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Sexe avec Annabelle partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/06/2023

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SEXE AVEC ANNABELLE
partie 2
Pour me faire bien comprendre son état d'esprit, au cas où j'aurais douté, elle a soulevé sa robe, courte, me dévoilant ce qu'il y avait dessous, ses dessous et son absence de dessous. Ca valait la peine, comme toujours avec elle.
Mais il y avait aussi une énorme surprise.
Si son sexe était nu, au sens où il n'était pas enveloppé par une culotte, il ne l'était pas totalement. J'ai bien vu la fente ouverte dans sa chair, dont débordaient deux lèvres, mais elle était gainée, cernée par du cuir. J'ai été un rien décontenancé. J'ai mieux compris, car le tissu est remonté un peu plus, puis encore un peu plus. En voyant le lisse du cuir, puis un bout de plastique blanc.
Ramenée plus haut, la robe a libéré une queue de plastique qu'elle avait collé à son ventre, et qui a pris un mouvement descendant pour se stabiliser à mi-chemin. Il s'agissait d'une représentation postiche d'un membre viril masculin de bonnes dimensions. Elle s'était dotée d'une queue artificielle, accrochée à son ventre par un socle de cuir qui prenait tout son bas-ventre, fixé par une série de lanières qui se rejoignaient dans son dos et sur ses fesses, laissant cette partie à nu. Traversée par les dites lanières.
--Ca te plait?, elle m'a demandé.
Pour comprendre pourquoi elle avait ce harnachement, qui m'a effectivement remué, il falalit sans doute revenir en arrière.
Il y avait des filles pour qui le sexe étaient une corvée, et qui n'en tiraient, pour des raisons très diverses, aucun plaisir. Il y avait aussi celles pour qui ca se limitait à une pratique ou deux, qui éprouvaient du plaisir, mais en avaient honte, elles avaient été conditionnées, par leurs parents, la société, et pour qui la notion de propre, de sale, de moralité, d'immoralité était importante, et puis il y avait celles qui étaient libres, qui avaient été élevées dans la liberté, qui avaient compris très tôt que le sexe c'était du plaisir, du plaisir à l'infini avec une multiplicité de possibilités, qui aimaient le sexe, y pensaient, aimaient partir sur des choses autres que le plus banal, étaient créatives...
Comme Annabelle.
Elle aimait qu'on parle sexe, qu'on échange nos envies, nos désirs, nos fantasmes.
Et souvent l'autre mettait tout en œuvre pour les réaliser. Pas forcément dans l'immédiat, d'ailleurs. Le délai faisait que souvent on oubliait, et au final, c'était une bonne surprise.
J'avais toujours fait des rêves érotiques. Ceux de l'adolescence et du début de l'âge adulte m'avaient laissé penser que ceux-ci étaient le résultat de la frustration, mais même lorsque j'avais commencé à fréquenter des femmes, ils avaient persisté,même si je sentais bien qu'ils n'étaient plus de la même nature. Sans femme, ils me permettaient de relâcher une tension sexuelle en imaginant ce qui pourrait se passer, avec une créature féminine dans ma vie, c'était l'occasion de dessiner ce qui pourrait se passer entre nous, ou ne se produirait jamais, ou de constuire des rêves avec des femmes croisées, dont parfois l'apparition dans un rêve, me permettait de comprendre qu'elle m'avait marqué. C'étaient des sortes de fantasmes, souvent très crus, des possibilités auxquelles je n'avais pas pensé, soufflées par mon inconscient.
Et donc, alors que cela faisait plusieurs mois qu'on était ensemble, j'ai eu ce rêve. Annabelle me rejoignant chez moi, j'étais au lit, Elle avait une belle robe, une robe de soirée. Elle me disait :
--J'ai envie de baiser. Et toi ?
Sa robe avait une fermeture-éclair sur le côté. Elle la faisait glisser, et elle se retrouvait nue. Un corps impeccable, un corps qui attirait le désir. Elle ne portait rien dessous. Par contre, elle avait un magnfique gode-ceinture, une queue de plastique noire, une bite luisante, une représentation d'une queue, avec une tige longue, un gland, et une paire de couilles, l'ensemble étant figuratif, mais évoquant vraiment une queue. Queue qui reposait contre son ventre, de plastique semblait-il, mais qu'il suffisait de regarder trois secondes pour se dire qu'elle avait VRAIMENT une queue. C'était extraordinairement excitant de la voir ainsi. Ce qui l'était aussi, c'était d'imaginer les secondes qui allaient suivre.
