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Rencontre au feu rouge

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Lue : 50369 fois - Commentaire(s) : 8 - Histoire postée le 03/10/2010

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Rencontre au feu rouge. Elle était en retard. Inquiet dans la courette de l’auberge, je guettais le passage des voitures sur la route. Elle ne viendra pas pensais je désolé, c’était trop beau ! Mille fois j’avais imaginé ce rendez vous galant, les caresses, les positions que nous allions prendre pour jouir, j’en avais le droit car jusqu’à ce jour elle m’avait prouvé son tempérament, un tempérament de feu.

Nous nous étions connus drôlement, chaque jour ou presque nos voitures se croisaient ; nous l’avions remarqué l’un et l’autre et amusés nous nous adressions des bonjours amicaux. Je ne voyais que son visage, c’était une belle jeune femme souriante.

Depuis quelques jours j’attendais une occasion , j’avais préparé un petit mot et tracé simplement Pierre et mon numéro de téléphone au bureau, j’eus de la chance car stoppés de part et d’autre d’un feu tricolore, je bondis de ma voiture et avant qu’elle ne redémarre je pus lui tendre mon papier qu’elle prit en souriant.

Sa réponse fut rapide, dans la matinée même le téléphone sonna, je décrochais et j’entendis Pierre ?
oui c’est moi....., c’est vous ?
c’est moi, Michelle, pourquoi ce mot ?
Parce que vous êtes belle et que j’aimerai vous voir
Pour quoi faire ?
Nous verrions Michelle, nous ferons ce qu’ils nous plaira
D’accord mais comment ?
Le midi, durant l’heure de déjeuner
Bien mais où ?

Cela ne traîna pas, nous convinrent pour le lendemain d’un petit parking près d’un parc où nous serions tranquilles.
Je m’habille comment ?
Comme tu veux Michelle, il vaudrait peut être mieux une jupe un peu ample
Et une culotte un peu large peut être ? Quel culot mon petit Pierre
Tu viendras ?
Peut être, tu verras bien

Arrivé le premier, je vis sa voiture se garer près de la mienne, je descendis, elle m’ouvrit la portière passager et je m’assis à côté d’elle .
Tu es venue, merci.... attend je te regarde...... tu es belle Michelle, encore plus belle que dans mon souvenir
Merci !
... j’ai envie de t’embrasser, de te serrer dans mes bras

Elle ne disait rien, mais elle se pencha de mon côté quand je passais mon bras, elle tendit ses lèvres ouvertes à ma bouche et jamais baiser ne fut plus violent et passionné, nos langues mêlées. Ma bouche quitta ses lèvres pour son cou, je la sentais frémir et s’ouvrir, elle se laissait faire en gémissant, je lui mordillais le gras de l’épaule en lui caressant les seins, ils étaient fermes et pointus. Je lui repris la bouche et passais ma main entre ses cuisses ouvertes, sa culotte de satin était bien ample, je n’eus aucun mal à l’écarter, sa chatte était toute mouillée d’un miel de plaisir, Michelle poussa un petit cri quand mes doigts la pénétrèrent et s’agitèrent en elle.

Brusquement nous reprirent une position correcte car une ronde d’agents passait à proximité, après nous avoir observé et ne remarquant rien de louche ils s’éloignèrent.
C’est cela ce qu’il nous plaira mon petit Pierre ?
C’était bon vous ne ...
Au point où nous en sommes on peut se tutoyer
J’ai beaucoup aimé et toi Michelle ?
D’après toi ?
Tu avais l’air bien toi aussi, tu étais toute mouillée et moi regarde

J’avais pris sa main et la guidais sur moi
Tu m’as l’air de bander... attend que j’examine.... bigre tu dois être drôlement serré dans ton slip. Attends ils reviennent on va aller faire un tour dans le parc.

Nous sortirent de sa voiture et c’est là que je me rendis compte de sa stature, c’était une grande femme, une belle femme, des seins magnifiques, une croupe d’enfer, de celle qu’on rêve enlacer, chevaucher. Je lui pris la main et nous entrèrent dans le parc quasiment désert, sans nous le dire nous cherchions un coin tranquille
Tu arrives à un bon moment Pierre, profites-en

Je ne saisis pas tout les sens de cette phrase, j’avais remarqué depuis le début qu’elle était mariée et ne s’en cachait pas. Etait elle en froid avec son mec ou avec un amant ? ne la trompait il pas ? Assurait il ?
Tu es belle sais tu ? tu as du sexe appeal Michelle, tu aimes faire l’amour, c’était bon tout à l’heure
Tu embrasses bien, voilà longtemps que je n’avais eu ce plaisir
Celui là et d’autres que j’aimerai te faire
Quoi donc, tu m’excites
Tout ce que l’on peut faire en une nuit
Tout ?

