Renouer avec le sexe après un divorce (Fin)

‌Agnès (45 ans)
‌
‌Je m'appelle Agnès, j'ai 45 ans et je suis désormais officiellement divorcée. Mon ex, Olivier, m'a larguée il y a deux ans déjà pour une fille plus jeune et plus mince. Il faut dire que je suis du genre "pot à tabac" : gros seins, grosses fesses, grosses cuisses et petite taille. Mais j'ai un joli visage et je passe pour gentille, aimable, trop sans doute. Je me suis bien fait avoir mais ça y est, j'ai tourné la page. Il faut que je recommence à vivre comme une femme de mon âge, pas encore bonne pour la retraite, y compris sexuelle.

Je le dis sans fioriture : j'ai l'intention de baiser. Ma copine et collègue Coralie, qui a elle aussi été larguée par son mec, m'a montré le chemin. Elle, c'est le genre gaillarde, grande et solidement charpentée. Après avoir connu un gros coup de mou, elle a su réagir. Elle sort souvent et elle baise presque à tous les coups. Les night clubs, ce n'est pas trop mon truc. Mais j'ai fini par accepter de l'accompagner parce que ce n'est pas en faisant auto-boulot-dodo que je renouerai avec la bite. Je vous le dis tout de suite, je ne suis pas difficile. Je n'en ai pas les moyens. Tout ce que je demande, c'est que le gars ne soit pas trop moche, pas trop vieux et qu'il bande vraiment pour moi. Pour l'heure, je ne cherche pas à faire l'amour. Je veux juste baiser. J'ai toujours aimé le sexe et avec mon ex, on s'est vraiment éclaté pendant pas mal d'années. D'où ma profonde déception quand il m'a quittée, au point de me faire perdre l'envie des galipettes. Mais c'est bien fini. Je sais qu'il n'y a rien de meilleur pour une femme qu'un membre viril qui s'active dans son antre intime tout comme d'ailleurs, je n'hésite pas à le dire, dans sa bouche ou dans son cul. J'aime tout ce qui se rapporte au sexe, surtout le plus cochon.

Bref, j'ai acheté une petite robe coquine, assez longue pour ne pas trop dévoiler mes jambes un peu fortes mais très décolletée pour mettre mes seins en valeur (mes "obus", dit Coralie) et suffisamment ajustée pour que mon fessier tende bien la toile, vu que c'est mon autre atout sexuel pour les hommes qui n'aiment pas les fils de fer.
J'ai donc fait mon entrée dans cette boite avec Coralie, qui avait convoqué son nouveau copain, lequel était accompagné d'un grand type à peau mate et poil brun dont j'ai vite compris qu'il était censé me séduire, à moins que ce ne soit l'inverse. Le gars n'était pas très beau mais sympa. On a tenté de discuter dans le boucan de la boite. Il avait bien quinze ans de moins que moi mais ça n'avait pas l'air de le déranger, pas plus que mes rondeurs. Au contraire, il plongeait le nez dans mon sillon mammaire dès qu'on se trouvait sur la piste de danse.
Coralie est venue me murmurer à l'oreille :
- Fais pas ta mijaurée, hein ? Ce soir, tu t'envoies en l'air.

Je n'étais pas contre. Le mec n'était pas mal et pas trop con. La question en suspens était néanmoins de savoir s'il allait assurer. Quand on a très faim, on ne contente pas d'un oeuf à la coque. C'est ce que j'ai dit dans la voiture à Coralie alors qu'on se dirigeait chez elle, en principe pour "un dernier verre" alors qu'on était suivies par les deux garçons. C'est alors qu'elle m'a dit qu'elle avait déjà baisé avec Rachid (c'est le prénom du brun) et que je n'avais pas de souci à me faire.
- Quand tu verras sa queue, tu comprendras, m'a-t-elle dit.
C'est vous dire l'état dans lequel j'étais quand on s'est tous retrouvés dans l'ascenseur.

Après, tout est allé très vite. Les verres étaient à peine servis que Coralie et son mec se paluchaient et gagnaient la chambre unique.
- Vous nous rejoignez, hein ? a-t-elle lancé par-dessus son épaule.
Là, j'étais un peu troublée. Pour moi, le sexe, c'est intime et le faire en compagnie d'un autre couple ne tombait pas sous le sens. Mais Coralie habite un petit appartement, chichement meublé, et quand Rachid a commencé à m'entreprendre en commençant par mes seins (il avait trouvé le sésame...), mon corps s'est mis en ébullition, pour le pas dire en révolution. Quand il m'a entrainée dans la chambre, j'étais déjà à moitié nue, ma robe gisait par terre avec mon soutif et je n'avais plus que mon string. Coralie et son mec était en plein 69, et ça m'a fait un peu drôle de voir ma collègue complètement à poil en train de pomper un dard plantureux. Elle avait mis ses cheveux en queue de cheval pour ne pas être gênée. Je ne voyais plus la tête de son mec qui disparaissait sous l'opulent fessier. Cette vision m'a ôtée mes inhibitions initiales. J'ai aidé Rachid à me débarrasser de mon string, allongée sur le lit à quelques centimètres de l'autre couple et il m'a régalée de sa langue sur ma chatte. J'étais en feu et de voir Coralie venir escalader son mec pour se la mettre bien profond n'a rien arrangé. Je crois bien que j'ai dit alors à Rachid :
- S'il te plait, baise-moi.

Quand il est entré en moi, dûment capoté, j'ai perdu les pédales et je ne me souviens plus des détails de nos ébats. Je me souviens qu'à un moment, Coralie et moi, on s'est retrouvées face à face en train de se faire prendre par derrière et on n'a pas pu s'empêcher d'en rire. Mais quand Rachid m'a sodomisée, je ne riais plus. Personne n'était entré dans mon cul depuis des lustres.
- Ahhhh, il m'encule ! ai-je bramé devant Coralie.
- Moi aussi ! a-t-elle répondu.
Et on s'est mises à tortiller du cul comme des folles, ce qui a fait gicler nos mecs pendant qu'on jouissait en couinant. Et on s'est remises à rire toutes les deux, dans une complicité érotique qui a définitivement scellé nos liens.
J'ai voulu rentrer chez moi mais Coco m'a demandé de rester un peu. On s'est allongés à quatre dans le plumard pour dormir deux ou trois heures dans un méli mélo de corps qui aboutit inévitablement à une nouvelle séance de baise au petit matin, à la différence près que Rachid a baisé Coco et que j'ai chevauché son mec. Ce fut donc ma première partouze et mon premier acte échangiste. J'en ai conclu que mon divorce m'avait ouvert des perspectives inattendues. Et j'ai pensé à mon ex. S'il savait ! Mais il n'en saura rien. Je le laisse à l'illusion de sa petite femme qui ne le faisait plus bander. Tant pis pour lui.
FIN