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Rencontre imprévue en forêt

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Lue : 7148 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 16/09/2011

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Bonjour. Il s'agit de ma première tentative d'histoire érotique, alors j'espère que vous apprécierez.

Mon nom est Éric, mais tout le monde préfère le diminutif Rick, pour faire simple. La vie possède parfois un curieux sens de l’humour, comme le prouve ce petit épisode.

Je ne suis pas très sportif, d’ordinaire. Pourtant, ce jour-là, appelez ça le destin si vous voulez, je me décidai à aller randonner dans la forêt en bordure de la ville, me disant qu’un contact avec le grand air et la nature me ferait le plus grand bien.

Je suis donc partie, simplement vêtu d’un short et d’un t-shirt et de mes espadrilles «passe-partout», appelées ainsi car je les mets pratiquement tout le temps, et je suis parti.

Au début, cela se passait bien, je conservais un bon rythme, et tout ça. Il n’y avait pas beaucoup de monde, alors ce que mes oreilles entendaient était bel et bien la symphonie de la nature. Mais mon manque d’exercice commença sérieusement à me poser problème, et je crus bon de faire une pause contre un immense rocher placé en bordure de la route. Cependant, je venais à peine de me positionner pour étirer mes jambes endolories qu’un grincement familier me parvins une fraction de seconde avant qu’une voix ne pousse un cri de surprise. Tout ce que je sais, c’est que je fus renversé par une masse compacte dans mon dos et manquai de débouler le sentier jusque dans les sous-bois.

Plus pris par surprise que blessé, je me redressai et fixai mon «assaillant» qui s’avéra être Kara, une de mes bonnes amies. Sauf que là, elle n’avait pas pu me voir à temps lorsqu’elle avait contourné sur son vélo le rocher, et elle affichait une expression vraiment inquiète et horrifiée maintenant qu’elle m’avait reconnu.
-Rick? s’exclama-t-elle. Oh mon dieu, je suis tellement désolée…
-Moi aussi je suis content de te voir, répondis-je avec un rien de sarcasme. Mais tu aurais pu y aller mollo avec ta joie de me revoir.
-C’est pas drôle, est-ce que tu es blessé?
-Je vais survivre…

Jamais je n’oserais dire sincèrement du mal de Kara. Parce que voyez-vous, malgré notre grande amitié, il fut un temps où j’en pinçais sérieusement pour elle. J’étais même allé jusqu’à proposer quelques sorties, mais elle avait fini par vouloir mettre les choses au clair en affirmant qu’elle préférait qu’on reste de simples amis. J’avais accepté, même si cela me brisait le cœur.

Je crois que je ressentais toujours des sentiments pour elle, des sentiments que je m’efforçais de garder secrets pour la survie même de notre amitié. La dernière chose que je voulais, c’était que Kara décide qu’on ne pouvait plus se parler à cause d’un tel malaise entre nous deux.

Cela ne m’empêchait pas de la dévisager avidement chaque fois que l’occasion se présentait. Un visage adorable encadré par une splendide crinière rousse s’arrêtant aux épaules, elle avait presque constamment un sourire sur les lèvres. Aimant se qualifier d’excentrique, sa tenue vestimentaire était parfois un peu déroutante, tantôt un pantalon moulant aux allures de fourrure extraterrestres et une autre fois une robe et un corsage presque médiévaux. Néanmoins, aujourd’hui, elle s’était contentée d’un short très court et d’un t-shirt blanc représentant une fille-zombie, un ensemble qui me laissait l’occasion d’admirer secrètement sa beauté féminine.

Kara me tendit la main pour m’aider à me relever, ce que j’acceptai de bonne grâce, sans arrière-pensée, cette fois. Nous restâmes un court instant l’un en face de l’autre, chacun essayant de trouver quelque chose à dire. Bon sang que je déteste ces genres de malaise!

Ce fut mon amie qui brisa ce moment qui m’avait semblé durer une éternité.
-Et puis…quoi de neuf?
-Pas grand-chose de plus que d’habitude, répondis-je en bondissant sur cette phrase passe-partout. Et toi?
-Ben en fait…il fallait justement que je te parle de quelque chose.

Ah? Ma curiosité était piquée. J’avais toujours été un confident pour elle, tout comme elle pour moi, et maintenant, je voyais bien que quelque chose la tracassait. Elle semblait fuir mon regard et une légère rougeur marquait ses joues. Oh oh, un problème sentimental? Je n’étais pas très doué dans les problèmes amoureux en général, et j’espérai qu’elle ne me demanderait qu’une oreille attentive plutôt qu’une source de conseils…
-En temps que garçon, commença-t-elle. Est-ce que…cela te dérange quand c’est la fille qui fait les premiers pas?