--Je vais te baiser comme un homme baise une femme. Tu vas avoir beaucoup de plaisir. Tu sais comme moi que, même s'ils l'ignorent et s'ils n'en profitent jamais, la partie la plus sensible de leur corps, pour les hommes, c'est leur zone anale, qui peut leur donner un plaisir qu'ils n'imaginent même pas.
Dans un rêve, il n'y a pas forcément le contour de la réalité. Des éléments flous. Il n'y avait pas eu un intermédiaire, comme c'était souvent le cas entre nous, de baisers, de caresses. La queue, sa queue, était arrivée en moi, m'avait pénétré, et procuré un plaisir intense. C'était étonnant que je puisse avoir des sensations, alors même que je n'avais jamais été pénétré par qui que ce soit avant. En même temps, ce n'était pas étonnant. Comme un logiciel, le cerveau était capable de construire quelque chose à partir du quasi-néant.
Elle était au-dessus de moi, elle m'avait pénétré comme j'aurais pu la pénétrer, et elle bougeait en moi. La queue allait et venait, et j'éprouvais du plaisir, un plaisir intense. Ma queue était énorme, et je sentais bien que j'allais jouir. Ce qui me troublait, ce n'était pas tant qu'elle me sodomise, mais qu'elle ait pu inverser les rôles, qu'elle soit au-dessus de moi, et qu'elle m'embrasse, en me dévorant la bouche.
Comme souvent quand je faisais des rêves érotiques, je commençais à jouir dans mon sommeil, et cette jouissance se prolongeait quand j'étais réveillé.
Généralement, je me souvenais toujours de mes rêves érotiques au réveil, et ils trainaient en moi. J'avais été troublé par l'inversion des rôles, et le plaisir de cette pénétration. Et j'en avais bien évidemment parlé à Annabelle, qui avait souri et m'avait dit :
--Le plus grand plaisir qu'un homme peut avoir, ce n'est pas celui que lui donne sa queue, mais bien celui que lui procure son cul. Certains n'en sont jamais conscients.
Est-ce que j'espérais matérialiser la scène de mon rêve érotique ? Sans doute que oui. Mais elle m'avait habitué à ce qu'il y ait un temps entre l'évocation d'un fantasme, d'un rêve, et d'une réalité.
--Viens, je lui ai proposé. On va rentrer à l'intérieur, on sera mieux.
L'immeuble où je louais était un immeuble qui avait un certain âge, mais était en parfait état. Ancienne usine de chaussures jusqu'aux années soixante, bâtisse en forme de L, elle était divisée en deux, une partie étant composée de trois appartements, une facade qui donnait sur la rue, les autres constituant la partie longue du L, avec d'autres appartements. Il y a avait eu des rénovations, le bâtiment était large et frais. Un escalier large, en bois, avec des paliers.
On s'est retrouvés dans une grande entrée, coupés du monde par une porte en acier avec une partie vitrée. J'aimais me poser dans l'escalier quand il n'y avait personne, dans l'après-midi, et me laisser imprégner par les lieux, par la silence, un silence pourtant chargé du passé de l'immeuble, être à l'écoute de la manière dont le bâtiment vivait, ses bruits, ses craquements. La porte fermée, elle est venue se coller à moi, et on s'est embrassés intensément. La bite postiche pesait contre moi, comme la mienne devait peser contre son ventre, raide du désir qu'elle m'inspirait, et que la situation démultipliait. Je suis venu prendre ses fesses à pleines mains, elles étaient dures et fermes comme toujours.
--J'avais trop envie de te voir. Je voulais te faire une surprise, elle m'a soufflé à l'oreille.
Plutôt que de la faire monter dans l'appartement, j'avais envie de rester là. Personne ne devait rentrer dans l'immédiat, c'était un risque à prendre. On avait déjà fair l'amour dans des lieux publics en prenant des risques énormes...Ici le danger était bien moindre.
On s'est embrassés très longuement, puis je me suis laissé glisser à genoux. Elle a soulevé sa robe, me laissant voir la queue de plastique accrochée à elle, mais aussi la manière dont sa fente avait évolué en quelques minutes, depuis qu'elle me l'avait présentée. Ses liquides intimes avaient humidifié ses chairs, coulant sur sa peau mais trempant aussi le cuir qui entourait sa vulve, une vulve ouverte d'excitation, laissant voir ses parois internes. Le plus spectaculaire, à chaque fois d'ailleurs, c'était la manière dont ses lèvres pouvaient prendre de l'ampleur, gonfler et s'allonger.
