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Routiers cocus 3

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Lue : 1153 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 11/06/2013

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Le cocu tenté.

Violette était en manque, son veuvage la privait des plaisirs de la chair. Elle se consolait comme elle pouvait. Le spectacle de sa détresse m’a bouleversé, j’ai pris feu, j’ai connu une sorte de coup de sang et j’ai volé à son secours. Elle avait le feu, je me suis offert le plaisir d’éteindre l’incendie. Mettez une pincée de compassion, ajoutez ma propre frustration depuis la trahison d’Elodie, mon excès de courtoisie envers ma passagère pendant le voyage, l’invite claire: « prends-moi, j’ai envie de toi » et vous aurez compris ce rapport sexuel spontané et notre mutuelle satisfaction.
- Ca faisait si longtemps, j’avais oublié combien ça peut être bon à deux. Tu es un amour, merci. Viens à la salle de bain.

Elle prend ma main et m’entraîne. Elle marche nue devant moi. C’est vrai qu’elle est belle et désirable, elle a un corps parfait, en X, j’aurais dû y prêter attention plus tôt ! Le balancement des fesses sous la taille fine me fascine. A chaque pas le gonflement de l’arrondi d’une fesse saute à l’autre en s’effaçant, ce mouvement de balancier continu m’émerveille. Sous la douche Violette me demande de la savonner à mains nues, du cou aux pieds. Je m’applique, toujours tenté de transformer les frottements en caresses. Elle ouvre ses jambes et je dois nettoyer le foyer où je me suis laissé couler. Le travail de mes doigts réveille une flamme dans son regard, ses yeux se troublent, elle tressaille mais se retient. Le jet d’eau sur sa vulve n’épargne pas le clitoris déjà éprouvé, elle me sourit amoureusement. Pour rincer jambes et pieds, je m’agenouille devant elle et au passage j’applique sur son sexe un baiser reconnaissant accompagné d’une langue sur le bouton. Sa main m’écarte:
- Tu dois être fatigué. Pour aujourd’hui restons sages. Ma chambre te sera toujours ouverte, nous ferons l’amour quand tu le voudras. Je t’ai préparé un repas réparateur, je le réchaufferai après ta douche.

Elle entreprend de me laver, ses mains parcourent mon corps, mon dos, s’attardent sur mes pectoraux, glissent sur mon abdomen, massent mes fesses comme si elles avaient grande valeur à ses yeux. A son tour elle s’accroupit, frotte mes cuisses et mes jambes, veut nettoyer le sexe qui l’a comblée, le bichonne, le couvre de petits bisous rapides, dégage le prépuce, le repousse. Je me retrouve dans sa bouche quelques secondes et je sens le sang gonfler ma verge; elle se ravise :
- Sage! C’était si merveilleux. J’ai adoré, j’étais en manque et tu m’as comblée. Peut-être voudras-tu encore me prendre. Je sais que je suis plus âgée, il ne sera jamais question de former un couple définitif, mais j’ai apprécié et j’espère pouvoir encore connaître le plaisir avec toi.

Elle me ménage, veut éviter de me donner l’impression d’être son prisonnier.
- Le plaisir a été réciproque et je me tiendrai à ta disposition aussi longtemps que tu le désireras. Tu es magnifique.

Ma réponse est assez vague, passe-partout. Je n’ai pas l’intention de me lier, mais pourquoi bouder le plaisir offert ? Nous sommes deux à tirer profit l’un de l’autre. Un retour de compliment ne coûte rien, de plus je suis sincère, elle est vraiment magnifique ma logeuse nue. C’est du Botticelli, La naissance de Vénus.

Nous nous séchons, c’est encore un jeu à deux. Nous rions, nous sommes heureux de cette intimité nouvelle. Pendant le repas nous nous accordons sur la conduite future. Comme elle l’a déjà dit, notre amitié s’appuiera sur des rapports sexuels consentis, elle sera tendre, mais chacun gardera sa liberté.