Pourquoi tu as des interdits ?
On ne m’a pas tout fait malheureusement mais avec toi tout serait permis
Tu me prendrais dans ta bouche ?
oui bien sur, ton sexe..... tes couilles aussi
et dans ta chatte ?
évidemment
Dans ton....

Dans mon cul oui oui oui, arrête cela m’énerve de ne pas le faire tout de suite, et toi que me ferais tu ?
Je te ferais jouir avec mes mains..... avec ma bouche
hemmmm !
avec ma langue entre tes lèvres
les lèvres de ma chatte ? tu me sucerais ?
oui, tu aimerais ? je me servirais d’un god
un godemichet, tu en as ?
Oui de beaux, je pourrais les voir te fourrer tandis que je te lécherai le clito
Arrête Pierre arrête, je n’en peux plus de toutes ces promesses.

Nous étions dans un bosquet, nous nous jetèrent l’un contre l’autre en grognant de plaisir, nous nous frottions nos ventres en nous roulant une pelle. Un banc était là pour nous accueillir, sans attendre je lui caressais les fesses et la chatte, elle me sortit le sexe, nous étions au paroxysme de l’excitation elle se mit à jouir tout de suite, en se tordant de plaisir elle me branlait ma grosse verge et en moins de temps qu’il faut pour le dire j’éjaculais entre ses doigts. Un moment encore je continuais de lui branler la chatte et en lui titillant l’anus. Jamais au grand jamais je n’avais vu une fille jouir de la sorte et si longtemps. Elle retrouva son calme et nous revinrent vers nos voitures.

Pierre passons une nuit ensemble veux tu ?
On va organiser ça
Le plus tôt possible Pierre, le plus tôt, c’est urgent !
?? Il me tarde moi aussi Michelle.... penses y, penses au plaisir que nous aurons
Elle remonta dans sa voiture, je l’embrassais tendrement cette fois, et je la vis partir.

Durant plusieurs jours nos relations se limitèrent à des conversations téléphoniques. Nous trouvions un grand plaisir à faire l’amour à distance, puissance de l’imagination, nous arrivions à nous exciter mutuellement. Michelle facilitait grandement cette fiction, nous nous parlions comme si nous étions ensemble. Nous nous isolions dans une chambre devant une armoire à glace et l’on s’effeuillait, on se caressait, nous faisions l’amour devant la glace.,

Il nous arrivait de crier notre jouissance je ressentais son émotion, ses plaintes, ses cris étaient ceux d’une fille qui jouit vraiment. Et en fait elle jouissait vraiment, Michelle me raconta qu’elle s’enfermait dans sa chambre pendant nos conversations et qu’elle se branlait cuisses écartées devant sa glace avec un gode de sa fabrication. Je lui avouais que moi aussi je me regardais me branler. La suite devint encore plus torride, son gode c’était mon sexe que je téléguidais :
Oui Michelle branle moi bien, oui c’est bon.. mes couilles aussi
Elle est grosse, je vais te sucer.... hummm
Prends en plus, lèche moi le gland, tu vois ta langue sur mon noeud.....

Durant de longs moments nous parlions de ce que nous pourrions faire
Tu sens mon sexe entre les lèvres de ta chatte ?
Attends je me centre, je m’enfonce Ahhhhh ouiii
Baise moi bien oui comme ça, plus vite, plus profond Ahhh je jouis c’est bon
Nous avions de l’imagination et une complicité sans égale, je l’encourageais
Branle toi bien chérie, ton gode c’est ma queue qui s’enfonce, qui branle ta chatte, moi aussi je suis bien, ma main c’est la tienne, c’est ta chatte, c’est ton cul serré, je te prends en levrette je vais jouir et toi mon amour ? aussi ? allons y Ahhhh je jute, j’éjacule, je souille tes fesses de mon sperm, tu sens ma grosse queue ?
Je jouis aussi, ah c’est bon ! !ouiiiiii

