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Prisonniers du sexe

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Lue : 758 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 08/09/2021

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J’ai une théorie, qui se vérifiera peut-être au fil du temps, qui est que c’est seulement une fois et une fois unique dans sa vie qu’on vit une relation qui est basée sur une attirance physique intense et qui repose uniquement sur cette attraction physique. Certains diraient que c’est moche, qu’il n’y a pas d’amour avec un grand A. D’autres, comme moi, vont au contraire penser que l’essentiel, dans une relation, c’est que les amants soient proches, et que si cette proximité passe par le physique et le sexe, c’est très bien. J’ai vu des rapprochements basés sur une soi-disant proximité de pensée s’effondrer au bout de quelques semaines.
Je n’irai pas forcément jusqu’à dire que Tiphaine était la plus jolie fille que l’on pouvait trouver sur la planète…Mais elle était quand même hyper-séduisante, et si elle était décalée par rapport à des normes classiques de la beauté (elle avait par exemple le nez très fin et trop long) il y avait une harmonie dans son physique qui créait un parfait équilibre. Elle était surtout très sensuelle, et j’aurais mis au défi n’importe quel homme de la regarder et de rester indifférent. Elle était très grande et très fine, et elle portait toujours des tenues qui lui collaient au corps et qui soulignaient ce qui faisait d’elle une femme, des seins plutôt menus, des hanches marquées, une croupe vraiment très charnue, des jambes parfaites, qu’elle mettait en valeur avec jupes courtes, leggings ou pantalons coulants, les sulignant avec le nylon de bas ou de collants…Elle était très attirante, alors que des filles peut-être plus classiques l’étaient moins parce qu’elles ne dégageaient rien. Il suffisait de la regarder pour éprouver du désir et imaginer des moments que je n’aurais jamais imaginé vivre avec elle. Le moindre de ses gestes était un prélude au désir.
Je n’aurais rien espéré, je l’avoue. Elle était à mon sens trop belle pour moi. Et puis…Parfois les choses basculent et nous surprennent, justement dans ce basculement.
Je ne saurai pas expliquer comment Tiphaine a pu me regarder et éprouver du désir pour moi, alors même que je suis plutôt banal. Elle, par contre, elle semblait me trouver, selon ses propres termes ‘vraiment très très craquant’…Alors c’était plutôt positif.
On était une équipe de douze, qui travaillions dans le team graphisme. On échangeait régulièrement, bien sûr, et il y avait des affinités entre nous. Même si globalement on s’entendait plutôt bien.
Tout avait sans doute commencé il y avait six mois plus tôt. On avait une salle de pause. Mais vraiment très agréable, collant à ce concept très actuel qu’on travaillait mieux dans le plaisir plutôt que dans la douleur. Des fauteuils, des divans, colorés et confortables…Des distributeurs, cafés, thés, chocolats mais aussi, pour sortir de la junk food, des fruits frais à disposition.
Je venais de finir un travail, je faisais une petite pause en buvant du thé au jasmin, quand Tiphaine est arrivée. Elle était…Vraiment ravissante, dans une très jolie robe, qui soulignait sa silhouette. Elle la portait avec de jolis escarpins à talons hauts.
Je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire:
—Tu es vraiment resplendissante.
—Merci du compliment.
Elle m’a souri.
—J’ai mis des bas dessous, et pas un collant. Tu as envie de voir? Je sais que vous les hommes, vous adorez ça.
J’ai été un peu surpris. Elle était souvent impudique, mais en toute innocence…Quand on met des tenues courtes, difficile de ne pas se dévoiler. Déjà que ses tenues qui ne dévoilaient pas de chair étaient tellement moulantes qu’elles engendraient un trouble persistant en donnant à la voir jusqu’au moindre détail…
Elle savait sans doute que, quand elle avait commencé à remonter sa robe le long de ses jambes, elle m’avait capturé et que j’étais perdu. J’avais bien vu, puisque la robe laissait voir ses chevilles, qu’elle avait gainé ses jambes de nylon noir. Quant à la nature de ce nylon noir… J’aimais, il était vrai, autant les bas que les collants. Chacun avait ses charmes.
