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Punition pour infidèle

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Lue : 2822 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/01/2020

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Tu sais, chéri, le nouveau locataire du cinquième étage a une drôle de façon de me regarder quand nous empruntons l'ascenseur ensemble. Le hasard veut que cela soit fréquent. Je me demande même s'il ne passe pas sa vie à descendre et à monter pour rencontrer du monde et moi en particulier

Je hausse les épaules. L'hypothèse d'un type demeurant en permanence dans l'étroite cabine est saugrenue. Pourquoi n'ai-je jamais utilisé la même cabine en même temps que ce type ? Luce monte en épingle des coïncidences. Elle est belle femme, dans la plénitude de ses 34 ans. Qu'un homme la fixe devrait passer pour un hommage à sa beauté. Il m'arrive aussi de m'attarder sur un visage agréable ou sur une silhouette exceptionnelle.

Je suis lent à la détente. Prendre son temps permet de relativiser et d'apaiser les sentiments trop promts de crainte. Une semaine plus tard environ, avant de partir au travail, je pense à vérifier ma théorie : il faut laisser le temps au temps. J"interroge Luce:

- A propos, ce voisin du 5e t'inspire-t-il encore de la méfiance ? Il campe toujours dans l'ascenseur ?

La réponse de Luce correspond à mon attente :

- Oh! Je t'ai alerté pour rien. Je le rencontre moins, son intérêt pour moi a disparu. De plus il s'acclimate à l'immeuble et personne ne le critique. Il entre dans les rangs.J'ai été sotte de lui prêter des intentions louches et de t'en parler.Je suppose que c'est une réaction normale face à l'inconnu. Mais avec le temps on s'habitue et le nouveau devient banal.

L'ascenseur est vide. J'atterris au rez-de-chaussée. Je le quitte et me heurte à un nouveau. Il s'excuse d'avoir été pressé, entre. La porte se referme. Ce doit être le type du cinquième. Je noue un lacet qui s'est défait. Je remarque que l'ascenseur s'est arrêté au deuxième étage. Nos voisins de palier sont absents. Bizarre, le seul appartement encore habité c'est le mien. Et dans mon appartement il ne reste que Luce. Elle travaille à deux pas et quittera notre demeure dans dix minutes.

L'ascenseur ne quitte pas le 2e. Le jeune-homme est un sportif, il monte chez lui au 5e par l'escalier pour sculpter ses mollets ? ou bien il m'a vu partir et va importuner Luce? Elle ne va pas oser sortir s'il se manifeste dans le couloir. Peut-être essaie-t-il de l'intimider. Elle n'a plus osé me parler d'une pression que l'individu exercerait sur elle, après l'accueil froid que j'avais réservé à ses premières déclarations. Pour cesser des élucubrations stériles, je monte par l'escalier. Personne sur le palier, mes soupçons ridicules me feront arriver en retard au boulot. Mais... à qui Luce parle-t-elle?

Non, elle ne chante pas. Je tends l'oreille

- Rien à craindre. Il doit être loin. Regarde toi-même par la fenêtre, on ne le voit plus. Il aime être exact. Oui, il est un peu maniaque.

Je pose une main su la poignée de la porte blindée. Je l'avais fermée; elle cède, j'entrebâille la porte tout doucement. A droite, au fond du séjour, un couple se penche à la fenêtre. Elle est devant, lui est appuyé contre elle, le bras gauche autour de la taille de ma femme. Elle ne le repousse pas, elle balance sa croupe contre la jambe gauche du gars. Comme elle s'est vite habituée à lui. Ils semblent heureux dans cette attitude partagée. Je me glisse dans l'entrée, je repousse la porte, je me dirige vers les chambres. Au milieu la chambre conjugale, à droite mon bureau, à gauche, au fond, la chambre dite d'amis, jamais occupée depuis notre aménagement. A côté une salle d'eau avec étagères sert de pièce de rangement. C'est l'endroit le plus improbable pour ...

