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Sexe, piscine et location

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Lue : 1629 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/08/2021

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Je venais juste de rentrer à la maison quand Juliette m’a dit:
—Bon, pour demain, j’ai une bonne surprise.
Je n’ai pas cherché à savoir laquelle. Il faut dire qu’avec elle, les surprises, généralement, c’était du sexe. Enfin, dans la grande majorité des cas. J’étais bien conscient du fait que, de toute façon avec elle, les surprises ne tenaient jamais très longtemps, car, incapable de tenir sa langue, elle vendait très rapidement la mèche.
Elle était dans la cuisine et elle s’apprêtait à servir le diner.
—Tu as passé une bonne journée?
Elle et moi, on était dans une phase de notre existence où on était totalement décalés. Elle était en congé pour deux mois, alors que moi je travaillais. Je m’occupais du service informatique d’une grosse boite qui se développait, et les vacances étaient pour le moment une vue de l’esprit. Ca ne me dérangeait d’ailleurs pas vraiment. J’avais la chance d’être passionné par ce que je faisais.
—Ca a été. J’ai été me balader, j’ai vu des copines et j’ai fait un gâteau pour ce soir.
Ca faisait huit ans que Juliette et moi on vivait ensemble. On n’était pas mariés. Il fallait dire qu’elle n’avait pas un caractère facile, et on s’était déjà séparés de manière provisoire à plusieurs reprises. Quand elle était contrariée, et parfois pour des motifs qui malheureusement tenaient plus à son imagination qu’à la réalité, elle pouvait faire des crises qui se manifestaient généralement par des bouderies qui duraient des jours dans le meilleur des cas, et, dans le pire elle faisait ses valises et partait dans sa famille pour quelques temps…Avant de revenir…Au début, ça me déstabilisait, puis j’avais pris les choses avec plus de philosophie.
Je n’ai pas eu à attendre très longtemps, à vrai dire. La révélation a eu lieu au milieu du diner.
—J’ai fait une réservation sur Swammy pour demain après-midi.
—Très bien, j'ai répondu, mais Swammy, c’est quoi?
—C’est une plateforme qui met en contact des gens qui ont des piscines et des gens qui n’en ont pas.
On habitait elle et moi en immeuble, et effectivement, notre seule piscine, c’était notre baignoire.
—Les gens mettent leur profil, des photos, on s’appelle, on voit si on tombe d’accord, et si c’est le cas, tu vas chez eux, ils te mettent leur piscine à disposition pour un temps que tu négocies avec eux, avec d’éventuels plus, par exemple un barbecue, ce genre de choses. J’ai pensé que ça casserait un peu la routine. En plus comme tu n’as pas la chance d’être en vacances…
—C’est une bonne idée, j’ai acquiescé.
Et c’était vrai que je trouvais qu’elle avait eu effectivement une excellente initiative.
Juliette avait vraiment tout bien organisé. Le lendemain, en début d’après-midi, on a pris nos affaires, ça faisait pas mal de temps qu’on n’avait pas fait une virée à la mer et ça me plaisait de pouvoir un peu me tremper et m’amuser dans l’eau. D’autant que Juliette en maillot, c’était quelque chose. Elle avait une silhouette impeccable, à laquelle il était difficile de résister.
Il nous a fallu vingt minutes de route, passer d’un ville à l’autre. On s’est retrouvés dans un quartier résidentiel apparemment calme. De jolies propriétés. On a fini par se garer devant une belle maison, avec un terrain arboré.
Il y avait un parking. On s’est garés, et on a remonté un chemin dallé. Qui nous a amenés à la bonne destination. La maison, à notre gauche, une belle maison, avec des baies vitrées entrouvertes, en cette belle journée de printemps, et juste en face de nous, un espace dallé, isolé par des buissons, avec au centre une magnifique piscine. Tout autour des transats, des sièges…Tout ce qu’il fallait pour passer un bon moment.
La propriétaire a surgi de la maison, elle nous avait entendus, avec un grand sourire sur le visage.
Je dois dire que j’ai été un rien surpris.
Je ne m’étais pas fait une image précise de la femme avec qui Juliette avait négocié. Pour moi, c’était une image floue, je me posais surtout des questions sur le lieu, comment ça se passerait.