Ce n’était pas comme si je découvrais ses jambes pour la première fois. Je les avais déjà vues abondamment, qu’elles soient montrées par des robes ou des jupes courtes, ou gainées par des pantalons, des leggings…J’ai pourtant compris à ce moment quelle peut être l’efficacité du strip-tease. Révéler ce qui est caché, ça a un tout autre impact.
Si jamais j’avais pu en douter, je pouvais le constater de visu: elle avait vraiment des jambes parfaitement dessinées, sans aucune faute de goût, et le lycra les magnifiait. Les bas montaient jusqu’à mi-cuisses, où ils étaient tenus par une bande élastique noire et épaisse faite en partie de dentelle. Elle a quand même continué à remonter sa robe, dévoilant le blanc éclatant de ce qui s’est révélé être un string, quand elle s’est retournée pour me présenter ses fesses nues, très charnues et rebondies, le cordon du string s’enfonçant dans le sillon profond où il disparaissait. Elle s’est retournée pour que je puisse apprécier la manière dont le string collait à son sexe, le dessinant avec précision, soulignant son renflement mais aussi le sillon qui le coupait en deux, dans lequel le tissu s’enfonçait.
—Tu me trouves jolie?
—Je suis sans voix, j’ai répondu. Et c’était vrai. J’étais ébloui par cette sensualité éclatante. En même temps, je me demandais pourquoi elle se dévoilait ainsi.
—Tu peux mettre les mains si tu veux.
Je ne sais pas quel homme aurait dit non. Elle s’est approchée. J’étais ému, je ne le nierai pas. J’ai mis les mains au niveau de ses mollets, submergé par les sensations qui m’ont fait me perdre. Sa chair était brulante, et la sensation était sublimée par celle du nylon, électrique au bout de mes doigts. J’ai cru un instant que j’allais me jouir dessus, mais je me suis contenu. Heureusement, si je remplissais mon caleçon de sperme, j’avais toujours un caleçon de rechange avec moi depuis un accident tragique quelques mois plus tôt qui m’avait obligé à rentrer chez moi.
C’était le premier mouvement qui coûtait le plus. Après, ça venait tout seul. J’ai caressé ses jambes, en même temps que je remontais. Ca ne devait pas être désagréable, parce qu’elle a gémi en disant:
—Mmmmm, c’est bon!
Si j’avais pu douter du plaisir qu’elle ressentait, j’ai vu une tâche apparaitre sur le blanc du string, qui s’est élargie, et qui était plus que significative. Elle donnait à voir sa chair, en s’élargissant, ses lèvres sorties de son sexe.
Je suis remonté, sans doute dans le même état de béatitude qu’elle. Je n’avais jamais osé imaginer pouvoir un jour caresser Tiphaine. Même si c’était une fois unique…Ce serait déjà extraordinaire.
Quand je suis arrivé aux jarretières, j’ai marqué un arrêt. Elle m’a donné le chemin à suivre.
—Je voudrais que tu remontes plus haut. Tu peux venir sur le haut de mes cuisses, dans mes aines, sur mon ventre, et aussi sur mon sexe. Mais je voudrais que tu me caresses à travers mon slip. Tu l’enlèveras une autre fois. Si on fait tout tout de suite…Et puis c’est excitant quand le tissu frotte contre ta chatte…J’aime bien me branler comme ça…
Si j’avais pu me poser la question, j’avais la réponse. Tiphaine n’était pas une oie blanche.
J’ai eu enfin le contact avec sa chair nue. Je suis remonté plus haut. Elle a tiré la robe vers le haut pour me permettre de venir caresser son ventre.
—C’est bon…Je mouille tellement que j’ai l’impression de me pisser dessus.