Quelle question idiote! Avec ma timidité naturelle, je voudrais bien que cela soit constamment le cas, que la fille fasse les premiers pas. Je ne demande pas mieux. Je modérai ma réponse mentale pour une plus simple allant dans l’affirmative de ce qu’elle demandait, ajoutant que beaucoup d’hommes, malgré une assurance chez certains, ressentait une relative timidité face à la gente féminine, me nommant même comme exemple en souriant.

Elle hocha de la tête avec un sourire timide. Puis, sans crier gare, elle élança ses bras autour de mon cou et m’embrassa. J’ai un peu honte de le dire, mais c’était mon premier vrai baiser, aussi sortie de nulle part qu’imprévu, et je restai figeai par la stupéfaction tandis que le corps de Kara se pressait contre le mien et que ses douces lèvres caressaient les miennes. Elle remarqua mon trouble et s’éloigna de moi, maintenant rouge de honte.
-Rick, je suis désolée, je n’aurais pas dû…ah, mais quelle idiote!
-Je…balbutiai-je, encore sous le choc. Je croyais que…tu préférais que l’on reste ami.
-Il faut me comprendre, lorsque tu as commencé à t’intéresser à moi, je sortais d’une rupture, tenta-t-elle d’expliquer. Mais quand je t’ai repoussé, tu as pris cela si sereinement, et tu as continué d’être un ami attentif et serviable. Malgré moi, cela m’a…attiré. Je n’osais rien dire vu la façon dont je t’avais repoussé.

Si je m’attendais à cela…

Véritablement mal à l’aise, Kara fit mine de remonter sur son vélo en s’excusant de son geste malheureux, jusqu’à ce que, répondant à une impulsion, je la saisis par le bras, doucement mais fermement, et la fit pivoter vers moi, son visage à quelques centimètres du mien.

Tout alla très rapidement ensuite. Nos lèvres se rencontrèrent à nouveau et cette fois, je lui répondis avec une fougue que je ne me connaissais pas, allant jusqu’à caresser ses cheveux roux et son dos. Elle gémit doucement et se laissa tomber contre le rocher qui avait forcé cette rencontre, me rendant mes propres caresses.

J’osai ensuite glisser ma main sous son t-shirt et goûtai de mes doigts la sensation de la peau nue de son dos et de la résistance de son soutien-gorge. Loin de repousser cette exploration téméraire, elle abandonna mes lèvres pour venir embrasser une région de mon cou que j’ignorais être aussi sensible, le contact des lèvres de mon amie contre ma chair propageant une décharge électrique dans tout mon corps. J’avais envie d’elle, c’était aussi simple que ça, et j’avais bien le sentiment que c’était réciproque. Une part de moi était inquiète que quelqu’un puisse nous surprendre ici, mais au fond, qu’elle importance?

Passant à la vitesse supérieure, je soulevai le t-shirt de Kara par-dessus sa tête et le laissai tomber au hasard au sol, prenant tout de même le temps d’admirer son torse dénudé à l’exception de ce soutif de sport juste assez moulant pour laisser une place à l’imagination. Elle m’appela, doucement mais de façon pressante, et je répondis à son désir en dénudant à son tour la splendide poitrine qui m’avait fait tant rêver.

Avec douceur, je caressai du bout du doigt le mamelon dressé sous l’effet de l’excitation et alla quêter un autre baiser, avant de descendre doucement sur le menton, sur la gorge et jusqu’à la fente entre les deux seins, passant ma langue dans cette fissure de chair si désirable et me délectant du moindre gémissement qui s’échappait des lèvres de ma belle. Elle avait maintenant le corps arqué dans ma direction, ses mains fines caressant mon corps tandis que je dégustais sa poitrine avec une habileté érotique qui me surprenait autant qu’elle, mais je doute qu’elle s’en plaignait.

Quand mon propre t-shirt eut rejoint celui de Kara au sol, nous nous embrassâmes de nouveau avec passion, nos torses dénudés se frottant l’un contre l’autre dans un échange de chaleur mutuel. La sensation des seins contre ma propre poitrine était grisante, je m’aventurais maintenant sur les fesses rebondit de ma partenaire, me glissant doucement sous la taille du vêtement pour aller caresser ce lieu mystérieux. Un string? La ficelle de tissus qui jouait sous mes doigts augmentait encore mon désir.

