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récompense, sans la punition

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Lue : 605 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 23/03/2022

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Ceci est une suite de punition ou récompense, mais chaque histoires est différentes, avec des personnes différentes aussi, seul le lieu et ma copine sont les mêmes, après celle ci, il n'en reste plus qu'une.

Lorsque j'ai repris le mardi soir, je suis arrivée juste à l'heure, et une nouvelle me dit bonjour, elle me demande quel couloir je fais, et me dit qu’on est ensemble, je suis un peu déçue que celle que je connaissais soit partie, mais je me rappelle que c’étaient ses congés, cette nouvelle n’a pas l’air désagréable, belle jeune fille, souriante.

Sans vraiment y porter attention, il m’avait semblé qu’elle me matait en me changeant, je n’y pense pas plus que ça, ma seule pensée est mon coquin qui va me donner ce que j’attends, elle m’attend pour qu’on prenne le service ensemble, on lit les rapports des collègues, les patients urgents, et les emmerdeurs, celui qui sonne tous les soirs pour demander l’heure du petit déjeuner, on papote en même temps quand ça s’allume, c’est l’heure de prendre les constantes, je garde mon couloir et elle prend le sien.


Je fais la chambre du coquin en premier pour le saluer et je constate avec une pointe de déception, qu'il est sorti, chose que me confirme sans que je ne lui demande celui côté fenêtre, lorsque je l'ai quitté le samedi, il allait déjà beaucoup mieux, et là, il allait très bien.

C'est une gratification de notre métier quand un patient qui rentre en morceau se remet, et celui-ci, reprend goût à la vie, il me demande si j'ai passé un bon WEEK-END, me dit que son voisin (mon coquin) était très sympathique, il me demande si à chaque fois qu'un patient quitte la chambre, si ça ne me rend pas triste, je réponds que je suis contente pour ceux qui sortent.


Il n'a pas été bavard de la semaine, il se rattrape me dis-je, comme il peut bouger, je lui remets les oreillers pour qu'il soit assis, il doit en avoir marre d'être allongé, je m'aperçois qu'il lorgne dans le décolleté de ma blouse, ou j'avais retiré deux boutons pour mon coquin, je me dis qu'il n'ira pas se plaindre à la direction, et s'il regarde c'est parce qu'il les trouve beau, en somme c'est un compliment silencieux, je continu ma tournée.


Je reviens le soir, je prends les constantes et je sens sa main sur ma cuisse à travers la blouse, hé ne vous gênez pas dis-je, en me poussant le fessier, il me répond, vous savez, je ne suis pas un dormeur, je finis mon boulot et part en lui demandant s'il voulait des somnifères.


Il ne répond pas et sourit, je ferme la porte en me disant qu'il est bizarre, mais en rentrant dans la chambre à côté, un doute me vient, j'essaie de faire mon travail en faisant abstraction de ce que je pense, c'est en attendant la collègue que je cogite, je me fais les questions et les réponses, tantôt pensant au pire et me rassurant l'instant d'après.

Je discute sans être là lorsqu'elle revient et je profite qu'un patient la sonne pour qu'une fois dans le couloir, je dise que j'en ai un aussi, je prends un petit bloc note pour justifier que je vais revoir le voisin de chambre, arrivé dans la chambre je lui sis, "avec vos bêtises, j'ai oublié de vous noter tout à l'heure".

Moi qui croyais que vous reveniez me voir dit-il, comme nous sommes en mode humour, je réponds pareillement, "oui, j'avoue, vous me manquiez déjà", je suis très flatté, dit-il, je cherche comment lui amener la discussion, mais il me dit, "j'ai dû être un piètre voisin de chambre pour celui qui était là, la semaine dernière".

Il ne s'est pas plaint dis-je, moi non plus répond-il, je lui dis, vous étiez sonné, c'est normal, vous aviez besoin de dormir pour vous reposer", je n'ai pas tout le temps dormi qu'il répond en souriant et regardant en l'air, un frisson me parcoure, comment ça dis-je, il fait, " ha ça, je veux bien tout dire, mais à votre oreille".

