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Salle des fêtes 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 23/08/2023

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SALLE DES FETES 2

Le temps de prendre mon déjeuner chez moi, en repensant à ce moment vraiment inattendu dans la salle des fêtes, et j'étais prêt à partir pour une autre mairie, où là non plus, le travail ne manquerait pas. Mais avant je devais faire un détour par chez une de nos administrées, pour lui restituer sa carte et son permis de conduire.
J'avais posé les papiers sur la table près de moi, pour ne pas les oublier, et j'ai regardé les photos. D'après les données, elle avait quarante-deux ans. La photo de la carte d'identité était plus récente, celle du permis datait sans doute d'une quinzaine d'années. Dans les deux cas, malgré l'évolution inéluctable du temps, la photo donnait à voir une jolie rousse, avec un visage triangulaire, qui avait beaucoup de charme. Pommettes hautes, yeux verts, bouche pulpeuse...Son visage était loin sans doute des visages les plus classiques, à la fois large et triangulaire mais il était vraiment troublant, tout comme, je m'en souvenais maintenant, son corps. C'était une grande fille qui avait des formes voluptueuses, et la manière de les mettre en valeur. Je revoyais plusieurs rencontres à la mairie, pour de l'administratif, ou pour les événements du village, une galette des rois par exemple, et des tenues très moulantes, ou ouvertes, ou les deux. J'avais en particulier un souvenir très troublant, comique aussi, mais c'était le trouble qui l'avait emporté. Elle était avec moi, et je l'aidais à faire une déclaration de permis de construire pour une extension de bâtiment qui devait lui permettre de bénéficier d'un garage. Elle était drapée dans une jolie robe bleu nuit, qui enveloppait son corps, tout en y collant. J'étais assis, elle debout. Et pendant qu'elle me parlait, la robe s'était ouverte. Elle n'avait pas de ceinture, et le lien qui la fermait sur le côté s'était défait. J'avais eu le temps de voir deux seins, charnus, modelés, tendus vers le ciel, avec de belles aréoles, un ventre plat, et un slip avec des fleurs avant qu'elle ne referme la robe. Elle n'avait pas paru parfaitement confuse.
Je savais juste qu'elle travaillait dans la com, elle s'occupait de campagnes de pub, et aussi qu'elle vivait avec sa fille, sans homme dans sa vie.
J'ai ralenti devant chez elle. Le temps avait passé, et le garage était aujourd'hui construit. Le portail entrouvert, je me suis glissé à l'intérieur. J'allais sonner quand je l'ai vue apparaître sur le pas de porte. Comme à son habitude, elle était irrésistible. Elle avait une robe en jean, avec des bottes hautes, en cuir, noir et luisantes, et les jambes gainées de nylon. Ma queue s'est mise à durcir. Il y avait quelque chose en elle de naturellement érotique, de vraiment troublant. Elle m'a fait un sourire, qui l'a rendue encore plus irrésistible.
--Voici le messager des bonnes nouvelles. Merci de me ramener mes papiers, j'étais bien embêtée ce matin. Vous êtes un sauveur.
Je me suis approché. Lui ai tendu ses papiers. Nos doigts se sont effleurés quand elle les a pris.
--Ca vous dit de boire un café avec moi? Je viens d'en faire.
Je savais que j'avais le temps, et puis passer du moment avec elle, c'était un privilège. Je pourrais me remplir de ses charmes, même s'ils étaient sans aucun doute réservés à d'autres. Quoi que...Je ne l'avais jamais vue avec personne, homme ou femme...Elle devait vivre sa vie amoureuse, si elle en avait une, quelque part. Ca ne me regardait d'ailleurs pas. On a traversé un living agréable, chaleureux, pour basculer dans une cuisine pleine de lumière. Elle ne mentait pas. Il y avait une cafetière remplie d'un liquide noir, et une tasse posée sur un comptoir. Elle en a servi une deuxième.
--J'apprécie énormément, elle m'a dit, en la posant devant moi. J'ai envie de vous remercier. Ca vous dirait si je vous faisais une fellation ?
