. Je me retrouve entièrement nue devant ce remède contre l’amour. Il pousse le vice jusqu’à me demander de me caresser.
Je glisse une main entre mes cuisses, et caresse ma chatte. Ce vieux pervers a sorti sa queue, et se branle lentement. Il est ma foi, plutôt bien monté.
Malgré la situation grotesque, je ressens une agréable chaleur au creux de mon ventre, mais n’en laisse rien paraitre. Petit à petit, une légère humidité envahie ma chatte. Je me surprends même, à exciter mon clitoris. Pourtant, la situation est loin d’être excitante.

-Ah…gémit l’inconnu, vas-y toi, caresses moi la queue.

Même si c’est répugnant, je saisis la bite en érection, fait de léger va et vient, de bas en haut. C’est vrai qu’il est bien monté, c’est à peine si ma main en fait le tour. C’est même dommage, une si grosse bite, sur un corps aussi repoussant. C’est mon mari qui aurait du hériter d’une queue pareille. Soudain, L’homme profère des mots crus, puis se cambre sur l’appuie tête. Je reçois son sperme dans la main.
Illico, il me demande de lécher ma main. Je fais mine de la porter à ma bouche, puis m’essuie sur sa veste. Il me saisit par les cheveux, me colle contre le siège.

-Tu vas me le payer…salope. Fred, ramène Madame chez elle.

Je profite du trajet pour me rhabiller, et me repoudrer le nez. Je sors du véhicule en claquant la porte, un sourire aux lèvres.
Quinze jours après, le téléphone reprend ses cadences infernales. A moment donné, il faut bien répondre. Puis il ne faut pas fuir la réalité, il y a une dette à honoré, et il faudra l’assumer. Je décroche, je reconnais la voix de l’inconnu.

Le rendez-vous est au même endroit.
L’homme est vicieux, sur de lui. Il m’a demandé de venir en petite jupette, et un petit haut, sans rien dessous. Il veut aussi que ma chatte soit rasée.
C’est son chauffeur qui s’assure si les conditions sont bien remplis. Au passage, il glisse un doigt dans ma chatte. Bizarrement, il me demande de m’installer à l’avant de la voiture, ou m’attend mon maitre chanteur. Il me demande de remonter ma jupe sur mes cuisses, et d’écarter les jambes. Il exige que je me mette à quatre pattes, face à la vitre. Il glisse une main entre mes cuisses, caresse ma chatte, excite le clitoris avec son pouce. Il rentre un doigt, puis deux. Il commence à me branler, puis s’arrête net.

-T’aimes ça hein…salope.
-Toutes les femmes aiment ça…
-Et ben vas-y, bouge ton cul…branles toi sur mes doigts…

Je fais des va et vient sur ses doigts qui me fouillent, me détends de plus en plus, comme si cette situation commençait à m’exciter. L’inconnu s’aperçoit que j’ai envie de participer, prend plaisir à m’entendre gémir.

-C'est bon ça, hein…salope
-Oh oui, j’aime qu’on caresse ma petite chatte.

Il enfonce son pouce dans mon cul quand j’atteins l’orgasme dans un cri étouffé. Comme si je ne voulais pas qu’il croit que je prends du plaisir.
Mais ce qu’il prépare est horrible, digne des plus grands pervers.
Ce salaud enfile un préservatif sur le levier de vitesse, et me demande de m’y empaler dessus. La situation, si elle est grotesque, n’en est pas moins excitante.
Je le regarde droit dans les yeux, en enjambant la console centrale. Mine de rien, je suis en train de réveiller la salope qui est en moi. Je prends plaisir à frotter ma chatte sur cette boule de cuir, qui ouvre mais lèvres intimes. Puis je m’y empale dessus, aidée en cela par l’abondante mouille de ma chatte.

-Allez, vas-y…baise toi maintenant. Ce doit être meilleur que la modeste queue de ton mari, n’est-ce pas.
-J’aimerais vous voir bruler en enfer, sale pervers…vous l’avez vu la queue de mon mari…elle est normale.

Je monte et descend sur l’énorme boule qui sert de bite. L’inconnu glisse une main sous le petit haut, caresse mes seins, tandis que des doigts excitent mon clitoris. La boule provoque une agréable sensation qui m’emmène jusqu’à l’orgasme. Toujours pour les mêmes raisons, je n’extériorise pas mon plaisir quand je jouis. Il serait trop fier de lui.
Mais ce vieux pervers en veut plus.
Il me demande de me faire prendre par le cul.

-Mais vous êtes fou…hors de question, mettez la dans le vôtre de cul.
-Pensez à vôtre mari Madame, sa vie est entre vos fesses.

Il a raison. Mais cette boule ne rentrera jamais dans mon petit trou. Il insiste, et à force de persévérance, je place ma rosette au dessus du levier. Je descends lentement, prenant soins de ne pas me déchirer. Petit à petit, le petit orifice se dilate, et absorbe la boule. Je n’ai jamais pratiqué la sodomie, mon mari ne me l’a jamais proposé, mais je ne pensais pas, que pour ma première, je me ferai enculer par un levier de vitesse.
Ce vieux porc éclate de rire de me voir onduler sur ce phallus improvisé.

