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Réalité virtuelle

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Lue : 3396 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/10/2011

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Qui a un jour prétendu que les jeux vidéos étaient un loisir inutile et abrutissant? Probablement quelqu’un qui n’a connu que la génération des pacmans, n’a pas aimé, et a répandu sa vérité comme un gourou répand sa salade religieuse. De nos jours, le monde appartient à cette communauté d’adeptes de l’informatique (et souvent fans de jeux vidéos, justement), ceux que l’on appelle les geeks. Il n’y a pas si longtemps, il s’agissait d’une insulte réservée à la face à claque à lunette qui n’avait pas d’amis en classe. Si si, avouez que vous y avez pensé.

Mais aujourd’hui, l’univers tourne autour d’eux, à cette ère de l’informatique où ils sont les rois.

Je me considère un peu comme un geek amateur. Je ne serais pas capable de lancer un site web dans la semaine, mais pour ce qui concerne le domaine des jeux informatiques, je suis un maître. Toujours à l’affut des nouvelles sorties, discutant sur les facettes cachées et de cette complexité derrière l’univers d’un jeu qui échappe au commun des mortels. Car oui, même les jeux de tirs où ce que l’on doit faire principalement, c’est exploser tout ce qui bouge, ont une complexité insoupçonnée, le meilleur exemple que je pourrais donner c’est la question : Pourquoi est-ce que cette guerre dans laquelle je combats a lieu?

C’est justement à la sortie d’un jeu de ce genre que cela a commencé. Il s’agissait du chapitre final d’une série très populaire dont je tairai le nom, en raison des marques déposées. Disons juste qu’on y retrouve des flingues et beaucoup de sang.

Donc, je rentrais chez moi avec le précieux objet dans mon sac et me précipitai sur le combiné du téléphone pour appeler mon amie Cassandra. Aussi incroyable que cela puisse paraître, cette amie d’enfance faisait partie de la faible minorité féminine des adeptes de jeux vidéos, à un point qu’elle surpassait pratiquement tous ceux de ma connaissance sur le style de son choix. Je lui avais promis de l’attendre pour que l’on commence le jeu ensemble.
-Allo? répondit sa voix après une courte attente.
-Salut, c’est moi.
-Tu l’as? me demanda-t-elle avec une pointe d’excitation dans la voix.
-Mais non. En fait, il sortait en même temps un jeu d'oursons que je tenais à avoir…
-Très drôle…
-À ton avis, pourquoi m’embarrasserais-je à t’appeler? Tu te ramènes quand tu peux.
-Je suis déjà là.

Quoi? Je me retournai brusquement et constatai qu’elle venait tout juste de sortir d’une pièce voisine, son téléphone cellulaire à la main et un sourire moqueur sur les lèvres.

Cassandra. Une brunette plutôt grande, avec le visage constellé de tâches de rousseurs qui rajoutaient à son charme. Elle était habillée aujourd’hui d’un simple jeans, d’un t-shirt orné du symbole tant connu de notre jeu vidéo sous une petite veste sans manche, une tenue très «garçon manqué» qui, paradoxalement, faisait ressortir des formes intéressantes pour pratiquement tout œil masculin qui se respecte. Dont moi, bien sûr. Après tout, je ne suis pas fait en bois.

Mon amie rajusta l’une de ses deux tresses par-dessus son épaule et posa les mains sur ses hanches, comme si elle attendait quelque chose. C’était le cas, en fait.
-Qu’est-ce que tu attends? Allez, on commence le massacre!

***

Dans mon sous-sol, la pièce que je considère comme mon sanctuaire. Un vieux divan confortable, une grande télévision flambant neuve et surtout, le plus important, ma fidèle console, avec laquelle j’avais passé tant d’heures de détentes. Essentiellement, je restais seul dans mes distractions, sauf lorsqu’il s’agissait de Cassandra. Elle est la seule qui soit sur la même longueur d’onde que moi à ce sujet.

Le jeu démarré, nous avons savouré le récapitulatif de l’histoire, avec la lente déchéance de la race humaine à cause, ce qui ne rajoutait que plus de tensions; dans ce dernier opus, comment les héros parviendraient-ils à vaincre, alors qu’ils étaient au plus bas? Vaincraient-ils? Nous échangions déjà nous suppositions déjà usées, puis nous avons commencé.

