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Révélation de mon homosexualité 2

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Lue : 2068 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/02/2015

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Jean mon amant a décidé que je devais assouvir les envies de certains de ses amis qui comme lui n’avaient pas de copines et qui pour se vider les couilles en étaient réduits à se branler.

Comme Jean ne pouvait pas toujours prendre la poire de lavement de sa mère il a décidé que nous adopterons le préservatif, surtout qu’il avait envie que je me fasse enculer par ses copains.

Il me fit passer un premier test avec un certain Marcel un beau gars baraqué mais avec une queue modeste, Jean nous a reçu chez lui et m’a demandé de le sucer, ce que je me suis empressé de faire sous les yeux de Marcel qui commençait lui à se branler, Jean l’invita à prendre sa place et je me suis retrouvé avec sa bite dans la bouche, à chaque fois que je l’engloutissait à fond il tressaillait et j’ai bien cru qu’il allait éjaculer de suite, j’ai ralenti le mouvement mais lui au contraire s’est mis à me baiser la bouche avec frénésie. Jean qui entre temps m’avait préparé le cul a positionné son gland contre mon petit trou et progressivement a commencé à me pénétrer, quand Marcel s’en est aperçu il a accéléré le mouvement et m’a éjaculé dans la bouche, son sperme n’avait ni la consistance ni le même gout que celui de Jean, mais il était tout autant agréable donc je l’ai avalé, pendant ce temps Jean me pilonnais le cul, il a deviné que je venais de me faire remplir la bouche de foutre il a enlevé sa capote, il est venu m’éjaculer en fond de gorge, je me suis délecté de son bon nectar. Marcel s’est mis derrière moi et après avoir mis une capote m’a pénétré d’un seul coup jusqu’au fond sans que je ne ressente aucune douleur, il m’a pilonné le cul avec vigueur et il s’est crispé et j’ai su qu’il venait de jouir pour la première fois ailleurs que dans sa main. Il était heureux de ne plus être puceau, il m’a remercié et m’a demandé si je voulais bien qu’il recommence un autre jour, je lui ai répondu que oui, il a remercié Jean s’est rhabillé et il est parti tout content.

Jean a remis sa bite dans ma bouche pour que je le refasse bander, ça n’a pas tardé, il a remis une capote et a recommencé à m’enculer et là j’ai bien senti la différence par rapport à la bite de Marcel, il m’a défoncé le cul et il a jouis rapidement. Nous nous somment lavés et je suis reparti heureux, j’en avais pris plein la bouche et le cul et en plus j’avais dépucelé Marcel. Avant que je parte Jean m’a dit que j’allais bientôt connaitre une vraie bite d’adulte celle de Georges plus longue et plus grosse que la sienne qui a mon gout était déjà assez grosse pour mon cul.

Apres l’entrainement du jeudi après-midi Jean m’a entrainé vers une voiture ou se trouvait un homme d’une vingtaine d’année, nous somment montés dans l’auto qui a démarrée de suite et nous somment partis vers un quartier que je ne connaissais pas, en route Jean a fait les présentations et pendant tout le trajet Georges le chauffeur n’a pas arrêté de me regarder dans le rétro. J’ai angoissé a l’idée que je ne lui plaisais pas, par contre lui m’attirait énormément, un beau brun assez grand.

Il s’est arrêté au pied d’un immeuble et toujours sans un mot il nous a fait monter au premier étage et nous somment entrés dans un petit appartement sommairement meublé mais très propre et bien rangé, j’ai pensé qu’il était marié pour que cet appartement soit dans cet état, je ne m’étais pas trompé, il m’a fait assoir sur un canapé a enlevé son pantalon et son slip, oh stupeur je n’avais jamais vu un aussi beau sexe avec des proportions aussi énormes, j’ai déglutis et je lui ai dit que je ne pourrais pas accueillir une aussi énorme bite dans le cul, il m’a souri et m’a affirmé que oui après une bonne préparation et surtout après que Jean ai fait le passage.

