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Qui trop baise, devient mou

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Lue : 1968 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/03/2013

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Je suis folle de joie. L’événement que j’attendais avec impatience vient de se produire. En plein slow, Luc m’a dit,
- Cathy, veux-tu m’épouser ?

J’ai fait semblant de ne pas avoir compris et pour le bonheur de l’entendre répéter, j’ai répondu
-Quoi, qu’est-ce que tu dis ?

Mon grand cavalier s’est décollé de mon corps pour pencher son mètre quatre-vingt-quatorze sur ma petite taille et il a balbutié craignant un refus :
- Chérie, je t’aime, veux-tu m’épouser ?

Depuis des semaines il me faisait une cour assidue, mais il avait pris tout son temps pour oser se déclarer. J’avais dix-neuf ans, j’étais la dernière de mes copines à attendre une demande en mariage et si je les croyais, j’étais la dernière vierge de mon âge du canton. Lorsqu’en groupe, entre filles, on abordait le sujet de la sexualité, j’évitais de me mêler à la conversation ou de donner un avis. Il y avait toujours une malicieuse pour déclarer :
- Alors, Cathy, tu es toujours aussi sage ? Tu n’as toujours pas vu le loup ?

Je rapporte la formule la plus sympathique choisie parmi d’autres plus crues.
Les autres gloussaient, riaient de bon cœur de ma gêne bien visible. Comme j’aurais aimé leur raconter mes expériences sexuelles avec les garçons. Mais pourquoi inventer ? Le cocon familial, l’éducation reçue, les règles de bonne conduite énoncées avaient fait de moi une jeune fille pleine de retenue. Je me méfiais des garçons et deux ou trois copines si bien renseignées et si vantardes en matière de sexualité s’étaient retirées de nos réunions pour cacher une grossesse après avoir été « séduites et abandonnées ».

Si certaines se moquaient ouvertement de mon retard, elles ne montraient guère d’indulgence pour « les connes » qui s’étaient fait engrosser et ne savaient pas qui était le père du futur bébé. Cela renforçait mes préjugés et prouvait le bien fondé des conseils parfois pesants.

L’incident était vite oublié et, des conversations sur les relations entre garçons et filles, je retirais des notions assez précises d’éducation sexuelle. A la maison le sujet était tabou, se limitait à une mise en garde assortie de menaces pour le cas où je serais enceinte. Je ne pratiquais pas, mais les récits parfois très circonstanciés d’aventures de samedis ou dimanches m’instruisaient. Je savais me taire et écouter. Quand l’ « homme de ma vie » se manifesterait-il enfin ?

La cour de Luc, un ami de la famille, plus âgé que moi, plus sage que beaucoup de garçons, posé, sérieux, travailleur selon mon père, me donna des espoirs :
- Ce sera un excellent mari, prédisait ma mère.

Il nous rendait de fréquentes visites, bénéficiait de la sympathie de mes parents. Il lui arrivait de me sortir, de m’emmener au match, au cinéma, ou de me promener dans sa voiture neuve, « brillante preuve de bons revenus » disait maman. Hélas, Luc était sage, apparemment aussi réservé que moi, décidé à faire les choses en bon ordre : se marier, faire l’amour, élever des enfants, vivre de son travail et préparer sa retraite. Faute de mieux, je me languissais à ses côtés dans l’attente d’une demande en bonne et due forme.
- Alors, ça y est, tu as trouvé l’oiseau rare. Tu l’as fait ? Disait Madeleine
- Quoi donc ?
- Oh! La faux jeton, renchérissait Yvette, elle ne veut pas raconter sa première fois.
- Vraiment rien, ajoutait Pauline, rien de rien ? Ce n’est pas possible !

Je voulais les persuader de la sagesse de Luc :
- Vous savez ce n’est pas un gamin. C’est un homme, il sait se conduire, pas comme vos jeunes chiens.
- Méfie-toi de l’eau qui dort. Un homme si sage cache quelque chose. A presque vingt-huit ans il doit avoir des besoins ou il est impuissant. Excite-le, provoque-le. Tu sauras s’il est normal. S’il ne réagit pas, sauve-toi. Comment vivre avec un mari qui n’aime pas le sexe ? Tiens, je te raconte….