Elle s'est cambrée et elle a poussé un long gémissement quand ma langue est venue caresser ses parties intimes, et tourner sur elle. Elle m'avait complimenté une fois 'Personne ne me bouffe la chatte aussi bien que toi.' J'aimais qu'elle soit crue et vulgaire. J'ai frotté au point où sa chair recouvrait son clitoris, la faisant gémir, jusqu'à ce qu'il se décalotte et apparaisse. Il était à l'image de ses lèvres, long et épais.
--J'ai envie que tu viennes dedans. Ta queue à l'intérieur de moi, ça me manque.
Ca lui manquait d'autant plus qu'on ne s'était pas vus depuis une semaine et demi.
J'ai glissé jusqu'à ses lèvres, et je suis venu les pincer de ma bouche. C'était quelque chse que j'adorais faire, j'aimais m'en remplir la bouche, et avoir le goût de ses jus qui les enveloppait s'imprégner en moi.
Dans l'entrée, il y avait un grand meuble, encastré dans le mur, avec une banquette qui faisait proéminence. Elle s'est appuyée contre, se basculant en avant. D'excitation, son sexe a craché un long jet de mouille, un peu gras, qui est venu maculer son bas, au niveau du genou gauche.
J'avais une autre envie, avant de la pénétrer. Je crois que je l'ai un peu surprise. Je me suis penché sur la queue de plastique, qui reposait contre le socle de cuir et j'ai pris la queue dans ma bouche, en partie, pour ce qui était bien une fellation. Ca m'a excité terriblement, me ramenant en arrière, à une époque de mon adolescence où j'avais basculé, avec un copain, sur des relations intimes très intenses. Ca avait duré plusieurs mois avant que l'éloignement ne nous sépare. Possible qu'on soit encore ensemble sans cela.
Ce que je n'avais pas imaginé, alors que, de manière très classique, je faisais aller et venir ma bouche sur la queue de plastique, c'était qu'elle puisse elle aussi éprouver du plaisir. Elle s'est mise à gémir, à se tordre, et elle a craché plusieurs jets de liquide, des éjaculations qui se produisaient quand elle était très excitée.
--Oh, elle a gémi, je ne pensais pas que ça serait comme ça.
J'ai compris pourquoi facilement. Le gode était collé au socle, vraiment imbriqué dans le cuir. De la sorte, chaque mouvement, chaque frémissement, même le plus infime, se répercutait, même si l'ensemble n'était pas directement collé à sa fente. Les zones autour étaient ultra-sensibles. Dans un effet domino, pas étonnant donc qu'elle ait du plaisir.
--Je suis entrain de jouir, elle m'a dit.
Elle s'est tendue, a poussé une sorte de glapissement, secouée par des convulsions, et elle a éjaculé un liquide blanc qui ressemblait à du sperme, se maculant et me maculant. Ca arrivait très rarement, et uniquement quand elle était très excitée.
--C'est vraiment redoutable, ce truc...C'est une copine qui me l'a prêté...Je comprends mieux pourquoi elle m'a dit 'tu donneras du plaisir à ton partenaire, mais tu en auras aussi pas mal.' Oh c'est bon...Je ne regretterai pas ce moment, je crois.
Comme souvent lorsque j'étais avec elle, on accédait à un niveau supérieur, quelque chose qui n'aurait sans doute pas été possible s'il n'y avait pas eu entre nous une profonde complicité.
--Viens dedans, j'en peux plus...J'ai des fourmis dans la chatte...J'ai besoin d'être remplie...
Ca c'était bien quelque chose que j'adorais chez elle, et dont je ne me lassais pas. Elle mettait sur la table ses états de manière intime, confinant à la vulgarité, quand elle n'était pas clairement dedans. Ca me plaisait énormément.
Je me suis rapidement gainé d'un préservatif. J'étais très gros, signe de mon excitation. J'ai approché mon gland dilaté de ses lèvres, et j'ai glissé en elle, sentant sa gaine chaude et douce me prendre. J'ai été au fond d'elle, jusqu'à ce que mon gland tape contre son utérus.
--Ahh, tu me fais du bien...Je voudrais qu'on ait du sexe ensemble trois fois par jour...Je n'arrive pas à me rassasier.
Je me suis mis à bouger en elle, ressortant de quelques centimètres, puis revenant. Son sexe me caressait, comme ma queue la fouillait. Une sorte de donnant-donnant qui nous procurait du plaisir à l'in comme à l'autre.
--Moi aussi, je vais bien te caresser dedans...Tu vas voir...