Sa jouissance comme la mienne n’étaient pas feintes, il lui fallait un moment avant qu’elle puisse reparler, et c’est essoufflée qu’elle me demandait quand on allait pouvoir baiser vraiment.
Nous convinrent de se retrouver un après midi dans une auberge des environs, tout semblait au point quand le lendemain je l’entendis me dire
C’est cuit pour mercredi, je rentre en clinique
C’est grave
Si on veut, je suis enceinte !
enceinte ? comment se peut il ?
C’est simple l’autre soir tu m’as tellement excitée que mon mari y a eu droit, il devait se demander ce qu’il m’arrivait car d’habitude il ne me fait pas jouir, là croit moi je l’ai presque violé, je l’ai sucé, branlé. En réalité je baisais avec toi, c’est toi qui m’a prise qui a jouit en moi, j’ai joui comme une folle grâce à toi pour le plus grand plaisir de mon Jules et à son grand étonnement. Oui mais voilà dans ma folie j’ai oublié la pilule.
Et alors
Alors je vais avorter

............. !
J’en ai pour huit jours, cela ne change en rien nos projets
non je viendrai te voir si tu veux
Voilà comment notre premier rendez vous fut reporté et aujourd’hui j’attends fébrilement qu’elle arrive. J’ai tout préparé, réservé une chambre de bon standing, je suis arrivé en avance, visité la chambre, payé d’avance et maintenant je l’attends depuis près d’une heure. C’est mort je crois.

Mais non, je vois son auto qui entre dans la courette de l’auberge, elle se gare, la portière s’ouvre, elle sort du véhicule en un écartèlement de cuisses, son sourire est timide, dieu qu’elle est grande, dieu qu’elle est belle, nous allons baiser, nous faire jouir à en perdre la raison, je me précipite vers elle en lui ouvrant mes bras.
Mais elle à l’air pressée comme si elle ne voulait pas s’attarder devant l’hôtel.
Tu as réservé ? je ne m’occupe de rien !
Ne t’inquiète pas, tout est près... pour nous
Elle sembla se détendre un peu

Allons y, Pierre. Figure toi que quand je m’apprêtais pour partir, mon frère est arrivé, cela m’a fait perdre un temps fou. Tout va mal en ce moment j’ai plaqué mon boulot.
Mince !
Je n’aime pas me faire peloter le cul au travail, même si c’est par le patron de l’auto école où j’esnseigne
Que vas tu faire maintenant ?
Nous verrons. Alors on monte ?
Viens ma chérie

Je passais derrière elle dans l’escalier qui montait à la chambre. On dit que c’est le meilleur moment. J’admirais sa démarche, sa croupe qui ondulait sous mes yeux.
C’est là, entrons
Je refermais la porte derrière nous, sans attendre Michelle se jeta littéralement dans mes bras à ma grande joie car depuis qu’elle était là sa morosité m’avait rempli de doutes.
J’attends ce moment depuis si longtemps, Pierre aime moi

Je lui pris sa bouche, mes mains parcouraient son corps, sa taille, ses seins, sa croupe, je lui mordillais les oreilles. Ma bouche glissa dans son cou serrant entre mes dents la chair sensible de son épaule. Michelle se tortillait, nos ventres encastrés. J’ouvris son corsage et l’embrassait en la léchant sous les bras. Ce fut alors un véritable cyclone.
Quittons tout me dit elle en arrachant ses vêtements et en les éparpillant au sol de la chambre
Garde ta culotte lui dis je dans un souffle
Toi, quittes tout

Nous fûmes rapidement nus tout les deux, elle avait gardé son slip, c’était une parure de satin ample avec des volants aux cuisses. Elle était magnifique ses seins fermes et pointus dressés. Avant de replonger dans mes bras, elle avait constaté mon émotion, mon sexe bandé, durci, dressé, le gland décalotté il pointait horizontal. Michelle gémit doucement quand elle saisit furtivement mon membre constatant sa rigidité, en soupesant mes couilles. Nos deux corps nus ne faisaient qu’un, quel plaisir que de se caresser sans obstacles, peau contre peau, nos bouches s’activaient, je lui pris ses seins et les suçait bouche grande ouverte
Viens lui dis je

Sans nous désunir je l’approchais du lit et serrant sa taille je l’incitais à se ployer en arrière, je la soutenais en l’aidant à s’allonger sur la couche jambes pendantes. Sans attendre je m’agenouillais en lui écartant les cuisses .
Je vais te sucer Michelle comme promis, je vais te faire jouir avec ma bouche, avec mes lèvres avec ma langue

Je savais sur elle, le pouvoir érotique de mes paroles et je l’excitais lorsque ma bouche était disponible, pour l’instant grande ouverte, dans son entrecuisses, sur son slip elle embouchait son sexe. Pour être plus libre je lui relevais les jambes en appui sur mes épaules. Je m’écartais légèrement pour la regarder, avec ma main droite j’écartais le tissus soyeux de son cache sexe découvrant sa chatte.

