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Renouer avec le sexe après un divorce (2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 27/02/2023

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‌‌‌‌Marjorie (38 ans)


‌Je m'appelle Marjorie, j'ai 38 ans, je suis brune à peau mate si bien qu'on me croie d'origine espagnole, ce qui n'est pas le cas. Je ne suis ni grande ni petite, je suis du genre gros cul et petits seins, ce qui est mon drame mais je compense par mon visage lisse, souriant, avenant. Je n'ai jamais été mariée mais je suis séparée du père de ma fille depuis un an maintenant. La transition a été pénible au début, surtout pour la garde de notre fille pré ado, mais je m'y suis faite d'autant plus facilement que cette séparation s'est exercée en accord mutuel. Il faut dire que lui comme moi, on n'avait pas été d'une fidélité constante l'un pour l'autre. Donc, aucune envie pour l'instant de me remettre en couple. Je baise assez facilement, d'abord parce que j'aime ça (euphémisme...) et parce que mon cul que je déplore constitue néanmoins un appel au mâle qui ne cesse de m'étonner. Je reste rarement plus d'un mois sans baiser, ayant une prédilection pour les mecs musclés et tatoués, pas forcément finauds mais avec ce qu'il faut là où il faut. Je sais que ce n'est pas malin mais mon appétit sexuel m'a parfois fait craquer pour des gars de mon entreprise, ce qui me vaut une réputation de "femme qui baise" pas très profitable pour ma carrière en interne, bien que certains membres de la hiérarchie (et non des moindres) n'aient pas eu à se plaindre de mon tempérament jugé "volcanique".

Je suis très proche d'une collègue, Delphine, aussi rousse que je suis brune et qui comme moi ne fait pas de manière pour s'allonger quand elle en a envie. Elle est à peine plus jeune que moi et elle aussi à un enfant à charge, ayant largué son mec. On parle de tout et de rien ensemble mais notamment de cul. Quand elle tombe sur une épée de plumard, elle me le dit et me le passe, si j'ose dire. Je fais de même avec elle. On rigole. Surtout quand on tombe sur un mou de la queue qui se la pète dans les services. Mais on n'est pas salopes au point de le faire savoir urbi et orbi. On garde ça pour nous.

On a une autre copine, Coralie, fin de trentaine, qui vient d'être larguée par son mec et s'en remet difficilement. Contrairement à nous deux, c'est le genre baraquée et elle nous domine d'une tête. Elle envie notre liberté sexuelle et on sent qu'elle voudrait s'y mettre aussi, plus par vengeance que par plaisir. Elle entre peu à peu dans nos confidences mais on fait gaffe quand même.

Depuis quelque temps, Delphine me tanne pour que j'entre dans une autre dimension de cul, où elle se trouve déjà. Ayant fait largement le tour de la question, elle est devenue accro à la baise en groupe et puise de nouveaux plaisirs qu'elle veut à tout prix me faire partager. Je précise qu'elle est bisexuelle, contrairement à moi et que ces partouzes (appelons les choses par leur nom) lui permettent des variétés qui ne m'attirent guère. J'ai d'ailleurs toujours refusé de partager son lit. Pour moi, c'est la bite, rien que la bite.

Mais elle m'assure que le saphisme n'a rien d'obligatoire dans une partie carrée ou multiple. Elle me dit qu'elle a des copains super bien membrés qui me régaleraient. J'hésite. Je ne voudrais surtout pas que ça s'ébruite et que ça arrive aux oreilles de ma fille qui entre dans l'adolescence. Mais en même temps, je ne veux pas mourir idiote et c'est vrai que ça me sortirait d'une espèce de routine qui commence à me lasser.

Bref, Delphine m'a invitée à une soirée organisée par un couple d'âge mûr, résolument libertin et vivant bourgeoisement. J'ai dit d'accord mais je devais disposer d'une soirée sans garde de ma fille et à condition d'en parler aussi à Coralie. A trois, je me sentirais plus sûre de moi. A notre grande surprise, Coco a sauté sur l'occasion, histoire de provoquer un peu plus son ex. Et c'est ainsi que j'ai fait mon apparition dans cette grande maison, vêtue d'une mini robe m'arrivant à mi-cuisses et moulant mon derrière, totalement déplacée dans une autre circonstance, sans soutif et juste un string. Et morte de trouille.

Le couple invitant, Mylène et Alain, était très sympa. La cinquantaine élégante et friquée, il avait l'art de mettre tout le monde à l'aise. Avec la patronne, nous étions les seules femmes face à trois gars d'une vingtaine d'années, le genre sec et musclé, deux Beurs et un Black. J'ai déjà oublié leurs prénoms et je n'ai rien fait pour les retenir. Delphine les connaissait bien et me dit à l'oreille : "sois tranquille, ils assurent".

L'avantage de ce genre de soirées, c'est qu'on ne perd pas de temps en salamalecs. On sait tous pourquoi on est là. Néanmoins, nos hôtes tenaient à sauver les apparences et on a un peu discuté et pas mal bu, notamment des mojitos, mon vice. Enfin, un de mes vices. J'étais donc moitié bourrée quand Mylène et Alain nous ont invitées à rejoindre une pièce dont le plancher était couvert de plusieurs matelas et entouré de miroirs. Il y en avait même un au plafond. Jamais vu ça.

