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Prise sous la tente.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 16/06/2023

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C’est avec un réel plaisir que nous accueillons Sylvain, le meilleur pote de mon mari. Il était son témoin au mariage. Nous étions tous les trois à l’orée de nos trente cinq ans. Sylvain était très séduisant, et j’avoue à une époque, avoir flashé sur lui.
Finalement, j’avais opté pour Rémi, beaucoup plus stable professionnellement.
C’est Rémi qui est allé le chercher à la gare, et j’attends leur retour avec impatience. En attendant, je prépare l’apéro, et dresse la table.
Les retrouvailles son chaleureuses, faites d’embrassades, de « Comment ça va ». Les formules habituelles quoi.
A l’apéritif, on se remémore nous souvenirs, dont certains portent à craindre. Comme par exemple cette anecdote, ou Sylvain était passé me voir, avant de rejoindre Rémi qui enterrait a vie de garçon. Ce soir là, il avait insisté pour m’embrasser, disant que ce serait le dernier baiser. J’avais accepté, et ce baiser fut sulfureux, interminable.
Après le repas bien arrosé, Sylvain demanda d’aller se coucher, las du voyage.
- Tu lui montreras sa chambre, chérie, me dit Rémi.
- Aller, je te suis Estelle, dit Sylvain.
En montant à l’étage, je sentais las mains de Sylvain sur mes fesse. Je le repoussais violemment, lui faisait remarquer que j’étais mariée, de ne pas jouer avec ça.
Il s’excusa, me dit que son seul regret, c’est de n’avoir jamais pu coucher avec moi. Pour se faire pardonner, il me donna un tendre baiser sur la joue.
Malgré moi, je le rejoignais dans son fantasme, et j’acceptais ce baiser.
Au petit déjeuner, Rémi demanda ce qu’on faisait.
- Je pense qu’il faut laisser l’initiative à Estelle, dit Sylvain.
Je proposais une randonnée de deux jours en forêt. Ce que déteste Rémi, mais par amour pour moi, il accepta.
Nous préparons tout le nécessaires pour faire du camping sauvage. Petite tente, nourritures, boissons, rechange, le tout fourré dans des sacs à dos.
Sept heures du matin, et nous voila partis. Je marche en tête, Rémi et Sylvain me suivent. Je me souvient, étant plus jeune, avoir fait cet itinéraire, faites de torrents, de ravins, de dangers aussi. Au bout de deux heures, nous faisons une pause repas.
Rémi se mit à faire des allusions coquines sur le sexe, jusqu’à demander à Sylvain, s’il n’aimerais pas se choper sa femme. J’essayais tant mien que mal de le recadrer, mais il insistait.
- Avoue Sylvain, elle est belle, attirante, ne me dis pas que tu n’y a jamais pensé.
Je sentais Sylvain gêné par la tournure de la discussion, et me mettait à sa place.
Je savais pertinemment que si j’acceptais une relation avec lui, il n’hésiterait pas une seconde, étant follement amoureux de moi.
Je savais en plus, que mon mari voulait me partager, mais pas avec n’importe qui... pensait-il à Sylvain ?
Comme qu’il en soit, je n’étais pas prête pour ça, et ne le serait certainement jamais.
Pour couper court, et lever le mal être qui s’installait, je proposait de repartir.
Rémi parti devant, moi derrière, et Sylvain fermait la marche.
J’imaginais l’envie qu’il devait avoir de caresser mes fesses misent en valeur par mon short de randonné. Et pourtant, j’évitais tout déhanchement pour ne pas l’exciter.
Il n’hésitait pas à vanter ma beauté, quand Rémi allait chercher l’eau au ruisseau, il me disait que j’avais un corps sublime, fait pour l’amour, et qu’il était dommage qu’un seul homme en profite. J’avoue que quelque part, il n’avait pas tout à fait tord. Rémi ne m’apportait pas sexuellement, ce qu’un corps comme le mien prétendait recevoir.