Quelle harmonie, une belle chatte, avec des grosses lèvres bien formées entrouvertes sur une intimité rose, les petites lèvres pointées d’un clito de bonne taille déjà bandé le tout orné d’une toison brune bien entretenue.
Que tu es belle Michelle, je vais te bouffer la chatte
Vite Pierre, tu me rends folle

Je plongeais bouche grande ouverte, la pénétrant de ma langue raidie, je l’agitais comme une folle dans sa vulve , quand je la sortais de ce puits enchanteur c’était pour remonter le cours de ce canyon en étalant cette fois la muqueuse rose et visiter entre ses petites lèvres le clitoris érecté. A petits coups de langues rapides je titillais ce petit membre jouissif.

Depuis cette attaque Michelle jouissait comme une folle , elle avait semble t’il perdu tout contrôle, ses plaintes devenaient cris, ses mouvements désordonnés, elle battait des bras ou me serrait ma tête entre ses cuisses, Par moment elle s’ouvrait au contraire pour faciliter mes caresses. Quand je la pénétrais de mes doigts ce fut pire, son bassin s’agitait en tout sens, de haut en bas pour que ma bouche plaquée sur elle fouille sa vallée luxuriante. Ma bouche avait happée en aspirant le capuchon de son clito, le pressant, le tiraillant tendrement entre mes lèvres tandis que ma langue rebranlait sa vulve de concert avec mes doigts.
Sa chatte était inondée de son miel mouillant la raie de son cul . Je n’eus aucun mal en écartant mes doigts de pénétrer aussi son anus lubrifié. Jamais de ma vie de baiseur je n’avais vu une telle jouissance, c’était comme si d’un seul coup on avait fait sauter un barrage libérant un flot dévastateur. De ma main libre je pelotais vigoureusement ses seins qui dodelinaient au rythme de ses déhanchements.

Un instant je me désaccouplais sans que sa jouissance se calme, je lui quittais sa culotte et la guidant je l’installais au milieu du lit, elle compris la position que je souhaitais, à quatre pattes, croupe en l’air, je m’installais à genoux à côté d’elle et je continuais de la servir en la caressant, une main par dessous je branlais sa chatte et par l’autre par l’arrière entre ses fesses je titillais son cul
Tu sens mes doigts, Michelle ! dans ta chatte, dans ton cul, aller chatte, tiens dans ton cul, chatte, cul, chatte, cul !

Cela ne dura que quelques secondes, en hurlant Michelle s’écroula à plat ventre sur le drap, elle se vautrait en tout sens sur ma main coincée toujours en place dans sa chatte, sa jouissance était effrayante elle battait des bras en hurlant, je ne faisait plus rien à part bouger un peu les doigts dans son sexe, c’est elle seule qui maintenait sa jouissance frottant son ventre sur la couche écrasant sa vulve sur ma main, d’un coup je me sentis étranger à ce bonheur, je n’étais alors que le prétexte de cet orgasme trop longtemps retenu, trop longtemps cérébral et qui se concrétisait avec un amant occasionnel, moi.

J’étais fier cependant de faire tant d’effet à cette femme magnifique jouissant sans retenue ni faux semblant, je la laissais à son plaisir en lui caressant ses fesses magnifiques qui se trémoussaient devant moi. Petit à petit ses contorsions devinrent reptations puis simples mouvements de circonvolutions avant de s’arrêter ma main toujours en elle cependant. Enfin elle se retourna vers moi, radieuse.
Merci Pierre si tu savais comme j’attendais ce moment

Elle s’était mise sur le dos et je l’enfourchais en la regardant
Je suis heureux de bien t’avoir fait jouir ma grande femme, tu avais l’air bien
Si tu savais comme j’attendais ce moment avec toi, je savais que j’allais jouir tant tes paroles m’excitent, j’ai vu trente six étoiles devant mes yeux
Et tu vas jouir encore je te le promets avec des appâts plus substantiels que mes mains que ma bouche
Comment tu m’intrigues ?
Regarde