Mylène s'était rapidement mise à poil, dévoilant un corps ma foi pas mal conservé et constellé en haut de taches de rousseur. C'était une invitation à faire de même. Je suis brune à peau mate avec les fesses un peu plus blanches, rapport à mon bikini et la seule à ne pas avoir le pubis rasé. J'ai toujours tenu à conserver mon béret basque, selon l'expression d'un de mes amants. A côté, Delphine paraissait presque transparente tant elle était blanche de peau. Ses pointes de seins roses tranchaient dans l'ensemble. Coralie, question pigmentation, était entre nous deux, mais avec une paire de seins à nous filer des complexes. J'étais surprise de la voir aussi facilement se mettre à poil. Faut croire qu'elle avait vraiment envie de se faire sauter et j'ai compris pourquoi : elle focalisait sur le black. A peine avait-il baissé son caleçon qu'elle se ruait sur sa queue, il est vrai spectaculaire, pour l'emboucher avec une voracité qui me stupéfia. Je la regardai, fascinée, quand un des deux Beurs est venu derrière moi pour me peloter. J'ai senti sa bite rigide contre mes fesses et alors, tout s'est enchainé.

On s'est tous mis à baiser sur les matelas, à l'exception d'Alain qui matait en se paluchant. Je me suis vue, via les miroirs, sous toutes les coutures en train de prendre mon pied. Je ne pensais pas que je souriais autant en baisant. Ni que je couinais aussi fort. En cavalant sur mon Beur, j'ai pris le temps de regarder les autres : Coralie prise par derrière par son black, seins pendants et agités, Delphine écartelée par l'autre Beur, qui se faisait lécher les couilles par Mylène. J'étais totalement dans une autre dimension de cul. Mais je n'avais surtout pas envie que ça s'arrête. J'ai joui au moment où j'ai senti les couilles de mon Beur battre contre ma peau quand il m'a enfilée en levrette, autant par le contact que par la vision de ses balloches en mouvement via le miroir. Quel pied ! Il s'est retiré en comprimant sa bite pour ne pas éjaculer et j'ai apprécié l'initiative. Enfin un mec qui ne fait pas passer son plaisir avant tout.

Puis Coralie a voulu échanger avec moi après avoir essoré son Black. Faut dire qu'elle remue son cul comme une toupie, la Coco. Difficile de résister, je suppose. Donc, je me suis retrouvée voyeuse, à mater Mylène en train de se faire défoncer par l'autre Beur en regardant son cul remuer par le miroir du plafond tandis que Delphine tâtait les couilles du Black pour le ranimer. C'est alors qu'Alain, le patron, est venu subrepticement me caresser la chatte. Je ne pouvais décemment pas le snober et je l'ai branlé. Le résultat a été moyen mais je lui a taillé une bonne pipe qui l'a fait gicler dans ma bouche.
- Avale ! m'a-t-il ordonné.

Bonne fille, j'ai avalé mais j'avais quand même envie de quelque chose de plus concret. Delphine avait réussi à refaire bander le black qui m'a littéralement sauté dessus en disant qu'il voulait m'enculer. C'est toujours pareil, avec les mecs. Mon gros cul les inspire tellement qu'ils veulent toujours me prendre par là. Et vu l'engin du black, il y avait de quoi frémir. Sympa Delphine. Elle m'a préparée avec toute la science d'une bi. Langue et doigt. Le gars est entré sans trop me faire mal pendant que je me frottais le minou. J'avoue que ça me faisait de l'effet, ce machin dans mon cul, surtout quand ses grosses couilles battaient ma chatte. Comme il avait déjà joui, il avait de l'endurance et j'avais beau aller le chercher à grands coups de fesses, il poursuivait sa fouille. Je voyais par le miroir son visage extasié tandis que je me découvrais un rictus qui ne m'embellissait pas. Autour de moi, ça couinait, ça bramait, ça jubilait. Coralie et Mylène étaient en transes, en plein orgasme et par mimétisme, j'ai joui aussi bruyamment.

Mon black, toujours gaillard, s'est retiré, a changé de capote et s'est offert Delphine qui n'y croyait plus. On les a tous regarder baiser. Cette peau noire sur cette peau d'ivoire de rousse, c'était un vrai choc visuel autant qu'érotique. Je me suis même masturbée en les regardant et j'aurais été prête à remettre le couvert si les deux Beurs avaient eu encore de la musique dans l'accordéon.

Tout s'est terminé au petit matin, après un défilé aux douches ponctué de quelques attouchements sans conséquences. Je suis rentrée chez moi avec Delphine et Coralie, les traits tirés mais le sourire aux lèvres. Avec un peu mal au cul quand même. On est tombé d'accord pour dire que ça valait le coup d'être vécu mais qu'il ne faudrait pas en abuser non plus. Coralie a regretté de ne pas avoir pris une vidéo pour son ex mais on lui a rappelé que c'est le genre de truc qui se termine sur le net et on n'avait pas envie d'y être. Et on s'est donné rendez-vous le lendemain au boulot. La vie continue, quoi.
A SUIVRE
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Histoire de Micky

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Commentaires du récit : Renouer avec le sexe après un divorce (2)

Le 28/02/2023 - 06:30 par DBHB24
C'est toujours aussi torride... Didier
Le 27/02/2023 - 17:56 par valeriane
J'adore, bravo l'auteure
Le 27/02/2023 - 13:15 par OlgaT
Une nouvelle étape avec une baise en groupe. C'est si bon! Merci Micky

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