Car je serais complètement aveugle si je ne donnais pas une signification spéciale à la situation actuelle. Ce type qui attendait mon départ au rez-de chaussée, ce type auquel Luce a ouvert la porte, ce jeune beau qui se frotte voluptueusement aux fesses de mon épouse près de la fenêtre et qui s'assure d'être seul avec ma femme, ne s'est pas trompé f'étage, a été accueilli par une personne qui l'attendait. Leur complicité est évidente, ils sont amants

Si le bonhomme représentait une mutuelle ou une entreprise, Luce m'aurait annoncé sa visite, m'aurait indiqué qu'elle prenait un congé pour le recevoir. Au contraire l'habitant du 5e est devenu un habituel. Luce le dit banal. Je n'ai pas la même appréciation. Ce que confirme les gloussements de Luce

- Oh: Non, mon amour. Pas encore. Tu vas me tuer. Nooon! Ca fait trois jours de suite. Chéri, tu me chatouilles. Encore. Et tu bandes. Quoi, tu me désires

- Comme tu peux le sentir. Dans ta main, je suis dur Si faire l'amour chaque jour tuait les femmes, il n'y aurait plus que des veufs.

- Tu oublies que je suis mariée et mon mari est encore bien vert. On dirait qu'il a senti notre relation. Depuis trois jours il est aussi amoureux que toi et il redouble d'ardeur. Ce n'est plus une fois par jour, mais plusieurs fois chaque jour. A force mes muqueuses s'irritent.


Je t'aime si fort. Tes muqueuses? Tiens elles fonctionnent parfaitement. Regarde mon index, il est trempé de ton désir. Viens, on va dans ton lit. Enlève donc ça. Pourquoi as-tu déjà mis cette culotte? J'adore tes fesses rondes, bien pleines. Mes doigts pétrissent avec joie ces muscles doux et fermes à la fois. Tu avais oublié ma venue ?

- Bien sûr que non. J'ai pris une demi-journée de rtt, rien que pour toi.

- Tu l'as dit à ton vieux ?

- Non, je ne lui dis pas tout C'est pas un vieux. Il n'a que 4 ans de plus que moi. Et pour ta gouverne, apprends qu'il est aussi bon que toi au lit.

- Oh! Dans ce cas qu'est-ce que je fous ici ? Dis que tu ne meurs pas d'envie de te faire fourrer. C'est toi qui as ouvert ta porte, oui ou non ?

- Ne sois pas si pressé. Si tu jettes mes sous-vêtements dans tous les sens, je mettrai un temps fou à les récupére. Pas si brutal, tu vas laisser des traces sur mes seins.

- Comme ça tu te souviendras de moi. Lui ne te marque pas, c'est un signe de manque d'intérêt. Tandis que moi, je veux que tu m'appartiennes, tu dois porter mes traces.

- Comme ça Jean les verra et tu ne pourras plus me baiser. Choisis. Humm. Pas de suçons, s'il te plaît. Ils arrivent enlacés sur le seuil de la chambre conjugale, y entrent.

- Henri ! Henri, fais doucement avec ta langue, pense à mes muqueuses endolories. Vache, mon clito ! Henriiiiii

- Tu me suces la queue. Un peu pour la raffermir. Ah! Coquine, tu aimes prendre mes couilles en bouche. Encore.... Allez, sur le dos, remonte tes pattes, ouvre toi avec les mains, rabats les poils de ta vulve. Attention, je te la mets. Je pousse

- Aaah... aaah... c'est bon. Je t'aime

- Mieux que Jean? Tiens, prends ça... et ça!

- Je ne vous compare pas. Je vous aime tous les deux. J'aimesa délicatesse comme j'aime ta force. Vous vous complétez.

- Et si je te demandais de choisir, de n'être plus qu'à moi ?

- Tu me perdrais. Je suis mariée pour la vie avec Jean.

- DEs mots, rien que des mots. Tu sais ma position préférée c'est le papillon. C'est sensationnel de te voir dans l'effort quand tu galope pour atteindre l'orgasme. On change.

De mon observatoire j'entends le froissement des draps, les petits gémissements des corps en mouvement. Henri encourage:

- Laisse-toi descendre lentement. Je me tiens. Baisse encore. Ca y est, tu touches mon gland; je m'enfonce, je disparais dans ton abricot. Tu mouilles à merveille, glisse , oui, remonte, redescends.

Un temps passe. Je suis parvenu à la porte de la chambre.En premier j'aperçois les piedsdu dénommé Henri, ses jambes etun peu au-dessus le joufflu agité de Luce. J'entends le floutch floutch du glissement du vagin autour du braquemart invasif, et au même rythme des montées et descentes de la croupe en chaleur j'entends le halètement de plus en plus rapide de Luce plongée dans la quête essoufflée de l'orgasme. L'homme s'étonne

- Bon Dieu, tu en as du mal aujourd'hui. Tu es coincée. Monte bien haut et redescends à fond. Prends toute la longueur de ma verge. Appuie ton clito. Attends, je te mets un doigt dans le cul. Ca va t'exciter.