Je sortis de dessous l’oreiller un gros gode très réaliste et lui mis sous les yeux
On dirait une vrai bitte, fais voir que je le touche...Hemmm c’est doux
Aller suce le pour voir... oui comme ça, tourne bien ta langue autour du gland.. aller enduit le de ta salive....prends le entre tes lèvres, il est gros... prends en plus.... c’est bien redonne le moi ma chérie et laisse toi faire

J’avais prit le sexe factice en main et je commençais à l’introduire entre ses cuisses en promenant le gland entre ses lèvres. Elle devait mouiller car l’engin coulissait grassement. Michelle commença à gémir en écartant ses cuisses, je m’allongeais en sens inverse pour mieux voir et mieux faire. Je fus rapidement fasciné par le spectacle, les grosses lèvres largement écartées par le gode se frayant son chemin du clitoris à l’anus et de l’anus au clitoris.

Au passage devant le méat de sa chatte il s’attardait et faisait mine de s’introduire, à chaque passage il devenait plus hardi, plus pressant préparant petit à petit le passage. Aux mouvements du gode se conjuguait celui du périnée de Michelle il semblait souhaiter des introspections plus profondes, mais le gland s’échappait pour aller agacer l’anus ou le clito. Malgré tout il semblait préférer la vulve ou il était mieux accueilli et il s’y attarda .

Quel plaisir pour moi de voir le gland s’introduire petit à petit dans la chatte baveuse en cherchant le bon angle, mon amante semblait apprécier et s’agitait de plus en plus en ondulant de la croupe en se soulevant pour aller au devant de l’objet jouissif, bientôt le bout disparut entièrement et le branlage commença, j’avais prit le gode par les couilles et je l’agitais en l’enfonçant peu à peu.
Pierre ! je n’en peux plus, baise moi, enfonce toi, branle moi bien, Ahhhhhh ouiiiii, continue, ahhhh elle est grosse, va plus vite, défonce moi

Je tenais le godemichet, les parties, du côté anus, comme si nous baisions face à face, j’approchais mon visage et tandis que je pistonnais sa chatte je pris son clitoris entre mes lèvres. Cette nouvelle caresse associée aux pénétrations sembla rendre hystérique mon amante, je me sentis investi à mon tour, les fesses malaxées, mon sexe prit entièrement dans sa bouche, chacun donnant du plaisir à l’autre. Brusquement la bouche gourmande m’abandonna, je compris qu’elle jouissait tellement qu’à nouveau elle était seule dans son orgasme, elle agitait son ventre en tout sens, cambrant ses reins, tordant la queue factice et infatigable dans sa chatte .

Ma main avait du mal à suivre sa croupe en furie , c’est alors que je pressais fortement les couilles, je savais pour l’avoir expérimenté que sa chatte allait être inondée par des jets puissants, onctueux et tiédis par mes mains, je n’avais pas imaginé l’effet qu’ils allaient produire sur mon amante déchaînée d’un coup, comme frappée par la foudre, elle m’échappa, elle se tordait en tout sens l’engin planté en elle, je pus la reprendre croupe en l’air essayant de se branler elle-même
Continue hurla t’elle

A cheval sur elle, en sens inverse je repris l’objet par l’arrière et tout en branlant sa vulve de toute la longueur du gode je lui instillais des giclées de foutre, je voyais sa chatte arrondie sur l’énorme cylindre s’enfoncer puis se retrousser par ses va et viens. A un moment je ressortis le sexe factice pour mieux replonger dans la vulve baveuse et béante nous sans avoir au préalable arrosé la raie de son cul, j’agrémentais la situation en pointant un doigt dans le petit trou bistre de son anus et en le pénétrant facilement, je pus bientôt en glisser deux puis trois, elle ouvrait son puits cette porte de l’enfer .

Alors sans réfléchir comme naturellement sortant le godemichet je le présentais entre ses fesses et sans attendre, d’un seul coup je sabrais son cul jusqu’aux couilles
Aieeeeee ! salaud tu m’encules, ça fait mal, sort de là...... non attend, ça va mieux, va doucement... oui comme ça.... hemmmmm plus vite Ahhhh je jouis du cul ..... accélère, plus vite, à fond... serre les couilles, arrose moi, inonde mon cul....ahhhhhhhhh

Comme avec sa chatte je sortais du cul ouvert avant de le refourrer le sperm au plus profond de ses entrailles, le cul bavait, un bruit de borborygme ponctuait les introspections, le spectacle était hallucinant.