Or Luc vient de se décider. Je suis folle de joie. Je n’ai pas besoin de rassurer les copines. Nous avons beaucoup dansé ensemble. Une ou deux fois il s’est laissé devancer par l’invitation à danser d’autres garçons, il a marqué le coup, m’a ensuite accaparée. Grâce à quoi j’ai eu la certitude qu’il n’est pas impuissant. Il s’est montré tendre, empressé, m’a tenue fermement dans ses bras, m’a serrée amoureusement contre lui, n’a plus cessé de me regarder en souriant. J’étais heureuse, il le voyait. Lui aussi semblait heureux, bien que gêné par une réaction nouvelle. Une bosse de belle dimension déformait l’avant de son pantalon et rencontrait mon ventre. Quand de nouveau un jeune homme s’est approché, Luc s’est précipité entre lui et moi et m’a tirée sur la piste. Le slow, la proximité de mon corps, les frottements inévitables sur une piste comble, l’envie que j’avais de lui, le plaisir naturel entre un homme et une femme qui s’enlacent, le désir de Luc de me plaire et d’être aimé ont fait affluer son sang dans sa verge soudain indiscrète et lui ont délié la langue. Enfin !

Il me regarde, il attend ma réponse. Je lui fais payer ma longue attente. Il s’impatiente, craint une déception possible, l’humiliation d’un refus. J’attends les dernières notes pour accepter, je me ravise, je ruse :
- As-tu demandé ma main à mon père ? Sans son accord, je ne peux pas te répondre.

Il est sur des charbons ardents. Le oui attendu n’a pas jailli assez vite. Il me prend par la main, m’entraine en dehors de la salle en direction de sa voiture. Il ouvre la porte, se saisit d’un paquet de cigarettes, m’en offre une que je refuse, allume la sienne nerveusement et perd son calme légendaire.
- Ton père, j’en fais mon affaire. Je t’aime, toi m’aimes-tu assez pour accepter de devenir ma femme ? Ne joue pas avec mon cœur. Je pensais que tu avais compris depuis longtemps.
- Oui, je t’aime, oui je veux t’épouser. Tu aurais pu le deviner depuis aussi longtemps.
- Voici ta bague de fiançailles.

C’est un moment émouvant, unique. L’alliance en or est à la mesure de mon doigt. Une larme coule sur ma joue.

Luc jette sa cigarette, l’écrase du pied, me tend les bras et m’étreint. Je suis relativement petite pour lui, il me soulève, essuie d’une main le capot de la voiture, me pose dessus sans me lâcher, s’avance entre mes jambes pour m’embrasser. C’est notre premier baiser. Pas vraiment un baiser: nous sommes pressés, trop avides, nous nous bécotons à petits coups répétés. Notre maladresse nous énerve mais nous fait rire. Enfin nos bouches s’unissent solidement pour un long baiser de cinéma. J’en tremble, des frissons étranges me parcourent, des fourmis s’installent dans mon ventre, je suis heureuse.

Mon futur mari est tout ému lui aussi, et la bosse de son pantalon ne peut pas passer inaperçue. Il a progressé entre mes jambes mais se heurte à la carrosserie. L’étreinte se resserre, ma croupe glisse sur la tôle, mon bassin avance vers Luc, l’angle de mes cuisses croît, tend vers le grand écart, ma jupe remonte et ma culotte petit bateau de jeune fille sage vient au contact du pénis braqué à hauteur de mon entrejambe. Nous sommes unis, bouche à bouche, sexe à sexe.

Dans mon dos monte et descend de la nuque aux fesses une main large et ferme, elle va, vient mais surtout me tire vers Luc. Dans le haut de ma blouse blanche deux doigts maladroits attaquent un bouton, puis un autre. Une ouverture s’ouvre, la main se pose à plat sur mon sein gauche, l’englobe, l’emprisonne et le masse à travers mon soutien-gorge. Mon trouble grandit, je le dissimule en amplifiant les mouvements de mes lèvres sur celles de mon homme. D’un sein à l’autre la main se promène, éveille des sensations merveilleuses. Les progrès de Luc sont fulgurants, ma main hésite à se poser sur son machin ou à le saisir. Luc agit en connaisseur, varie les coups. De mon genou naît un mouvement qui gravit ma cuisse, lentement mais surement. C’est doux, puissant, irrésistible comme une invasion et cela aboutit. Quelques doigts découvrent le gousset de ma culotte et massent ma vulve. Je me cabre, j’embrasse avec plus de passion. Que ces attouchements sont bons. Mais est-ce bien raisonnable; ce parking est-il le lieu idéal, n’est-ce pas imprudent. Je brûle de l’envie de vivre enfin mon amour, Luc m’a demandé en mariage, il mérite une récompense. Le baiser me fait tourner la tête et les doigts sur ma culotte y mettent le feu. J’ai là en bas une impression de moiteur et des crispations d’impatience. Le moment est venu. Je me laisse aller au plaisir envahissant, c’est si bon.