-Salaud, murmure-je, enfoiré…vous prenez plaisir à me voir me soumettre à vos caprices. J’espère qu’un jour, vous le paierez…sale sadique.
-Vous pouvez crier madame, personne ne vous entendra. Maintenant, vous allez commencer par me sucer, puis je vous mettrais un bon coup de queue, avec une vraie queue. Il faut bien que je prenne du plaisir moi aussi.

Contre ma volonté, je me penche sur lui. Je prends son calibre en bouche, et commence à le sucer. J’ai l’impression qu’il grossit dans ma bouche. C’est lui qui, d’une main, guide le rythme de la fellation. Soudain, dans un dernier râle, il éjacule par jets puissant, je sens le sperme s’agglutiner au fond de ma gorge. Maintenu par sa main ferme, je ne peux me libérer, et suis obligée d’avaler son jus, sous peine de m’étouffer. L’enfoiré, il vide ses grosses couilles dans ma bouche. Puis tout s’accélère. A peine relevée, qu’il me prend par les hanches, et m’oblige à m’assoir sur sa bite. Prise par le désir, c’est moi-même qui envoie des coups de reins sur cette queue qui me donne tant de plaisir. C’est dans cette position que j’atteins mon énième orgasme. Mais cette fois, je l’exprime en criant de plaisir. Je lis sa satisfaction sur son visage de vainqueur. Il me caresse le visage, puis demande au chauffeur, de me ramener chez moi. Il dit qu’il me contactera bientôt.

La dernière échéance arrive. C’est le dernier rendez-vous. Cette fois, il a lieu dans un appartement. L’immeuble est situé dans un quartier chic de Paris. L’ascenseur nous conduit au cinquième étage. Pendant le trajet, le chauffeur glisse une main vicieuse entre mes cuisses. N’ayant pas de culotte, il peut facilement mettre ses doigts dans ma petite chatte. Je monte les cinq étages, en me faisant branler.
J’arrive dans une vaste chambre, assez bien meublée.
Le gros lard, allongé sur le lit, entièrement nu, m’invite à le rejoindre. Je me déshabille, et rejoint mon maitre chanteur. Il me caresse de partout, mes seins, mon ventre, ma chatte, légèrement humide, suite à la vicieuse incursion des doigts du chauffeur. Il m’oblige aussi à le branler, prendre son énorme queue en bouche, pour le sucer. Puis il me demande de monter sur lui, m’empaler sur sa bite en érection. C’est la deuxième fois que je me fais baiser par cette laideur. Par contre, j’avoue qu’il a un bon coup de queue, et je ne tarde pas à prendre du plaisir. Il me prend par le cou, m’oblige à me coucher sur lui, mes seins frottant contre son torse poilu. Soudain, je sens un objet dur entre mes fesses. C’est le chauffeur qui s’est installé derrière moi. Je sens son gland décalotté, contre mon petit trou. Il l’alaise avec deux doigts, et le pénètre. Rien à voir avec le levier de vitesse. Je me fais prendre par tous les trous, pour éponger une dette, pour laquelle je ne suis pas concernée. Ces salauds vident leurs couilles dans mes entrailles.
Au petit matin, je gis sur le lit, entièrement nue. Le chauffeur me propose de prendre une douche, et me ramène chez moi.

Mon mari ne sait pas comment la dette a été épongée, que j’ai été obligée de me prostituer pour ça. Mais ça ne l’empêche pas de continuer à jouer. Il ne me regarde même plus, je suis devenue une étrangère pour lui.
Un jour, ou j’étais en manque de sexe, je fais l’impensable. Je contacte Rudy, mon maitre chanteur. Ce coup de fil à changer ma vie sexuelle.
Depuis, et même si la dette est réglée, je le rejoins souvent dans sa villa. Je
m’offre à lui sans retenue, malgré sa laideur repoussante. Mais cette laideur est compensée par ses performances dantesques au lit. Quel amant. Je ne peux plus m’en passer. Je passe des weekends entiers à me faire baiser, enculé, à tailler des pipes. Je suis devenu sa maitresse, même si quelques fois, il demande à son chauffeur de nous rejoindre, pour de torrides double pénétrations.
Après me l’être bien fait mettre, il m’emmène dans son casino. Nous nous installons dans la salle de surveillance, bondée d’ordinateurs.
Là, empalée sur sa bite, je vois mon mari jeter son argent sur le tapis vert. Quand il a tout perdu, le croupier l’alimente en jetons.
En fait, sans le vouloir, je lui sers de garantie.
Il ne se doute pas que sa femme sert de caution.
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Commentaires du récit : Un odieux chantage

Le 28/09/2021 - 19:50 par Franck 34480
Vous êtes une très belle plume qui exprime à mon sens du vécu. Bravo 😁

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