Aller bien sûr, je vous laisse, bonne nuit que je lui réponds, je vais pour quitter et il me dit, "n'étiez vous pas venu pour prendre des notes", merde oui, c'est vrai me dis-je et pour faire véridique, je prends son pouls, profitant que j'ai matière à rester, je cherche à nouveau comment lui faire lâcher quelque chose.

C'est encore lui qui me dit, "aller, les femmes sont curieuses généralement, et j'ai un grand secret à vous dire, secret que je ne garderais que pour moi et personne d'autres, à part vous bien sûr", je n'ai pas à connaître le secret des patients dis-je, celui-ci vous concerne, c'est pourquoi je tiens à vous le faire savoir, m'annonce-t-il.

Rien ne me concerne que je réponds, il me dit que si, je peux vous l'affirmer, aller venez, après vous aurez l'esprit plus libre, je m'approche et il me dit, "restez de ce coté ci (à sa gauche)", je m'approche encore plus et dis je vous écoute, et là, il me dit entrecoupé de geste, la semaine dernière, vers cette heure ci après vos visites" sa main se pose sur ma fesse, je vais pour retirer, et vite fait il me dit, "je savais que vous étiez proche avec mon voisin, très très proche même et je ne voulais pas vous importuner".

Je dis que c'est un patient qui était sympathique avec de l'humour, sa main que j'avais oubliée et que je n'ai pas réussi à virer de ma fesse, que j'ai laissé pour le peu de gêne, il me lâche et sa main vient sur le devant, niveau bouton de blouse ou il ne fait que caresser le tissu, il continue en disant, "je dors très peu et comme je viens de vous dire, je ne voulais pas déranger, si vous devinez ce que je veux dire".


Aïe, aïe, aïe, que je me dis dans ma tête, essayant encore de sauver la face, je dis, vous ne dérangiez pas, vous êtes à l'hôpital, j'ai la jambe gauche appuyée sur le lit et la jambe droite un peu en arrière, il continue en disant quelque chose à voix tellement basse que je n’entends rien du tout, je m'approche plus de son oreille en lui disant que je n'ai rien compris.

Et là, sa main se tend et vient à mon entrecuisse, le temps que je réagisse, au moment où je veux m'éloigner, il m'a attrapé le string au niveau du sexe en disant à voix audible, "je vous ai vu prodiguer des bons soins à mon voisin le soir, si vous saviez dans l'état que j'étais les trois derniers jours".

J'essaie de me reculer, mais appuyé sur ma jambe gauche avec la droite en arrière, je ne peux que lui chuchoter d'arrêter, sa main est active, il me chuchote, "mon voisin est parti, mais je peux le remplacer". Je fais des, « mais je, non ce n’est pas, arrêtez, je, mais non », en clair, je n’ai rien à dire.

Sauf mentir en étant prise la main dans le sac, même si c’est lui qui a la main et que le sac, c’est moi, je tente de pousser sa main, de me dégager aussi, mais je suis plus en déséquilibre à tomber sur lui, je ne peux pas non plus lui toucher là ou ça lui fera mal, manquerait plus qu’il dise, « la semaine dernière elle se faisait reluire par mon voisin de chambre après les visites des chambres, là j’ai essayé de demander la même chose, et elle m’a appuyé sur les cotes, bonjour, la réputation, sachant que si je suis là, c’est pour me punir de pas avoir voulu me laissez faire.

Nous sommes mardi, et depuis samedi, je n'ai rien eux de sexuel, de plus je me réservais un peu pour mon coquin, mes demandes d'arrêter deviennent de moins en moins crédibles, de moins en moins nombreuses, fatalement, je succombe, il le voit, il me dit, "regardez ce que j'ai pour vous sous les draps", dans le noir, le terme regarder signifier se rendre compte par le toucher.

Je ne bouge pas d'un poil, ou plutôt l'envie de bouger se fait de plus en plus sentir et puis zut, de quel droit me priverais-je de ce qui m'arrive, je ne suis pas mariée, j'ondule mon bassin pour profiter pleinement de sa main et je me décide à attraper par-dessus le pyjama, ce qui doit se trouver sous le drap.