Luc s’écarte, je glisse un peu, des doigts viennent d’écarter ma protection et touchent mon sexe dénudé; gratouillent dans les poils du bord de ma vulves, m’électrisent. Je sens leur investigation sur ma fente sensible. L’un d’eux force un passage
- Chérie, tu es toute mouillée, tu as envie, donne-toi à moi.

L’intrusion du doigt, sa pression à l’entrée de mon vagin me réveille
- Non, mon amour, pas ici, pas maintenant, j’ai peur.

Il recule encore, je me rétablis sur mes deux pieds
- Cathy sois gentille, aide-moi.
- Comment ?

Luc prend ma main droite et la place sur… sur sa verge sortie par magie du pantalon trop étroit.
- Tiens-moi bien, bouge ta main, suis le mouvement que je te donne.

Je suis debout devant lui, ma main court sur le membre dressé à la verticale, guidée par la main de Luc. J’apprends, je le branle comme diraient mes copines. C’est dur, à la fois noueux et soyeux, enivrant surtout à chaque pulsion qui fait tressauter entre mes doigts ce sceptre qui grossit encore et se raidit
-Oui, vas-y, serre plus fort et fais plus vite. Oh ! Ma chérie.

Sa façon de dire son plaisir me donne du courage, j’obéis et je me méfie. Les copines m’ont prévenue, il arrivera un moment où jaillira un flot blanchâtre par jets successifs dans des directions surprenantes avec le risque, pour toi, d’être éclaboussée, de mouiller ou de souiller tes vêtements.
- Chérie, ralentis, tourne-toi, penche-toi sur le moteur. Il énonce la succession de mouvements à accomplir, ses mains me les font exécuter. J’ai lâché sa queue humide, ma jupe remonte, on attaque la ceinture de ma culotte. J’ai la tête collée à la tôle. Un pied écarte les miens, ma culotte glisse, descend jusqu’à mes genoux, un doigt s’immisce dans mon sexe, en surface, un arrondi épais, visqueux se faufile entre mes lèvres, pousse, pousse encore. Ça fait mal. Je réalise, Luc veut entrer en moi, veut me prendre, forcer mon pucelage. J’en mourrais d’envie et soudain sans raison je tente d’échapper à la pénétration, je plie mes jambes, je m’abaisse, je romps le contact et je dis
-Non, non, je ne veux pas.

Il me relève, voudrait achever, m’exhorte, promet d’être doux, de procéder avec patience
- Ma chérie tu seras femme, ma femme. Je t’aime
-Moi aussi je t’aime. Mais je t’en supplie, je ne me sens pas prête, ça va trop vite.

Ce disant je rajuste ma culotte, je me libère de l’emprise de ses mains et je pars vers la salle. C’est irraisonné, sans doute stupide, mais je ne peux pas. Luc me rattrape, s’excuse, réclame mon pardon et mon silence. Il veut bien attendre, patienter le temps nécessaire. Nous concluons par un baiser que j’abrège de peur de succomber à la tentation.
- Bébé, attends, je fume une cigarette.

Il fume, tourné vers moi, embarrassé. La braguette refermée ne veut pas s’aplatir. Son excitation tombe au ralenti.

Une rouquine sort pour fumer, elle aussi.
- Il fait chaud là-dedans. Vous prenez l’air ? Tu as du feu. Avec ta cigarette ça ira. Elle tire sur sa cigarette, regarde Luc dans les yeux, le fixe.
- Merci. Dis, jeunette, je te connais, tu es vendeuse « A la Ville de Colmar? »
- Oui. Tu m’as déjà servie.

Je passe sur les détails sans intérêt. Elle se sent moins seule.
- Bon, on va danser. Dis Cathy, tu me prêtes ton cavalier pour un tour.