Jusqu’ici, le jeu tenait ses promesses, malgré un début légèrement chaotique qui nous situait un peu mal. Mais la situation se redressa, et les combats s’enchaînèrent, euphorisant. Le temps passait, et je constatai avec plaisir que la longueur des chapitres en faisait autant.

De nouveaux ennemis prévisibles, car partiellement présentés dans le précédent chapitre. Et je constatai vite que certains opposaient un sérieux défi, même à des vétérans comme nous. Un premier boss surgit alors, victime du triste syndrome de la sale gueule. Je déboulai à sa rencontre en ouvrant le feu, l’avatar de Cassandra sur mes talons, mais il s’avéra que c’était la pire des choses à faire : le monstre me goba d’une bouchée, et l’écran afficha que l’objectif avait échoué. Merde.

Nous avons réessayé. Puis une autre fois. Et encore. Cette saloperie devait bien posséder un point faible! En général, c’est toujours le cas. Et si non? Il fallait juste l’avoir à petit feu, endurer ses attaques? C’était absurde, il était trop fort.

Je jetai un coup d’œil du côté de mon amie et constatai qu’elle ressentait une frustration plus grande que la mienne. Le front plissé, les dents serrées, je crus lire dans ses yeux une légère inquiétude. À ce point-là?

Un nouvel essai, et cette fois, je sentais que c’était la bonne. Je suggérai à Cassandra d’attirer l’attention des sous-fifres pendant que je contournais la créature pour l’avoir par surprise, ce qu’elle accepta d’un hochement de tête; j’élançai mon personnage et parvins à contourner la bestiole juste assez pour finalement remarquer un treuil lourdement chargé au-dessus de l’ennemi. Tiens, mais pourquoi ne l’avions-nous pas remarqué avant?

Après force de combat avec des ennemis déterminés à ne pas me laisser approcher de la structure louche, je découvris enfin un moyen de faire s’écrouler le dispositif sur la tête de l’ennemi, et c’est avec un plaisir non caché que j’assistai à l’écrasement de sa cervelle par plusieurs tonnes de métal.
-On a réussi! s’exclama Cassandra!
-Et oui! conclus-je. Tu m’as vraiment aidé avec ces minus qui étaient dans mon…

Mon amie, prise par sa joie et par la décharge d’adrénaline, s’était jetée à mon cou et venait de m’embrasser! Je restai sous le choc un moment, et lorsque Cassandra se décolla de moi, elle parut elle-même stupéfaite par ce qu’elle venait de faire.

Quant à moi, ce baiser rapide, donné sous le coup de l’émotion, m’avait lancé une décharge électrique dans tout le corps, suivi par un frisson fort délectable provoqué par l’odeur de mon amie. Lorsque nous nous fûmes séparés, je la dévisageai et constatai avec trouble qu’elle était devenue en un éclair hautement désirable.

Je n’avais jamais ressenti d’attirance pour elle, qui était comme une sœur pour moi. Merde, c’était à peine si je la classifiais comme une fille dans mes relations! Le garçon manqué m’apparaissait maintenant comme une femme séduisante, et je désirais maintenant à nouveau me blottir contre elle.
-Oups, dit-elle en rougissant légèrement. Je ne sais pas ce qui m’a pris…désolée.

Je ne répondis pas et continuai de la dévisager. Cassandra se tortilla légèrement sur le canapé, mal à l’aise, puis posa la manette sur la table à proximité. Elle avait tout à coup un souffle plus rapide. Est-ce que…

La digue se brisa et nous tombâmes dans les bras l’un de l’autre, échangeant un long baiser fougueux que je n’aurais jamais cru partager avec elle. Nos lèvres se caressaient, nos langues entamaient une lutte frénétique et nos corps se pressaient l’un contre l’autre tandis que nous échangions des caresses.

J’abandonnai ses lèvres et vint embrasser sa nuque; pendant ce temps, ma main se glissa sous son t-shirt et vint caresser la peau de son dos, puis le sein par-dessus son soutien-gorge. Haletant, je soulevai finalement le vêtement pour exposer le sous-vêtement rouge, orné de quelques dentelles. Il était drôle de constater qu’elle avait conservé une part de féminité dans ses choix de lingerie.