Quelque chose est monté en moi, que j'ai voulu maitriser, et qui m'a surpris parce que je ne pensais pas en être là, je ne pensais pas non plus jouir maintenant...Il était trop tard pour contrôler le phénomène, et j'ai été emporté par un orgasme fulgurant, dans lequel elle m'a rejoint, criant quand le premier jet de semence, bien qu'enfermé dans le latex, est venu cogner contre ses parois internes.
Elle est venue m'enlaçer, le temps qu'on retrouve de l'équilibre, et des forces. Elle a descendu sa main sur ma queue.
--Tu es encore tout dur...C'est parce qu'on s'est pas vus depuis une semaine et demi, tu es en manque, ou parce que la perspective de te faire enculer t'excite ?
--A toi d'interprêter.
--Je dirais que c'est sans doute un ensemble.
Je me suis laissé glisser sur le sol de carrelage. Un peu inconfortable, mais je m'en fichais bien. Quand j'étais avec elle, on allait au-delà des basses contingences, des événements, de la matérialité...C'était un moment magique, comme je n'en avais pas toujours connu avec des partenaires...
Sans doute que j'avais envie de voir se matérialiser mon rêve érotique dans des conditions quasi identiques. Ce n'était jamais bien sûr la même chose, tout comme ce n'était jamais pareil quand on faisait l'amour, même avec des techniques identiques.
Annabelle avait son sac à ses côtés. Il y avait de tout dedans, et elle en a extrait un tube de crème. Elle a appuyé dessus pour poser une noisette de cette crème au bout de son index avant de venir l'appliquer sur ma muqueuse anale. Rien que cette caresse, c'était très bon.
--C'est pour te dilater et t'anesthésier un peu. Un peu seulement, sinon tu n'auras pas de plaisir. Mais peut-être que tu t'es déjà fait enculer, et peut-être même que tu es habitué.
Sans doute que mon absence de réponse, mais aussi mon expression ont été une réponse.
--Hé ben, mon cochon, tu m'en caches, des choses.
--Je pourrai en dire autant de toi.
On avait l'un et l'autre une part de mystère, qu'on avait sans doute voulu préserver.
On est passés de la parole à l'action, une tension et une envie s'installant en parallèle. J'avais envie de ce moment, mais je voyais bien qu'elle aussi. Elle était rentrée dans mon fantasme, et il avait pris vie pour elle.
Parce que j'avais déjà largement connu le plaisir anal ou grâce à la crème, elle a pu glisser en moi avec facilité. Je l'ai sentie me remplir. Ma queue, qui était restée dure après que j'aie joui s'est dilatée d'excitation. Je la voyais énorme, collée contre mon ventre, se gonflant encore, spasme après spasme. Elle m'a pénétrée jusqu'à la garde du gode, fichée en moi, et a fermé les yeux en poussant des soupirs.
--Il y a l'excitation de te sodomiser, et les sensations que j'ai...C'est vraiment très fort. Il ne faudra pas que ce soit un one-shot.
Comme j'en avais eu envie, proche de moi, ce qui était devenu son sexe planté dans ma chair, elle s'est penchée sur moi et elle m'a mordu les lèvres longuement, comme elle aimait le faire. En même temps, elle a amorcé un mouvement de bassin, pour faire aller et venir le pénis artificiel en moi.
On avait basculé dans une autre dimension. Le monde autour n'existait plus. Il ne restait que le plaisir, avec toute sa force et sa singularité. J'ai joui une première fois, lâchant un cri, mon sperme nous poissant en jaillissant. C'était souvent que je souillais ses vêtements. Après, faussement désolée, elle me disait: 'Mais regarde ce que tu as fait! Ma jupe et mon collant sont tout souillés. Tu devais avoir honte.'
Elle aussi, elle a joui très rapidement. 'Tout ça me rend folle.'
On a eu plusieurs orgasmes en décalé et le dernier dans une harmonie intense qui nous a laissé épuisés.
On s'est rajustés. Elle a ôté le harnachement, et l'a fourré dans une poche plastique, qui a glissé dans son sac.
--Tu peux rester un peu plus, je lui ai proposé.
--Sur un trajet finalement court, je peux. Je peux partir au milieu de la nuit. Il est en stage en ce moment.
--Allez, viens je vais te faire visiter mon appartement.
--Je vais laver la queue de plastique, elle servira peut-ête encore, elle m'a dit, en s'engageant dans l'escalier.
Je n'ai pas répondu, mais dans ma tête s'est inscrit clairement, après le diner, un second moment où elle serait de nouveau harnachée, et où le postiche serait de nouveau actif.



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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Sexe avec Annabelle partie 2

Le 10/06/2023 - 06:44 par OlgaT
Particulierement excitant!

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