Je suis passé sur ses hanches avant de redescendre sur la lingerie blanche. La tâche d’humidité avait sacrément grandi, laissant voir tout son sexe, avec un gros paquet de lèvres tout gonflé appuyant contre le tissu, et un clitoris qui pointait bien…Puisqu’elle ne voulait pas que j’enlève son slip, je l’ai caressée à travers. c’était aussi bon, sinon meilleur, pour elle comme pour moi. Je sentais bien le tissu, qui n’était pas un obstacle, mais au contraire magnifiait les sensations, la forme de son sexe, son dessin, la chaleur intense qui montait de cette partie de son anatomie, mais aussi la manière dont elle se liquéfiait, coulant à travers le tissu, mais aussi autour. C’était aussi impressionnant qu’excitant. Ce qui l’était aussi, c’était de sentir les frémissements de son corps, et le fait, indéniable,qu’elle se rapprochait très rapidement de la jouissance. Elle a fini par se figer, et un déluge de liquide est sorti d’elle, fuyant par tous les espaces ouverts.
—C’est exactement ce dont j’avais besoin pour me sentir mieux, elle a soupiré, en épongeant avec deux ou trois essuie-tout attrapés à un rouleau accroché au mur le déluge qui descendait de long de ses jambes. J’ai envie de m’occuper de toi.
Au moment où, venant de rabaisser sa robe, elle balançait les papiers dans la poubelle, quelqu’un est arrivé. Elle avait tendu la main vers ma queue, elle l’a ramenée vers elle.
On est repartis dans le couloir. Elle a désigné une porte.
—Regarde…Là…Ils stockent des fournitures.
On y a plongé l’un après l’autre, profitant du fait qu’il n’y avait personne dans le couloir. On ne pouvait pas fermer, n’importe qui pouvait passer chercher des fournitures. De toute façon on n’en aurait pas pour longtemps. Elle a plongé sur moi, allant chercher ma queue dans mon caleçon. Elle a poussé un petit gémissement:
—Oh, comme elle est belle ta queue, je voudrais pouvoir en profiter tout le temps…Tu me la donneras encore, dis?
Elle l’a enserrée d’une main chaude et douce. Je n’ai pas tenu très longtemps avant de jouir, trop excité par ce qui s’était passé entre nous. Dilaté à l’extrême, j’ai balancé dans sa main qu’elle a resserrée sur moi toute ma semence. Elle a gardé sa main crispée autour de moi tout le temps que je me suis vidé, puis encore après, le temps que ma semence coule jusqu’à la dernière goutte. Ce qui s’est produit par la suite ne m’a pas vraiment surpris. Ca correspondait bien à l’image que j’avais d’elle. Elle a mis sa main en coupe, et elle l’a ouverte, la tenant quand même suffisamment serrée pour que le sperme qui y stagnait ne parte pas. Puis, elle s’est mise à laper la semence, jusqu’à ce que sa main soit parfaitement nettoyée.
On s’était regardés. Conscient que quelque chose de fort passait entre nous. Et que ce qui nous rapprochait et nous rapprocherait, c’était bien le sexe.
Une relation vraiment unique. Sans habiter ensemble, on passait une grande partie de la semaine, mu par le désir, constant, et pas encore épuisé d’avoir du plaisirj ensemble. Avec un partenaire idéal qui cherchait du plaisir, savait prendre le sien, mais aussi en donner à l’autre. Tout était sinon parfait, du moins quasi parfait.
On avait trouvé en tout cas le lieu parfait pour nos ébats. Il y avait au quatrième étage de l’immeuble où nous travaillions des toilettes qui étaient moins utilisées que d’autres, parce que l’étage était essentiellement réservé à du stockage d’archives et de matériel. On s’y retrouvait régulièrement, se donnant rendez-vous, en s’efforçant bien sûr de ne pas y monter ensemble, même si j’avais le sentiment très net que pas mal de personnes se doutaient que nous étions amants. Ce qui ne nous gênait ni l’un ni l’autre.