Mes doigts se glissèrent doucement dans le bonnet, sans l’enlever, et j’atteignis rapidement le mamelon durci par l’excitation; lorsque je pinçai ce dernier, Cassandra poussa un petit cri en relevant la tête vers l’arrière, ce qui m’encouragea à m’acharner encore sur ce point sensible. Je glissai mon autre main dans le soutif et malaxai doucement cette généreuse poitrine. Puis, j’extirpai les deux objets de leur écrin et en admirai la forme, bien proportionnée.

Cela ne dura pas, car Cassandra s’empara de nouveau de mes lèvres, me projetant du même coup contre le fond du divan et se positionna juste au-dessus de moi. D’un geste presque hargneux, elle ouvrit ma chemise en arrachant tous les boutons et exposa mon torse sur lequel elle concentra ses caresses et continua de m’embrasser. Chaque centimètre carré de peau qu’elle touchait devenait brûlant, électrique; je lui rendis ses attentions, une main sur son dos qui la fit descendre vers moi jusqu’à ce que la pointe de ses seins vienne effleurer ma chair, l’autre sur ses fesses rebondies, caressant les formes à travers le frustrant tissu.

Mon amie s’éloigna brutalement de moi, et toujours assise sur moi, elle termina de retirer ses hauts encombrants sous mon regard intéressé. Maintenant complètement torse nu, Cassandra m’offrit le sourire le plus sensuel que j’aie vu dans ma vie et je me mis à la désirer plus ardemment encore. Je voulais sentir sa peau entre mes doigts, je voulais savoir que je la faisais jouir, et je voulais qu’elle me fasse jouir aussi.

Péniblement, je parvins à me remettre en position assise et l’enlaçai pour plonger mon visage dans sa poitrine dénudée. De là, je me mis à passer ma langue dans la fente provoquée par les deux seins, appréciant même le goût particulier de la fine pellicule de sueur qui recouvrait la peau de Cassandra. Cette dernière referma ses bras autour de moi d’une façon presque maternelle et je pouvais l’entendre gémir sous mes attentions.

Je délaissai le milieu de la poitrine et guidai ma bouche vers ses auréoles, puis vers les mamelons que j’embrassai doucement avant de les lécher, puis de les aspirer par à-coups; Cassandra me murmurait des encouragements d’une voix rauque, des encouragements qui m’excitaient grandement. Lorsque je mordillai le bout du mamelon, elle sursauta et poussa un cri de surprise mêlé de plaisir; en même temps, je sentis ses bras se crisper dans mon dos.

Elle était décidément sensible de la poitrine, constatai-je avec plaisir. Je poussai mon avantage plus loin et offris à ses deux seins un traitement érotique avec mes lèvres et ma langue qui fit grimper en flèche son plaisir et la force de ses halètements.

Vint le moment où Cassandra décida de cesser de jouer et m’embrassa de nouveau, plus doucement. En même temps, je sentis ses mains tremblantes détacher frénétiquement mon pantalon, et lorsqu’il fut enfin libéré, mon sexe gonflé de sang se dressa fièrement et alla effleurer doucement le ventre au-dessus de lui.

Mon amie l’observa d’un air approbateur et se laissa glisser vers le sol et se plaça à genou devant moi, son visage à la hauteur de ma virilité érigée. Cette position me donnait une légère impression de la dominer, ce qui n’était pas pour me déplaire.

Cassandra cracha un peu de salive sur le bout du gland et entreprit de le branler d’une main experte, s’offrant parfois de courtes pauses pour le lécher un peu avant de reprendre de plus belle. Le bien qu’elle m’offrait était fantastique, et je sentais mes doigts se crisper sur le coussin et un râle s’échapper de ma gorge.

Alors que je commençais à lâcher le fameux pré-sperme, elle s’arrêta et se leva, le temps de retirer avec une lenteur calculée son jeans, positionnant sa croupe vis-à-vis de mon visage. Maintenant, elle ne portait plus que sa petite culotte, une rouge à fines dentelles assortie à son soutien-gorge. Toutefois, sans pour autant l’enlever, elle s’approcha de moi pour m’aider à enlever les restes de ma chemise ainsi que mon pantalon et mon boxer. Je ne lui rendis pas la tâche facile, car pendant qu’elle s’occupait de mon déshabillage, j’entreprenais d’embrasser chaque partie de son corps que je parvenais à atteindre.

