Restaurant entre amoureux

Après mon premier récit, je dois absolument vous raconter l’aventure qui nous ait arrivé à mon épouse et moi-même le week-end dernier.

Depuis ce fameux soir où ma femme avait réalisé mon fantasme, je ne rêvais que de la revoir entre les mains d’un autre homme. De son côté, elle n’était pas revenu sur cette soirée mais je sentais que cela l’avait transformé. Elle n’hésitait plus à s’habiller sexy, nous faisions beaucoup plus souvent l’amour, elle ne me refusait plus rien sous la couette et prenait beaucoup plus souvent l’initiative.

Le week-end dernier, nos enfants étaient chez leurs grands-parents et nous avions décidé de sortir au restaurant. Je réservais non loin de chez nous dans une brasserie très sympa avec une belle terrasse, très agréable avec ces journées chaudes. L’endroit avait été repris depuis quelques semaines et nous n’avions pas encore testé le nouveau chef.

Nous fûmes accueillis par le nouveau patron, un homme d’une petite cinquantaine aux tempes grisonnantes. Le restaurant était quasiment vide malgré le fait que nous soyons samedi et je ne cachais pas ma surprise. Le patron nous expliqua qu’ils attendaient un groupe et que j’avais réservé la dernière table disponible. En effet, dans le patio, il n’y avait que 5 tables toutes sauf une étaient occupées alors que le reste du restaurant était dressé pour accueillir le fameux groupe. Heureusement, le patio était excentré par rapport à la salle où commençait à arriver les clients du groupe. Nous ne serions donc pas trop gênés par le bruit occasionné.

Le patron nous guida jusqu’à notre table. 3 autres couples étaient déjà servis à côté de nous tandis qu’un homme seul finissait son repas. Il faut dire qu’il n’était pas de bonne heure, mon épouse travaillant le samedi jusque tard, j’avais réservé tard également.
La femme du patron prit le relais de son mari pour venir nous présenter la carte. Je ne pus m’empêcher de la détailler car c’était une très belle femme, brune, fine avec beaucoup d’allure. Hélène me chambra un peu voyant mon intérêt pour les jambes et les fesses de la femme.

Le dîner se passa très bien et on profita pleinement de ce moment. Arrivés au dessert, je me rendis compte que nous étions désormais seuls dans le patio, les autres tables s’étant vidées. Hélène et moi apprécions ce moment de tranquillité alors que nous entendions au loin les bruits du groupe. Je recommandais une coupe de champagne afin d’accompagner nos desserts, mais le patron vint lui-même nous offrir une bouteille. Un peu surpris de ce cadeau, je lui proposais de la partager avec nous. Il prit une chaise et s’installa avec nous. Nous parlâmes de tout et de rien. C’était un homme charmant et je le surpris deux, trois fois à jeter des coups d’œil sur le décolleté de ma femme. Hélène ne semblait pas s’en apercevoir.

La fin du repas se termina tranquillement, le patron était reparti à ses autres clients, tandis que je taquinais ma femme sur son pouvoir de séduction. Elle haussa les épaules en me disant que je me moquais d’elle. Moi cela m’avait excité.

On resta encore un long moment, l’un comme l’autre n’avions pas envie de rentrer et nous voulions profiter encore de ce moment de calme loin du travail et sans les enfants. La bouteille de champagne y passa. Le groupe était entrain de régler leur addition. La femme du patron vint nous proposer un digestif que j’acceptais avec plaisir.

Le restaurant s’était vidé rapidement et je me rendis compte que nous étions les derniers clients. Du coup, nous décidâmes d’aller prendre ce digestif au bar afin de permettre au personnel de nettoyer notre table. Le patron était derrière le comptoir à faire sa caisse tandis que son épouse après nous avoir servi, s’activait à essuyer les verres. En cuisine, on entendait encore quelques bruits de casseroles et de vaisselles, signe que le plongeur était à l’ouvrage pour tout nettoyer. Les deux autres serveuses finissaient de redresser les tables.

On discuta avec le couple un bon moment, si bien qu’on se retrouva bientôt seuls avec eux… Le patron s’appelle Philippe et sa femme Corinne. Ce sont des gens vraiment très sympa. Philippe est un séducteur et il n’a pas arrêté de flatter ma femme, de la complimenter ou de lui jeter des regards appuyés, tout cela sous les yeux de sa femme qui semblait ne pas y prêter attention. Hélène semblait apprécier tout cela et le laissait faire. Cela me troublait beaucoup et je ne restais pas en reste. L’alcool aidant, je plaisantais avec Corinne et la taquinait même un peu. Elle était très séduisante, sa robe laissait deviner des courbes quasi parfaite, une jolie poitrine qu’elle avait mise en valeur par un joli décolleté. Sa robe très prêt du corps laissait apparaître la trace d’un string très fin.

Philippe était passé de notre côté du comptoir et discutait avec Hélène tandis que je parlais de la pluie et du beau temps avec sa femme. Je n’avais pas remarqué tout de suite mais il avait sa main posée sur la cuisse de ma femme, dévoilé par sa robe légère.
Mon sang bouillonnait dans mes veines, l’alcool et l’excitation mêlées embrumaient mes pensées et ma femme devait être dans le même état.
- Ta femme n’a jamais visité de cuisine de restaurant, me lança Philippe, ça te dérange pas si je lui fais visiter ?
- Euh.. non, non allez y

D’un seul coup, un nœud s’était formé dans mon ventre et mon sexe s’était gonflé dans mon pantalon… j’éprouvais la même sensation que lors de notre dernière soirée en boîte, soirée au cours de laquelle Hélène avait réalisé mon fantasme avec deux hommes. Je les regardais pénétrer à l’intérieur des cuisines.