Elle n’est pas au courant de notre engagement. Elle s’est montrée aimable, je n’ai pas de raison de refuser. Je regagne ma place seule. Je décline une, deux invitations. Je repense à notre petite aventure dehors. Je mélange le meilleur et les regrets. Luc fait connaissance avec cette Ursule. Ils discutent et se déplacent. La fille ne s’embarrasse pas, frotte, sourit, rit. Luc paraît congestionné, finit par se détendre, la reconduit et me revient.
- Tu n’as pas dansé ?
- Tu n’étais pas là.
- C’est dommage. Profite de l’instant. Nous passerons notre vie ensemble. Je ne serai pas un mari tyrannique, tu auras le droit de danser avec d’autres hommes, comme je viens de le faire avec ta copine Ursule.
- Une cliente, pas une copine.
- Un cavalier m’invite.
- Mais, qu’attends-tu, va, je te regarde.

A peine en piste j’assiste à la sortie d’Ursule. Au passage je cherche Luc. Ni là, ni là-bas. Où est-il passé ? Il n’est pas au bar. Danse-t-il. Il est grand, je devrais le remarquer. Ce n’est pas normal. Je veux le voir. Je ruse :
Aïe, excuse-moi, je me suis tordu la cheville. Il faut que je m’arrête. Non, tu n’as pas besoin de me raccompagner, il y a une chaise vide tout près à côté de la sortie. Merci

Loïc s’incline et va chercher fortune ailleurs. Je sors et j’inspecte les environs. Pas un chat. Où Ursule est-elle partie pour fumer ? Tiens, un point rouge, dans la direction de la voiture de Luc. Deux points rouges. Une gerbe d’étincelles au sol. Si je m’approchais discrètement.
Ils ne sont même pas discrets par contre.
- Alors tu as décidé de te marier. Il était temps. Mais je serai toujours là pour toi, Luc
- Que veux-tu, je dois me ranger à mon âge. Tu as toujours été une bonne copine, je ne l’oublierai pas.
- La petite a refusé de baiser ? Je sens là quelque chose de dur. Veux-tu que je te soulage comme l’autre fois ?
-Nous n’en aurons pas le temps

Qu’est-ce que j’apprends ! Elle et lui se connaissent et se fréquentent intimement.
-Ne t’inquiète pas. Le chef d’orchestre à ma demande fera durer la série et deux de mes copains feront danser ta sainte vierge. Ouvre ta braguette que je te suce.

Je suis de l’autre côté de la voiture. J’entends et j’aperçois les troncs des deux « amis ». Je ne vois ni les pieds ni les têtes. Ah ! Si. Ursule se plie en deux, sa tête et ses mains apparaissent au moment où Luc sort son pénis. C’est une belle pièce dont s’emparent les mains puis la bouche de la fille. Sa chevelure avance et recule, Luc grogne. Il ne fait pas assez clair pour distinguer les détails, mais je comprends de quoi il retourne.
- Ursule ne perd pas de temps… Appuie-toi sur le siège et laisse-moi te prendre.
- Je t’avais prédit que tu en redemanderais. Ta détresse m’émeut. Je baisse ma culotte. Par derrière hein, mais pas dans le cul; d’accord ? Ma cramouille est assez haute? Oh, j’aime ta bite lorsqu’elle est dure. Oui, vas-y, pousse. Oui…Ah, heu…Ha, heu…

Ursule a tendu ses bras en avant, en travers de la banquette. Elle a calé son épaule droite dans le creux entre siège et dossier, elle accroche son bras gauche au siège avant du conducteur et sa tignasse rousse se promène d’un bras à l’autre au gré des secousses du ventre dénudé de mon futur époux. De bon cœur il la secoue comme un prunier, ahane dans l’effort et lui arrache des gémissements de volupté. Il m’a demandé ma main, j’ai retardé à plus tard l’accouplement et aussitôt il s’est mis en position avec une autre. Ils baisent, devant moi cachée mais témoin de ce coït sans amour, écœurée, dégoûtée, révoltée. Mais quel salaud ! Son alliance, il pourra se la mettre. Et vas-y, il s’éclate avec la rouquine.
Que faire ?
- Tu es toujours meilleure, je ne vais pas tarder…
- Hé! Retire-toi, crache à terre. La prochaine fois prends des préservatifs.

Elle se retire, se redresse
-Qu’est-ce que tu fais ? Tu remballes déjà ta marchandise ? Je n’ai pas joui moi. Tu me dois au moins ça. Donne ton truc que je te l’astique. J’exige ma part de plaisir.