Au bout d’un long moment le calme revint et Michelle se détendit en s’allongeant sur le ventre. J’avais retiré l’objet et je me couchais sur elle. Nous restèrent ainsi, pantelants, prostrés
Tu ne m’en veux pas chérie ? lui dis je
Elle se retourna vers moi, son visage était sérieux, ses pupilles dilatées par ce qu’elle venait de vivre me fixèrent intensément

Je ne te remercierais jamais assez pour la jouissance que tu m’as procuré, je n’ai jamais jouie autant, sans le savoir tu as assouvis mes fantasmes les plus secrets, avec toi sans retenue j’ai pu vivre ce que jamais je n’aurais pensé réaliser, mais toi Pierre as tu été heureux ?
Michelle si tu savais le plaisir que l’on a de faire jouir son amante, lui faire perdre la raison par le plaisir qu’on lui donne

Tout en parlant Michelle me caressait tendrement le sexe, bizarrement il était tout rabougrit, caché presque dans mon abondante toison, les effleurements ne le réveillait en rien. J’étais comme vidé, sans envie, alors que je n’avais rien donné, je me sentais incapable de bander malgré les efforts de mon amante
Je ne te fais pas bander ? Je ne te plais pas ? serais tu impuissant ? tu bandais pourtant tout à l’heure
Je crois que j’ai trop pensé à toi, je t’ai donné toute mon excitation, ton plaisir m’a contenté, épuisé, pardon

Michelle ne laissa pas paraître sa déception, sa main immobile sur mon sexe inerte, nous restèrent un long moment ainsi, chacun dans nos réflexions
Je vais me doucher dit elle en se levant brusquement
C’est le début de la fin pensais je ulcéré de cette fin humiliante pour moi, j’avais beau me toucher tandis que le crépitement de la douche me parvenait, impossible de bander. Je me levais penaud, rassemblant mes vêtements épars. J’ouvrais un grand placard et découvrait une grande glace qui me renvoyait ma mine déconfite.

Bon Pierre, merci encore on s’habille et on s’en va, après tout tu m’as fais jouir comme une folle
Michelle, viens voir, on n’avait pas vu ce miroir
Non et alors ?
Tu nous vois tout les deux
Oui je nous vois, que veux-tu me dire ?
Rien, si j’avais su
ça t’excite ?
J’ai toujours rêvé de faire l’amour devant un miroir
Oui mais voilà tu ne peux, tu veux que j’essaie, tu crois que j’arriverai à te donner envie de moi ?

.......
Tu ne dis rien, tu sais moi aussi j’ai rêvé que tu me baises, je pensais qu’après les accessoires j’aurai ton sexe pour me finir. Laisse-moi essayer, restons pour nous voir. C’est vrai que je n’ai pensé qu’à moi jusqu’à présent, je ne regrette rien car tu m’as fait jouir comme une folle, j’allais dire comme une pute, oui mon petit Pierre. Attends laisse toi faire à ton tour.

J’étais debout, nu devant le miroir, je vis alors la gentille Michelle se mettre à genoux devant moi et me prendre mon sexe dans sa bouche, entièrement, une douce chaleur envahie mon ventre, je sentais sa langue s’agiter autour de ma verge.
Ecarte un peu les cuisses que je te lèche les couilles ..... oui comme çà... hemmm elles sont grosses... attends laisse toi guider, laisse faire ta grande Michelle.

Elle me guida et docile je laissais faire. Allongé sur le dos face au miroir je vis qu’elle s’agenouillait ma tête entre ses genoux, elle prit mes cuisses sous ses bras en relevant mon bassin, je me retrouvais cul en l’air écartelé offrant la raie de mon cul et mon sexe à sa vue à hauteur de son visage dans mon entrecuisses poilu. Ce fut encore plus jouissif quand m’enlaçant elle me poussa les fesses en appui sur le miroir, jambes en l’air écartées

C’est ta culotte ? là par terre
oui, pourquoi ?
J’aimerai que tu me caresses avec
Ah bon çà te fera bander tu crois ?
J’aime ce contact très doux, frôle moi la verge, les bourses aussi, tout jeune c’est comme çà que je me faisais jouir

Michelle prit dans ses mains le soyeux vêtement et comme je le désirais elle commença ses caresses, entre mon sexe et ses doigts en corolle le tissus en forme de chatte frôlait ma peau, mon gland, mes couilles en caresses enveloppantes. Je me laissais faire, attentif aux attentions de Michelle. Insensiblement je le ressentais le désir monter , le gland d’abord commença à s’épanouir tandis que ma hampe s’allongeait en grossissant.