Cette fois ci, il n'y a personne d'autre dans la chambre, j'attrape à présent ce qui est dans le pyjama et je ne suis pas déçue, houuu fait-il dés que je lui attrape, je commence à le masturber mais il m'arrête vite fait, c'est de la nitroglycérine et elle est très instable dit-il, je me dis qu'en effet, depuis plus d'une semaine qu'il est la, moi-même au bout de 3 jours, j'ai le feu au cul, alors lui, ça va me péter au visage.


Je tarde à arrêter et il me dit "laisse, laisse, j'ai envie de te bouffer la chatte", je ne me fais pas prier, seulement lui, il a les deux jambes dans le plâtre, les cotes encore douloureuses, mais quand on veut, on peut, je retire mon string et je me mets à genoux sur lui, lui tournant le dos, un pur bonheur, par moment, je me soulève pour le laisser respirer un peu et je recommence.

Sa langue s'active, et il me semble qu'au bout d'un moment, qu'elle se rapproche de plus en plus de mon anus, que va-t-il penser si je laisse faire, mais que vais-je louper si je l'empêche, chaque approche de sa langue pèse dans la balance, puis à force d'approcher, fatalement, on est arrivé.

Handicapé par rapport à son voisin de chambre, il agace mon clito pendant que sa langue me lèche la rondelle, pendant ces moments-là, on a des lueurs de lucidité, si la collègue rentrait à cet instant, ça serait la fin du monde, elle le dirait à une bonne copine qui le dirait à d’autres bonnes copines et tout l'hôpital serait au courant.

Mais les lueurs lucides s'estompent très vite contre l'orgasme qui arrive, afin de ne pas faire de bruit, nous chuchotons, quand je dis "nous", je devrais dire "je", il n'y a que moi qui parle, par expériences, je sais que les hommes aiment savoir l'effet qu'ils nous font, ça les stimulent pour nous faire du bien, je l'encourage donc avec des, "oui , continu, t'arrêtes pas, c'est bon ta langue, ton doigt sur mon clito appuis plus fort, oui comme ça, tu sens, tu sens, ................, haaaaaa je jouis.

Le pauvre, il devait suffoquer, souffrir aussi, il n'est pas ici pour un ongle cassé, mais pendant ces moments-là, seul ce qu'on ressent compte, pendant que je me remets de mon pic de plaisir, tout en continuant à apprécier ce qu'il continue à me faire, j'entends des flocs, bruit typique qui indique que j'ai du bien le débarbouiller, quelle salope je fais, moi qui m'avais promis de ne pas recommencer avec un patient.

Le plaisir à ses raisons que la raison ignore, je me rassure en me disant qu'après lui, il n'y a pas un autre voisin, que je tiendrais ma promesse après je bouge pour pouvoir à mon tour lui prodiguer de bons soins, malencontreusement, je lui remue les cotes, celles-ci sont encore fragiles, je me mets donc au sol et commence à le masturber, quel dommage que je n'ai pas emporté mes caoutchoucs, je pensais ne plus en avoir besoin.

Le plaisir que je lui procure lui tire sur les cotes, continu, continu, dit-il, j’ai suffisamment d’expériences et de dextérité pour dégorger un poireau, celui-ci comme un autre, je m’active et je sens que le patient est impatient, son souffle s’accélère, il maîtrise l’ondulation de son corps, maîtrisant un équilibre entre la douleur et le plaisir, un râle étouffé sort de sa bouche, son bassin reste immobile et il explose, reprenant ses ondulations.


Telle une virtuose, (c’est ce qu’il m’a dit.), après l’avoir masturbé à grande vitesse, j’accompagne son plaisir en fonction de l’ondulation de son bassin, il me félicite répète plusieurs fois que c’est bon, que ça fait du bien, afin de ne pas tacher les draps, j’ai tout pris dans les mains, je vais aussitôt me rincer au lavabo, et reviens avec son gant pour finir le nettoyage.

Il se laisse faire, me disant, le service est exceptionnel ici, avant de répondre, j’entends du bruit dans le couloir, je remets le gant dans le lavabo, pendant qui se remet les draps sur lui, puis je sors reprendre mon service, je vois une lampe allumé, j’y vais aussitôt, et ramasse un oreiller tombé, ma jeune collègue arrive, je n’avais pas éteint l’alarme d’appel, pour justement justifier mon absence.