Je l'ai regardée, totalement désarçonné. Je me suis dit que j'avais mal entendu. Elle ne pouvait pas m'avoir dit ca. Et pourtant, je savais bien ce que j'avais entendu.
--J'espère que ma proposition ne vous choque pas. Ce serait une belle manière de vous remercier. Tous les hommes aiment qu'on leur suce la queue, et qu'une fille les prenne dans sa bouche. Et puis j'ai envie de sexe, ca me travaille en ce moment, je n'ai pas de petit copain. Je vous ai déjà bien remarqué, et vous me plaisez.
Et pour achever de me convaincre, elle est venue poser sa main sur mon pantalon au niveau de ma queue. Elle m'a trouvé dur.
--Bon, je vois que je ne vous laisse pas indifférent, alors...
Je n'avais même pas eu le temps de goûter son café qu'elle plongeait sur moi, me défaisait, me mettait à nu, en s'écriant :
--Voilà une belle queue, charnue et vraiment longue, exactement comme j'aime. Ca va être un délice de la sucer.
Et elle a dardé sa langue, pour la balader sur ma queue. J'ai gémi. Ca faisait longtemps qu'une fille ne m'avait pas administré une caresse buccale, et Angèle s'en sortait vraiment bien. Ca n'était d'évidence pas la première fois qu'elle travaillait une queue de sa bouche.
Elle m'a bien caressé partout, mon gland, mes couilles...
--Ca vous convient?, elle m'a demandé, en relâchant la pression, les lèvres et le menton brillants du liquide pré-sécrétif qui coulait de mon méat.
--C'est vraiment très bon, j'ai répondu. Vous vous en sortez bien.
--J'aime les queues...Les sucer, les caresser, les prendre en moi de toutes les manières possibles...
Elle a avalé un tiers de ma queue, la mettant à l'abri dans sa cavité buccale chaude et douce. Elle a amené sa main gauche sur mes couilles, pendant qu'elle baladait sa langue sur mon gland, le frottant, puis esquissant un mouvement en spirale autour de la partie de ma queue qu'elle avait avalée, avant de remonter.
Je n'ai pas tenu très longtemps. Faire l'amour le matin avait ramené à moi un univers qui s'était éloigné ces derniers temps, et j'avais des envies. J'ai senti que j'allais jouir très vite, et je n'ai pas cherché à me retenir.
Lorsqu'elle lui fait une fellation et qu'elle a décidé d'aller jusqu'au bout, un homme se demande toujours ce que sa partenaire va faire quand le sperme va jaillir. Pour elle, la réponse était évidente. Elle a soigneusement verrouillé sa bouche quand le premier jet de sperme est venu frapper l'intérieur de ses joues, et elle m'a laissé jouir dans sa bouche avec une expression de ravissement, la semence coulant, ca se voyait à sa déglutition, dans sa gorge. Ca a rendu mon orgasme encore plus fort.
Tout n'avait cependant pas glissé dans sa gorge, et quand elle a ouvert la gorge pour me laisser sortir d'elle, une coulure blanche et crémeuse a coulé sur son menton, une vision excitante.
--Tu travailles jusqu'à quelle heure ?
--Normalement, mais il se peut que je joue les prolongations, je vais rester là-bas jusqu'à seize heures.
--J'ai envie de plus de sexe. Ca te dirait ? Je n'ai pas fait grand chose ces derniers temps, et je me sens en manque.
--Je peux en dire autant.
--Alors viens quand tu auras fini. Je suis seule ce soir, sans ma fille. Elle va dormir chez une copine. On aura toute la soirée. On pourra approfondir les choses.
Et comme pour m'assurer que ce n'était pas du baratin, elle a récupéré le sperme qui stagnait sur son menton du bout des doigts, et elle l'a avalé.
Je suis parti, partagé en surprise et réjouissance. Certains jours étaient vraiment exceptionnels. Autant en profiter.
Sans doute que cet après-midi là, j'ai été moins concentré. Comme on peut l'être quand on pense à une femme dont on a envie. Qui est sensuelle et attirante. Qu'elle s'offre à vous, et c'était bien le cas, et que vous envisagez mille scenarii.