Juliette avait 25 ans, elle devait en avoir 45…c’était…Une véritable bombe sexuelle…J’avais rarement vu une aussi jolie femme. Elle n’avait certes plus la fraicheur de ses vingt ans, mon son épanouissement était cent fois plus troublant. Elle était très grande, encore grandie par les sandales à talons hauts qu’elle portait, et elle ne portait pas grand chose d’autre. Proche de la nudité, sans y être, ce qui l’enveloppait poussant justement ses charmes dans les extrêmes. Elle venait apparemment de faire trempette, un peignoir sur ses épaules, mais largement ouvert, ses cheveux d’un noir de jais tout mouillés. Son maillot de bain ce n’était pas un une pièce, mais un bikini, le tissu conçu et découpé comme un bikini, donc, bleu, avec le soutien-gorge en triangle, et le bas aussi. Il était bleu ciel et il couvrait ses parties intimes, laissant le reste de sa chair à nu. Elle était élancée, mais son corps était généreux, sans aucun surpoids. Elle avait des formes, on aurait pu dire, d’une manière très simple. Les pièces de tissu donnaient à voir ses parties intimes mieux que si elle avait été nue, en les soulignant, les mettant en évidence. Ses seins lourds, retenus par le tissu du soutien-gorge, rendu transparent par l’eau dans laquelle elle devait encore se baigner quelques minutes plus tôt. On distinguait bien les aréoles, mais aussi les tétons que l’eau avait faits durcir, tendant le tissu. En bas d’un ventre légèrement bombé, et de hanches généreuses, on pouvait en dire tout autant de sa toison, brune, taillée en triangle, qui s’interposait entre le tissu et sa chair, et de sa fente, qui tranchait sa chair en deux et dont sortait un bon morceau de lèvre. Ca a été un peu plus tard que j’ai pu apercevoir ses fesses, hautes, et généreuses, coupées en deux par un sillon profond.
Avoir un corps de femme mûre, c’était un point positif. Ce qui l’était aussi, c’était cette sensualité à fleur de peau, dont d’autres femmes du même âge étaient sans aucun doute dépourvues. La regarder, c’était penser immédiatement à un monde de possibilités, qui sans doute ne se réaliseraient pas, et fantasmer sans limite.
—Je suis enchantée de vous accueillir. Je m’appelle Lucinda. Je profitais de la piscine avant que vous arriviez. Je vous en laisse la jouissance tout l’après-midi. Je vous ai mis des serviettes et des peignoirs là. Je vous ai également préparé quelques boissons, dans le petit frigo qui est sous l’appentis. Il y a des jus de fruits, de l’eau gazeuse…Si vous avez besoin de quelque chose je suis à l’intérieur, n’hésitez pas.
Et elle s’est éclipsée.
C’est à ce moment-là que ça a commencé à péter avec Juliette.
Quand elle chose la contrariait, elle partait très rapidement sur des crises, et inutile de vouloir l’arrêter.
—Tu es un beau dégueulasse, elle s’est écriée, avec une discrétion telle que la femme à l’intérieur avait forcément entendu.
—Un beau dégueulasse…Je peux savoir pourquoi?
—Tu crois que je n’ai pas vu comment tu la regardais?
—C’est plutôt une jolie femme, non? Tu voulais quoi? Que je me crève les yeux?
—Vous êtes tous pareils…Avec une fille, mais vous avez envie de vous taper toutes les autres…
—Bon, écoute, on va pas gâcher notre après-midi…
—Et ça? C’est bien une preuve qu’elle te plait, non?
Comme je n’étais pas sûr que je pourrais me changer, j’avais passé mon slip de bain à la place de mon caleçon avant de partir. Et dessus, un pantalon de survêtement. Le problème, c’était que ce type de tissu se déformait facilement. Et le pantalon laissait bien voir que j’avais une bonne érection. Le caleçon encore plus. Sans égard pour moi, elle a descendu vivement le pantalon, puis le caleçon, et ma queue a jailli à l’air libre, gorgée de sang, peut-être pas au maximum de son érection, mais son volume, sa longueur trahissaient ce que la femme m’avait inspiré. J’aurais pu dire à Juliette que cette érection était inspirée par sa personne, mais elle ne m’aurait pas cru, je crois.
—Puisque son cul t’intéresse plus que le mien, tu sais ce qu’on va faire? Moi je vais prendre la bagnole et je vais rentrer. Toi tu prendras le bus…Va la voir, montre lui ta queue en érection, je suis certaine qu’elle s’y intéressera.
