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Routiers cocus 2

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Lue : 1882 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/06/2013

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Routier cocu sur le chemin du bonheur.

Résumé. Paul trouve sa femme Elodie au lit avec un amant. Il quitte l’infidèle.


Il y a urgence, je dois me loger avant mon prochain voyage. Je lis les petites annonces. Une veuve loue un petit appartement : une chambre, cuisine, WC douche, moyennant un loyer modeste plus des charges. Je me présente, elle me trouve sympathique, met l’appartement à ma disposition immédiatement. Je dois notifier mon changement d’adresse à Léon. Il est aussi étonné que moi de me voir rejoindre l’innombrable cohorte des routiers cocus.

Au début d’une relation les jeunes femmes rêvent d‘accompagner leur chauffeur de fiancé. Mariées elles se lassent des voyages, elles y renoncent, s’ennuient à la maison, tchatchent sur internet, tombent sur un correspondant sympathique. A la première rencontre il offre des fleurs, paie le restaurant. Il devient ami, lave la voiture, fait les courses, offre une sortie cinéma, accepte une bière ou un café. Il comprend la tristesse de l’épouse dont le mari est absent, la réconforte en paroles, accepte de goûter à sa cuisine. Une fois invité, il s’installe à sa table. Il admire l’appartement au cours de la visite.
- Vous êtes bien installés, Ce matelas moelleux a dû coûter une fortune. Puis-je l’essayer ?

Un jour il trouve que le matelas lui convient, s’installe dans le lit pour tenir chaud à la frileuse solitaire, la prend dans ses bras. Elle se blottit innocemment contre lui. Il l’embrasse comme par jeu, s’excuse mais recommence. Elle fronce à peine les sourcils, éprouve de la joie d’avoir un ami présent et plein d’attention. Il rend de multiples services, remplace pour le bricolage le mari qui hélas dispose de si peu de temps : il gonfle un pneu de vélo, avant de gonfler le ventre de l’épouse peu méfiante devenue amante sans s’en rendre compte, surprise de passer du bisou sur la joue au baiser sur les lèvres, de la caresse sur la joue à la main dans la culotte et du thermomètre auriculaire à la sonde masculine dans le vagin.

Au matin elle se réveille à côté d’un corps chaud, regarde, ne reconnaît pas le visage de son mari chéri. Elle se souvient alors, le brave ami l’a enchantée, gâtée et a fini dans le grand lit. Elle avait besoin d’affection et de compagnie. Elle a accepté un premier bisou et ensuite tout s’est passé très vite. L’accident s’est produit, restera secret. Ni vu ni connu, ça ne fait donc pas de mal, au contraire ça fait du bien où ça passe. Et si ça fait du bien, pourquoi s’en priver : elle peut recommencer, trouve agréable de pouvoir comparer. Chacun a ses caractéristiques propres qui tiennent aux dimensions, à la texture mais aussi à la manière de se servir du rouleau de chair ferme qu’il présente à l’enfournement. Il faut reconnaître un avantage à l’amant. Pour lui tout est tout neuf, tout beau et donc il découvre, se montre plus curieux et s’efforce de s’attacher sa récente conquête, alors que le mari cède à l’habitude et paraît moins curieux, plus routinier.

A armes égales, l’épouse trouve au nouvel accédant à son sexe un charme qui s’est émoussé chez le mari. Elle ne connaît plus la solitude, deux hommes en alternance reviennent avec des bourses rechargées. Il suffit d’avoir un calendrier à jour pour éviter les télescopages. Le mari téléphone pour la prévenir de l’heure de son retour. Elle lui préparera son petit plat préféré, promet-elle, alors que son amant s’occupe à lui bouffer la chatte pendant le coup de fil. Le second lui arrache des cris de plaisir que le premier interprète comme des cris de joie à cause de son retour. Au volant il rêve aux retrouvailles. Entre les cuisses de l’infidèle l’amant se nourrit de choses concrètes. Vite fait elle se laisse prendre un dernier coup et convient du signal annonciateur du prochain départ du mari à remplacer. Elle fait généreusement le bonheur de deux hommes. J’aurais donc eu tort d’avoir négligé d’annoncer mon retour cette fois à Elodie ?

