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Salle de repos

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Lue : 1790 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 05/09/2021

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Laetitia a fait irruption dans le bureau alors que j’expédiais à plusieurs personnes le rapport qu’on m’avait demandé de rédiger. Ouf. Enfin terminé. Il y a peu de moments dans la vie où l’on ressent un réel soulagement. C’en était un.
—Elodie est en salle de repos. Elle est très fatiguée. Tu devrais aller la voir.
C’était dit sans ironie. Tout le monde savait dans la boite que nous étions proches. On était arrivés quasiment en même temps, et il existait entre nous une complicité, une entente qui ne nous avait jamais fait défaut, complicité sans doute bâtie sur le fait qu’on était arrivés novices et qu’on s’était reconnus comme identiques. On s’était entraidés mutuellement, dès le début, et ça avait vraiment été une force. On s’était sentis moins seuls, et on avait pu résoudre tous les problèmes qui se posaient à nous. Aujourd’hui, on était aguerris, heureusement, et cette entraide mutuelle avait été plus que précieuse.
On dit qu’entre un homme et une femme, il y a toujours quelque chose de tangent…Mais ça n’avait été le cas entre nous. Et pourtant, Elodie était une jeune femme magnifique. Enfin, tous les goûts sont dans la nature, mais elle était vraiment aux miens. Une très grande blonde, dans la trentaine, avec un visage très joliment dessiné, fin, et un corps qui était la parfaite illustration de ce que pouvait être une silhouette de femme voluptueuse.
J’avais eu le temps d’étudier la question, car Elodie avait une qualité indéniable, celle d’être ultra féminine et de soigner ses tenues. Elle aurait pu être sobre, elle était extrêmement sexy et savait être troublante. Je m’étais toujours demandé si c’était quelque chose de volontaire ou plutôt d’inné et de pas vraiment réfléchi, sans avoir la réponse. Mais l’important n’était sans doute pas la motivation, mais le résultat.
Parce que nous étions très proches, j’avais compris bien avant tout le monde, qu’Elodie était enceinte. Ca tenait à pas grand chose, un ventre un peu plus distendu que d’habitude (Personne, même les femmes, ne l’avait pourtant remarqué.) une modification de comportement, un peu plus fantasque, avec des moments où elle avait l’esprit ailleurs.
Aurais-je du me taire? Je lui avais en tout cas dit sans attendre:
—Tu attends un enfant?
Elle n’avait d’ailleurs pas été surprise, vu notre osmose que je comprenne.
—Oui, je serai maman dans quelques mois.
Ca m’avait un peu surpris, parce qu’Elodie, si elle parlait énormément d’elle, n’évoquait et n’avait jamais évoqué sa vie privée, qui restait un mystère pour moi. Je ne tenais d’ailleurs pas à lui voler une quelconque information. On a tous des jardins secrets.
Enfin une chose était sûre. L’enfant, elle ne l’avait pas fait toute seule.
Je sais être au clair avec moi-même. J’étais sans aucun doute jaloux. J’aurais aimé être le père du gosse.
Mais ça, c’était enfoui très profond en moi.
J’ai été prévenant au maximum, d’autant que dès les premières semaines, on aurait dit que tous les maux s’étaient abattus sur elle. Fatigue intense, nausées, vomissements, elle s’était fait pipi dessus une fois, n’ayant pas compris qu’elle aurait du aller aux toilettes plus tôt, coup de blues. J’avais eu droit à tout.
Et là, elle se trouvait en salle de repos.
C’était une initiative de notre patron, quelque chose d’encore rare dans les entreprises. On avait une salle de repos pour les femmes enceintes, mais aussi accessibles à tout le monde évidemment, où elles pouvaient aller s’allonger un moment.
Je me suis donc engagé dans le couloir, et je suis parti vers la toute dernière salle, celle qui avait été aménagée il y avait à peu près un an. Elle était fonctionnelle, sans luxe superflu, repeinte dans des couleurs pastel apaisantes, avec fauteuils, lit. De quoi se poser un moment.