La faille, c’était qu’elle avait conduit, et qu’elle avait gardé les clefs de la voiture.
J’étais cuit. Elle m’a tourné le dos, et elle repartie vers la rue.
Je la connaissais suffisamment pour savoir que dans de tels moments, il était absolument inutile de discuter, d’argumenter. Je n’ai donc même pas chercher à la rattraper.
J’étais là, la piscine avait été réservée pour l’après-midi, autant en profiter, même si j’avais prévu de le faire en sa compagnie. Elle ferait la tête tout l’après-midi, et puis ce serait fini.
C’était certain, si une fille était troublée par un homme, les signes étaient moins évidents que pour un garçon…
Je venais de plonger dans la piscine, j’avais fait deux ou trois longueurs quand notre hôtesse a fait son retour. Elle avait toujours le même maillot. Le tissu avait eu un tant soit peu le temps de sécher.
—Vous êtes tout seul?, elle s’est étonnée.
—Vous n’avez rien entendu?
—J’étais dans la salle de bains, et elle est isolée et de l’autre côté de la maison…
—Elle m’a fait une crise de jalousie. Et elle est partie.
—Ah…Je suis vraiment désolé d’avoir été la cause d’une dispute…Généralement ça se passe bien quand on vient chez moi.
—Juliette est ultra jalouse, et très prompte à faire des crises…
—Vous restez quand même?
—J’ai envie de profiter de la piscine.
—Vous avez raison. Je vais vous tenir compagnie.
Il y avait quelque chose dans son regard qui me disait qu’elle ne regrettait pas au final que Juliette soit partie, et qu’elle avait l’intention d’en profiter. Ce que les minutes qui ont suivi m’ont confirmé. Sans complexe, elle s’est laissée doucement glisser dans l’eau. Je me suis rendu compte que l’eau froide ne marchait pas tant que ça pour calmer une érection, et que si celle-ci s’était malgré tout calmée, la voir revenir, puis plonger près de moi avait été suffisant pour faire gonfler mon sexe. Et mon slip de bain ne risquait pas de masquer grand chose.
—Je comprends mieux pourquoi elle a été jalouse, elle a dit, le regard posé sur la masse qui déformait le slip.
—Désolé.
—Il n’y a pas de quoi. Au contraire, c’est plutôt flatteur. Ca prouve que je suis encore désirable.
J’ai failli m’écrier:
—Ah ça oui, vous êtes désirable…
Mais j’ai préféré me taire. Ca aurait été s’enfoncer encore plus.
—Qu’est-ce que vous diriez si je m’occupais de cette pauvre queue qui est toute gonflée?, elle m’a proposé.
Je ne suis pas sûr qu’elle attendait une réponse. D’ailleurs je n’ai pas donné. Ce qui ne l’a pas empêchée de tendre la main vers mon slip de bain et de le descendre. Ma queue a jailli à l’air libre. Gorgée de sang. Elle a eu le réflexe de saliver, son regard collé à mon membre. Oui, d’évidence, elle aimait le sexe.
—Je n’ai jamais pu résister à une belle queue bien dure. Je suis incorrigible…
Sa main a glissé jusqu’à ma verge. Elle l’a enserrée, puis caressée doucement. C’était vraiment très bon, et l’espace d’un instant, j’ai cru que j’aillais jouir. Elle l’a bien senti, et elle m’a dit:
—Retiens-toi…J’ai envie qu’on ait du plaisir toi comme moi…
C’était un bon argument. Mais elle était très troublante, et elle avait un indéniable savoir-faire, qui se manifestait déjà, simplement, par cette caresse habile, et qui ne s’est pas démenti dans les minutes qui ont suivi. Sa main était incroyablement douce et habile, et c’était troublant d’être dans un moment décalé, sous l’eau, avec cet élément liquide qui pesait sur nous.
Là où elle m’a réellement surpris, ça a été quelques minutes plus tard quand elle a plongé sous l’eau, et que, bien qu’enveloppée par l’élément liquide qui aurait pu être une gêne, elle est venue prendre une partie de ma queue dans sa bouche. J’avais une vision déformée d’elle sous l’eau, mais je voyais quand même bien qu’une partie de ma queue avait disparu dans sa bouche, et qu’elle faisait aller et venir celle-ci sur mon sexe. J’avais la sensation surtout autour de mon membre. C’était quelque chose de nouveau et d’excitant de changer de milieu, et de faire l’amour dans l’eau, mais ce n’était au final pas dérangeant.
