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Retour vers le passé partie 2

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Lue : 753 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 20/08/2021

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Le quartier où nous avions habité pendant six ans était juste à côté de la gare. Pas besoin de bouger beaucoup, il suffisait de quitter la gare, remonter 150 mètres, traverser un carrefour, encore une cinquantaine de mètres, et on y était. Un long couloir de maisons qui avaient été construites à partir des années 50, sur une zone qui au départ n’était que des champs. J’avais vu une photo d’époque, c’était impressionnant. Mais l’urbanisation avait fait son oeuvre. rares étaient d’ailleurs les maisons restées dans leur état originel, elles avaient été rénovées, voire rasées pour certaines, pour laisser place à autre chose. Une éternelle évolution. C’était ce que je redoutais évidemment. Un mouvement vers le pire. Mais il y a un moment où on doit avoir le courage de regarder les choses en face.
J’ai remonté la rue lentement. Examinant maison après maison. Mais il y avait une certaine stabilité. Tout n’avait pas été rasé. Ce qui avait changé c’étaient des touches, des ajouts. Un abri de jardin, des volets repeints…
J’avançais vers le milieu de la rue, et ces deux maisons en vis-à-vis. Ma tante avait vendu deux ans après que nous soyons partis. Elle avait de mauvais souvenirs dans ces lieux, pour y avoir vu mourir ses parents, et elle avait envie de partir depuis un moment. Le départ de mes parents avait été une sorte de déclencheur. La maison était en d’autres mains. Je la voyais, en approchant, massive, grise. Il y avait eu une rénovation sur le toit et des changements dans le jardin, habillé autrement, plus fleuri et orné par des plantations d’arbres.
Et puis sur la droite, juste en face, cette maison que je connaissais si bien. Où j’avais passé, indéniablement, des années heureuses. Même si lesdites années avaient vraiment été très différentes, dans leur nature, phase après phase.
La rue était longue, qui donnait, en plusieurs points, sur sa droite, sur d’autres rues. En son point le plus extrême, elle ramenait sur l’avenue.
J’ai distingué une silhouette au bout de l’avenue, un simple point. Je me suis demandé si ce n’était pas elle. Ca aurait été drôle de se retrouver comme ça. Mais la maison était fermée. Et j’ai eu un instant une angoisse qu’elle soir partie pour je ne savais où…J’aurais pu me renseigner avant. Mais je voulais que nos relations reprennent comme si on s’était quittés la veille, et qu’il n’y ait pas eu de transition. Il y en avait peut-être eu une.
Je me suis posé devant la maison et j’ai attendu. La silhouette devenait plus précise. C’allait être le moment de vérité. Tout se jouait maintenant à pile ou face.
Et puis la silhouette est devenue plus précise. Du noir, et une tâche de couleur. Si ça n’était pas elle…Quelque chose a glissé sur moi, et en moi, une chaleur que je n’avais pas éprouvée depuis longtemps.
Elle avançait, la tête dans les nuages, regardant autour d’elle, mais elle ne m’avait pas encore aperçu. 
Ca n’a été que quand on n’a plus été séparés que par quatre ou cinq maisons qu’elle m’a vu.
J’ai déjà eu le temps de bien la regarder. Ma plus grande inquiétude, c’était qu’elle ait changé. Cinq ans, c’est long. Je redoutais des signes d’affaissement, que ce soit mental ou physique. Etait-ce un miracle, une concession du temps, du destin? Elle n’avait pas bougé. C’était comme si on s’était quittés la veille et qu’on se retrouvait le lendemain.
Ca m’a fait très plaisir, bien sûr. Ce qui m’a fait le plus plaisir, pourtant, ça a été de lire son expression sur son visage quand elle m’a aperçu. Elle a été transfigurée. La preuve, si jamais j’avais pu en douter, mais ça n’était pas le cas, que j’avais une certaine importance pour elle.
—Mais qu’est-ce que tu fais là? Je… Je ne pensais pas te revoir…Je t’en voulais énormément. Je m’étais dit que tu aurais pu me faire un mot, et puis… Je me suis faite une raison…
—Je savais qu’on se reverrait.
—Il a fallu le temps…
—J’ai eu quelques soucis.
—Je m’étais résignée. On a eu de beaux moments ensemble, et ça me suffisait…C’est resté dans ma tête…Voilà. Alors tu es descendu pour me voir?