Peut-être a-t-elle cédé aux sollicitations d’un rusé profiteur temporaire. Je n’aurais pas dû précipiter la rupture, me dit le contremaître. Léon en personne a connu pareille mésaventure. Sur l’ordinateur du bureau, un soir il a rencontré une délaissée, s’est rendu à un rendez-vous et a évité de peu de se retrouver nez à nez avec sa propre épouse. A partir de ce jour il a su faire les efforts nécessaires pour calmer les bouffées de chaleur et les envies amoureuses de Martine. Ah ! Il l’a consolée du rendez-vous manqué. Ce soir-là, Léon a compris l’avertissement providentiel et il a chargé, culbuté, sabré, foré, bourré, épuisé sa femme. Ça lui a coûté des kilos superflus et de la vigilance. Sa femme étonnée de son regain d’appétit en a profité au point de ne plus se manifester sur internet.

Je pense à ses conseils en roulant, mais sur fond de chaussée d’autoroute, je revois les battements des cuisses blanches d’Elodie autour des hanches noires de son amant, de ses petits pieds brassant l’air, et le bas de son dos soulevé jusqu’à mettre en évidence son petit trou. Dans mes oreilles résonnent encore ses plaintes d’amour et le bruit mouillé de la queue qui battait la mesure dans son minou trempé. Fermer les yeux, se boucher les oreilles et se montrer conciliant, admettre de partager sa femme avec des coucous : je suis encore trop jeune pour avoir atteint ce degré de sagesse.

J’ai ordonné au séducteur de terminer son œuvre. En dehors de l’aveu de sa honte, elle ne l’a pas violemment repoussé comme elle aurait dû le faire si elle m’avait aimé. Si elle m’avait aimé elle aurait préféré mourir plutôt que d’écarter les cuisses. Surprise en pleine acrobatie amoureuse, elle aurait pu chercher à s’excuser de marcher sur les mains aiguillonnée comme un bœuf par le dard planté dans son sac à foutre. Au lieu de se révolter, elle s’est livrée devant moi, a connu l’orgasme et consommé l’adultère jusqu’au bout. Ah ! La garce, comme elle a su me rouler dans la farine et se rouler dans le stupre. Par-dessus tout il y a ce « je t’aime »adressé à l’amant au moment de l’orgasme. Il la taraudait devant moi, il lui graissait les joints, la remplissait de son sperme et elle, les yeux fixés sur moi, sans me voir, l’encourageait à la manœuvre en lui adressant une déclaration d’amour. Sous mes yeux, les bords de sa vulve enflée s’auréolaient d’une bave blanche que le piston vivace extrayait du vagin inondé de semence fraîche. Impardonnable !

A mon retour trois jours plus tard, j’apprends qu’elle s’est vu refuser un emploi dans mon entreprise. Le coucou d’Afrique s’est déjà envolé, elle devra travailler et disposera de moins de temps pour se livrer à la gaudriole. Plus tard on me l’annoncera vendeuse dans un magasin de confection. Je ne veux plus la voir ni répondre au courrier désespéré qu’elle dépose chez Léon.
-Tu me manques. Je reconnais mon erreur. Je ne recommencerai plus. Pardonne ma faute, reviens. Je t’aime. Ton Elodie chérie.

Elle est assez jolie pour se trouver un autre homme à tromper, j’ai donné, je ne veux plus rien savoir de cette enragée qui a continué à baiser et à jouir en ma présence avec un autre homme, un inconnu, même pas mon meilleur copain ! Pour une fois elle s’est pliée à mon ordre sans trop protester vraiment. Elle n’a pas compris que j’attendais une révolte violente, le rejet immédiat de l’amant contraint de reprendre l’ouvrage par le cocu furieux. A-t-elle imaginé que j’allais les applaudir ou, pourquoi pas, me joindre à eux pour une partie à trois ?