Elle a lâché ma queue et a émergé quand elle a eu besoin d’oxygène.
Elle a baissé son slip de maillot, et elle a attrapé mon membre pour venir le frotter contre ses lèvres. L’eau autour de nous me semblait souligner les sensations, les isoler et leur donner leur plein sens. Je me suis demandé si par hasard ma queue glissait dans son sexe, fut-ce de quelques centimètres, si l’eau allait rentrer aussi…Y avait-il une connexion mentale entre nous, et voulait-elle répondre à ma question? En tout cas, un tiers de mon membre a disparu en elle, et j’ai bien vu que seule ma chair rentrait. Je sentais la fraicheur de l’eau sur une partie de ma queue, et la chaleur de son intimité sur le reste, sensation troublante.
—Allez viens, rien ne vaut la terre ferme pour bien faire l’amour.
Elle a enlevé son slip avant de sortir du bassin, le ventre nu. J’ai pensé un instant que Juliette, ayant des regrets, risquait de revenir. Elle ne serait pas déçue…Ironiquement, c’était finalement un peu elle qui, par son attitude avait fait que ça se réalise. Si elle était restée…Même si j’avais eu la queue dure, et que la brune ultra sexy avait été intéressée, il ne se serait certainement rien passé.
Elle a aussi fait sauter son soutien-gorge, m’offrant sa nudité intégralement. Elle a glissé ses mains sous ses seins, les prenant en coupe, et elle m’a dit:
—Viens, j’ai envie de sentir ta bouche dessus.
On était totalement pris, l’un comme l’autre, par notre désir. Je me suis approché, et j’ai caressé ses seins de ma langue. Mon corps était contre le sien, et ma queue collée contre son ventre. J’ai parcouru le volume d’un sein, puis de l’autre, avant de venir avaler un téton. Ils étaient durs et épais, me remplissant la bouche. Elle était apparemment sensible par là, car elle a gémi alors que je les caressais de la langue. En même temps, de sa paume, elle effleurait la surface de mon gland. Incapable de me maîtriser plus longtemps, j’ai balancé deux ou trois traits de sperme, tout en restant tout dur. Elle a porté sa main à sa bouche, et elle les a lapés. J’ai risqué une main entre ses cuisses, et j’ai trouvé, au bout de mes doigts, le dessin de son sexe, la bosse de sa vulve, ses lèvres sorties d’elle, toute gonflées, ses jus intimes qui ont ruisselé sur ma main.
—J’en peux plus. J’ai envie que tu me pénètres. Maintenant. Je veux sentir ta queue dans mon ventre, et que tu me fouilles bien.
Elle a glissé sur un des transats qui étaient disposés autour de la piscine. Elle s’est mise à quatre pattes, projetant ses parties intimes vers moi, sa croupe très charnue ouverte dans cette position, le fond de son sillon bien visible, avec en son centre la déchirure de ses plissements anaux, et son sexe, gonflé d’excitation, ouvert, dont pendaient des filets gras de sécrétions vaginales,venant me chercher avec son regard collé à moi.
—Regarde le coffre qui est là, sur la table, il y a des capotes dedans. Mets-en une. Je suis encore fertile, j’ai pas envie d’avoir un gosse.
Effectivement, le petit coffre était truffé de préservatifs. Comme je semblais intrigué, elle m’a dit:
—La plupart des couples qui réservent baisent tôt ou tard, que ce soit des couples déjà formés, ou des couples qui se forment. L’eau, le soleil, le printemps, l’été, l’atmosphère…
—Et tu te joins à eux, je parie?
Elle a souri.
—J’ai vécu vingt ans avec un homme dont j’étais folle. Jusqu’au jour où je me suis rendu compte que c’était un pauvre con, que je ne l’avais jamais vraiment intéressée, et qu’il me trompait autant qu’il pouvait. Tu vois, si j’ai cette maison magnifique, c’est parce que j’ai engagé un privé qui a pris des photos éloquentes. Quand on est cadre à un très haut niveau dans une grande multinationale, on comprend vite qu’il y a des photos qu’il vaut mieux que son patron ne voie pas. Alors on est prêt à un contrat de divorce avantageux. Une maison, et beaucoup d’argent. Je ne me remarierai jamais. Je suis libre. Et je prends tout le plaisir que je peux parce que je n’en ai pas eu beaucoup en vingt ans.