Je n'avais sans doute pas envisagé le bon.
Je suis arrivé devant chez elle sur le coup de seize heures trente. Pour la première fois depuis longtemps, je n'envisageais pas que la soirée serait consacrée au travail.
Elle est venue m'ouvrir. Elle s'était changée, pour la soirée, pour moi, ou les deux. En début d'après-midi, elle était désirable...Là, c'était...Il n'y avait pas de mots. Elle avait pourtant fait simple, avec une robe, ultra-courte, et ultra-moulante, en latex, qui soulignait son corps et la faisait plus nue que si elle avait été nue. Elle collait à sa silhouette et la magnifiait avec une précision ultime. Ce n'était pas le moments d'avoir des défauts physiques, elle n'en avait d'évidence pas.
La robe s'accompagnait d'une paie de cuissardes à talons aiguille.
--Je t'attendais. Je me suis un peu arrangée. J'étais moche tout à l'heure.
--Pas vraiment, j'ai répondu.
Ca s'est fait tout naturellement. Elle s'est approchée de moi et nos bouches se sont rejointes. Le temps de s'ajuster, et nos bouches étaient accrochées l'une à l'autre. On a basculé sur un baiser plus profond quand nos langues sont rentrées en contact. On les a frottées avec ardeur l'une contre l'autre. Elle a reculé, toute souriante, elle a attrapé le haut de la robe, accrochée au dessus de ses seins, sans bretelles. La matière était collante mais souple. Elle l'a descendue, faisant jaillir à l'air libre une paire de seins qui m'a impressionné, parfaitement galbée, pleine et charnue.
--J'ai envie que tu me bouffes les seins, tu crois que c'est possible ?
En guise de réponse, je suis descendu sur ses tétons. Ils commençaient à se dilater sous l'effet de l'air ambiant. J'en ai avalé un, et je l'ai agacé de la pointe de la langue. Apparemment, elle était ultra-sensible par là, et elle s'est mise à gémir. J'ai senti son téton gonfler de manière spectaculaire. Elle a tendu la main vers mon pantalon et m'a massé à travers les tissus, avant de me libérer.
--Tu as une belle queue, ce n'est pas donné à tout le monde. J'ai adoré te sucer tout à l'heure, mais on peut faire d'autres choses...J'ai plein d'idées.
J'ai laissé un téton en pleine érection, et je suis passé à l'autre. Elle me masturbait doucement, sa main glissant sur moi, souple et habile. Je m'étais rarement senti aussi gros.
--J'ai envie que tu sois énorme quand tu viendras dans mon ventre. Que tu me remplisses complètement, et que je te sentes bien en moi. Que tu y restes longtemps et que tu me caresses longtemps, et que tu grossisses encore en moi.
Tout un programme. Finalement, j'avais bien fait de lui ramener ses papiers...Je lui aurais dit de venir les chercher à la mairie... Ca n'aurait pas été pareil. Ou alors un autre scénario.
Elle s'est pliée en deux, et elle est venue caresser mon gland de sa langue, lapant les jus qui coulaient. Elle s'est redressée, et on s'est embrassés à nouveau, Un baiser qui avait le goût des jus qui avaient coulé de mon méat.
--Tu m'attires énormément...Même si tu avais une queue entre les jambes ca ne changerait rien. Pour moi tu es l'incarnation même de la sensualité.
--Ben justement.
Je l'ai regardée, sans comprendre où elle voulait en venir.
--Je suis une fille qui a une petite particularité.
Elle a retroussé sa robe. Dessous elle avait un très joli string en dentelle. Mais ce qu'il enfermait, ce n'était pas une chatte, mais deux couilles bien gonflées, et une queue dans un état d'érection avancé, qui dépassait largement du string, collée contre son ventre. Une belle queue, bien longue, et bien épaisse.
Difficile d'analyser précisément ce que j'ai ressenti à ce moment-là. Pas mal de choses, sans doute. De la surprise, évidemment. Parce qu'il n'y avait rien en elle de masculin, au contraire. Une totale féminité. Je me suis dit après que justement, cette féminité était poussée à l'extrême parce qu'elle avait une queue.