Kara ne voulait pas rester en reste. Pendant que je titillais sa petite culotte, sa main entreprenait de manipuler mon entrejambe déjà en court de gonflement, essayant même de se glisser dans mon slip.

Je ne lui laissai pas la chance et fit sauter le bouton de son short en jeans, le vêtement glissant alors tout seul jusqu’à ses chevilles. J’étais amusé par l’ultime vêtement, orné de schtroumpfs. Même pour ses sous-vêtements, elle cherchait à se démarquer des autres! Elle me suppliait de continuer le jeu, mais je ne voulais pas hâter le plaisir, maintenant que j’en profitais.

Accroupis devant elle, j’entrepris d’embrasser l’intérieur de ses cuisses, gardant d’abord une distance respectable entre mes lèvres et son fruit interdit, que je devinai déjà humide de plaisir. Je mordillai ensuite la petite ficelle et la chair juste en dessous tandis que ma main, du bout des doigts, forçait le passage sous la culotte jusque dans l’intimité de mon amie.

Elle gémissait, soufflait un coup lorsque mes deux doigts la pénétraient, me murmurant des encouragements hautement excitants jusqu’à ce qu’elle ne fut plus capable de parler du tout, uniquement de laisser sortir des gémissements de plus en plus bruyant et de plus en plus rapide.

Par un incroyable effort de volonté, elle parvint à m’arracher à elle et me dévisagea avec ses yeux de braises. Kara s’accroupit à ma hauteur et m’embrassa, et cette fois, se fut elle qui perça mes défenses pour atteindre ma virilité dressé à sa gloire. Elle baissa en même temps mon short et mon slip, me révélant dans toute ma nudité.
-Comme je regrette de ne pas avoir admiré ce corps plus tôt…

Je pris ça pour un compliment.

Sans crier gare, elle engloutie mon membre dans sa bouche et se mit à le sucer, d’une façon stimulante que je n’avais jamais expérimenté et que je ne croyais destinée qu’aux films érotiques. À son assurance, elle ne devait pas en être à sa première fois, mais je ne m’en plaignais pas, caressant doucement sa belle chevelure alors qu’elle passait sa langue sur mon sexe, le léchant de haut en bas avant de l’engloutir à nouveau, sa langue encerclant l’intrus de chair tandis qu’elle accomplissait un léger va et viens avec sa tête.

C’était trop…j’allais jouir…il fallait qu’elle arrête sinon…

Elle ressentit ma tension et arrêta sa fellation, se couchant maintenant contre mon corps pour m’embrasser et me cajolé. En temps normal, le fait d’être couché nu sur le sol d’une forêt m’aurait plutôt dérangé, mais c’était le dernier de mes préoccupations pour le moment.
-Rick, murmura Kara alors que le bout de son nez touchait le mien. Je te veux en moi.
-Tu en es sûre? demandai-je en bridant mon excitation.

En guise de réponse, elle se leva, et marcha vers un espace dégagé encombré de feuilles mortes avec un balancement de hanches volontairement aguichant. Une fois sur place et devant mon regard émerveillé, elle fit doucement, sensuellement glisser sa culotte le long de ses magnifiques jambes avant d’abandonner le vêtement aussi sèchement que les autres.

Kara se tenait là, devant moi, nue et belle comme une déesse, m’invitant à la rejoindre. Elle s’étendit sur le tapis naturel et écarta doucement les cuisses, m’invitant à nouveau d’une voix suppliante. Je la rejoignis, mon sexe dressé, son pubis habilement taillé si beau à voir. Je me retins de la pénétrer et choisis de lui rendre le plaisir qu’elle m’avait donné. Mon amie poussa un petit cri de déception qui se changea en gémissement d’extase lorsque ma langue pénétra ses lèvres.

C’était la première que je tentais un amour oral, mais Kara le valait bien, et je compris rapidement que mes attentions la comblaient de bonheur. Ses gémissements se muaient en petits cris de plaisir et tout son corps s’élançait à ma rencontre. Ma langue fouillait, explorait et conquérait chaque millimètre de ce tunnel secret, agaçant le clitoris, plongeant dans les profondeurs; le temps ne semblait plus avoir cours et chaque seconde transformée en éternité voyait apparaître un peu plus du nectar féminin. Aux halètements qu’elle lâchait, je sus qu’elle allait jouir, mais contrairement à elle, je ne lui laissai aucun répit avant l’ultime plaisir.