Que d’elle-même elle ait invoqué la différence d’âge est un peu un soulagement. A l’horizontale, pendant l’amour la fameuse différence est gommée. Violette décline l’idée de mariage ou de concubinage notoire en raison de notre différence d’âge. Je serais son homme idéal si … Et le qu’en dira-t-on plane sans dire son nom dans la conversation. Enfin elle aimerait que je passe une nuit entière dans son lit pour se sentir moins seule. Elle jongle entre le désir de me rassurer et de ne pas m’effrayer par un lien trop puissant et le besoin d’être accompagnée, de se sentir proche de moi. Elle est femme et aime se sentir désirée, mais se contentera du minimum pour ne pas m’éloigner par trop d’exigence. C’est du moins de cette façon que je perçois ses propos. Cette nuit nous dormons ensemble comme un vrai couple, mais gentiment.

Violette habillée est assise et assiste à mon réveil. Le café m’attend avec des croissants. Le baiser matinal s’impose et son regard annonce que ma journée de repos sera agitée. Le locataire est traité en maître de maison. Toutes ces attentions sont touchantes. Elle s’absente pour se rendre à son travail.
-Tu seras là à mon retour?
Je la rassure….

On a sonné à la porte. Les pas se sont éloignés, j’ai écarté un rideau et j’ai vu la silhouette d’Elodie s’éloigner.
Le soir Violette revient toute joyeuse. La journée a été bonne.
- Es-tu sorti de la maison?
- Non, je me suis reposé.
- A la sortie du bureau, Elodie m’a accostée. Elle aurait voulu te parler, te dire qu’elle regrettait, qu’elle n’aimait que toi … Tu n’as pas répondu, elle a cru que tu étais sorti.

Le petit rire malicieux de ma logeuse dit sa satisfaction de savoir que je ne tiens plus à la traîtresse. Violette s’étonne de devoir recueillir les confidences de ma femme. Celle-ci manquerait-elle de pudeur pour se livrer aussi facilement à une étrangère ? Elle n’a aucune idée de notre liaison, c’est heureux.
- Quand on a la chance d’avoir un aussi gentil mari, on ne court pas après les autres hommes.

Pour me le dire, Violette a mis ses mains sur mes joues et fixe mes yeux. Entre ses déclarations et son comportement je constate un décalage. Pourvu qu’elle ne tombe pas amoureuse de moi. Enfin…

Mais à l’heure du coucher je fais taire mes craintes et je me coule entre ses draps. Mes mains redécouvrent courbes et creux, apprennent ce corps épanoui, préparent lentement avec patience le rapprochement. Violette a des impatiences, perd un peu de sa retenue, entre plus facilement en ébullition. Dans ses mains je prends du volume et de la consistance. Alors elle garde l’initiative, rejette drap et couverture, m’enjambe, se retrouve accroupie au-dessus de moi, me place en face de son minou poilu, tortille son fondement, ses lèvres s’ouvrent et elle se laisse descendre en douceur sur le flambeau auquel elle a mis le feu.

La glissade me donne le frisson, je suis sous elle, en elle, comme un poisson dans l’eau, dans la chaleur humide de son vagin. Que c’est bon. Je le pense, elle le dit et elle reste un instant immobile, bloquée sur la base de mon membre, savourant le contact complet de nos chairs. Et puis en femme d’expérience, toujours plantée à fond elle contracte les muscles de la gaine qui m’enveloppe, le fourreau serre et desserre mon glaive, me fait gonfler encore. A mon tour, sans bouger, par des impulsions successives je lui fais savoir que le message est reçu.

Nos corps sont unis, nous partageons d’ineffables sensations, c’est divin, cela devrait durer toujours. Pourtant l’un des deux, elle ou moi, entame un mouvement. Cela suffit pour lancer ce va-et-vient irrésistible qui anime les corps des amants. J’ai porté mes mains sur ses hanches. Violette monte jusqu’à la pointe de mon gland, reste en suspension et me regarde avec malice, s’amuse de mon attente et elle retombe subitement pour reprendre l’immobilité précédente. J’approuve en tirant sur les hanches comme s’il était possible de pénétrer au-delà des limites imposées par nos corps. L’excitation gagne les nerfs. Nous tenons bon, regards rivés sur le visage du partenaire pour y lire l’expression du plaisir partagé.