Ils sont debout face à face, un bras monte et descend entre eux. J’en ai assez vu. A pas de loup je m’éloigne comme je suis venue. Fallait-il interrompre le duo, au risque de devoir rompre nos fiançailles et d’être ridiculisée et proclamée cocue avant le mariage ? Pire, cette Ursule pourrait prêter main forte à Luc pour me soumettre à son désir. Je préfère retourner en salle. Je boîte ostensiblement
En regagnant ma chaise. Aussitôt un jeune homme se précipite pour me faire danser.
- Il faut marcher, cela ira mieux. Vous pourrez vous appuyer sur moi.

Il est beau, solide. Il me porte pratiquement, mes pieds effleurent à peine le parquet. Cet inconnu me fait presque oublier le salopard qui continue à l’extérieur à sauter une salope. Je me sens bien dans ses bras, le garçon est heureux de me sentir ainsi abandonnée contre lui. Je ne lui refuse pas la danse suivante. C’est un homme comme les autres : à mon contact il enfle dans son pantalon. Je l’ignore pour éviter de le gêner, mais je suis fière de produire autant d’effet. Ensuite il m’offre une boisson, s’assied à ma table et entame une conversation plaisante. Le jour où Luc m’a proposé le mariage un autre garçon se met à me faire la cour. Je serais sotte de désespérer. Luc, où est-il ? Il lui en faut du temps pour faire jouir sa complice. Enfin il paraît dans la porte, seul, bien entendu et me rejoint.
- Ca va, tu ne t’ennuies pas ?

Il salue Mario, le jeune homme bien élevé cède sa place.
- J’étais sorti fumer une cigarette. Je t’ai vu danser, je suis allé en griller une autre. Un copain passait par là et nous avons bavardé. Mais tu as lié conversation avec un beau gars. As-tu oublié que nous étions fiancés ?

Il a un culot monstre. Je ne suis pas gourde au point de tout laisser dire.
- Je me suis fait une entorse, j’aimerais que tu me ramènes à la maison.
- Déjà ? Faisons une dernière danse pour célébrer nos fiançailles. Je te soutiendrai.

Effectivement mon costaud me fait voler à ras du parquet. Ma cheville intacte par ailleurs ne souffrira pas de cette danse. Curieusement, malgré le corps à corps imposé par ma prétendue entorse, Luc reste de bois, aucune émotion sexuelle ne déforme son pantalon. A côté de nous danse un couple étonnant: Ursule écoute Mario et rit. Il sera payé en nature pour service rendu, je le hais. Au passage elle sourit à Luc et fait un clin d’œil. Alors naît une idée diabolique.
- Rentrons s’il te plaît.

Nous démarrons. J’ai remonté ma jupe haut sur mes cuisses, je redis à Luc ma joie de devenir sa femme.
- Je regrette ma conduite de ce soir. J’ai envie de… tu sais ? Pourrais-tu t’arrêter dans un endroit tranquille ? Je souhaite me donner à toi.

Bon prince Luc trouve une allée forestière déserte. Nous nous embrassons dans la voiture. Il explore le contenu de ma blouse, masse mes seins, fait descendre ses mains sur mon ventre, relève ma jupe, introduit un doigt sous ma culotte, touche mon sexe, le trouve humide à souhait. Il ne voudrait pas manquer cette occasion. Nous ouvrons les portières et nous retrouvons enlacés contre le capot. Mais au lieu de résister je devance ses désirs.
- Chéri apprends-moi l’amour.
- Ce soir ?

Il semble hésiter.
- Le soir de nos fiançailles me semble le mieux indiqué, ne crois-tu pas ?
- Tu as raison mon amour. Mais… je n’ai pas de préservatif.

Il tente de se défiler
- En avais-tu tout à l’heure quand je t‘ai repoussé ? Qu’en as-tu fait ?
- Non, je n’en avais pas.
- Où est le problème alors ? Je regrette d’avoir eu peur, mais maintenant je te veux.

Je déboutonne ma jupe, je la lance dans la voiture, ma blouse la rejoint, suivie de mon soutien-gorge. Je suis debout devant lui en petite culotte mais montée sur mes talons de huit centimètres.
- Eh! Bien, qu’attends-tu pour te déshabiller ? Viens ici.

Je défais sa ceinture, son pantalon tombe. Enhardie par son embarras je baisse son caleçon et comme il me l’a enseigné je m’empare de son pénis. Il est méconnaissable.
- Attends, ma chérie, j’ai un plaid dans mon coffre. Installons-nous confortablement.

