Vacances au camping

Bonsoir,

Je m'appelle Sandrine, j'ai trente ans, je suis mariée depuis trois ans avec Pierre qui a 38 ans et que je connais depuis cinq ans. Je mesure un mètre soixante dix, j'ai les yeux bleus je suis brune, une jolie poitrine 95 B., et un petit cul bien rond, et depuis que j'ai quinze ans, j'adore le sexe sous toutes ses formes.

L'histoire que je vais vous raconter se passe il y a bien longtemps déjà, puisque c'était un été au temps ou je partais encore en vacances avec mes parents et mon demi-frère François (le fils de mon beau-père) qui a presque deux ans de plus que moi. Cet été là, je venais d'avoir 18 ans, et nous avions eu la bougeotte et nous nous promenions dans le sud-ouest de la France, ne restant que très rarement plus de deux nuits de suite au même camping ; pas vraiment très pratique pour se faire des copains, je n'avais réussi qu'à avoir deux petites aventures d'un soir pendant les vacances, et mon demi-frère qui pourtant sortait tous les soirs, n'avait encore réussi à rien. Mon beau-père avait donc acheté une tente qui, si elle était facile à installer et à ranger, n’offrait pas énormément de place : un grand auvent pour ranger tout le fourbi de camping, et une "chambre" ou les deux matelas pneumatiques doubles prenaient toute la place. Pour avoir un peu d'intimité, chacun allait se changer aux douches quand on allait se brosser les dents (c'est d’ailleurs là que se sont déroulées mes deux précédentes aventures, je vous les raconterai peut-être un jour...)

Un soir, pourtant, tout bascula : nous étions déjà couchés depuis un bon moment (sauf François qui était encore sorti ce soir là), mais je n'arrivais pas à trouver le sommeil à cause de la chaleur ; je n'avais pourtant qu'une petite nuisette très légère (ma mère aussi d'ailleurs, alors que mon beau-père, Pascal, lui, dormait torse nu et en caleçon) et le drap repoussé sur les jambes. Mon beau-père s'endormait souvent avec un bras sur ma mère qui dormait entre lui et moi. Ce soir là, je sentis soudain une main se poser sur mon sein droit et dans la pénombre, je pus voir que c'était ma mère, dans son sommeil, en se tournant sur le coté vers moi, qui avait entraîné le bras de Pascal, lequel bras était terminé par la main en question, immobile pour l'instant. Je dois préciser que jamais jusqu'à maintenant, mon beau-père n'a eu à mon égard un geste, un regard ou même un mot déplacé. Je devais être comme une pivoine, car je sentais le sang battre mes tempes et le feu sur mes joues. Ma mère devait dormir, mais lui, je n'en savais rien ; en tout cas, moi je ne dormais pas, c'est sûr ! et je dirais même que la situation m'excitait quelque peu, d'autant plus que ça faisait déjà quelque temps que l'on ne m'avait pas caressée.

Je descendis ma main gauche vers mon entrecuisse pour constater que c'était tout humide, et je ne pus résister au plaisir de me toucher un peu. S'en est-il rendu compte ? sa main jusqu'ici immobile commença doucement à me presser le sein, lentement, imperceptiblement, mais régulièrement. J’arrêtais immédiatement de jouer avec mon clitoris et je restais immobile quelques minutes ; aucun doute maintenant, il ne dormait pas. Par quelle folie, encore toute émoustillée par mes caresses, je commençais à tirer sur ma nuisette pour faire glisser le tissu afin de sentir la main directement sur ma peau. La main s'immobilisa, laissa glisser le léger tissu. Pascal savait maintenant que je ne dormais pas non plus et que non seulement je le laissais faire, mais en plus je l'encourageais ! Il se mit à me caresser le sein beaucoup plus franchement, en faisant maintenant rouler mon téton entre son pouce et son index pendant que ma main filait rejoindre mon minou maintenant tout trempé.

Soudain, après quelques minutes de ce petit jeu, ma mère alertée par je ne sais quel sixième sens, se réveilla et se retourna vers mon beau-père. La main disparut et je m'immobilisais immédiatement, faisant semblant de dormir. Tout redevint calme pendant quelques minutes, puis j'entendis ma mère dire dans un souffle : "non, arrête, si Sandrine se réveille ..." mais il ne s’arrêta pas, car la respiration de ma mère s'accéléra et elle essayait d'étouffer de petits gémissements. Comme ma mère me tournait le dos, j'en profitais pour regarder (la lumière des blocs sanitaires voisins était suffisamment puissante pour permettre d'y voir à peu près ) et je vis mon beau-père fourrager avec trois doigts dans la chatte de ma mère. Après une première réaction de pudeur offensée, j'en suis vite arrivée à la curiosité, puis à l'envie : j'ai recommencé à me caresser le clitoris, puis à me labourer la chatte avec deux doigts en suivant le même rythme que les doigts qui fouillaient ma mère. Ses gémissements étaient de plus en plus prononcés et elle dut avoir à ce moment un premier orgasme. Mon beau-père retira alors la main pour la remplacer par sa queue tendue à exploser et il pénétra ma mère d'un seul coup : comme ils étaient allongés sur le coté, je pouvais voir les couilles de mon beau-père battre contre la raie du cul de ma mère, et n'y tenant plus, je tendis la main pour caresser ces grosses couilles poilues. Il sembla trouver du plaisir dans ma caresse, car chaque coup de butoir qu'il donnait était maintenant accompagné d'un grognement de plaisir. Le mouvement s'accélérait, ma main qui fouillait ma chatte s'accéléra aussi. Mon beau-père saisissant l'opportunité, bascula ma mère sur le dos et accéléra encore son va-et-vient. Elle était hors d'état de résister, et mon beau-père fit glisser les bretelles de ma nuisette pour me caresser les seins tout en continuant son pilonnage, alors que les cuisses grandes ouvertes, je me plantais les doigts d'une main dans ma chatte tandis que de l'autre, je caressais les couilles de mon beau-père.

Les meilleures choses ont une fin, et ce qui devait arriver arriva, il éjacula en longs traits dans la chatte bouillante qu'il avait pilonné si longtemps. A ce moment j’ai eu un orgasme et toujours immobile à faire semblant de dormir j'étais comblée.

Et quand mon demi frère revint se coucher une heure plus tard. Il ne savait pas ce qu'il avait manqué ce soir là, mais ....