Mais n’en dis mots à Sylvain, pour ne lui laisser entrevoir, une quelconque possibilité, de m’avoir dans son lit.
Vers vingt heures, les hommes plantaient la tente, tandis que je préparai le repas. Nous étions dans un coin de clairière, ou faire un petit feu ne risquait rien.
C’est Sylvain qui s’occupait de l’allumer, pendant que Rémi servait l’apéro.
Pendant le repas, je remarquais le regard de Sylvain se poser régulièrement sur moi.
D’autant que je devais être très attirante avec les flammes qui donnaient l’impression de lécher mon sublime corps. Seul Rémi ne s’en apercevait pas.
Je repensais à la réflexion de Sylvain, disant qu’il était dommage que mon corps n’appartienne qu’à une seule personne. Puis revint à la réalité.
- Tu veux ton somnifère, poussin ? Demandai-je à mon mari.
- A bon, tu prends des somnifères toi ? Demande Sylvain.
- Oui...sauf quand je dois baiser ma femme, hein chérie ?
- Ce qui se fait rare, ajoutais-je en souriant.
Sylvain ne dit rien, certainement surpris par les propos de l’échange.
Avant d’aller se coucher, les deux potes vont soulager un besoin urgent. Ils sont à quelques encablures de moi, et je les entends plaisanter sur le sexe.
- Putain, dit Rémi, tu as une sacrée bite...qu’est-ce ce doit être quand tu bandes.
J’imagine la comparaison, et la réponse qui suit m’excite.
- Ta femme te le diras quand elle la pendra dans sa bouche.
- C’est ça, ouais...tu peux toujours courir...tu la connais pas…
Je ne peux qu’avoir un sourire devant l’assurance justifiée de mon mari, en entendant Sylvain se vantait, même si je le trouve très beau gosse..
Après cette pause pipi, Rémi, pris par la fatigue après cette rude journée, alla sous la tente. De peur que ses ronflements ne dérangent, il prit l’extrémité du couchage. Je n’avais d’autre choix que de me mettre au milieux. Sylvain me regarda, gêné, et se proposa pour aller coucher à la belle étoile. Je lui dis que c’était hors de question, que pour une nuit, on se serrerait.
J’éteignais quand même la petite lampe à gaz, pour enfiler ma nuisette à l’abri de son regard. Quand Sylvain se coucha, je sentis son sexe contre mes fesses, et pourtant, il n’était pas encore rentré dans le duvet. Il devait être sacrément monté.
Je pus m’en rendre compte quand dans la nuit, pris par la fraîcheur, il décida d’entrer dans le duvet. Je ne me rendis pas trop compte, étant à moitié endormi, mais pus m’apercevoir qu’il était entièrement nu.
Sylvain et moi nous somme levés les premiers, laissant Rémi dormir. Nous décidons d’aller nous rafraîchir à la rivière toute proche.
C’est une fois bien réveillée, que quelques bribes de la nuit me viennent à l’esprit.
Je ressassais cette nuit, pour être sûre de ne pas avoir rêvé.
Mais non, je n’avais pas rêvé, et je devais savoir.
- Dis-moi Sylvain, elle faisait quoi ta queue dans ma chatte cette nuit.
- Elle te baisait ma chérie.
- Quoi...et ta queue dans mon petit trou alors…
- Elle te sodomisait…
- Et dans ma bouche...tu faisais quoi ?
- Je me vidais les couilles…
- Enfoiré...tu n’es qu’un salaud.
- Pourtant, tu te régalais, tu gémissais de plaisir...en plus tu as tout avalé. Tu voulais que je reste toute la nuit en toi quand je me suis retiré.
Je pris une seconde rincée d’eau fraîche pour être bien sûre de ne pas rêvé. Pourtant, je me souviens avoir pris énormément de plaisir, sans savoir qui me le donnait.
