ACCUEIL > Lieux publics > Récit : Une journée chargée

Une journée chargée

+9

Lue : 20173 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 28/08/2010

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Une journée chargée ou le jour où j'ai rencontré mon amant ...

C’était il y a quelques années, au début du mois de juin. Je venais de trouver une mission très particulière dans une grande entreprise. Je laissais chaque matin mon mari et mes enfants pour analyser les performances d’une base de données aussi lourde et mal conçue que possible. Ma hiérarchie m’avait trouvé un bureau sans fenêtre et sans climatisation. Je passais mes journées enfermée dans ce bocal sans air, à la lumière des tubes fluorescents et des trois écrans nécessaires à ma tâche.

Il y avait dans l’équipe pour qui je travaillais un jeune homme vraiment beau. Je le croisais souvent à l’heure du déjeuner ou à la pause. Il avait un regard tendre, et son corps avait dû être sculpté par Michel-Ange en personne. Malheureusement il s’occupait de la conformité des saisies, nous n’avions donc aucune interaction professionnelle. Selon ce que j’avais entendu dire, il était en couple avec une fille d’une vingtaine d’années, le même âge que lui. Cette idée du temps qui passe s’installa dans mon esprit à force de regarder cet homme. Si j’avais eu vingt ans …

Les semaines s’écoulèrent et au milieu de l’été, toute l’équipe fût auditée. Cet audit allait décider du sort de mon poste, j’étais évidement stressée au plus haut point, j’avais nerveusement préparé mes chiffres, et porté quelques conclusions sur la structure de la base de données. J’avais pris la liberté de composer quelques procédures pour corriger les redondances les plus absurdes. Le matin de l’audit tout le monde était nerveux. Les contrôleurs passèrent et je me retrouvais en salle de réunion à coté de mon jeune homme aux yeux si charmant. La réunion étant très détendue, mon stress laissa la place à des sentiments de désirs de sexe envers cet homme. Je rougissais à l’idée de toucher ce corps, j’imaginais ses mains sur mon bassin. Ces visions plutôt sages m’excitèrent au plus haut point, je sentais la moiteur envahir mon entre jambe. Et je manquais littéralement de perdre connaissance quand Julien mis sa mien sur la mienne en me demandant si je voulais un café. La fin de la réunion fût un combat sans merci entre mon désir de construire mes fantasmes et mon obligation d’écouter attentivement les consignes, les objectifs ...

L’auditeur nous libéra à l’heure du déjeuner, toute l’équipe se dirigea vers un bon restaurant, et j’évitais astucieusement de m’asseoir à coté de Julien. En fait il se retrouva exactement en face de moi, ce qui était bien pire. Ou bien mieux.

Le repas fût joyeux et arrosé. En sortant de la salle, Julien me saisi par le bras, et d’un seul coup tout alla très vite. Sans un mot ou presque il me guida loin des autres, et aussitôt qu’il en eu la possibilité il m’embrassa tendrement. Mes jambes se coupèrent net. J’étais si émue que j’avais l’impression de n’être plus dans mon corps. Ses lèvres étaient tendres, sa langue me caressait doucement. Il m’enlaça doucement. Je goûtais chacun des mouvements de sa bouche, me perdant dans les sensations, oubliant tout du contexte. C’était si bon. Nos bouches se séparèrent, nos regards s’évitèrent et il proposa la salle des serveurs. Je le suivais dans les couloirs de la société, j’avais totalement perdu le contrôle de mon être. Une fois dans la salle obscure, il me prit par la taille et me posa sur une table. Cette position me faisait mal, mais quand je senti son corps musclé se plaquer contre moi, je ne senti plus rien que cette envie folle d’être pénétrée. Je n’arrivais pas à réaliser, il m’embrassait maintenant avec plus de fougue, son cœur battait vite, le mien avait du s’arrêter. Je passais mes jambes autour de sa taille, je sentais son sexe …

Je ne sais pas comment il pu le libérer aussi vite, et comment il fît pour contourner aussi habilement ma culotte. En quelques secondes j’avais sa queue à l’entrée de mon vagin, mouillé comme jamais. Il prit mille précautions pour me pénétrer en douceur. Je n’en pouvais plus de désir, les sensations irradiaient la moitié de mon corps, ses coups de bassin était à la fois profond et d’une douceur infinie. Je me débarrassais de mon haut et très maladroitement je laissais sortir un de mes seins, je ne voulais pas qu’il les voit, ils étaient bien trop lourds et bien trop disgracieux à mon goût. Mais sous le flot de plaisir que provoquait en moi la simple vue de mon amant en train de me sauter si délicatement, je glissais ma main cachant mon énorme sein vers sa nuque, et de la deuxième je tentais de prendre ses fesses, sans succès, car il accéléra vivement la pénétration, déclenchant malgré moi de puissant cris. Il se coucha sur moi, le poids de ce corps était un délice, j’allais jouir dans un hurlement de plaisir quand je senti son torse se raidir et sa queue s’enfoncer profondément dans mon sexe pour y déverser sa semence. Il se vida en moi avec force avant de comprendre que pour ma part l’aventure ne s’était pas terminée d’une façon aussi agréable.

Il se releva, l’air vraiment gêné, tandis que j’essayais de remettre de l’ordre dans mes émotions. J’étais assailli du plaisir d’avoir eu une relation avec cet homme. Il m’avait possédé par surprise et fait de moi ce qu’il voulait. Il m’avait sauté. Quelle fierté d’avoir séduit mon amant au point qu’il ne puisse pas se contrôler. Mais quelques secondes de plus et j’aurais aussi eu un orgasme, et ça … La frustration se mélangeait à la honte d’avoir eu une relation extraconjugale. Et le tout donnait mon ressenti actuel, la seule chose qui s’annonçait clairement en me regardant dans le miroir des toilettes : j’allais passer une drôle d’après midi.