Corinne voyant mon air un embêté me demanda si tout allait bien.
- Oui, oui, ça va merci…
- Ils s’entendent bien tous les deux, on devrait pas les laisser seuls, ajouta-t-elle en rigolant.
- T’as raison, ton mari semble apprécier les charmes de ma femme ! lui rétorquai-je.
On ria ensemble tandis qu’elle se resservait un verre. Voulant soulager une envie pressante (normal avec tout ce que j’avais bu !!) je lui demandai le chemin des toilettes. Celles-ci se trouvaient au fond de la salle.

A mon retour, Corinne n’était plus là. Ne la voyant pas dans la salle, je décidais d’aller voir ce qu’il se passait dans les cuisines. A l’intérieur, personne, juste quelques bruits provenaient du fond de l’endroit. Je m’avançais discrètement et vis soudain Philippe, debout, adossé à un mur au fond des cuisines, pantalon sur les chevilles. Hélène était à genoux devant lui et était entrain de lui prodiguer une fellation passionnée. Corinne était à côté d’eux, robe relevée, une main plongée dans son string, se caressant en les observant.

J’étais tiraillé entre deux options : les rejoindre ou rester en retrait afin de les observer. Je décidais dans un premier temps de rester en retrait. Hélène s’appliquait sur le sexe de Philippe. Elle s’en délectait. Je voyais le membre disparaître entre les lèvres de ma femme. Corinne observait toujours la scène, elle était toute à sa masturbation. Philippe releva alors mon épouse. Il la fit se retourner et elle prit appui sur le meuble situé à côté de Corinne. Il releva la robe d’Hélène, fit descendre son string et s’agenouilla derrière elle. Il la lécha ainsi quelques minutes. J’entendais ma femme gémir doucement. Corinne s’était rapprochée d’elle. Elle avait posé une main sur ses fesses et lui malaxait fermement. Philippe se releva alors et pointa son sexe contre la vulve de mon épouse. Il s’introduisit lentement puis commença un lent et puissant va-et-vient. Ma femme se tenait fermement au plan de travail sur lequel elle avait pris appui. Corinne embrassait avec passion son mari, elle s’agenouilla à côté et observait le sexe qui entrait et sortait, sa main s’était aventurée entre les cuisses de son mari et caressait les bourses qui se balançaient au rythme des coups de reins. Philippe tira Hélène par les cheveux afin qu’elle se redresse pour l’embrasser. Elle était très cambrée, étouffant des gémissements tandis que Philippe fouillait sa bouche avec sa langue. Corinne s’est alors relevée et est venue face à ma femme. Elle l’a saisi par la nuque et l’a embrassé avec passion. Hélène était désormais coincée entre le couple. Philippe continuait ses va-et-vient, de plus en plus rapide. Il s’est brusquement retiré et a attiré ma femme vers lui, Corinne a suivi et les deux femmes se sont retrouvées agenouillées devant lui. Elles l’ont sucé un moment alternativement jusqu’au moment où Philippe a laissé exploser sa jouissance, aspergeant le visage des deux femmes de sa semence. Corinne a embrassé tendrement mon épouse, nettoyant son visage du sperme de son mari. Philippe s’est alors tourné vers moi et alors que je pensais qu’il ne m’avait pas vu, me fit un clin d’œil…

Je retournai vers le bar et attendit les trois amants qui me rejoignirent quelques instants plus tard.
- Alors le spectacle t’a plu ? me chuchota Hélène à
l’oreille
- Beaucoup, murmurai-je

Philippe nous proposa une dernière coupe comme si de rien était. Corinne vint entre Hélène et moi et chuchota quelque chose à l’oreille de mon épouse qui lui sourit ensuite. Corinne se retourna alors vers moi et posa sa main en haut de ma cuisse, effleurant du bout des doigts mon sexe toujours gonflé.

Elle s’avança un peu plus vers moi et m’embrassa fougueusement. Sa langue s’enroulait autour de la mienne, je pouvais sentir le goût de ma femme mais également celui du sperme de son mari. Sa main s’aventura davantage et en quelques mouvements dégrafa mon pantalon et extirpa mon membre raide. Elle abandonna ma bouche pour glisser vers mon entrejambe. Sa bouche chaude avala mon sexe prêt à exploser depuis un bon moment. Hélène vint m’embrasser à pleine bouche et quelques instants plus tard, sous les coups de langue experte de Corinne, je me laissais aller en longs jets. Corinne avala l’ensemble puis se releva et échangea un long baiser avec mon épouse. J’étais médusé et me rendis compte à quel point j’aimais ma femme et à quel point la voir prendre du plaisir m’en procurait.

Nous rentrâmes chez nous quelques instants plus tard. Philippe nous proposa de nous revoir prochainement et nous promis de nous faire découvrir d’autres plaisirs… j’attends avec impatience et je ne manquerais pas de vous raconter tout cela.