Je ne perdais rien du spectacle, Michelle encouragée par ces prémices approcha sa bouche, avec sa langue rose, comme une chatte faisant la toilette de son chaton elle me lécha la verge encore flasques et les couilles, en m’attirant vers elle sa langue allait entre mes fesses titillant l’anus. Je compris qu’elle me gobait les couilles, une après l’autre les faisant rouler dans sa bouche.

Je vis sa langue s’attarder sur mon gland et besognement l’enduire de la liqueur nacrée de sa salive. C’est alors que du plus profond de mes entrailles je ressentis l’élan du désir prendre vraiment naissance et cheminer vers mon sexe dans cette bouche à mon service. Michelle du s’en rendre compte et continua de m’exciter, elle vit mon sexe s’allonger avant de grossir, toujours tendre il se raidit insensiblement,

Michelle avait du en abandonner une partie de ma hampe ne pouvant plus recevoir la totalité entre ses lèvres elle me suçait en me branlant avec sa bouche, avec ses doigts elle me serrait la queue à sa base au ras de mes couilles, Le plus terrible, le plus jouissif, le plus bandant disons le c’est quand le bout de sa langue s’occupait de mon gland, elle s’aperçut vite qu’en le léchant par dessous là où la peau du zob s’accroche cela faisait le plus d’effet, ma bitte commençait à pulser, à se tendre, à se dresser sa grosse veine bleue dilatée, gorgée de sang .

Allongé comme j’étais, ma tête entre ses cuisses je me rendis compte que notre position l’excitait aussi, j’avais une vue plongeante, imprenable dans le compas magnifique de ses cuisses, je voyais sa chatte entre ses grosses lèvres, raie rose entre sa toison ouverte du ventre à l’anus . Depuis un moment une forte houle animait sa croupe à portée de mes mains inactives, j’aurai pu d’un geste la caresser, la branler de mes doigts, pincer son clitoris qui pointait comme un petit sexe ; mais je me retins pour mieux me concentrer sur la fellation qui me faisait retrouver ma virilité. Je me sentais gros et raide entre ses doigts dans cette bouche gourmande qui m’absorbait avec cette langue folle qui lutinait mon gland décalotté.

Ah mon Pierre, qu’elle est grosse maintenant, qu’elle est raide ! Pardon d’avoir douté de toi, pardon de n’avoir pensé qu’à moi Ah que j’aime te sucer te tordre ta queue dans ma bouche. Tu es plus gros que ton godemichet, attends je prends tes couilles aussi ahhhh tu m’excites ooooohhhh

En parlant elle se tordait en tout sens et en gémissant de désir je vis une de ses mains passer dans son entrecuisses, deux doigts écartés serrant ses grosses lèvres sur son majeur qui s’agitait dans sa fente. En haut c’était une furie qui s’occupait de mon sexe, jamais je crois je ne m’étais senti si gros, si long, si raide. Sa bouche déformée n’en saisissait qu’une partie

Ne jouis pas, garde toi, j’ai trop envie que tu me baises maintenant, laisse moi faire, laisse faire ta Michelle elle va te faire jouir à ton tour et elle va en profiter la salope que je suis, allonge toi, oui sur le dos, je te grimpe, je t’enfourche, tu nous vois dans la glace Ah quelle queue ! je la prends, je la centre sur moi, je m’empale Ahhhhhhhhhhhhhhhhh, allons y oooooooooo ouiiiiiiii

Michelle était sur moi face à moi, genoux écartés, c’est elle qui se branlait sur mon sexe, j’étais merveilleusement bien au chaud dans sa chatte ; placé comme j’étais je pouvais voir ma verge s’enfoncer entre ses fesses. De nouveau je retrouvais mon amante en folie, son visage déformé par le désir, elle s’agitait sur moi en geignant elle tordait ma queue dans son ventre, savamment elle la pistonnait sans jamais se retrouver la chatte vide, on voyait le gland entre ses lèvres replonger de plus belle dans un cri , Michelle jouissait comme elle me l’avais déjà montrer

Ah c’est bon, c’est chaud, c’est encore meilleur que le gode ahhhhh
Michelle s’était allongée sur moi et elle rampait en s’agitant entraînant ma verge dans une sarabande effrénée, elle se tendit à plusieurs reprises en me serrant la verge, elle m’écrasait de ses seins durcis sur ma poitrine et elle me prit la bouche, elle jouissait d’une manière discontinue quand elle se calmait elle s’agitait encore plus pour replonger dans un nouvel orgasme dévastateur
Tu veux m’enculer Pierre, tu veux fourrer mon cul, ouiiii, tu te laissera aller entre mes fesses, tu jouiras, attends

D’un coup elle se désengagea , elle se remit à genoux, pivota d’un demi tour et s’installa en me présentant ses fesses, je la laissait faire, j’avais une vue directe dans son entrecuisses mais cette fois c’était l’anus qui était le plus proche, je vis sa main, je vis ses doigts amadouer son petit trou bistre et le perforer, je vis sa main me saisir et me guider vers sa croupe qu’elle m’offrait en pliant ses genoux, elle présenta mon gland dans sa chatte humide pour l’enduire de son miel et me guider le gland lubrifié en appui sur son puits culier.

Quel spectacle m’offrait mon amante, je n’eus pas besoin de faire le moindre mouvement, la plus petite avancée de mon ventre, les yeux exorbités, le regard fasciné par le spectacle je vis son cul s’ouvrir sur moi sur mon gland décalotté et lentement s’enfoncer dans ses entrailles. Alors je ne pus résister nous étions comme deux fous je l’avais prise par les poignées d’amour et l’aidais à se vautrer sur moi, je voyais ma grosse queue arquée fourrer son cul, aller et venir entre ses fesses écartelées, elle comprit qu’enfin j’allais jouir
Ouiiiiiii aller décharge dans mon cul remplis moi de ton foutre éjacule en jouissant

C’est ce que je fis, je sentis monter le plaisir du plus profond de mes couilles et c’est en hurlant de jouissance que j’éclatais en elle, les mouvements de nos sexes devinrent plus onctueux et ma semence suinta de son cul arrondi sur ma hampe, Michelle se branlait également la chatte en gémissant.

Quelques instants plus tard nous nous désaccouplèrent heureux, j’avais toujours une érection maximum, Michelle louchait sur mon sexe dressé. C’est moi qui pris l’initiative, je la mis à genoux sur la moquette face au miroir et sans lui laisser le temps de réfléchir me mettant à genoux derrière elle je lui pris la chatte en levrette, je me branlais tout mon soûl, Michelle était repartie dans le plaisir et moi je m’abandonnais à nouveau en explosant dans sa vulve.
Et bien si je m’attendais ! Pierre je n’ai jamais tant joui de ma vie !

Après nous être réajustés nous quittèrent la chambre, un baiser avant de partir dans nos voitures respectives.

Je ne l’ai jamais revue, malgré toutes mes recherches.

Un mois plus tard je faisais un infarctus, depuis après mes pontages j’ai retrouvé la virilité de ma jeunesse et je pense avec nostalgie à ce que je pourrais faire avec cette amante, la plus passionnée que j’ai jamais connue.


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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Rencontre au feu rouge

Le 30/01/2022 - 16:20 par Marceline
J'ai trouve votre histoire tes excitante
Le 27/04/2021 - 14:26 par gentlman3324
Merci pour vos histoires...quelles jouissances!!!
Le 03/11/2010 - 23:58 par Paradise Kiss
C'est tellement jouissif ... Tu me fait toujours autant fantasmer Pierre, continue ainsi ...
Le 01/11/2010 - 00:34 par Adrien le petit
Idem à toi même
Le 10/10/2010 - 14:59 par lablondesophie
merci lire ça me remplit de chaleur....
Le 08/10/2010 - 16:49 par Choutex3
Tes histoires sont vraiment très excitantes ! J'Adore ! &PersonnelLement, je n'ai jamais vécu de tels instants érotiques ... Tes conquêtes ont beaucoup de chance ! Bisous ! J'attends ta prochaine histoire avec une grande impatience !

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