Ma compagne est ravie, heureuse, je le sens, je le sais et je suis fier et heureux aussi de sa joie. Le bonheur c’est ça, tout simplement. Les sens réclament davantage. Violette relève son bassin, marque une pause, redescend et enchaîne quelques allers retours sur le pivot de la joie. Ses yeux s’illuminent, les trajets sont plus courts, elle joue à n’englober que l’extrémité de mon pieu pendant quelques secondes avant de me surprendre par des plongées plus complètes. L’amour est devenu un jeu. Elle se refait une jeunesse, varie le rythme, crée des bonds, décrit des cercles autour de l’axe planté au cœur de sa féminité, enduit le soutien du jus de ses muqueuses, rit avec éclat. Un éclair a traversé ses yeux, elle a été secouée par un fort frisson, son visage se fige, devient sérieux, ses paupières se ferment et sa croupe lance une folle envolée. Elle est concentrée sur la montée violente de son plaisir, grogne, geint, s’écrie :
- Oui, oui, je viens, ohoo, ha, baise-moi fort, viens, ouiiiiii

Elle pèse sur moi de tout son poids, effondrée, frappée par la foudre de l’orgasme, essoufflée. Elle ouvre des yeux bordés de reconnaissance, revient sur terre, me sourit :
-Quand j’ai senti ton sperme jaillir dans mon ventre, je suis devenu folle et j’ai joui, joui. Merci.

Après quelques ablutions je la sers en levrette. Elle se montre plus soumise. Je pose mon pouce sur la rose plissée, elle ne proteste pas. J’aime sa façon de s’appuyer sur les coudes et de résister à mes coups de boutoir, fesses hautes, reins creusés pour mieux ressentir les mouvements profonds de ma lance. Elle mouille formidablement et chaque avancée ou recul s’accompagne d’un chuintement. Je pompe, j’entre, je cherche le contact de l’utérus, je ressors pour reprendre un élan. Elle n’est pas avare d’encouragement et me prévient quand un nouvel orgasme se prépare :
- Vas-y ! Plus fort, je viens, encore, c’est bon… rhaaa… ooo

Je caresse ses fesses, son dos, elle retrouve son souffle. Mes mains entourent ses seins. Cette nuit encore elle veut me garder dans son lit. J’ai connu l’amour fou, l’exaltation des jeunes amoureux, j’ai initié Elodie aux jeux variés, j’ai dû la convaincre d’essayer des positions, l’amener à trouver normale la recherche du plaisir, j’ai lutté contre des préjugés bien établis. Avec Violette je connais l’amour calme, le plaisir pur, serein, sans frein, complice. Fidèle, infidèle : la question ne se pose pas. Elle me couve, me couvre d’affection, attend mes retours.

Cela fait deux mois que chacun de mes voyages se conclut par la même fête. L’habitude du bonheur s’enracine. Violette me câline, me cajole, me soigne, est aux petits soins, me choie : je suis comme un coq en pâte. Que demander de plus, au lit une maîtresse ardente, inventive, ouverte à toutes les propositions ou expériences en couple; en cuisine une mère, tout sourire, prévenante, coquette, belle, gentille, un mélange savant de luxure et de tendresse. La vie est belle. Elodie m’a tellement déçu. Violette me rend goût à la vie, à l’amour. Je reprends la route le cœur apaisé
-Tiens, une auto-stoppeuse à la bretelle d’entrée sur l’autoroute. Où va-t-elle?

Elle monte. C’est un joli petit lot. C’est une grande bavarde. Elle se dit journaliste chargée de rédiger un article sur la vie des routiers, dans le genre « Les routiers sont sympas ». Elle me remercie de l’avoir embarquée. C’est très sympathique déjà. Elle me cuisine sur ma vie professionnelle, mes horaires, mes itinéraires, mon entreprise, mes rencontres, les pays visités etcetera. Elle prend des notes.
- Vous avez une vie passionnante comparée à ma vie de pigiste plus souvent limitée aux petits faits divers et aux chiens écrasés.