Zut, je n’avais pas éteint, dis-je, pas grave me répond t’elle, on discute comme tout le temps, est ce le fait d’avoir été baisé, je la trouve bizarre, trop souriante, mais la nuit se passe normalement, j’ai été revoir mon nouveau coquin, qui m’a tripoté en me demandant de revenir demain soir, j’ai juste sourie comme réponse, le mal est fait, même bien fait.

Le lendemain, ma jeunette était là, à m’attendre, du moins c’est l’impression que j’avais, toujours souriante, le sourire qui a l’air de vouloir dire, « je sais ce que tu fais », les nuits se suivent et se ressemblent, à quelques détails près, bien évidemment, je ne traîne pas, je prends les constantes de mon couloir, ne finissant pas mon coquin.

Celui-ci m’attendant avec impatience, passant sa main sous ma blouse direct, mes patients fait, tout allait bien, je pouvais me donner du bon temps et aussi à mon grand blessé, pour des raisons pratique, exceptionnellement, je n’ai ni string, ni soutif, je garde la blouse au cas où mon patient me la déboutonnerait.

Après la langue et un changement de position où je me trouvais monté sur son sexe en lui tournant le dos, faisant des flexions des genoux, avant un orgasme qui arrivait, ma blouse complètement ouverte, les seins en avant, la porte s’ouvre et se referme aussitôt, nous replongeant dans le noir.

Avant que je ne réalise, tentant de refermer ma blouse, elle me dit, « vire dans la salle de bain et chut », je ne réfléchis pas, je m’exécute, elle allume son chevet et dit au patient de faire celui qui a mal aux cotes parce qu’il a fait un mauvais geste, on frappe à la porte et un médecin entre.

Médecin de jour qui n’a rien à faire là, nous avons appris ensuite qu’un autre médecin lui avait dit que la nuit, il y avait 2 canons à l’étage, un vieux beau divorcé voulant de la compagnie horizontale, je m’habille en vitesse, la collègue fait les recommandations au patient et pousse le médecin vers la sortie.

Une fois partie, je sors, le patient me demande, si la collègue savait, je réponds que non, je fais « hou lala hou la la » et je sors lentement, en regardant qu’ils soient bien dans notre petite pièce, je suis nue sous ma blouse, et je n’ai pas le temps d’aller chercher mes dessous, surtout que je dois passer devant notre petite pièce.

Je rentre et fais celle étonnée en l’apercevant, le médecin a son badge de docteur, donc notre supérieur, elle me le présente en me répétant ce qu’il lui a dit, son excuse fallacieuse, il nous a emmerdé un bon ¼ d’heure avant que le premier patient n'appelle.

S’étant regardé toutes les deux, quand je suis revenu, je suis passé dans une autre chambre ou je savais le patient avec le sommeil lourd et j’ai sonné, quand elle est sortie, je lui ai dit que c’est moi qui avais sonné et qu’elle fasse pareil, seule avec lui, il me joue la drague basique, tout en me lorgnant, heureusement ma blouse était complètement fermée.

Ça sonne, quand la collègue arrive, je vais dans la chambre, et je refais la même chose en sortant, après quelques autres coups de sonnette, le lourdaud en a eu marre et est parti, en regrettant de devoir nous quitter, il me restait à affronter la collègue seule à seule, quand elle revient je lui dis, « je, enfin, je voudrais, enfin tu vois », j’allais dire la phrase idiote du ce n’est pas ce que tu crois.

Du même genre ou le mari rentrant à l’improviste, voyant sa femme se faire limer par un autre homme et où elle lui dit que ce n’est pas ce qu’il croit, à ce stade, on ne croit plus, on est certains, ne voulant pas me ridiculiser plus encore, je ne dis rien, et elle me dit, en venant d’asseoir à côté de moi qui remplie le cahier.

« Hé, tu sais, tu n’as pas à te justifier, que crois tu qu’il venait faire le schnock, le patient ne se plaint pas de tes soins, alors laisse tomber la neige, je me sens mal d’être en tord et ne pas savoir quoi dire, c’est elle qui rompt le silence et dit, « tu sais le temps que je rentre, ça éclairait, et j’ai vu que tu as de très beau seins qui se tiennent bien, il a de la chance dans son malheur le 208 (pas Peugeot, numéro de chambre).