Semaine après semaine, nous explorions les possibilités infinies du sexe, en repoussant sans cesse les limites, d’une étreinte à l’autre.
On s’était donnés rendez-vous donc sur le coup de trois heures de l’après-midi. Je prenais mon temps. Elle était toujours en avance, au moins on ne pouvait rien imaginer de nos rapports. Même si certains les imaginaient quand même.
Je suis monté par l’escalier, que personne n’empruntait, pris par le silence de la cage. Les toilettes étaient justement en bout de couloir quand on sortait de l’escalier.
Cette fois, elle n’était pas en avance. Je l’ai vue arriver. Elle m’a jeté un sourire ravageur. Chemise blanche, veste noire et jean ultra-moulant, elle était irrésistible. On s’est glissés dans le grand local vide, en refermant derrière nous. Elle est venue s’écraser contre moi, ses seins menus mais bien fermes pesant contre ma poitrine, son ventre plaqué au mien.
—Attends, il faut que je fasse pipi, je peux plus tenir.
Elle a reculé, a défait le bouton qui tenait son jean à sa taille, l’a descendu le long de ses jambes. Dessous, un slip bleu roi a suivi le même chemin, dévoilant un sexe que je connaissais à présent par coeur, comme le reste de son anatomie, mais dont je ne me lassais pas. Elle aimait bien jouer avec sa toison et dessiner à la tondeuse, en ce moment un coeur. Juste en dessous, il y avait la déchirure de son sexe, deux lèvres qui s’épanouissaient, et un clitoris qui pointait toujours, comme si elle était éternellement excitée, mais c’était peut-être le cas. Elle s’est posée, et j’ai vu son urètre saillir, en avant de son sexe. Elle s’est tendue un instant, avant qu’un jet puissant ne vienne frapper la cuvette des toilettes. Elle s’est alors mise à se vider avec régularité, poussant un soupir, alors que le flot coulait d’elle, qui semblait ne pas devoir tarir.
—Ca fait un moment que j’ai envie, mais j’ai pas pu me poser… J’ai bu trop de café..J’avais l’impression que ma vessie allait exploser. Donne-moi ta queue, j’ai envie de la caresser pendant que je me vide…
Je me suis approché d’elle. Elle m’a défait.
—Je ne pourrai jamais me passer de ta queue…J’y pense constamment…
Il y avait beaucoup de choses que j’aimais chez elle, donc cette capacité toute naturelle qu’elle avait de formuler ce qu’il y avait de plus cru, sans avoir réellement de filtre. Mais c’était comme ça que je l’appréciais. Avec cette personnalité entière qui était la sienne.
Et tandis qu’elle continuait de se vider, l’urètre dilaté, elle m’a pris dans sa bouche et elle m’a caressé de sa langue.
J’aimais ces moments qui étaient forcément brefs, où on prenait du plaisir dans le mouvement. Il y avait là une intensité qui me convenait tout à fait. Quand on se voyait chez elle ou chez moi, les choses étaient différentes.
Entre ses cuisses, le flot s’est tari. Elle a attrapé un bout de papier pour s’essuyer, avant de se redresser. Elle a pris un préservatif dans la poche de sa veste, a ouvert l’emballage, sorti le latex luisant qu’elle a fait glisser le long de ma queue. Des gestes rapides. Une question d’habitude. Une fois, on marchait dans le couloir en décalé, elle bien devant, moi derrière, elle avait croisé une collègue qui s’était rendue compte qu’elle avait une capote dans la main. Elle jouait machinalement avec. La fille avait été un instant surprise, puis elle avait souri. Tiphaine avait un côté très enfantin et naif et ne dissimulait pas grand chose.
Elle s’est tournée vers le mur, et, s’y appuyant, elle s’est pliée en deux, m’offrant son cul, toujours aussi charnu, et bombé, ouvert en deux par sa position, son anus bien visible au fond du sillon et sa vulve qui était à présent ouverte par l’excitation. Quand elle était dans cette position, mais aussi dans d’autres, il fallait bien le reconnaître, j’étais ravagé par le désir, et plus maître de moi-même.