A mon retour, je suis très touché par l’amabilité de ma logeuse. Elle tient absolument à me servir un repas chaud. En mangeant je l’observe. Elle doit avoir une quinzaine d’années de plus que moi, mais a su garder une ligne impeccable, est très soignée. Elle veut entendre le récit de mon dernier voyage. Elle s’est renseignée pendant mon absence et me fait comprendre qu’elle plaint le mari bafoué. Elle compatit et sera à ma disposition pour adoucir ma peine. Sa bise sur ma joue quand je la remercie avant d’aller me reposer me fait chaud au cœur. Elle a un côté maternel, rassurant. Une seconde mère !

Deux jours plus tard je repars vers Naples. Sur une aire d’autoroute, au moment de démarrer, je suis interpellé par une jeune inconnue. Grande brune, à l’allure sportive, elle souhaite rejoindre la région de Toulon et fait du stop. Pour la première fois de ma carrière de conducteur, je charge une passagère dans ma cabine. Elle a un contrat de travail dans un hôtel restaurant, me raconte sa vie, remarque la trace blanche de l’alliance à mon annulaire. Je me défends :
- Je n’ai pas enlevé mon alliance afin de passer pour célibataire. Mon mariage est rompu.

Elle profite de ma couchette pour faire un somme. A l’arrêt suivant, j’examine plus attentivement la dormeuse. Elle ouvre les yeux, surprend mon regard posé sur ses cuisses dénudées pendant son sommeil. Privé de sexe, je suis ému par la vue de sa petite culotte bleue. Je me trouve stupide d’être pris en train de jouer au voyeur. Elle sourit:

- Alors, tu me trouves à ton goût ? Plaisante-t-elle.

Pour m’en tirer je lui fais un compliment qui accentue son sourire. Elle rejoint le siège sans chercher à cacher ce que j’ai vu. Cette fille est jeune, belle, désirable. Mais j’ai perdu ma confiance en moi à la vue d’Elodie en plein coït que mon arrivée inopinée n’a pas empêchée de jouir avec son amant. Comment ne pas douter de moi après une pareille marque de mépris ? Comment oser avouer mon intérêt, comment tenter une nouvelle aventure si cela mènera à un possible refus immédiat ou à une nouvelle mésaventure ? Je fixe la route pour ne pas ramasser un râteau.

Je dois être nul, sinon Elodie ne se serait pas laissée sauter par un étranger. Sa tromperie m’a châtré, rendu incapable de m’adresser à une autre femme pour exprimer mes sentiments. Mais mon sexe délaissé durcit, me manifeste sa présence et réclame un rapport. Je sais me contenir. Nous sommes deux amis. Rachel ma passagère occasionnelle à chaud et ouvre un bouton de sa blouse. Je devrais…Je lorgne en douce sur la peau blanche de l’attache d’un sein, me mets à rêver à la chair douce des seins d’Elodie et le charme est rompu. Rachel restera le souvenir d’une occasion manquée.

Ce soir-là je rentre tard. Pour ne pas réveiller mon hôtesse, je m’applique à ne pas faire de bruit. Une porte donnant sur le couloir laisse passer un rai de lumière douce. J’entends des soupirs semblables à ceux d’une femme sur le point de jouir. Madame a-t-elle de la visite ?