Georges a présenté sa queue devant ma bouche que j’ai dû ouvrir au maximum pour la gober mais j’y suis arrivé non sans mal et je me suis mis à sucer ce gros sexe, il a commencé à me baiser la bouche de plus en plus fort et plus profond, j’ai faillis vomir à plusieurs reprise mais j’aimais me faire défoncer la bouche par ce gros pieux, il s’est crispé et a répandu une grosse quantité de sperme dans ma bouche tellement remplie par ce sexe imposant que j’ai tout avalé sans avoir eu le temps de le déguster. J’ai nettoyé avec application cette énorme bite à grands coups de langue, il m’a demandé de me lever du canapé, m’a demandé de me mettre nu et après m’avoir caressé les fesses et le cul il a demandé à Jean de préparer mon trou pour qu’ils puissent m’enculer à tour de rôle. Avec sa délicatesse habituelle Jean qui avait enduis ses doigts d’un produit dont se servait sa mère pour nettoyer les fesses de son petit frère a commencé à mettre un doigt dans mon cul en me masturbant l’anus, il y ajoutât un second puis un troisième, je sentais le plaisir m’envahir et surtout mon cul qui se dilatait sous la caresse de ses doigts, Georges qui s’impatientait lui a demandé de me pénétrer pendant qu’il me remettait sa grosse queue dans la bouche, je le suçais avec fougue pour le refaire bander, j’ai senti que Jean allait éjaculer aussi j’ai serré les fesses pour emprisonner sa bonne pine, il a lâché tout son sperme et quand j’ai vu la quantité dans la capote j’ai pensé que j’aurais mieux aimé le boire, Georges s’est sorti de ma bouche , a mis un préservatif qu’il a enduit du gel, et pendant que je pensais qu’il allait me casser le cul je fus surpris par la douceur et la délicatesse avec laquelle il s’est introduit en moi, j’ai eu très mal et j’ai étouffé un cris de douleur mélangé a un plaisir qui grandissait au fur et à mesure de ses va et viens, je sentais bien sa grosse bite aller et venir dans mon cul il la sortait presque entièrement et d’un seul coup il l’enfonçait à nouveau, cela a duré un très long moment, il a accéléré le mouvement et m’a pilonné tel un bucheron j’avais mal mais le plaisir était si fort que quand il a jouis j’ai éjaculé comme jamais auparavant, heureusement il avait prévu et avait mis un vieux chiffon sur le canapé. Apres m’avoir mis une bonne claque sur les fesses il a demandé à Jean s’il voulait continuer, ce dernier ne s’est pas fait prier et il m’a enculé une dernière fois mais comme il n’avait plus de capote il a éjaculé sur mon dos et j’ai senti son sperme chaud dégouliner sur ma raie, je l’ai stoppé avec mes doigts que j’ai mis dans la bouche pour savourer ce délicieux breuvage.

Georges nous a invités à prendre une douche et pendant que Jean me lavait de partout Georges m’a remis sa queue dans la bouche et je l’ai resucée à fond, il était aux anges et moi aussi.

On s’est rhabillés et là Georges ma expliqué que sa femme refusait la sodomie mais que lui ne pouvait pas s’en passer, il m’a demandé si je voulais bien accepter de le soulager de temps en temps, je lui dis que j’étais d’accord car il m’avait enculé comme je ne l’avais encore jamais été mais a une condition c’est que Jean y participe pour le remercier de nous avoir présentés (et surtout pour qu’il fasse le passage avant que Georges ne me pénètre mais ça je ne le lui ai pas dit pour ne pas vexé Jean). Il nous a raccompagnés près de chez nous et m’a proposé de le rejoindre le jeudi suivant au même endroit a la sortie de l’entrainement.

En attendant jeudi j’ai rencontré Marcel le lundi suivant, quand il m’a vu il s’est précipité vers moi et m’a demandé si je voulais bien qu’il me baise car il serait seul chez lui jusqu’à 20 heures, j’avais vraiment envie de me faire enculer et je devenais accros à la bite, j’ai accepté son invitation, nous somment arrivés chez lui et là il était tellement excité qu’il a sorti sa queue et le l’ai sucé en lui bouffant les couilles ce qu’il n’avait encore jamais subit il a commencé à éjaculer, je me suis dépêché de reprendre sa bite dans la bouche pour avaler ce sperme onctueux, j’étais accro à ce breuvage délicieux, on s’est mis à poil et je lui ai demandé de me préparer le cul chose qu’il n’avait jamais fait, je l’ai dirigé et comme il n’était pas très membré je lui ai dit de se servir de sa salive, après m’être fait branlé par un puis deux doigt je me suis mis à quatre pattes pendant qu’il enfilait une capote, et il m’a pénétré d’un seul coup puis m’a pilonné de plus en plus fort et plus profondément, je sentais ses couilles battre mes fesses il avait l’air de ne pas vouloir éjaculer et il m’a baisé pendant plus d’un quart d’heure et soudain il a crispé ses mains sur ma taille il a enfoncé sa bite le plus profond possible et il a jouis, il a repris ses va et viens en douceur et quand sa queue a commencée à ramollir il s’est relevé et j’en ai fait de même, il m’a embrassé maladroitement en me disant qu’il m’aimait, je l’ai stoppé de suite en lui disant qu’il n’y avait aucun amour entre nous mais juste un besoin physique que je serais heureux de lui faire partager, il s’est rendu compte qu’il s’était emballé, je lui ai dit que j’avais plusieurs amants et qu’il en faisait partie, (la vérité c’est qu’à ce moment-là je n’avais que trois amants Jean, Georges et lui mais je savais que la liste allait s’agrandir car Jean et Georges avaient des amis désireux de faire ma connaissance) et le jeudi suivant ça c’est confirmé.

Si ça vous a plus je vous conterais la suite de cette histoire vraie un peu plus tard.

Bien entendu tous les prénoms sont fictifs.
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Histoire de micheljgay9a

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