Un retour en arrière aussi. Je regardais, comme pas mal d'hommes, énormément de porno, et j'adorais mater des films avec des trans. J'étais troublé par le fait qu'il puisse exister ainsi un troisième sexe, qui n'avait rien à voir avec des travelos en robe mal rasés. Des filles magnifiques mais qui au lieu d'une chatte avaient une queue bien dure.
Pour moi, ça restait à la fois quelque chose qui appartenait à d'autres pays ou c'était une tradition, mais aussi lié au X. Je n'avais pas imaginé une seule seconde qu'il m'arriverait, dans la vie de tous les jours, de croiser une jolie fille, comme dans les pornos que je regardais, et dont les images revenaient quand je me caressais.
Et j'avais énormément fantasmé sur elles. J'aimais cette mixité entre mâle et femelle, ce décalage. J'aimais l'écriture de mille scénarii différents, en parallèle de ce qu'on pouvait faire avec une fille. J'aimais partir sur des chemins nouveaux.
La vie sexuelle d'une personne est faite de pas mal de fantasmes qui ne se réalisent jamais. Et c'est sans doute très bien ainsi. Il y a ce dont on rêve, et ce qui se réalise. Et sans doute que si les fantasmes se réalisaient, on risquait d'être déçu.
J'allais vite le savoir.
--J'espère que ça ne te fait pas fuir, elle m'a demandé, et j'avais vu qu'il y avait une lueur d'anxiété dans son regard. Elle avait du être souvent déçue.
En guise de réponse, je me suis approchée d'elle, et, en même temps que je l'embrassais à nouveau, j'ai glissé ma main dans son string à la rencontre de ses parties intimes. J'ai senti contre ma paume les couilles toutes gonflées, palpitantes, chaudes, et j'ai encerclé, dans un réflexe, la tige gorgée de sang, épaisse, et tout aussi chaude au creux de ma main. Ca m'a tellement troublé que j'ai cru un instant que j'allais jouir. Je me suis contenu. Je l'ai masturbée doucement. Elle a gémi.
--Tu me fais du bien. Attends, on va faire autrement, tu vas voir.
Elle a rapproché son ventre du mien. Ca m'a fait une drôle d'impression de sentir sa queue contre la mienne, chaude, dure, qui la frôlait. Elle a enveloppé, de sa main aux ongles longs et peints, nos deux queues, les rapprochant ainsi, les plaquant l'une contre l'autre. Nos liquides pré-sécrétifs coulaient de nos méats comme deux fontaines folles, et se mélangeaient. En même temps, nos bouches restaient collées.
Elle s'est pourtant écartée de la mienne, pour me dire :
--Je suis entrain de jouir.
Elle a fermé les yeux, a lâché un long soupir, Elle ne mentait, deux secondes plus tard, des traits de sperme, copieux et crémeux ont poissé nos chairs. Par un effet de contagion, je n'ai plus pu me contrôler non plus, et nos spermes se sont mêlés.
Elle est venue chercher ma bouche, pour un baiser profond qui disait son plaisir, sa joie d'avoir un partenaire, mais aussi que l'envie était encore en elle, dans son ventre. En témoignait cette queue, qui pas plus que la mienne, n'avait débandé, alors même qu'elle venait de jouir. Elle s'est penchée sur moi, a repris ma queue dans sa bouche la faisant aller et venir dessus, et gémir de plaisir.
--Ta queue est énorme. Je voudrais la sentir dans mon ventre...Ca te dit ?
Je n'ai pas eu à répondre. Elle s'est éloignée quelques instants, la queue collée contre son ventre, et elle a tiré d'un tiroir une boite de préservatifs. Elle en a attrapé un dans la boite, en a déchiré l'emballage, mais au lieu de le poser directement sur la tête de ma queue et de le faire glisser le long de celle-ci, elle l'a posée contre ses dents. Elle s'est penchée, et elle a descendu ma bouche sur moi, comme si elle voulait entamer une fellation en gorge profonds, puisque mon gland a fini dans sa gorge. Quand elle a effectué le mouvement arrière, laissant autour de ma queue une impression de chaleur et d'enveloppement, ma verge était gainée par du latex. Elle a eu un petit rire, fière sans aucun doute de m'avoir montré son habileté.