Je me suis glissé discrètement dans la pièce. Je pensais qu’Elodie était allongée et endormie, mais ça n’était pas vraiment ça. 
Quand je l’avais vue le matin, elle portait, sans que ce soit un vêtement de grossesse, une robe en laine violette ample, et des collants en laine noire. Elle avait retroussé la robe au-delà d’un ventre, qui, au quatrième mois, n’avait pas de proportions démesurées, même si on voyait bien qu’il était enflé, et descendu son collant jusqu’à ses genoux, et elle se caressait, yeux mi-clos, en plein trip.
J’ai été un rien décontenancé. Qu’est-ce que je faisais? Il y a des moment où sans aucun doute, il faut laisser les gens tout seul. En même temps j’étais venue la voir…Et puis il existait une telle intimité entre elle et moi…Quand on était partis en stage, une fois, elle s’était changée devant moi. Enfin, entre se changer et se caresser, ce qui est quand même un acte intime…
Elle a senti ma présence. A souri.
—Rentre…
—Excuse-moi je passais te voir, et voir si tu allais bien, parce que Laetitia m’a dit que…
—Je suis entrain de me caresser…En ce moment j’ai envie de sexe constamment, je fais que penser à ça…
—Je reviens, si tu veux.
—Non, non, viens.
Elle a arrêté le mouvement, me laissant voir en écartant la main son sexe. Etait-ce l’excitation ou la grossesse? Il était tout dilaté, et ouvert sur son intérieur, des chairs roses, avec des lèvres qui s’étendaient hors d’elle.
—J’espère que je ne te choque pas…Mais on en a déjà vu pas mal ensemble…
Une fois, on avait du faire salle de bains commune. Le matin, je l’avais trouvée nue. J’avais juste un pantalon. Elle m’avait dit ‘Ecoute pas de fausse pudeur…’ et on avait fait notre toilette en décalé, ensemble…Mais j’ai eu envie de lui répondre que je ne l’avais jamais pourtant vue se masturber.
—Je suis venue m’allonger. J’étais très fatiguée. Et totalement démoralisée aussi. Je pense que c’est les hormones. J’ai envie de baiser constamment.
—Et le papa du gosse?, j’ai demandé.
Elle s’était remise à se frotter le sexe différemment, de haut en bas, dans un mouvement compulsif.
Un torrent de larmes s’est mis à couler sur ses joues, larmes d’autant plus impressionnantes que c’était un processus silencieux.
—Ce que je vais te dire est terrible…
—Oh, tu sais, j’en ai déjà tellement entendu, j’ai répondu.
—Le père du gosse, j’ai couché avec lui un soir, parce que je voulais avoir un enfant. Il a juste servi à m’inséminer. Je lui ai fait croire que je prenais la pilule, et il était tellement heureux de ne pas utiliser une capote…C’était tout ce que je voulais…Je vais l’élever seule. Je n’arrive pas à avoir une relation stable avec un homme.
J’étais bien embarrassé. Ne sachant que faire. Difficile pour les hommes de comprendre les femmes et c’est aussi vrai en sens inverse. Elle était là, elle continuait de se caresser et elle pleurait en même temps.J’ai eu envie de lui dire que parfois, quand on cherchait un homme avec qui s’entendre, il n’était pas forcément très loin. Mais je n’étais pas sûre qu’elle en soit consciente. Je vivais seul. Elle aussi.
Elle a relevé la tête, elle a reniflé, puis elle m’a dit:
—J’ai envie d’une queue. Une queue d’homme que je pourrais caresser. Tu peux faire ça pour moi?
Je n’ai été ni surpris ni déstabilisé.
—Tu sais, n’importe qui peut rentrer.
—Personne ne viendra.
