Rencontre avec une cougar

Il est 18h30. Allongé dans mon lit, je décide de faire quelque chose d'assez invraisemblable. Je cherche sur internet un site de rencontre pour trouver des femmes plus âgées, moi qui ait aujourd'hui à peine 20 ans. Je me dis « mais qu'est ce que tu fous mon vieux, ça ne te mènera à rien de toute façon ». Oui mais voilà, l'idée s'est insérée dans mon esprit, impossible d'en démordre.

Après quelque recherches, je tombe sur un site qui bénéficie d'après les forums d'une bonne réputation. Bon, au moins je suis sûr d'être sur la bonne voie. Mais dans la vie, rien n'est gratuit : je dois débourser 30€ par mois pour pouvoir m'inscrire et communiquer avec ces femmes plus mûres.

Après seulement une semaine, je tombe sur un profil qui me séduit : Maria, une belle noire de 43 ans, fine mais pulpeuse, les seins lourds, habillée avec classe, qui m'a envoyé plusieurs « clins d'oeil » (le système permettant d'indiquer à un utilisateur qu'il nous intéresse). Ses photos sont à la fois mystérieuses et provocantes : une avec un décolleté largement échancré, tendu par les seins, une autre où elle suce son index de ses lèvres pulpeuses d'un air sensuel, une autre encore où elle bombe les fesses appuyée sur une chaise... Alors je me lance dans le tchat privé lorsque je l'aperçois en ligne. Que dire ?

« Bonjour Maria, j'ai remarqué vos clins d'oeil et je dois dire que je ne reste pas insensible à votre charme ! »
Une minute à peine plus tard, une réponse :
« Tu m'en vois ravie (elle me tutoie déjà?). Tu es très mignon, en tout cas d'après tes photos. 20 ans c'est jeune, mais ton âge ne me dérange pas du tout... Et le mien ? »

J'hésite ; suis je sûr de vouloir entrer dans ce jeu ? N'est ce pas une folie après tout ? Oh et puis merde, on n'a qu'une vie !
« Non au contraire, j'aime les femmes mûres, ça ne fait qu'accroître mon désir...
- Tu as bien raison... J'ai l'expérience des hommes et je ne demande qu'à t'en faire profiter petit cochon »

Petit cochon. Voila qui est prometteur. Je m'imagine fugacement lui faire sa fête.
Elle enchaîne : « Je pense que nous savons tous les deux pourquoi nous sommes ici. Alors inutile de perdre notre temps en mondanités. Je te propose d'échanger immédiatement nos numéros de téléphone et de fixer rapidement un rendez vous. Chez moi, si ça te convient ? »

Déjà ! Je ne m'imaginais pas triompher si vite dans ce projet fou.
« Pas de problème, je suis entièrement d'accord ! »
Nous échangeons alors nos numéros de téléphone.

Le soir, je suis tout excité et j'ai du mal à m'endormir. Je me branle en imaginant avec délice les perversions sexuelles qu'une femme de 43 ans peut exécuter sur un jeune tel que moi.

Le lendemain, elle me communique son adresse par texto; elle n'habite qu'à 20 minutes de chez moi en voiture. Joint au SMS, une photo prometteuse qui fait durcir mon sexe : un beau cul noir bien bombé, gainé d'un porte jarretelle en dentelle avec un petit mot : « Ce qui t'attend petit cochon ».
Je réponds fébrilement : « Je suis très excité, voyons nous rapidement que je puisses te prendre comme tu le mérites ! »

Mon envie est sans borne. Le jour d'après, nous tombons d'accord pour nous voir le soir. Elle me communique l'heure : 20h00 chez elle pour le repas.
Toute la journée mes pensées vont vers elle et je n'en reviens toujours pas. Et si tout ça n'était qu'une vaste farce ? Je n'ai parlé de tout ça à personne évidemment. Ca ne doit regarder que moi.
Le soir, je dis à mes parents que je vais manger chez un ami et que je rentrerai peut être tard le soir. Ils ne s'interrogent pas et me souhaitent une bonne soirée. Ne vous inquiétez pas elle sera très bonne...

Après le trajet de 20 minutes, j'arrive à destination. C'est une maison simple un peu isolée, dans un quartier résidentiel. Le jardin est propre et bien entretenu, avec des arbres parsemés et une petite allée de pierre montant jusqu'à la porte d'entrée.
Maria m'a averti que je pouvais me garer devant : il n'y aura personne chez elle de toute la soirée. Son mari est en voyage d'affaire pour la semaine et elle n'a pas d'enfants.

Le cœur battant, je m'avance vers la porte d'entrée. Je pousse la sonnette, puis j’attends.