En sortant des toilettes, il m’attendait. Toujours aussi penaud, il me prit rapidement par la taille, il m’embrassa et pris le temps de s’excuser. Il me donna rendez vous au même endroit à la pause, cette fois, il n’y aurait pas la même intensité, mais il me fît la promesse d’être un amant à la hauteur cette fois. Il me chuchotait ça à l’oreille tandis qu’une de ses mains caressait doucement mon dos, et que l’autre enveloppait délicatement mon sein gauche. N’importe quelle femme lui aurait mis une claque. Mais moi je fondais. On prit l’ascenseur pour retourner en compagnie de nos collègues, ces derniers n’avaient rien remarqué de notre absence, ou ils firent semblant de n’avoir rien vu.

L’après midi fût longue. Je montrais mes bilans aux auditeurs, tout se passait bien mais j’avais l’impression que toute la boite était au courant que Julien m’avait baisée dans les sous sols. De ce fait j’évitais les regards de tout le monde, j’avais envie d’être loin de ce lieu, j’avais envie de revenir en arrière et de refuser ses avances… Je n’étais pas vraiment concentrée sur mon travail. La dernière épreuve avant la pause, que j’attendais avec envie et frayeur, était de présenter un bilan sur les capacités de la base de données à un des auditeurs dans la salle de réunion. Je croisais Julien sur le chemin, mon cœur se mit à battre la chamade, comme une adolescente amoureuse de son prof de dessin. Et je rentrais ainsi complètement déstabilisée dans la salle de réunion.

Le responsable me salua très poliment, et me mis à l’aise très vite. Au bout de quelques minutes j’avais la gorge sèche, et je trouvais mon rythme de croisière dans mon exposé. Puis tout s’enchaîna très vite, il passa derrière moi et me pris les seins fermement. Ce n’était pas vraiment un bel homme, il était très typé, de petite taille et bedonnant. Il n’avait vraiment aucun charme, alors quand je senti l’étreinte de ses mains sur ma poitrine j’étais prête à hurler. Mais il avait anticipé et il lâcha un sein pour me bâillonner sans violence mais fermement. Il me chuchota qu’il avait envie de moi, et des choses très crues sur mon physique. Il baissa son pantalon, et fit sortir un sexe énorme de son caleçon. J’acceptais de recevoir l’engin en bouche, prise de je ne sais quelle pulsion érotique, je me concentrais à sucer son membre. Il semblait apprécier mes attentions, mais très vite il mit fin à la fellation, il me releva et me coinça sur le canapé au fond de la salle. Il me bloquait de tout son poids, en continuant de m’expliquer qu’il allait me sauter. J’aimais ses mots, on était loin de mon aventure de midi, mais ce vieux dégueulasse avait réveillé en moi une forme de dépravation totale, j’avais envie de me faire baiser sur ce canapé. Il le fit, sans aucune précaution, il m’empala avec force. Son sexe était vraiment gros, il me fit mal. Je l’insultais, alors il me pilonna le bassin avec de grands coups de bite, tandis qu’il mit son index dans ma bouche. S’en était trop pour moi, j’ai eu le meilleur orgasme de ma vie, là, baisée par un petit gros au visage bouffi sur le canapé de la salle de réunion. Il s’en aperçût et ne me laissa pas le temps de reprendre mes esprits, il continua ses va et viens avec encore plus d’amplitude et de force, j’avais tellement de sensations que ça en était presque devenu désagréable. Et ça lui plaisait, il prenait son pied. Il m’ordonna de lui laisser voir mes seins, chose que je pris plaisir à faire. Il les trouva gros et flasque comme ton cul ajouta t’il. J’adorais, les sensations redevenaient agréables quand il sorti son engin et me saisi les cuisses, il releva mes fesses, je savais ce qu’il allait faire, j’étais contre mais tellement excitée… Son geste n’eu aucune tendresse, il mouilla mon anus avec mon liquide, et y inséra son sexe. Il força, il me fit mal, mais avoir sa bite dans le cul me fit rentrer dans un état second, il fit quelques mouvement et dans un flot d’insulte il eu un orgasme. Sentir son liquide chaud couler de mon cul me ramena à la réalité, je me préparais à me relever, mais c’était sans compter sur la vivacité de mon compagnon de baise.

Il n’avait même pas débandé de son premier orgasme, il reprit son engin en main, le posa entre mes seins et entrepris de se branler, me chuchotant avec délicatesse que son sperme avait bon goût. Je n’en pouvais plus, je le suppliais de me sauter encore une fois, je me caressais le clitoris, mais j’avais envie de sa queue. Je sentais qu’il allait me jouir entre les seins, alors j’en profitais pour le renverser par terre. Une fois sur le dos, je vérifiais qu’il n’avait pas joui, ce salaud se laissait faire, j’étais à présent sur son torse, et en un mouvement je m’empalais sur son sexe. En quelques mouvements rapides j’obtins mon orgasme. Je me relevais de se corps vraiment laid, et j’eu envie d’être salope jusqu’au bout, je le bloquais et entrepris de le sucer jusqu’au bout. Il me pétrissait les seins, tandis que je pompais sa bite, jusqu’au moment ou il éjacula de gros jets. Je n’avais pas fait ca depuis au moins quinze ans, j’eu un mouvement de dégoût, mais il me bloqua la tête, et la majeure partie de sa semence ne fût pas perdue.

A la pause, au lieu de rejoindre mon amant, mon premier amant, je rentrais à la maison pour me laver. Mon mari me demanda si tout allait bien. Oui tout allait plutôt bien, et depuis cette journée, tout est allé bien dans ma vie !
9 vote(s)


Histoire de andre

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Une journée chargée


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :