Rencontre insolite dans le métro 2

Sandrine ne comprend toujours pas pourquoi, elle a trompée son mari et cela la stresse, car s'il vient à l'apprendre bonjour les dégâts. Une fois chez elle, elle repense à la queue de l'homme qui lui a donné tant de bonheur. Cela l'excite rien que d'y penser, elle fait les cent pas en attendant l'arrivée de son mari Jean. Elle se demandant comment amener son mari chez Vincent. Tout tourne dans sa tête, elle est mal à l'aise.

Enfin, il entre souriant, l'embrasse. Elle s'affaire en cuisine, au bout d'un moment, elle dit :

-Tu sais mon chéri, j'ai fait une rencontre formidable dans le métro !

Jean écarquille les yeux et dit :

-Ah raconte-moi ça mon amour !

-Eh bien, mon chéri, j'ai rencontré Vincent, un ami d'enfance que je n'avais pas revue depuis des années, figure-toi qu'il nous invite samedi chez lui pour déjeuner, il est marié et à une fille presque du même âge que la nôtre, tu en penses quoi ?

-Bof si c'est pour s'emmerder toute la journée, je préfère ne pas y aller, de plus, je ne le connais même pas !

Sandrine blêmit, mais elle ajoute :

-Nous avions bu un verre ensemble et pendant la discussion, m'a laissé comprendre qu'ils sont adeptes, du libertinage !

Le mot libertin fait sursauter, il entre dans la cuisine, et dit en souriant :

-Tu as de drôle d'amis ma chérie, mais je suis curieux de voir la tête qu'ils ont, j'accepte d'y aller !

Sandrine jubile intérieurement et répond :

Donc, je peux lui dire que c'est d'accord !

-Oui, tu peux, je suis même impatient de les rencontrer !

Le jour dit arrive enfin, enfin Sandrine et stressée à mort, elle angoisse fortement. Jean, Sandrine et charlotte leur fille s'engouffrent dans la voiture. Le trajet n'est pas trop long, ils arrivent à l'adresse indiquée. Sandrine sonne à la porte, une grande femme bonde vient ouvrir, la femme complice de Vincent, est souriante, elle dit :

-Vous êtes Sandrine, l'amie d'enfance de Vincent, il m'a beaucoup parlé de vous, je suis blondine, sa femme, entrez, je vous prie !

Elle introduit le trio au salon, là, Sara la fille du couple se lève et salue les arrivants. Rapidement, elle sympathise avec Charlotte. Vincent entre à son tour, il salue jean, et embrasse Charlotte et Sandrine. Sandrine présente sa petite famille. Le soleil tape fort, Vincent propose de servir l'apéro sur la terrasse. Les verres sont disposés, sur la table en osier. Sandrine et Blondine sont assises sur le même siège couvert de coussins épais. Vincent lui fait le service. Sa fille et Charlotte sont l'une à côté l'une de l'autre. Les verres se suivent, la discussion bat son plein. Jean n'a que d'yeux que pour Blondine, il l'imagine prise par deux mâles dans un club libertin. Souvent, ils échangent des regards intenses, en se souriant. Vincent les épie du coin de l'œil, il est content que le courant passe bien entre eux.

L'alcool coule à flot, il est tant de refermer le piège tendu à Jean. Vincent en rajoute une couche, il resserre un verre, il dit en regardant Jean :

-Tu sais que Sandrine et moi nous avions été amants par le passé, je doit dire que c'était un bon coup !

Il pose ses doigts sur le menton de Sandrine et lui relève bout des doigts, il depose un baiser bruyant sur ses lèvres et ajoute :

-Surtout une bonne suceuse !

Jean regarde sa femme en fronçant les sourcils :

-Tu as baisé avec lui ?

Sandrine ne sait plus où se mettre, mais elle reagit très bien :

-Oh, il, y a longtemps, nous étions jeunes à l'époque !

Vincent coup court, il s'approche de sa femme et dit :

Par contre, Blondine c'est une baiseuse hors pair, elle adore la queue, je suis sûr que rien que d'en parler, elle mouille !

Il lui retrousse la jupe, Blondine ouvre les jambes en souriant, Vincent se penche et dit en riant :

-Tiens jean, qu'est-que je t'ai dit regarde, sa culotte est trempée, tu peux la baiser, elle est prête là !

Vincent passe plusieurs fois sa main, sur l'entrejambe de sa femme. Jean serre les poings, il regarde avec envie le compas grandement ouvert. Vincent fixe droit dans les yeux Jean et dit :

-Regarde, je vais la branler, tu vas tomber de ton siège Jean !