Je n’avais plus trop d’argument à donner. Et puis c’est elle qui a décidé à ma place. J’étais tout près d’elle, à portée de ses mains, elle les a tendues vers mon pantalon, et elle a sorti ma queue de mon caleçon. C’est vrai que j’aurais pu reculer, et que je ne l’ai pas fait. Mais c’était vrai aussi que j’avais envie de ses caresses. Elodie m’avait toujours plu, mais j’avais pensé qu’il y avait des barrières infranchissables. L’une d’entre elles était clairement entrain de céder.
—Dis donc, tu as une belle queue…Je vois que je ne te laisse pas indifférent.
Effectivement, j’étais en pleine érection. Un ensemble de facteurs. Je pouvais bien dire que j’avais toujours trouvé Elodie extrêmement séduisante. Quand on est un homme, on a malheureusement des réflexes d’homme. Et sans doute que j’avais été encore plus troublé par ce corps métamorphosé, ce corps de femme enceinte. Et que la voir se caresser devant moi avait été la touche finale, celle qui faisait qu’effectivement j'avais la queue vraiment très dure.
Elle avait encerclé ma queue de sa main, et elle la branlait C’était vraiment très bon, et j’ai poussé un petit soupir, alors que mon liquide pré-séminal se mettait à sortir et inondait nos chairs.
—En ce moment, je ne fais que penser au sexe. J’ai toujours aimé ça, bien sûr, mais là c’est devenu une obsession.
—C’est les hormones.
Je me suis demandé si elle allait s’en tenir là. Une sorte d’anticipation du hochet que son gosse manipulerait d’ici quelques mois. En tout cas, jouer avec avait fait sécher ses larmes et semblait l’apaiser partiellement. Elle s’est redressée, alors que, quelques minutes plus tôt, elle semblait à l’agonie, et, se calant en position assise, elle a porté sa bouche sur mon gland, l’avalant sans aller plus loin, et en faisant tourner sa langue dessus. Le chagrin avait laissé la place au plaisir.
Elle s’est finalement décidée à faire aller et venir sa bouche sur ma queue, en même temps qu’elle se caressait.
J’ai pensé qu’elle s’arrêterait là. Provoquer ma jouissance et atteindre la sienne. Mais ça ne s’est pas passé comme ça. Elle m’a lâché, et elle m’a dit:
—Je voudrais ton sexe dans mon ventre.
—Tu crois que c’est le moment, je lui ai demandé…Enfin, tu es enceinte…
Ma réponse a déclenché un nouveau torrent de larmes.
—Vous les hommes vous êtes tous de beaux dégueulasses. J’en ai marre d’entendre de conneries pareilles…Tu crois quoi? Si tu mets ta queue dans mon vagin, ça risque rien…Ta bite
ne déchirera rien.
J’ai deviné, même si elle était floue que ces derniers temps, d’autres hommes à qui elle avait du proposer un acte sexuel avaient du refuser saisis par la même crainte, commune à tous les hommes, de blesser l’enfant qui croissait dans le ventre d’une fille en glissant leur queue dans leur vagin. C’était ce que je pensais moi aussi.
—Je me suis renseigné. J’ai demandé à mon médecin. Il m’a dit qu’on pouvait faire l’amour jusqu’au dernier jour sans risques. Tu comprends ce que je te dis?
C’est cette assertion qui m’a libéré. Je n’étais pas non plus différent des autres sur le fait que ça représentait un fantasme et une envie pour moi de faire l’amour avec une femme enceinte. Ce n’était pas tant qu’elle soit enceinte, mais plutôt que son corps soit différent. Et ça ne pourrait qu’être meilleur ou pire dans les semaines qui suivraient.
Je me demandais comment manoeuvrer au mieux, mais la question ne méritait pas forcément d’être posée. Elle m’a poussé sur le lit. Ma queue, raide, était collée contre mon ventre.
—Je veux sentir ton sperme jaillir dans mon ventre….De toute façon, je suis pas en état d’avoir un deuxième bébé.