—Personne ne sait que je suis là. J’ai raconté à ma famille que je partais pour le Sud, mais à l’opposé.
—Alors viens avec moi…
On a remonté ensemble la petite allée qui conduisait chez elle.
—Tu fais toujours de la couture?
—Plus que jamais. J’ai laissé tomber le reste, je ne fais plus que ça aujourd’hui. Ca me rapporte suffisamment. Après, j’ai des journées bien remplies. Mais c’est bien comme ça.
J’ai retrouvé avec un plaisir intense, que j’avais anticipé, mais peut-être pas en pensant qu’il soit aussi fort, cette maison que je connaissais bien, et où pas grand chose n’avait changé.
—Et toi, dis-moi ce que tu deviens?
—J’ai terminé mes études il y a quelques semaines. Je suis engagé pour travailler dans une entreprise pas loin d’ici, dans l’aéronautique, pour faire de la maintenance.
—Oui, pas loin d’ici?
—110 kilomètres. Si tu as envie, on pourra se voir.
—Ne me dis pas que tu as choisi l’entreprise en fonction de la proximité de mon domicile.
—J’espérais qu’on puisse passer des moments ensembles. Et pas que cette semaine. C’est sûr, c’est un pari, et je risque de le perdre.
—Pas forcément.
—Cinq ans ont passé, j’en suis bien conscient. Même si ça n’a rien changé pour moi.
—Tu veux boire quelque chose? J’ai fait de la limonade maison il y a une heure…
Elle est passée dans la cuisine, et revenue avec deux verres remplis, avant de se laisser glisser près de moi sur le divan.
La question que je m’étais posée, bien sûr, c’était de savoir comment on reprendrait notre relation. Si on serait sur quelque chose de classique et de neutre ou si on reviendrait sur ce rapprochement qui avait eu lieu dans les derniers mois, sensuel et intense.
La question est venue très vite. Elle s’est penché sur moi, elle a mis ma queue à nu et elle s’est mise à donner des coups de langue dessus. La revoir m’avait fait à moitié durcir, en quelques secondes, ma queue est devenue très dure. Elle a interrompu la fellation qu’elle avait entamée, pour me dire:
—C’est ça qui m’a sans doute le plus manqué. J’étais devenue totalement accro au sexe avec toi. Notre relation me comblait parfaitement, malgré tout ce qui nous sépare. L’attachement l’un à l’autre, la sexualité…Ca faisait un tout qui me rendait heureuse. Tu crois qu’on pourrait retrouver ça?
La réponse à sa question est venue dans nos gestes. Elle portait ce jour-là un legging rouge qui m’a renvoyé à un autre, noir, qui la gainait lorsqu’on avait basculé pour la première fois. Je l’ai descendu le long de ses jambes, pour découvrir un slip assorti, en dentelle. Je l’ai descendu aussi, retrouvant ce sexe qui m’avait tellement hanté, auquel je pensais, dans ces soirées où les images de son corps, les moments qu’on avait vécus ensemble, les sensations que j’avais pu éprouver tournaient dans ma tête.
Elle a descendu legging et culotte pour finalement les enlever, et elle est venue au dessus de moi. On s’est disposés tête-bêche, sa bouche enveloppant ma queue, alors que, les mains accrochées à ses hanches, je venais caresser son sexe de ma langue, retrouvant le dessin de son intimité, son goût…J’avais eu des copines pendant tout ce temps, mais chaque fois que j’avais un rapport, je pensais à elle, je revoyais son corps, ses formes, le dessin très précis de chaque partie de son anatomie. Et je le retrouvais enfin alors que je n’avais pas espérer que ce soit le cas…
Les choses seraient différentes aujourd’hui, je le savais parfaitement. Le temps avait passé, les conditions n’étaient plus les mêmes, et il n’y avait plus aucune limite entre nous.
J’ai laissé son sexe inonder ma bouche, pointant ma langue en elle aussi loin que je le pouvais.
—Je crois que je vais jouir…Je devrais tenir plus longtemps, mais cet orgasme, je l’attendais…
Elle s’est tendue, et elle s’est laissée aller, m’arrosant de ses liquides qui sont sortis au rythme de ses spasmes. Moi aussi déjà au bout d’une excitation qui attendait son exutoire depuis cinq ans, j’ai explosé en crachant du sperme.
Ce n’était pourtant, je le savais, que le début.