Il arrache brusquement la culotte et prend entre ses pouces le clito et le branle de lus en plus rapidement. Blondine se tortille sur son siège, elle s'accroche à la cuisse de Sandrine en gémissant comme une bête. Soudain, Vincent saisit entre son pouce et son index le clito qui a doublé de volume, il le branle rageusement. Blondine se cabre et gicle comme un geyser, en hurlant. Sandrine, jean et Charlotte n'en croient pas leurs yeux. Vincent se redresse, en riant. Jean bande comme un poney, il pose sa main sur son pantalon et serre fortement sa queue raide comme un morceau de bois. Sara sait que c'est le moment d'intervenir, elle prend Charlotte par la main et s'approche de Jean, elle s'agenouille devant lui et sans gêne, elle lui deboutonne la braguette, et en extirpe la queue tendue.


Vincent fait un clin d'œil à Sandrine, il sait que son tour va arriver. Charlotte a les yeux rivés sur la queue de son papa. Sara s'empare du mat et commence un doux branlage. De temps en temps, elle jette un œil vers Charlotte qui regarde sans rien dire. Sara décalotte le gland, elle ouvre la bouche et donne quelques coups de langue bien ajustés sur le chapeau de chair. Elle saisit la main de Charlotte qui, tétanisée, se laisse guider. Elle la pose sur la verge tendue de Jean et dit en souriant :

-Tu peux la branler, elle est dure comme du fer, vas-y !

Charlotte enserre maladroitement la queue paternelle, et avec l'aide de Sara masturbe l'engin gorgé de sang. Sa main tremble, sa chatte est en feu. Blondine se penche à l'oreille de Sandrine et lui murmure :

-Mon mari m'a dit que tu es une bonne suceuse, prouve-le !

Sandrine sourit, elle regarde la chatte de Blondine qui ne cesse de couler. Elle retire sa culotte, et se place entre les cuisses de la demandeuse. Elle plaque sa bouche sur la vulve détrempée, Sandrine suce et avale le jus suave qui s'échappe du puits, sa langue s'enfonce profondément dans le vagin et en fouille chaque recoin. Blondine gémit fortement, elle agite son bassin en criant :

-Oh oui, oui, encore, encore !

Charlotte n'arrive pas à s'imaginer qu'elle branle son papa, elle a envie de sa queue. Sara lui appuie sur la tête, Charlotte comprend ce qu'elle veut. Elle ouvre la bouche et gobe le monstre, elle le suce comme elle le peut, avec beaucoup de maladresse, mais elle y met du cœur. Jean est aux anges, il repete :

-Oh ma chérie, suce papa, oui suce le bien !

Vincent regarde le spectacle, il s'approche de Sandrine, lui replie la jupe sur les reins et lui écarte la culotte. Il dirige sa queue vers la chatte humide, la présente à l'entrée et pousse. Sa bite disparait comme aspirait par la chatte affamée. Sandrine se cabre et disant :

-Oh oui, oui, démonte-moi fort Vincent, oh comme j'aime ta queue !

Vincent est un amant exceptionnel, il sait comment besogner Sandrine. Ses râles incessants prouvent que Sandrine prend un certain plaisir à se faire défoncer. Blondine appuie sur la tête de Sandrine, elle hurle en faisant gicler son jus. La bouche de Charlotte devient plus habile, son papa couine de bonheur à chacune des succions. Sara passe ses mains sous la jupe de Charlotte et lui presse la vulve, la coquine gémit, elle pousse de nombreux soupirs tout en tétant la verge de son papa. Sara retire ses vêtements, et bascule Charlotte sur le sol, elle profite qu'elle est chaude comme de la braise, pour lui arracher la jupe et la culotte.

Jean, un peu frustré, voit pour la première fois la chatte de sa fille, il ne sait où donner de la tête, il se dit que ces jeunes chattes doivent être bien serrées, et que cela doit être un régal de les pénétrer. Vincent fait hurler Sandrine, ses coups de reins sont violents, la coquine jouit en hurlant :

-Vincent, oui, oui, mon chéri !

Jean sa femme jouir, sa queue est douloureuse. Il s'approche de Blondine, repousse sa femme, et plante sa queue profondément des entrailles de Blondine qui grogne de plaisir, sa queue douloureuse. Il la démonte comme un beau diable. La chaude salope re-jouit encore sous les assauts de jean qui la démonte comme un fou. Vincent se raidit et remplit la chatte de Sandrine qui geint toujours. Jean accélère le rythme, il se cabre, pousse un râle rauque et remplit de son sperme la chatte insatiable de Blondine. Les deux hommes se sourient, prennent place autour de la table en osier, pour récupérer un peu, ils se servent un verre en regardant les femmes haleter fortement.