Ce disant, elle me soupèse un sein et fait de même avec le sien, à un homme, j’aurais rouspété, mais une femme, qui de plus, vient de me prendre la main dans le sac, ou plutôt, avec l’épée au fourreau, tout en me sauvant la mise, changer le sujet, de ce qu’elle a découvert m’apporte une bouffée d’oxygène.

Repensant à tout ça, je réalise qu’elle est entrée directe dans la chambre, sans hésitation, pour me sauver, car il ne faut pas se faire d’illusion, si le vieux beau m’aurait surprise, je passais dans son lit ou je passais à la porte, j’aurais choisis la porte, mais j’aime ce que je fais, le patient qui arrive en puzzle et qui repart en entier, c’est ce qui nous motive, car ce n’est pas le salaire, loin de là, sinon, on resterait couché jusqu'à midi.

Je suis sans voix, elle me tripote un sein, et cela me semble moins pire, que crever l’abcès, de lui poser la question sur ce qui c’est passé, elle sent ma gène, mon silence est sans appel, et elle le devine en disant, « tu sais, personne n’en saura rien, tu es très sympa », je reste les yeux sur mes notes et lui demande depuis quand elle sait.

Elle me dit, « ton comportement, ton teint quand tu revenais et une fois, je t’ai vu rentrer dans la chambre et vu le temps que tu avais passé, pareil le lendemain, et à ta tête, c’était facile à deviner, mais ne t’inquiète pas, ça restera entre nous 2, nous 3 même ».


Je la remercie de m’avoir prévenue, elle me dit qu’elle est bien avec moi, qu’elle n’a pas envie qu’on soit séparée, elle me lâche et éteint la lumière, puis revient derrière moi, nous sommes éclairées par le couloir, elle me caresse le cou, je fais, « tu …. » Chuuuut, fait-elle en me soupesant les seins et me les attrapant d’un coup.

Je fais, « mais qu’est-ce que ….. », chuuuut, laisse, c’est moi qu’il faut qui te parle et ce n’est pas facile, alors ne dit rien, ses mains remontent sur le haut des seins, j’ai dès le départ compris ses intentions, maintenant, ils sont sans équivoque, elle retire le bouton du haut de ma blouse, je fais un « tu », elle murmure « chuut » en retirant un 2 eme puis 3.

Et passant ses mains dans le décolleté, elle me pétrit les seins, j’ai été interrompue avant l’orgasme, la peur d’avoir été découverte m’a coupé l’excitation, maintenant, je vois qu’elle ne dira rien, avec ce qu’elle me fait, nous devenons complice, l’excitation revient, elle s’enhardit par mon laxisme, mes tétons durcissent, elle sait qu’elle me fait de l’effet, elle m’embrasse dans le cou, je mets ma tête en arrière, je suis foutue.

J’avais quelques doutes sur son penchant sexuel, ils s’envolent tous, dès le départ, elle me matait, elle n’a pas froid aux yeux, malgré ce qu’elle sait sur moi, je pourrais dire, mais qu’est ce que tu fais, je ne suis pas gouine, je préfère être viré comme une salope qu’un patient a sauté, que comme une gouine, (c’était une autre époque.), même si moi aussi, je suis des deux bords avec une préférence sur les hommes.

Elle est douce, elle caresse bien, son souffle s’accélère, je la sens excitée, ce qui m’excite davantage, je frémis sous ses caresses, c’est le moment ou elle me dit, « lève-toi », je me lève et elle m’entraîne vers l’armoire à pharmacie derrière, elle me fait face et déboutonne le reste des boutons, elle colle sa bouche sur moi, pendant que nos langues se mêlent, sa main va entre mes cuisses et dès qu’elle touche mon sexe, je sursaute de plaisir.

Un appel d’une chambre s’allume, elle me dit, « j’y vais, retire ta blouse pour quand je reviens », en moi-même, je me dis, pas de bol aujourd’hui, je jouis quand moi, et bien sur que je vais me mettre à poil, mais au moment ou je retourne sur la chaise, je me dis que je serais bête de pas en profiter, elle n’est pas mal cette jeunette, elle va surement me doigter, humm, peut être me sucer hummmmm, je n’ai pas envie de la décevoir.

Je retourne derrière et défais ma blouse, je suis complètement nue dans la pénombre, je commence à vouloir me caresser, mais la revoilà, hé pas de ça murmure t’elle, elle me tourne sur le côté, de façon à ce que la lumière de dehors m’éclaire, elle me suce le sein et passant sa main entre mes cuisses.

Elle m’enfonce son majeur et fait des va-et-vient, elle me dit en lâchant le téton, « j’ai eu envie de toi dès que je t’ai vu ».
Je repars de plus belle, elle me regarde gémir, j’attrape sa bouche avec la mienne et ça y est, l’orgasme arrive, il est là, je jouis, elle s’active, je la lâche, je retiens mes gémissements, enfin la délivrance, j’ouvre grande la bouche de plaisir, elle m’embrasse pour me faire taire, nos langues se mêlent.


Elle continue de me baiser avec son doigt, nos bouches se séparent, un deuxième orgasme arrive, elle me fixe, abandonne toi dit-elle, oui continue dis-je, je la regarde aussi, ça y est ça vient, doucement, mais sûrement, elle le voit, elle accélère et la pressant contre moi, je jouis à nouveau, elle continue un peu, plus doucement, puis stoppe en m’embrassant à nouveau.

Elle reprend mes seins qu’elle tripote et suce, pendant que je reprends mes esprits, c’est là que je vois 2 appels, je lui indique, l’un est mon patient coquin, je le rejoins et elle va voir l’autre, arrivé dans la chambre, à côté de lui pour parler doucement, il passe sa main sous la blouse, ou il ne rencontre pas d’obstacle.

Je suis encore trempée, bien trempée même, il me le fait remarquer, je lui raconte un bobard et lui dis que je n’ai pas le temps, que le docteur qu’il a vu passe tous les ¼ d’heure, il me montre son sexe prêt à jaillir, je lui attrape et lui dit que je lui fais juste une branlette hygiénique, et que c’est le maxi que je puisse faire, une fois fait, je lui dis que j’en saurais plus demain.

Je suis soulagée sexuellement, mais ma collègue, elle doit vouloir sa part, n’étant plus autant excitée, connaissant sa situation, plutôt que de lui rendre la pareille, je lui demande si elle ne préfère pas venir dormir à la maison, cette fois-ci, c’est moi qui la chauffe, elle me dit, « tu as envie », oui dis-je, disant qu’elle a envie de me bouffer, je réponds que moi aussi et qu’ici, c’est un peu frustrant.

La nuit se passe, on se pelote quand on se croise, j’ai remis le string et soutif, et le matin, on se retrouve chez moi, une douche ensemble et au lit ou nous avons parcouru nos corps, je lui ai donné 3 orgasmes, un avec ma langue, l’autre avec un gode et le troisième ensemble avec un gode double en longueur ressemblant à un phallus à chaque extrémité, nos sexes croisés.

Sérieuses, nous avons décidé de s’endormir, au matin, nous avons discuté, disant nos pensées, elle savait que je me tapais quelqu’un et a découvert qui c’était, je me doutais un peu de son penchant pour les femmes, nous avons refait l’amour.

De retour au boulot, après nos visites, je cherche comment lui dire que j’ai un coup de bite à prendre, elle le devine et me dit qu’elle n’est pas jalouse, avant de partir voir mon patient, elle me demande si elle peut venir voir ce qu’il me fait, sourire valant acceptation, je rejoins mon patient après avoir fait les visites.

Il commence à me tripoter, je monte dans le plaisir, vous avez gardé vos dessous, dit-il, je réponds, « oui, je n’ai pas envie d’être surprise comme la dernière fois », il commence à défaire le troisième bouton de ma blouse, quand un bruit de tôle se fait entendre, je me remets bien, j’allume son chevet et je lui signale qu’on vient.

Je reste ainsi, je sais que c’est ma collègue, je fais celle qui le remet bien dans ses oreillers, il joue le jeu, en faisant celui qui a mal et me remercie de l’aider à se mettre confortablement, horreur, ce n’est pas elle, mais le médecin emmerdeur, le faux-cul en ouvrant la porte fait, oups pardon et repart.