À l’instant même où elle criait plus fort que jamais, je sentis tout son corps se tendre comme un élastique et un large filet de liquide chaud et salé contre ma langue, me signalant qu’elle avait jouit. Lorsque je retirai ma tête, elle se détendit en haletant et me sourit, quêtant un autre baiser, tendre au début, mais qui gagna rapidement en passion. Tandis que je lui malaxais un sein en l’embrassant, je sentis la main de Kara saisir maladroitement mon membre pour le masser vigoureusement, histoire de s’assurer qu’il suivait toujours le rythme. Puis, elle le guida vers son Némésis encore brûlant de désir, aussi brûlant qu’elle et moi étions présentement.
-Vas-y…tu peux…vas-y!

L’extrémité de mon organe traversa lentement les lèvres déployées, la caresse torturante faisant haleter ma partenaire jusqu’à ce que ses gémissements ne forment plus qu’une seule note; je croisai son regard brûlant et y lut qu’elle voulait que le jeu continue.

Je lâchai la bride à ma passion et la pénétrai en profondeur, la faisant souffler d’un seul coup; sous ses encouragements, mes aller-retour lents et réguliers s’accélérèrent, nos corps entrant en collision de plus en plus rapidement. Il n’y avait plus seulement moi qui donnait des hanches, elle aussi venait à moi autant que je venais en elle. Je sentais mon plaisir augmenter à chaque seconde en même temps que ses cris d’extases, signe qu’elle appréciait au moins autant que moi.

Elle me repoussa soudain, me prenant par surprise, ce qui me fit basculer par en arrière. Elle me regarda avec un sourire à faire fondre la calotte glacière et avança doucement vers moi, à quatre pattes comme une tigresse et m’obligea doucement d’une simple poussée de la main à m’étendre à mon tour sur le dos.
-C’est à moi de prendre le dessus, dit-elle en mordillant un peu mon gland.

Je compris où elle voulait en venir lorsqu’elle se positionna juste au-dessus de moi, m’offrant une courte vision de son sexe ouvert comme un lys, avant que ce dernier ne se pose contre mon visage, doucement, comme si elle craignait de me blesser. Je posai mes mains de chaque côté de la croupe de mon amie et recommençai à besogner le tunnel de chair plus sensible que jamais. Un grognement de plaisir s’échappa de mes lèvres lorsque je sentis mon propre membre se faire avaler par la bouche de Kara, entreprenant un travail très stimulant qui m’obligeait à m’appliquer plus que jamais de mon côté. Chacun s’assurait de faire grimper le plaisir de l’autre, plus vite, toujours plus vite. Mon corps tout entier vibrait au même rythme que celui de Kara, et je l’entendais même gémir, de plus en plus bruyamment, jusqu’à ce qu’elle s’arrache de nouveau de mon étreinte pour me faire face.

Ses mains posées sur ma poitrine, Kara souleva doucement son bassin et s’empala sur mon sexe plus dressé que jamais, rejetant sa tête en arrière alors que la gravité faisait son œuvre. Puis elle commença ses mouvements, de haut en bas. Mon sexe était presque douloureux tant j’y prenais plaisir, mais je l’encourageai malgré tout à aller plus vite en posant mes mains sur ses hanches pour accélérer «manuellement» le travail.

Maintenant que nous étions lancés comme une locomotive, elle criait à chaque pénétration, ses seins bondissant au même rythme. En sueur et haletante, Kara se pencha vers moi et m’embrassa passionnément, pendant que je lui malaxais vigoureusement sa poitrine douloureusement sensible.

Dans un dernier effort, je me redressai et la retournai, étendu face au sol et sa croupe dans les airs et je la pris agressivement, pour sa plus grande joie. Tandis que ses ongles raclaient la terre, elle me soufflait des encouragements de plus en plus rauques à mesure que je que nous approchions de l’ orgasme.

C’est alors qu’il vint, et nous le sentîmes exactement au même moment, ce déchaînement de sensations euphorisantes qui engloutissait chaque parcelle de votre corps, alors que le temps lui-même semblait retenir son souffle. Nous ne faisions plus qu’un, que ce soit son goût, son odeur ou même sa peau, tout cela était fusionné en moi et explosait en une apothéose des sens que Kara partageait avec moi. Épuisés, mais heureux, nous nous entendîmes nus dans les bras l’un de l’autre sur le tapis de feuilles mortes et de mousse qui avait servi de terrain à nos ébats.

Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi, à juste profiter de la présence de l’autre. Mais j’aurais pu y rester pour toute l’éternité.

Ceci est une complète fiction inspirée de personnes réelles dont les noms ont été changés. Une sorte de fantasme inavoué, sauf ici.
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Histoire de Lebonobo

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