Elle en bouillait de plaisir, et je sentais qu’elle luttait pour ne pas reprendre notre étreinte précédente, maintenant que j’étais complètement offert dans ma nudité. Mais elle avait une idée derrière la tête, visiblement, et lorsqu’elle reprit sa position accroupie, je crus d’abord qu’elle voulait continuer de manipuler mon sexe à la main.

C’est d’abord ce qu’elle fit, pour s’assurer que je conservais ma vigueur; puis, elle se redressa un peu et fit glisser mon membre entre ses seins, qu’elle utilisa pour continuer la stimulation avec des sensations inédites. C’était difficile à décrire, mais la pression des seins sur mon sexe, alors qu’elle le faisait monter et redescendre de plus en plus vite, était différente de la masturbation traditionnelle, et cette nouveauté fit rapidement monter mon excitation jusqu’à ce que je sois au bord de l’explosion.

Je fus vaguement inquiet de tout lâcher sur son visage, mais j’étais au-delà de toutes pensées logiques, et c’est pourquoi je jouis finalement en aspergeant le visage et les seins de mon amie avec ma semence, et c’est à ce signal qu’elle cessa de bouger.

La tension relâchée, je la fixai un instant, guettant sa réaction. Puis elle me sourit et s’essuya consciencieusement le visage avec ma chemise déchirée avant de se placer à califourchon sur mes genoux pour recommencer à m’embrasser.

Cassandra défit ses tresses déjà passablement défaites dans la manœuvre et laissa sa chevelure cascader sur ses épaules. La coiffure leur avait donné une apparence bouclée du plus bel effet, et je revins l’embrasser dans le cou en sentant ma vigueur remonter doucement.

Et cette fois, je pris l’initiative et fit descendre ma main vers sa culotte. Je caressai lentement le pubis à travers la mince lingerie et sentis combien Cassandra était déjà humide. Sa respiration s’accéléra, et je vis ses vains efforts pour ne pas montrer combien elle était excitée par ma manœuvre.

Elle me murmura à l’oreille qu’elle désirait que je la prenne, là et maintenant, et qu’elle souhaitait pimenter un peu l’action. Lorsque je lui demandai ce qu’elle avait en tête, mon amie admit avoir toujours souhaité incarner sa protagoniste de jeu vidéo préférée dans une partie de jambes en l’air, ajoutant même avoir quelques accessoires dans son sac pour parfaire l’illusion.

Je dois admettre que cela me prit par surprise, mais l’idée ne me déplaisait pas. Pourquoi pas, lui dis-je avec un hochement de tête. Toute heureuse, elle s’élança le sac à dos qu’elle préférait aux sacs à main et sortit un court moment de la pièce.

Lorsqu’elle revint, je fus souffler de reconnaître le personnage de Kuji, une mécano sexy dans un RPG japonais que moi-même avais du mal à ne pas fantasmer dessus. Vêtue d’une salopette par-dessus son corps nu et de la casquette reconnaissable entre toutes, Cassandra s’approcha de moi, imitant de façon bluffante la gestuelle et le caractère espiègle du personnage.

Elle se pencha sur moi, et je vis qu’elle avait même pensé au sparadrap que Kuji, son personnage, portait sur la joue droite.
-Tu voulais me voir, Dakan? demanda-t-elle avec une voix parfaitement imitée –elle jouait vraiment le rôle à la perfection.
-Kuji…répondis-je en incarnant aussitôt le héros du jeu.

Je l’embrassai, et Cassandra tenta, mollement, de s’éloigner de mon étreinte.
-Arrête, Dakan, qu’est-ce que tu…aaah.

Les deux boutons de la salopette venaient de sauter sous ma pression insistante, et j’abaissai le vêtement jusqu’à sa taille, dénudant à nouveau son buste, mais cette fois, elle n’était plus Cassandra, elle était devenue Kuji. Debout, nous échangeâmes de longs baisers passionnés alors que mon amie gémissait avec la voix de son personnage. La salopette ample ne resta pas en place très longtemps sur les hanches de Cassandra, et lorsqu’il glissa enfin au sol, je la renversai par en avant et positionna sa croupe juste en face de mon membre en érection.
-S’il te plaît, Dakan, me supplia-t-elle, anxieuse.

J’écartai doucement sa culotte détrempée sur le côté et pus enfin admirer ce sexe complètement déployé et prêt à m’accueillir. Par jeu, je pinçai doucement le clitoris gonflé et mon amie poussa un cri. Enfin, sans crier gare, je m’enfonçai vigoureusement en elle. Elle souffla par le nez sous le coup et laissa échapper un long gémissement, qui se fractionna bien vite en plusieurs plus courts alors que j’entreprenais mes vas et viens d’une façon lente et calculée.