Est-ce que j’avais attendu, espéré ce qui est venu par la suite? En tout cas ça s’est fait tout naturellement. Elle s’est dégagée, s’est retournée, et elle est venue se placer en aplomb au dessus de mon sexe dur de désir, et que jouir n’avait pas le moins du monde dégonflé. Elle l’a attrapé du bout de ses doigts, et j’ai bien compris qu’à ce moment, il allait se passer ce qui ne s’était jamais produit encore. Ce que je n’avais pas vraiment espéré d’ailleurs. J’avais pris un plaisir infini aux jeux imaginatifs auxquels on avait joué ensemble, et je n’étais pas sûr que si elle m’avait donné le choix entre venir dans son sexe ou des caresses dont elle avait le secret et des jeux que je n’aurais jamais imaginé, elle m’aurait vu préférer l’option numéro 1…Mais je supposais qu’elle aussi avait envie de quelque chose de personnel et d’intense. Me sentir dans son ventre. Et c’est vrai que, dès que les sensations ont afflué, je ne l’ai pas regretté.
Je me disais, je ne sais pas pourquoi, qu’on n’allait pas pouvoir faire la jonction, et puis ça s’est fait tout seul. Il est vrai que, depuis la nuit des temps, des hommes et des femmes parvenaient à s’accoupler. Et puis, elle était très dilatée. J’ai vu mon gland passer la limite de ses lèvres, tout gonflé, puis glisser et disparaître en elle. Et toute ma queue a suivi, jusqu’à être totalement avalée. Elle était posée sur moi et elle souriait avec un ravissement total comme si elle avait enfin ce qu’elle avait attendu pendant longtemps, et c’était peut-être le cas…Mon sexe dans son ventre…
Les sensations sont arrivées pour moi aussi. La chaleur intense de son sexe autour de moi, les écoulements de ses sécrétions vaginales, et puis cette sensations exquise d’être enveloppé par quelque chose de doux et de délicat, comme de la soie. J’ai cru que j’allais exploser de plaisir, elle l’a sans doute senti, et m’a dit:
—Attends…Je veux que tu restes dur pour bien me caresser à l’intérieur.
Elle m’a donné son rythme, se faisant monter et descendre sur ma queue, dont j’avais l’impression qu’elle prenait de plus en plus de volume à mesure que les minutes passaient. Elle était en plein nirvana. Elle a joui, plusieurs fois, allant d’orgasme en orgasme avant de dégager ma queue de sa vulve. Il n’y avait qu’avec elle que j’étais aussi gros, quand elle caressait ma queue de sa bouche, de sa main, ou des parties de son corps, de ses seins, de son clitoris…Et aujourd’hui de sa muqueuse vaginale.
Elle l’a posé contre son ventre et l’a frotté jusqu’à ce que mon sperme jaillisse, trait après trait, venant souiller sa chair. J’avais l’impression que ma semence n’allait jamais cesser de sortir, comme si je l’avais retenue pendant six ans pour ce jour et malgré une première éjaculation.
Elle m’a souri.
—Je vais cuisiner pour ce soir. Tu m’aides?
Elle avait décidé de faire une tarte aux tomates et herbes de Provence.
—Alors comment tu vois les jours et les mois à venir?
—Hé bien là, j’ai une semaine de tranquille, donc j’aimerais bien la passer avec toi, si tu es d’accord. Et ensuite, je remonterai. Et dans un mois, quand je serai tout près, j’aimerais passer autant de temps que possible avec toi. Avec le train, c’est facile de faire cent kilomètres…Et personne n’aurait rien à nous dire.
Elle a glissé la tarte dans le four.
—Bon, on va dire 30 minutes de cuisson. J’ai une irrésistible envie de sexe, tu crois qu’on peut encore en profiter…Enfin, il faut que ta queue soit suffisamment en forme.
On était restés tous les deux habillés jusqu’à taille seulement. Elle s’est approchée, a entouré ma queue de sa main et l’a caressée doucement. j’avais déjà joui deux fois, mais ça n’avait pas apparemment épuisé mon désir. Je me suis retrouvé érigé et vraiment raide. Elle a souri et, me tenant par la queue, elle m’a ramené dans le living. Deux secondes plus tard, pendant que la tarte cuisait, elle basculait à quatre pattes, et je la prenais en levrette, la tête de ma queue venant cogner conte son utérus. Le temps que la tarte ait fini de cuire…
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