J’entends des voix, l’intensité de la lumière change, des nuances de bleu, de vert, de rouge se succèdent. Violette regarde la télé, se croit seule dans la maison et n’a pas cru bon de fermer sa porte : peut-être guette-t-elle le retour de son locataire. Mais le film x a captivé son attention. Les soupirs des acteurs sont explicites, la scène est aride. Je pousse doucement la porte juste assez pour jeter un œil dans la chambre. Dans son lit, le visage tourné vers le téléviseur Violette suit attentivement l’histoire. Elle a rejeté couverture et drap, ses talons sont remontés et ses deux jambes dessinent un M, genoux en l’air. Sur sa culotte de dentelle elle promène un index impérieux. Le doigt parcourt le haut de son sexe caché, dessine en creux le chemin vers l‘invisible point névralgique, insiste, appuie, se fixe en petits cercles sur la partie haute et tourmente sans doute un clitoris bien énervé.

La bouche de la quadragénaire se déforme au gré des sensations, s’ouvre sur les dents blanches ou se ferme lèvres pincées. Sous les paupières closes, le film intérieur est plus important que celui de la télé. L’index droit parcourt toujours son circuit sur le haut de la vulve. La main gauche quitte le sein qu’elle cajolait et se porte sur l’entrejambe de tissu, cherche un passage par au-dessus, puis tente d’atteindre le bas du sexe en passant sous la cuisse relevée. Un gros soupir échappe à l’aventurière du plaisir solitaire. Sa droite s’introduit à plat sous l’élastique de la taille basse et crée une bosse mobile dans la culotte. La caresse de la main couvre toute la zone, sur le sexe et autour. Les fesses commencent à se soulever par à-coups encore irréguliers. Je devine qu’un doigt a franchi les lèvres et cherche de l’humidité dans le vagin pour faciliter les contacts des doigts avec les peaux fragiles et hypersensibles du berlingot.

Un coup d’œil au film, un pincement des lèvres, un sursaut plus important. Violette se relève sur un coude, se recouche, envoie ses deux mains sur le haut de sa culotte, la baisse, ramène ses pieds vers elle en soulevant le bas de son dos en arrondi, elle se tortille et réussit à se débarrasser de la lingerie. Ainsi dévêtue, elle reprend la position des jambes en M aux pieds rapprochés, sa main gauche assure l’érection de ses tétons, la droite reprend possession de la cramouille libérée. Deux doigts descendent à l’extérieur des grandes lèvres et le majeur seul remonte au milieu en suivant le trait de séparation des petites lèvres. Le trajet se répète et au retour le majeur ouvre de plus en plus la fente. Le mouvement s’accélère puis cesse, car l’index se fixe sur le bouton, tournoie autour de sa proie, le titille, l’affole, et contracte tout le corps. La pointe de l’index devient le centre autour duquel gravite l’ensemble du corps de la femme, ses jambes se replient, l’une monte, le ventre bondit, ses bourrelets se resserrent, la poitrine se balance d’un côté à l’autre.

Rien ne dure, le majeur est allé se planter dans le vagin, y pénètre, en ressort, y replonge, décrit un va et vient rapide, mais insuffisant, il lui faut le renfort de l’index, puis de l’annulaire. Les trois doigts luisants de mouille, réunis, tentent de se perdre en profondeur, forent un passage et provoquent des cris et des tremblements. Les mâchoires se contractent, les paupières restent closes et les fouineurs travaillent sans relâche à faire bouger le corps, à le jeter d’un flanc sur l’autre. Le souffle se fait plus fort, plus puissant, plus rapide. La main gauche est allée chatouiller la raie des fesses. La fièvre monte, les plaintes d’amour fusent, l’orgasme approche, l’orgasme éclate en cris et convulsions. Une main tourne encore sur la toison pubienne, Violette est retombée à plat dos, la tête tournée vers l’oreiller, elle respire encore avec difficulté.

Soudain elle saisit le coussin, l’envoie entre ses cuisses puis elle se retourne sur le ventre et se frotte le bas ventre sur le coussin prisonnier. Elle le maltraite, se secoue sur l’objet et repart dans un nouvel orgasme, fesses en l’air, anus ouvert et sa cyprine va mouiller le coussin. Elle garde la posture, tête sur un bras. L’autre bras est coincé entre le ventre et le coussin, il avait dû repartir sur le sexe à la limite de l’explosion de plaisir. Elle savoure, immobile.