Je me suis approché, et j’ai appuyé mon gland contre ses lèvres. Elle a gémi. J’ai glissé en elle, heureux de retrouver la chaleur de son sexe autour du mien. C’était une addiction pour moi que tous ces moments. Si par malheur il devait y avoir une rupture entre nous, je savais que je ne le prendrais pas très bien.
Je l’ai fouillée… Elle me disait souvent ‘Fouille-moi bien’, et je faisais de mon mieux pour lui donner du plaisir. Je la sentais ruisseler autour de ma queue, et cette fois, ce n’était pas du pipi. Ma queue allait et venait en elle, et pour moi aussi c’était très bon. Elle lâchait de petits gémissements, qui ont fini par évoluer en un cri tout sauf discret quand elle a joui..Son plaisir entrainait souvent le mien, il y avait quelque chose de très troublant de la voir s’abandonner à l’orgasme et j’ai rempli le préservatif de sperme, jet après jet.
On s’est rajustés après qu’elle ait récupéré le préservatif et lapé, comme elle aimait le faire, le sperme dont il était rempli. Comme elle le disait ’Par le gosier, t’as aucun risque…Mais ailleurs…’
On s’est rajustés.
—Ces moments de sexe me sont devenus indispensables, elle a dit.
C’est deux secondes après qu’elle ait prononcé ces phrases que ça s’est passé. On a voulu débloquer la porte des toilettes. Elle d’abord. Elle m’a jeté un regard paniqué.
—Attends, je vais y arriver.
Mais je n’y suis pas arrivé.
On était coincés.
Elle ou moi, seul, ça n’aurait pas été un problème. mais à deux…C’était pire qu’un aveu.
—Attends, je vais appeler Lynne…
—Elle a des talents de cambrioleuse? Là, ce qu’il nous faut, c’est un serrurier…
Elle a reposé son téléphone.
Je regardais autour de moi. En cherchant un moyen de me dissimuler. Mais je ne voyais pas vraiment d’option…Si seulement il y avait eu une armoire…Le cliché, bien sûr, mais j’aurais pu tenter quelque chose…
J’ai levé les yeux vers le ciel…Pourtant, la journée avait bien démarré.
C’est à ce moment-là que j’ai eu l’idée.
—Dans trente secondes tu pourras lancer l’appel…
Je me suis posé en équilibre sur le couvercle des toilettes, et j’ai soulevé l’un des placos…Il y avait un espace suffisant pour que je puisse m’y dissimuler. Je me suis accroché à la structure métallique, hissé, et allongé, en ramenant le placo. Elle me regardait.
—Maintenant tu peux appeler à l’aide. Et tu ne parles pas de moi, s’il te plait? Tu fais comme si tu étais seule…Je me débrouillerai après…
Je n’ai rien vu, mais j’ai tout entendu. L’appel à la bonne copine…La bonne copine qui arrive…Et enfin quelques temps après, quelqu’un qui débloque la serrure. La personne qui était là, je ne savais pas qui c’était, a dit:
—J’enlève tout, je mettrai une nouvelle serrure demain matin.
Tout le monde s’est éloigné. J’ai attendu cinq bonnes minutes, risqué un oeil, avant de me glisser dans la pièce. La porte était fermée, mais le barillet vide. Je me suis faufilé à l’extérieur.
Le soir, on était ensemble, je lui ai dit:
—Je crois qu’on va renoncer aux toilettes du quatrième étage.
—Tu veux aller au cinquième?
—Dans un local dont on peut sortir.
—Il est arrivé la même chose à Liliane la semaine dernière avec un livreur. Je lui avais conseillé le local.
—Et tu ne lui as pas parlé de nous, j’espère?
Son regard était éloquent. Finalement si on nous avait découverts ensemble, ça n’aurait pas changé grand chose.
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Histoire de JamesB

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