Elle aborde avec joie sa première enquête sérieuse et elle a eu de la chance de tomber sur moi en premier. Mon circuit par le nord de l’Italie puis la Slovénie, l’Autriche et l’Allemagne avec retour à son point de départ est une bénédiction, si je veux bien lui permettre de m’accompagner tout au long de mon périple. Elle sera discrète, pas encombrante, se fera toute petite, paiera ses repas dans les restaurants routiers, pourra dormir sur la couchette de la cabine pendant les arrêts lors des chargements ou déchargements ou sur le siège selon les circonstances. Elle sait si bien demander en clignant des paupières, la bouche en cœur, prête à sauter de joie si je lui accorde cette faveur. Elle m’émeut, touche ma corde sensible. J’accepte et elle pose un bisou sur sa main gauche qu’elle porte sur la joue droite du conducteur de camion. Ca ne suffit pas, elle s’agenouille sur son siège et embrasse mon oreille la plus proche. Son haleine est fraîche, son parfum envoûtant. Il faut que je fasse un effort pour surveiller ma route. Le premier commandement du transporteur est d’éviter les accidents.

Ce soir nous dormirons près de Nice sur un parking après notre repas. En attendant je ne vais pas m’ennuyer. Je n’ai pas besoin de la radio, je dois répondre aux innombrables questions de mon hôte embarquée. L’inévitable chapitre sur la vie privée arrive. Je n’ai plus d’alliance ou de trace d’alliance, oui, je suis célibataire. J’ai toujours beaucoup de mal à raconter que j’ai trouvé ma femme au lit avec un autre. Donc je suis célibataire et j’attends l’âme sœur. Est-ce pour me flatter, Roxane s’étonne qu’un bel homme aussi remarquable et aimable puisse être encore sur le marché!

Oui, j’ai connu quelques jeunes filles mais elles ont été rebutées par les obligations de mon métier. Je construis le roman de ma vie au fur et à mesure des questions. Je ne tiens à passer ni pour le puceau naïf ni pour le cocu ridicule. Actuellement je loue un petit logement chez une veuve d’âge canonique, très stricte sur la morale, qui ne tolérerait pas que j‘introduise une femme sous son toit. Le scandale me ferait chasser et je tiens à conserver un refuge au loyer avantageux. Ah ! Si Violette m’entendait! Ça fera chouette dans son article et ça m’évitera de voir débarquer chez mon amante la jeune journaliste attendrie.

Très attendrie. Ses yeux de velours me dévorent. Comme moi elle attend son prince charmant, quelqu’un de bien, comme moi. Parce que je vais conduire demain, je dois dormir derrière les sièges sur la couchette. Plusieurs fois elle me demande si je dors. Elle n’aurait pas cru que la température baisse autant la nuit. Nous pourrions nous tenir chaud allongés l‘un contre l‘autre ? J’accepte de lui faire une petite place à côté de moi. On se serrera, en tout bien tout honneur. Elle sait que je suis correct. Ma conduite l’a prouvé jusqu’ici. La couchette est étroite, mais elle a la minceur de son âge, vingt-deux ans dont quelques années de régime. Elle se sent mieux contre moi. Elle n’a plus froid.

Je m’échauffe. Pour plus de commodité j’ai passé un bras sous son cou, malencontreusement ma main s’est rabattue sur un mignon sein encore juvénile. Roxane n’a pas protesté: la place est rare, il faut faire contre mauvaise fortune beau visage. Protester ce soir contre des contacts involontaires pourrait, pense-t-elle vraisemblablement, mettre un terme à son expédition. Et puis ma main n’a pas vraiment pris toute la mesure du globe en question. Juste un frôlement accidentel. Elle me tourne le dos. L’arrondi de son postérieur s’est lové dans le creux de mon ventre. Elle cherche sa place, remue. Sa croupe réchauffée à mon contact bouge contre un petit qui se met à enfler indignement. Aïe, si seulement je m’endormais vite. Elle bouge encore, malgré l’étroitesse de l’endroit elle réussit un demi-tour, ses genoux cognent mes jambes, son bras gauche passe sur mon flanc droit.
- Tu devrais passer ton bras droit au-dessus de mon bras gauche, on gagnerait de la place, dit-elle.