On a enchaîné très vite. Je l'ai attrapée par la taille, et je me suis laissé glisser sur le canapé. Elle est venue se percher sur moi. Elle a attrapé ma queue, et elle l'a guidée vers sa muqueuse anale. On a regardé tous les deux, fascinés comme l'être humain peut l'être par tout ce qui se rapporte au sexe, la pénétration, ma queue glissant en elle, dans un anus souple, chaud et accueillant. Elle se pinçait les tétons en même temps. Sa queue, collée contre son ventre, semblait ne jamais devoir cesser de se dilater. Pendant que je glissais en elle, elle a eu un spasme, et un jet de sperme est sorti, qui a atterri entre ses seins. Elle l'a cueilli du bout des doigts, et elle l'a avalé.
Tout m'a plu et profondément troublé dans ce moment. L'insolite de la situation, parce que c'était bien la première fois que je baisais une fille avec une queue, le fait qu'elle soit aussi belle, cette séduction très forte, magnétique, qui était la sienne, le plaisir qu'elle éprouvait, qui se lisait dans ses attitudes, dans son corps, sur son visage, cette queue que j'avais sous les yeux, qui se durcissait encore, énorme...Et d'être ainsi gainé par cette muqueuse anale qui m'enserrait et me donnait du plaisir alors que je bougeais en elle.
Elle est venue chercher ma bouche, m'embrassant et me mordant. Au bout d'un moment, elle a soufflé, en bout de course:
--Je vais pas tenir plus longtemps.
J'en ai eu la preuve immédiate. Des jets copieux de sperme, alors qu'elle avait déjà joui, sont sortis de sa queue, qui est devenue un véritable geyser, un phénomène sans doute à l'image de son plaisir, intense, et nous ont arrosés.
Assez curieusement, comme si je n'avais pas voulu jouir, et prolonger ce moment, ce qui était d'ailleurs le cas, j'étais figé. Elle s'est retirée, a ôté le préservatif souillé, et elle est venue me caresser de la langue, tournant sur mes chairs intimes. Jamais sans doute une fiille ne m'avait sucé d'une manière aussi efficace, qui a poussé mon excitation et mon plaisir à un point que j'avais rarement connus. J'aurais voulu rester dans ce moment, sa langue tournant sur moi, venant frotter mon gland, mes couilles, me mettant le corps en feu, mais la vague de l'orgasme est arrivée sur moi et je me suis laissée emporter. Elle a refermé sa bouche sur moi, et pas une goutte de sperme n'est sortie. Elle m'a gardé dans sa bouche, a lapé ce qui coulait de ma queue après que j'aie joui.
On est restés figés un moment. Pour elle comme pour moi ca avait été aussi bon. Un moment surprenant, quant à la découverte de ma partenaire, de ses capacités, quant à la découverte d'un plaisir fort.
Malgré la jouissance, nos deux queues demeuraient obstinément raides, preuve qu'on avait encore envie de l'autre et de sexe. Le manque, la nouveauté ? Un ensemble de facteurs.
--Tu ne peux pas partir comme ça...
On s'est retrouvés à s'embrasser, la main autour de la queue de l'autre, à le masturber. Elle m'a demandé de lui mordre les tétons. Je me suis exécuté. Un moment de plaisir qui s'est prolongé jusqu'à ce qu'on jouisse, l'un après l'autre, nous éclaboussant encore de sperme.
Sur le pas de la porte, elle m'a proposé ;
--Ca te dirait de revenir me voir ?
Ma réponse a été la plus sincère qui soit.
--Je crois que peu de choses me font autant envie.
Je suis parti en pensant à tout ce qui pourrait se passer encore entre nous.





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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Salle des fêtes 2

Le 29/08/2023 - 12:09 par valeriane
j'adore
Le 24/08/2023 - 10:33 par OlgaT
Particulierement excitant!
Le 24/08/2023 - 09:01 par Sexty53
Très belle histoire le fantasme de tous les hommes

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