Derrière ma porte je ne suis pas resté insensible au spectacle de cette malheureuse veuve, réduite à se masturber pour donner à son corps le plaisir naturel. Moi-même, sevré d’amour, qui n’ai pas voulu profiter de ma passagère parce que je ne voulais pas devoir ma bonne fortune à de la reconnaissance, cette fois je suis ému par la détresse de cette femme seule. Sans bruit je me déshabille dans le couloir, je me prends en main et je réveille le petit diable polisson. A pas de loup je m’avance vers le lit. Ce corps à la croupe relevée m’attire. Je pose une main légère dans le creux des reins et entreprends une lente caresse sur le dos découvert. Violette ne réagit pas, comme si elle attendait ce contact chaleureux. Des frissons la parcourent, elle tourne les yeux vers moi, me sourit, et déclare :

-Paul, enfin, je t’attendais. Viens, prends-moi.

Elle fait demi-tour, me dévoile sa poitrine pleine, son ventre moelleux, sa taille marquée, ses hanches larges et ce sexe tout chaud, prêt à recevoir un homme. Ses genoux et ses pieds reforment le M accueillant, les mains ouvrent la cible. Elle me sourit, elle m’attendait, elle s’offre à moi et insiste
-Prends-moi. J’ai envie de toi.

Moi aussi, j’ai envie, j’ai besoin de tendresse, d’affection, de chaleur humaine, j’ai envie d’elle puisqu’elle se donne. Je la contemple, dans sa maturité accomplie, encore très belle. Son visage rayonnant à lui seul suffirait à me séduire. J’oublie tout, le tabou de la différence d’âge, l’interdiction de me lier à la propriétaire, une vague impression d‘inceste puisque je la considère un peu comme une mère. Un homme et une femme nus se désirent, ont besoin de faire l’amour. Ma caresse devient plus ferme, je m’allonge à son côté. Ce n’est plus madame la propriétaire, elle me tutoie, elle est la femme en recherche de sexe et d’amour, je suis celui qui peut la satisfaire et compléter sa masturbation.

Je l’embrasse. C’est un baiser chaud, sensuel de deux adultes expérimentés. Ce baiser brise toutes les barrières, c’est l’union de deux bouches, il commande le rapprochement de deux corps, l’étreinte forte où l’on se perd contre l’autre. Nos bras serrent, nos mains reconnaissent, caressent.

Violette ne veut plus s’attarder en préliminaires. Elle tient en main ma virilité, la serre et l’apprivoise, la présente à son sexe préparé par ses doigts, pousse son ventre vers moi, m’aspire en elle. Je nage dans un nid de velours, je suis au chaud, je suis bien, si bien. Je suis dedans, j’embrasse et elle m’embrasse si amoureusement, m’accueille si paisiblement en son sein. Viennent des contractions autour de mon pénis, des contractions troublantes, émouvantes. C’est un appel. J’y réponds en adoptant une marche lente. Mon pieu se retire lentement en goûtant chaque millimètre du délicieux retrait. Et je reviens au fond, je cale mon scrotum contre les grandes lèvres. Elle m’embrasse à pleine bouche. D’un coup de ventre elle me remet en marche arrière, mais je ne peux pas sortir, ses jambes m’enserrent et me remettent au chaud. Nous nous laissons porter par l’instinct créateur du va et vient perpétuel. Et le rythme s’accélère, nos souffles se font écho toujours plus vite. Je vais et je viens, elle pousse son ventre et le reprend. Ses ongles s’enfoncent dans mon dos. Elle se met à geindre, fort, plus fort. En moi monte le bouillonnement de ma sève : je me fixe immobile dans le ventre et je sens partir en elle tout le sperme en attente d’une délivrance. Violette agite sa tête de tout côté et rit de bonheur.

L’image d’Elodie m’a quitté. Est-ce que ça va durer ?
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Histoire de Veilleur

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