Mes mains se posèrent sur ses hanches et j’accélérai encore le mouvement, davantage poussé par mon instinct animal que par ma raison, faisant claquer mes cuisses contre ses fesses. Cassandra se cramponna au dossier du canapé, et chaque coup agitait furieusement sa poitrine et la faisait pousser un cri de jouissance. Mais comment faisait-elle pour rester dans son personnage dans un tel état d’esprit? À peu de chose près, j’aurais cru que j’étais effectivement en train de baiser Kuji!

Et ce fut le cas un moment. Emporté par l’avalanche de plaisir qui assaillait la totalité de mes sens, j’eus la fugitive, mais d’une durée qui sembla être une éternité, l’impression d’être effectivement dans l’univers du jeu vidéo, à l’extérieur du scénario restrictif, plongeant dans l’intimité cachée des personnages. Kuji s’offrait toute à moi, et je compris enfin que cela avait toujours été un de mes fantasmes inavoués.

Je relâchai les hanches de Kuji et agrippai vigoureusement sa poitrine ballottante, toujours en poursuivant mes mouvements réguliers. Ma partenaire ne résista pas lorsque je la redressai pour plaquer son dos contre mon ventre, et elle en profita même pour se contorsionner afin de venir m’embrasser. Mais ce geste me déséquilibra et je basculai vers l’arrière, ce qui nous désunit momentanément. Kuji poussa une plainte de déception en se réceptionnant du mieux qu’elle put. Mais avant qu’elle ait la chance de m’appeler, je la rejoignis en quelques pas et la plaquai contre le mur où je l’embrassai de nouveau passionnément.

Elle me rendit mon étreinte en donnant tout ce qu’elle avait; puis, j’entrepris de baisser finalement sa culotte, ultime barrière avant sa parfaite nudité. Le vêtement complètement humide par l’excitation de la jeune femme glissa doucement sur ses cuisses, où je fis une brève pause pour titiller du bout de la langue la chair sensible. Enfin, lorsque je me relevai, je saisis Kuji par les cuisses et la soulevai en entier. Comprenant mon manège, elle se tordit un peu pour s’ajuster et trembla lorsqu’elle vint s’empaler sur mon sexe. Elle enroula ses jambes autour de moi et je commençai de nouveaux mouvements, ceux-ci recevant l’aide de la gravité pour que chaque pénétration se rende plus loin que la précédente.

Dans cette position, je recevais les seins de mon amie contre mon visage et ces derniers me «giflaient» à chaque pénétration. Kuji se pencha par-dessus mon épaule et je l’entendis haleter juste à côté de mon oreille. Tout semblait s’être réduit à cette sensation d’extase qui montait en moi à chaque seconde et aux cris de ma partenaire qui hurlait maintenant qu’elle allait jouir.

L’ultime round survint lorsque je laissai tomber mon amie sur la table, en raison principalement à mes jambes fatiguées, ce qui projeta un peu partout notre matériel de survie de jeux vidéos; maintenant, j’abandonnai les lents et profonds mouvements pour une véritable rafale de coups.

Notre étreinte frénétique prit fin dans un orgasme tel que je n’en avais jamais connu, et tel que je n’avais jamais vu une femme en avoir. Kuji/Cassandra poussa un hurlement d’extase incroyable tandis que je sentais son tunnel secret se compresser spasmodiquement à un rythme sans égal autour de mon propre membre durant un temps infini. Avant, nous retombâmes l’un sur l’autre, épuisés, les muscles légèrement endoloris, mais pleinement satisfaits. Cassandra était de nouveau Cassandra, et j’étais redevenu moi-même.

La soirée se termina très tard, et nous parvînmes à terminer le jeu quelques jours plus tard.

Vous vous imaginez que notre relation changerait après cela? Que Cassandra et moi finirions en couple, au mieux? Eh bien non, nous sommes restés d’excellents amis, toujours des adeptes de jeux vidéos, comme avant.

Seul changement : maintenant, il nous arrive d’étudier ces univers virtuels…plus en profondeur.

Note : les jeux vidéos cités plus haut sont des inventions.
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Histoire de Lebonobo

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