Je demandais expressément toute discrétion à Sylvain, que rien ne devait sortir de cette nuit. Il me le jura, tout en me donnant un tendre baiser sur les lèvres.
Nous levions le camp, et après avoir remis les lieux en états, rentrions à la maison.
Il était vingt heures. Nous étions épuisés, mais heureux d’avoir passé la journée ensemble. Surtout Sylvain qui a pu, et su profiter de mes charmes.
Le matériel à peine rangé, que Rémi propose d’aller se doucher en premier.
- Vous aurez tout le loisir de vous doucher ensemble, ironise-t-il.
Pourquoi ce ton, se serait-il aperçu de quelque chose, et n’aurait rien dit, pour justement assouvir son fantasme. Impossible, il dormait comme loir.
- Chiche, dit Sylvain sans se démonter.
- Ben...si Estelle est d’accord, pourquoi pas.
Je coupais court à cette discussion indécente, et leur dis de laisser leur habits dans la corbeille de linge sale, que j’irais faire une machine. Alors que je me déshabillais à la buanderie, je remarquais dans le vieux miroir, la présence de Sylvain.
Avec un sourire coquin, je me mis entièrement nue, lui montrais ce corps qu’il avait baisé sous la tente, sans jamais le voir.
Je retournais au salon enveloppée dans un peignoir, et attendais qua la salle de bains soit libre. Je pris un bon bain...seule.
Après un excellent repas de remise en forme, Remi et Sylvain passèrent au salon, pendant que je préparais les boissons. Je préparais également un verre d’eau à mon mari, pour qu’il puisse prendre son somnifère.
Vers vingt trois heures, Rémi commença à cligner des yeux, et monta se coucher, me
laissant seule avec Sylvain. Nous étions en peignoir tout les deux.
Je me levais, m’apercevant que nos verres étaient vide.
Nous reparlions de cette nuit, ou il m’a prise à mon insu. Je lui dis que j’aurais aimé être éveillée, car plus j’y pense, plus j’imagine sa grosse bite me pénétrer dans tous les trous, et me donner énormément de plaisir.
Puis, d’un geste calme, Sylvain ouvrit largement son peignoir. Il était nu dessous.
Je pouvais voir en réalité, le monstrueux calibre qui m’avait « violée» cette nuit.
Quel sexe !! Quelle femme pourrait résister à l’appel du pêché en voyant une queue pareille. Je posais mon verre, ôtais moi aussi mon peignoir, et me présentais à lui, mon superbe corps entièrement nue. Je me mis à genoux, et pris en bouche l’objet de tous mes désirs. Après une fellation de cinq bonne minute, jugeant le calibre prêt, je m’y empalais dessus dans un souffle de plaisir. Grâce à l’efficacité du somnifère, nous passions une nuit torride à baiser. Pour mon plus grand plaisir, et en pleine lucidité, Sylvain repris point par point, tous ce qu’il avait fait cette nuit.
Il a baisait ma chatte, défonçait mon petit trous, vider ses couilles dans ma bouche, j’avalais son sperme. Tout les interdis que je ne n’offre jamais à mon mari. Quant à moi, je ne compte pas les orgasmes que j’ai eu, mais ils furent nombreux.
J’aurai voulu passer toute la nuit dans ses bras, garder sa queue bien au chaud dans ma chatte, mai je devais rejoindre Rémi, pour être près de lui quand il se réveille.
Au petit déjeuner, Rémi proposa à Sylvain de rester quelques jours, s’il le souhaitait, qu’il était le bienvenu, et chez lui ici.
Il me dit aussi d’augmenter sa dose de somnifères, qu’il avait mal dormi cette nuit.
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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Prise sous la tente.

Le 21/07/2023 - 18:57 par Balista1
Candaule quand tu nous tiens
Le 16/06/2023 - 15:55 par OlgaT
C'est au fond ce que voulait le mari
Le 16/06/2023 - 11:59 par Sexty53
Jolie histoire et heureux copain

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