Nous sommes allongés, moi toute nue, dans l’attente de la révélation. Qui sait, Luc marié sera peut-être fidèle, bien que… Et si je ne l’épouse pas, il m’aura délivrée de cette petite peau que mes copines se vantent d’avoir perdue. J’ai envie de plaisir, moi aussi. De plus j’ai une arrière-pensée, je me vengerais de l’affront. Voyons
D’entrée Luc s’est placé entre mes jambes, il se tient penché sur mon bassin et embrasse avec ferveur mon mont de Vénus. Il lisse ma touffe, cherche ma foufoune et la caresse. Je ronronne, le traitement me convient. Sa bouche se pose sur ma vulve, sa langue s’insinue entre mes grandes lèvres, lèche les petites, attaque mon clitoris, s’attarde à le faire vibrer. Ma tête va exploser. Je geins, je miaule lorsque ma chatte brûle. Mais va-t-il passer la nuit à me sucer le bouton ? J’ai présumé de mes forces, je suis sur des charbons ardents à mon tour. Parfois un doigt remplace la langue fouetteuse ou les lèvres suceuses, il gratte mon clito comme une corde de guitare et j’en tremble des pieds à la tête
- Stop, Luc, c’est trop fort et ce n’est pas juste, tu fais tout. J’aimerais aussi te faire du bien. Laisse-moi te branler. Montre-moi comment je dois faire une fellation.

Il effectue un demi-tour, nous voilà tête- bêche, en 69. Je suis un peu déçue. Sa verge est molle, diminuée. Mes mains la caressent, elle reste flasque. Ce n’est pas étonnant quand on sait la fête qu’il a donnée à Ursule. Elle a joui, il s’est vidé. Le résultat est flagrant. Peut-il honnêtement m’avouer la tromperie. Je le pousse à reconnaître son erreur.
- Prends le bout dans ta bouche.
- Brr, ça ne sent pas bon. Tu ne t’es pas lavé ? Je croyais, non je ne peux pas. Je m’attendais à un festin.

Dis, il m’avait semblé tenir une queue dure et bien raide la première fois. Tu n’as plus envie de moi tout à coup?
Il souffrira mais il ne peut pas me dire :
« Pour fêter nos fiançailles j’ai baisé Ursule, je l’ai trop baisée. »
Il donne des recettes :
- Branle-moi plus fort, chatouille-moi les couilles, lèche ce n’est pas un sucre d’orge. N’aie pas peur.

Je me dévoue, malgré l’odeur du con de la rouquine, ma bouche vient au secours de mes doigts. Luc m’observe, cesse de s’occuper de mon minou, essaie de m’expliquer :
- Je ne sais pas ce qui m’arrive. N’as-tu jamais entendu parler de la panne ? Ca arrive quand on a une grosse émotion. Je suis tellement ému, tellement heureux de devoir te faire femme, que j’en perds mes moyens.
- J’espère que tu vas les retrouver. Couche-toi sur moi et dépucelle-moi, s’il te plaît.

Comment refuserait-il ? Il était si pressé et, au pied du mur, il a du mal à prendre consistance. Il m’écrase, sa main et la mienne guident son escargot sur mon sexe. J’écarte mes lèvres pour faciliter la pénétration, je lève mon ventre à sa rencontre. Son machin pousse contre moi, s’écrase, s’aplatit. Il s’énerve, ne peut pas, il agite sa queue dans ma mouille sans succès et finit par s’excuser. C’est la déroute que j’avais prévue !
- Sois patiente. Demain le plus gros de l’émotion sera passé et je te promets de réussir. Je ne comprends pas ce qui m’arrive. Je suis désolé. Je t’aime trop fort.
- Moi, je peux t’expliquer.
- Ah ! Tiens, toi, toujours vierge, tu veux m’expliquer à moi ! Je t’écoute.
- Tu as laissé toutes tes forces dans les mains, la bouche et le vagin d’Ursule. Ton oiseau a trop chanté avec elle sans doute et il est kaput, foutu. Tout petit zizi, petit, petit. Tu as présumé de tes forces, c’était prévisible
-Non…
- Ne te donne pas la peine de nier. Mais si tu crois que je vais épouser un type incapable de me pénétrer, tu te mets le doigt dans l’œil, et bien plus profond que ta nouille dans ma cramouille. Qui trop baise… devient mou. Ramène-moi à la maison et cherche une autre idiote pour porter ton alliance.
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Histoire de Veilleur

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