—Je préfère aller chercher une capote…Si je te file une sale maladie…Tu sentiras quand même mon sperme gicler dans ton ventre…
Il y avait de tout dans l’entreprise, y compris des distributeurs de préservatifs à chaque étage. Je me suis dépêché, en espérant que ça ne la contrarierait pas. Mais quand je suis revenue, rassise, elle continuait de se masturber avec conviction.
Ca a été très vite dans cette deuxième étape. Elle m’a arraché le préservatif des mains, a déchiré l’emballage, et elle l’a fait coulisser, avec une habileté qui laissait penser qu’elle calait souvent des préservatifs sur des queues masculines. J’étais assis. Elle est venue se positionner au dessus de mon membre dressé, son ventre en avant.
—Tu penses que tu auras encore envie de ma queue d’autres fois?, je lui ai demandé.
Elle avait immobilisé ma queue, cherchait à bien se caler. Elle s’est laissée descendre, et mon gland a tapé contre ses lèvres.
—J’aimerais bien, oui, elle a dit après un instant de réflexion. On aurait même du commencer plus tôt.
—Parce que je ne suis pas sur que dans les prochains mois, on puisse fonctionner sur cette même position.
—Pas grave, on en trouvera une autre, elle m’a répondu en se laissant glisser le long de ma queue.
Je l’ai sentie prendre possession de moi. Je me suis retrouvé totalement avalé par sa chatte, avec, sous les yeux, ce ventre dilaté. Ce n’était pas vraiment différent d’un autre sexe de femme, sauf à cause du contexte. Elle a roulé sa robe plus haut, me faisant voir ses seins, que la grossesse avait aussi transfigurés. Je me souvenais d’eux quand elle s’était changée devant moi. Ils avaient doublé de volume. Elle s’est mise à les caresser, en me précisant:
—Ils me font mal mais ils me donnent aussi du plaisir.
J’ai pensé un instant que du lait allait en sortir, mais c’était sans doute trop tôt. Ce qui était bien réel, par contre, c’était la sensation de son sexe autour du mien, qui me caressait, alors que, toute seule, sans que je la fasse bouger, elle se donnait du plaisir comme elle l’avait souhaité, ma queue frottant ses chairs les plus sensibles.
-Je crois que je vais jouir, elle m’a assuré…
Elle s’est tendue, poussant une espèce de feulement qui l’a cambrée. Dans un réflexe, elle a contracté ses muscles vaginaux, ce qui m’a fait exploser, et balancer toute ma semence.
Elle est restée figée sur moi, immobile. Elle m’a finalement fait un sourire immense.
—Ca fait du bien. J’en pouvais plus. J’espère que je ne te choque pas. J’ai toujours aimé le sexe, mais en ce moment, ça tourne à l’obsession.
Elle s’est dégagée. Finalement le plus excité, c’était moi. J’avais joui, mais je ne débandais pas.
Elle a ôté le préservatif en prenant ses précautions, et l’a étiré pour venir laper le sperme jusqu’à ce qu’il ait disparu dans sa gorge et que le latex soit nickel.
—Tu bandes encore…Tu veux que je te fasse jouir…
Elle n’a même pas attendu ma réponse, elle est venue sur ma queue pour la masturber. Ca m’a rappelé des souvenirs d’adolescence, quand, dans mes premiers flirts, avec des filles, par peur d’aller trop loin, on se masturbait mutuellement. Je n’ai pas tenu très longtemps, trop troublé par la situation, et j’ai arrosé sa main de sperme.
On s’est rajustés avant de se fixer.
—J’aimerais avoir ta queue pour toute ma grossesse. Ici et ailleurs.
—Et aussi après. Ca te va?
—Je signe.
Dire qu’il avait fallu ce moment et ce lieu pour qu’on bascule enfin sur ce qui aurait du se produire avant.
On a croisé Laetitia dans le couloir.
—Ca va mieux, Elodie?
—Beaucoup mieux a répondu celle-ci.
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