Mais s’il m’a vu dans mon ouvrage, il a également vue mes boutons défait, je chuchote « l’emmerdeur » et je regagne la petite salle, ou il m’attend, ma collègue est encore occupée, je me retrouve seule avec lui, autant je respecte le titre de médecin, autant certains me gonflent, il me fait un grand sourire en me demandant si tout va bien, chose dont il n’en a rien a faire, ma réponse est de même nature, mais je ne peux pas me le mettre à dos, j’ai déjà suffisamment d’ennemis du même acabit.


Comme j’avais deviné, il me parle de ma blouse, boutons défaits, que je n’ai pas remis, car si j’en ai 3 défaits pour aller voir les patients, et que je les reboutonne ensuite, ça serait louche, nos estropiés vont faire une crise cardiaque en vous voyant ainsi, laissez moi vous dire que vous êtes très sexy, vous valez le plus performant des pacemakers.

Je les reboutonne en disant, « ce soir, de soulevez tout le monde pour les redresser, ça m’a donné des suées, et dans leur état, ils ne s’occupent pas de ma blouse », la blouse non, mais de ce qui est dessous, sûrement, surtout quand il n’y a rien, j’ai un mouvement de surprise et il me dit, « touché », je lui dis que j’ai des dessous, il me répond, ce soir oui, mais pas l’autre soir.

Je ne sais pas quoi répondre, je ne peux pas lui dire qu’il se trompe, et ne peut pas lui dire qu’il a raison, mon silence me trahit, je tente quand même un gestes des yeux regardant en l’air, il s’approche, je recule en allant à l’arrière faire celle qui cherche un somnifère, mauvais réflexe, il me suit et derrière moi, il passe ses mains autour de moi, pour m’attraper les seins.

Mais mais vous êtes fou, arrêtez, qu’est ce qui vous prend, dis-je tout bas, en me débattant, insuffisamment, car je ne veux pas me le mettre à dos non plus, je me suis déplacé d’un quart de tour et je suis face au mur, il m’y pousse en douceur, n’attendant pas que je sois visible du couloir, et plaquée, il presse son sexe sur mes fesses.

Mes seins prisonniers, son sexe dur sur ma raie, je cherche un moyen de me dégager sans brusquer, dans mes pensées, je ne fais pas attention à ce qu’il me dit, du genre un WEEK-END tous les deux à la mer, ou encore une mutation, j’étais jeune à l’époque, mais il y a longtemps, que je ne croyais plus ce genre de balivernes, qui s’estompent comme un phallus ayant éjaculé.

Trop fière ou trop conne peut être, mais fauchée ça, c’est certains, sinon, je lui aurais mis une gifle dont il se rappellerait encore, mais pour l’instant, mon gros souci, c’est de me débarrasser de cet emmerdeur, j’entends des pas et lui dis, « arrêtez la voilà », en me dégageant et allant remplir le cahier sur la table, la collègue voit ma tête avec les yeux en l’air, devinant ce qui a dû se passer.

Une lumière est allumée, je m’y rends en vitesse, je dorlote le patient, je ne suis pas pressée de revenir dans la petite pièce, quand j’y retourne enfin, il était parti, ouf, me dis-je, je raconte tout à la collègue qui se marre et qui me refait la même chose, moqueuse, je lui dis, promet moi la lune, lui, il m’emmenait dans un hôtel 5 étoiles aux Seychelles dans son jet privé.

Il t’a dit ça, me demande t’elle, je dis oui, mais tu parles, il aurait joui avant de téléphoner pour réserver et il m’aurait laissé à une station de métro, sans me payer le ticket, je suis sur, tu connais bien les hommes me dit-elle, mais moi, ce sont les femmes que je connais bien, et ma main à cet endroit, je sais ce que tu ressens, joignant le geste à la parole, elle me touche le sexe.

Arrête dis-je, j’en ai marre, cette nuit, tout le monde m’excite et ensuite, je fais ceinture, car on est constamment dérangées, on va faire une pause et on réglera ça chez moi en rentrant, chose qu’on a faites, le lendemain, craignant que l’emmerdeur ne revienne, je fais juste une branlette à mon patient coquin.
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Histoire de annizette

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