J’ai gainé ma queue, raide à en avoir mal, de latex, et je me suis approché d’elle. A ce moment, je n’avais plus qu’une idée, m’enfoncer en elle, sentir son sexe autour de moi, et rien n’aurait pu me détourner de mon but, et de mon obsession. J’ai appuyé mon gland contre ses lèvres. Elle a gémi de plaisir, un gémissement qui s’est prolongé quand je les ai frottées. Je voulais lui faire perdre le contrôle, mais ironiquement, j’ai failli le perdre moi aussi. Puis je suis rentré en elle. On était chacun dans une transe qui se rejoignait. Elle avait envie de sentir le membre d’un homme en elle, et moi la muqueuse d’une vulve autour de ma queue. Je suis rentré très lentement en elle. J’ai senti son sexe s’emparer de moi. Elle avait une muqueuse incroyablement douce et incroyablement chaude. Je m’y suis niché, ma queue plantée en elle jusqu’à la racine. Je serais bien resté en elle pour l’éternité.
—Caresse moi avec ta queue, elle a exigé…
Je me suis mis à bouger en elle, en appréciant la manière qu’elle avait, non seulement de prendre du plaisir, les frémissements de son corps le disaient clairement, mais aussi de l’exprimer avec commentaires, cris et gémissements.
Elle m’a recommandé:
—Quand tu sentiras que tu vas jouir, je veux que tu sortes ta queue de ma vulve et que tu la mettes en haut de ma raie après avoir enlevé la capote. J’ai envie de sentir
ton sperme couler sur mes parties intimes.
J’ai tenu aussi longtemps que je pouvais, avant d’enfin arracher ma queue de son sexe. Elle mouillait tellement que ça avait abondamment coulé sur ses chairs, et que du préservatif pendaient des filaments de sécrétions, qui devenaient de plus en plus épais à mesure qu’elle approchait de la jouissance. J’ai fait glisser le préservatif le long de ma queue..Je n’en pouvais plus. J’ai juste eu le temps de poser mon gland là où son sillon s’amorçait dans ses fesses, et mon sperme a jailli par saccades, une réserve de semence qui semblait ne jamais devoir s’épuiser. Elle a joui en hurlant, chaque nouveau jet de sperme lui faisant pousser un nouveau cri…Il fallait espérer que les voisins étaient sourds…Ou habitués…Pourtant, ça n’a été qu’alors que ma jouissance prenait fin qu’elle a éjaculé plusieurs jets copieux de liquide, qui m’ont arrosé.
Ce n’était pourtant pas la fin, mais le début. On s’est accouplés dans plusieurs positions jusqu’à ce qu’on n’ait plus la force de jouir.
—Ca a été une de mes meilleures aprem depuis longtemps, elle a soupiré, en se laissant tomber sur le transat, couverte de nos liquides.
—Je peux en dire autant. Même si je ne l’avais pas imaginée comme ça.
—Tu reviendras?
—Tu m’invites à nouveau?
—Pas pour faire trempette. Pour me laisser profiter de ta belle queue. Tu l’utilises si bien.
J’ai pris une douche, et puis je suis reparti chez nous. Juliette m’a fait un immense sourire.
—Alors?
—Tu ne seras pas déçue.
L’ordinateur, dans mon sac avait enregistré les images captées par les deux minuscules caméras que j’avais installées juste après que Juliette soit partie. La dispute entre nous n’avait été qu’une comédie. On aimait l’un et l’autre jouir ensemble de spectacles qu’on enregistrait qui nous mettaient l’un ou l’autre en scène avec un ou une partenaire. Là, il y avait vraiment de quoi nous satisfaire l’un comme l’autre. Et on finirait dans les draps. A cette pensée, ma queue qui avait déjà pourtant bien servi retrouvait de la vigueur. L’avantage de la jeunesse.
Déjà, en regardant la vidéo, elle commençait à se caresser.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Sexe, piscine et location

Le 21/08/2021 - 06:54 par sizaxe
J'ai bien aimé la fin...

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