Effectivement les deux mains d'homme se plaquent sur les demi-sphère. Elles tirent les muscles vers l'extérieur, dégagent la raie du cul et l'entonnoir du trou à caca. Un majeur tournicote sur le sphinter. Luce pousse un cri, puis proteste:

Non, pas ça. C'est sale.Ne me fais pas ce que je n"ai jamais permis à mon époux.

Henri éclate de rire et s'esclaffe :

- Comment, tu lui interdis la porte arrière. Ce n'est pas possible. Vous ne pratiquez pas la sodomie... Jean ne t'encule jamais. Avec moi, ça va changer. Mon doigt t'arrondit le trou du cul. Dès que tu auras joui je te prendrai le fion. Ca fera une différence entre lui et moi. Une sacrée différence, parce que tu vas aimer. Vraiment ton cul est vierge? J'y mettrai ma marque de fabrique et demain, après-demain et les autres jours tu me supplieras pour que je t'enfonce mon pieu dans le cul. Que dis-tu du travail de mon doigt. Ce n'est pas fameux?

Par respect des convictions de Luce je n'ai jamais introduit plus qu'une phalange entre ses fesses. Ce type veut être le premier à l'enculer, à lui prendre cette virginité anale. Cette fois le vase déborde et pendant que Luce se démène pour déclencher les grands frissons de l'orgasme, pendant que son amant lui fore le cul avec ses doigts, je laisse tomber mon pantalon, je me fous à poil dans le couloir. Je suis prêt, jinspire profondément, j'entre dans ma chambre, je déclare solennellement:

- Je suis le mari. A moi le privilège de lui défoncer le cul. La croupe bloque, le majeur se retire. Je saute sur le lit, j'amène mon gland au contact des plis froissés de l'anus qui m'app.rtient par le mariage. Je pousse, Luce s'effondre autour du gourdin qui la fixe à son amant. Les chairs s'ouvrent, ma verge prend possession du lieu. En dessous je sens la présence étrangère. A mon tour j'entame l'éternel va et vient. Luce gémit, Henri entre dans la danse

Luce souffle, Luce dit que ça fait mal, Luce déclare après un moment que c'est bon. Luce pleure, Luce ne comprend pas. Luce regrette d'avoir si longtemps refusé cette autre pénétration. Luce recueille des flots de sperme. Je me retire, un liquide blanc coule de l"anus vers le vagin qui se soulève. Le foutre inonde les poils pubiens de l'amant heureusement surpris.Pour lui, paraît-il c'était une première double.

Une ride barre le front de Luce revenue nue à la verticale à côté du lit. Attend-elle un compliment, la promesse d'une répétition quotidienne ou hebdomadaire de cette partie à trois. Elle me regarde par en dessous, attend. Henri n'est pas mécontent et réve de renouveler l'exploit. Sans doute le ménage à trois est-il pour lui la forme la plus aboutie de l'amour.

Quant à moi, je me sais terriblement vieux jeu quand je dis à Luce

- Choisis, lui ou moi. C'était un coup sans répétition dans cette chambre. Tu as jusqu'à ce soir pour choisir ton appartement, soit au 2e soit au 5e. Et vous Henri, faites en sorte que je ne vous trouve plus chez moi. Si Luce vous préfère recevez-la dans votre appartement.

Luce paraît indécise. Henri demande à lui parler en a parte. Je montre la plus parfaite indifférence. Ce type est gonflé, il prend la main de la femme rhabillée et l'entraîne. Luce se laisse emmener, l'air égaré. Ce n'est pas étonnant dans le pétrin où elle s'est fourrée.. Son absence dure le temps nécessaire à mon départ.: ma valise est vite faite. J'empoche mes papiers, ma cb. Lorsque je ferme la porte de l'appartement, je dépose sur le tapis essuie-pieds sa carte bancaire. Ses clefs restent à l'intérieur puisqu'elle n'a pas pris la précaution de les emporter.

Huit jours de vacances seront nécessaires pour que je retrouve un tout petit peu de sérénité. Un coup de fil avertit mon ami Pierre de la situation. Si nécessaire il prendra soin de l'épouse éplorée. Mais sera-t-elle éplorée ? Le temps passé chez son amant depuis tout à l'heure me permet d'en douter. Que font-ils au 5e ? Il lui faut trop de temps pour me choisir.
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Histoire de Veilleur

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