En effet nous sommes mieux ainsi, un bras sous son cou, l’autre sur son côté, je l’enlace. Contre ma poitrine pointent ses petits seins, son ventre colle au mien, ses jambes cherchent la chaleur des miennes, nous tricotons innocemment des gambettes.
- Je suis bien comme ça, souffle-t-elle.

Mais dans mon pantalon l’indigne se réveille vraiment, enfle de plus en plus. Heureusement Roxane ne semble rien remarquer. J’en suis gêné. Et il y a son souffle léger sur mon visage. Si encore je pouvais me retourner pour échapper à la honte de cette manifestation incongrue de mon excitation.
- Dis, Paul, tu dors ? Qu’est-ce que tu as de si dur dans ta poche ?

Ca y est, elle a senti. Que répondre, je me tais. Elle veut savoir, sa main va se renseigner, saisit ma chair douloureusement serrée.
- Oh: mon Dieu ! Tu me désires. Il faut le dire.

Ma journaliste a l’art du raccourci. Elle paraît satisfaite de l’effet produit, elle ne me lâche pas, applique sa main prisonnière de nos ventres, me tripote, prend mesure, me fait occuper le peu d’espace disponible dans mon slip. Que dire, que faire. Tourmenté en bas, je suis assailli par deux lèvres. Roxane s’excuse mais m’embrasse à pleine bouche, sa salive n’éteindra pas le feu qu’elle entretient dans ma verge en érection. Elle déraille :
- O, toi. Je t’aime.

Comme elle y va. Elle se relève, saute sur son siège, oublie la fraîcheur de la nuit, se retrouve seins nus déployés, baisse pantalon et culotte. Nue elle se tourne vers moi, lance ses deux mains sur ma ceinture, descend mon zip, tire sur les jambes de mon jeans. Elle n’a pas la patience d’attendre de m’avoir retiré le slip, d’une main elle écarte le tissu pour s’emparer de mon sceptre de l’autre.
- Qu’il est beau !

Que voit-elle en réalité ? Il fait nuit. Mais ses doigts entourent, palpent, branlent ma zigounette en forme, soupèsent mes roustons en alerte. Beau : c’est gros, fort, ferme, assez long, doux au toucher, dégageant une odeur d’homme. Les yeux ne voient peut-être pas, tous ses autres sens sont en éveil aigu. Elle n’est pas bégueule. Sous ses airs réservés, c’est une fille libérée :
- J’ai envie de toi. Fais-moi l’amour, s’il te plaît.

Je ne suis pas de bois. Je suis serviable. C’est si gentiment demandé. Je me dévêts, elle saute sur la couchette et m’embrasse de nouveau, collée de tout son corps nu contre mon ventre nu. Il va faire chaud. Qui a provoqué l’autre ? Question inutile. Agissons, on réfléchira peut-être après. Ca promet pour la suite du déplacement. Oh, Hum!
- Roxane !
- Paul, oui, je suis folle de toi.

Il y a des choses que la jeune pigiste de 22 ans a vite pigées. Quelle ardeur au déduit. J’aurais pu croire en raison de mon expérience d’homme marié légèrement plus âgé qu’elle ou des acquis auprès de ma maîtresse quadragénaire que je pourrais lui apprendre à faire l’amour. Or l’apparente pucelle est une virtuose du pipeau. Elle embouche mon instrument en experte, toutes les notes de la gamme y passent. Le bec en bouche elle pianote sur le corps de la verge, descend aux deux soufflets et les presse comme un réservoir de cornemuse. Le traitement me surprend puis m’excite, j’attrape ses deux genoux, tire à moi l’entrée de sa minette et fouette de la langue le sommet de sa fente. J’y débusque un petit bonbon de chair délicieux, le suçotement de mes lèvres augmente son volume.

Elle fête mon gland, léchouille sa couronne, me fait trembler d’énervement et je donne en réponse des vibrations intenses à ce mignon clitoris. Si je m’attendais à pareille entame. J’aime son jus, il encolle mon menton. J’apprends l’étendue de la chatte, des poils du pubis jusqu’à la limite du périnée voisin de la corolle de son anus. C’est jeune, c’est savoureux, j’adore. Mes doigts ouvrent la voie à la visite de ma bouche.

Violette, ô Violette si tu savais.
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Histoire de Veilleur

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