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Aide-moi à m'habiller (4)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 23/08/2023

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AIDE-MOI A M'HABILLER (4)

Bon, aujourd'hui, ce n'est pas une journée comme les autres.
Ma belle-mère est partie en stage pour la journée. Un stage obligatoire. C'est dans la ville voisine, pas très loin, mais elle ne sera pas là entre midi et deux, et je suis terriblement frustré. Je suis accro, trop accro, je le sais bien. D'autant que les années qui arrivent impliquent forcément une séparation.
C'est d'ailleurs pour ça, j'en suis bien conscient, de cette séparation inévitable, que je veux profiter au maximum du moment présent.
Le matin, on n'est pas seuls. Difficile d'envisager quelque chose. On peut juste voler quelques instants, en étant très prudents.
Elle avait une robe marron glacé, fluide et cependant collante, qui mettait en valeur ses charmes de femme, avec des escarpins fait de lanières qui enveloppaient ses pieds, aux talons hauts et fins, qui la cambraient comme je pouvais l'apprécier.
Elle est venue se caler devant moi.
--Je suis belle ?
--Irrésistible comme toujours.
Elle s'est penchée pour attraper l'ourlet de sa robe, et elle l'a soulevé. Le nylon qui gainait ses jambes était celui de bas stay-up, et elle avait un string rouge, avec une partie transparente. Elle a tourné sur elle-même pour me faire voir que, derrière, il s'enfonçait bien entre ses fesses.
Elle s'est retournée. On avait encore quelques secondes. Elle a descendu son string,
révélant sa chatte. J'ai tendu la main, frôlé ce sexe que je connaissais par cœur, qui se dessinait toujours différemment, lèvres sorties aujourd'hui, repliées l'une sur l'autre. J'ai senti leur relief au bout de mes doigts. Il y a eu aussi un jet de mouille qui a jailli, et qui a coulé dans ma paume. Je l'ai léché, savourant sa saveur, mi-amère, mi-sucrée, pendant qu'elle remettait le string à sa place et redescendait la robe.
--Les stages, on les finit toujours tôt. On aura du temps pour nous. Tu pourras la mettre où tu veux. Dans ma chatte, dans mon anus ou dans ma bouche. Ou les trois.
Il y a des promesses qui vous tournent dans la tête.
Mais ça ne s'est pas passé comme ça.
Je finissais de manger, seul car mon père n'était pas là de toute la semaine, en mission, quand j'ai entendu une clef dans la serrure. Surpris, j'ai tourné la tête. Et vu arriver ma belle-mère. Elle m'a fait un immense sourire.
--Attendre jusqu'à ce soir...C'était pas possible...On a deux heures de pause, J'ai dit que je partais manger à l'extérieur. Allez, on a le temps de faire quelque chose. Une demi-heure...
Elle s'est avancée jusqu'à moi. S'est posée sur la chaise à côté de moi, après avoir roulé sa robe à sa taille. Elle a ouvert les jambes autant qu'elle le pouvait.
--Viens me lécher la chatte...J'ai le feu au cul depuis ce matin...Y a des jours ça me travaille.
Des jours très fréquents. Mais j'en profitais bien. Je suis venu écarter le tissu du string, le ficher dans son aine. Ca se voyait comme le nez au milieu de la figure qu'elle était excitée. Son sexe avait pris une configuration autre que le matin même, il était entrouvert, on voyait son intérieur tout rose, et ses lèvres étaient gonflées et tendues devant elle.
J'ai approché ma bouche de son sexe. J'adorais lui faire des cunnis. J'aimais sentir son corps réagir. J'ai donné un bon coup de langue de bas en haut de sa chatte, et elle a lâché un gémissement. Son goût a jailli dans ma bouche. Elle m'a dit :
--Je te laisserai mon string...Cet aprem j'irai cul nu. Tu y penseras. Et en y pensant, tu renifleras le tissu du string...Je l'ai frotté contre ma chatte en revenant...Il doit bien puer ma mouille...
J'ai tourné sur ses lèvres, je suis venu sur son gland clitoridien qui s'était décalotté tout seul...Le meilleur moyen de voir l'excitation d'une femme, c'était simplement de constater si elle mouillait ou pas. Vu comme elle m'inondait le visage, et coulait dans ma bouche...
J'ai poussé ma langue en elle et je suis venu la frotter contre ses muqueuses internes. C'était quelque chose qu'elle adorait.
Mais on n'avait pas beaucoup de temps, je le savais bien.
--J'ai envie de m'asseoir sur toi.
Elle s'est redressée, m'a poussé sur la chaise. Le dessert attendrait. Ou plutôt, j'aurais deux desserts. Le premier, c'était ma belle-mère. Le deuxième, le flan, je le mangerais quand elle serait partie.
Elle a baissé mon pantalon et mon caleçon. Ma queue a jaillli à l'air libre.
--J'aime quand elle est très grosse. Comme maintenant. Et que tu me remplis bien.
--Tu m'as troublé ce matin, avant de partir.
--C'est un de mes buts. Te troubler. Bon, je vois que je m'en sors plutôt bien.
Elle s'est mise à me frotter le gland de la langue, et, comme ses sécrétions vaginales avaient coulé dans ma bouche, mon liquide pré-sécrétif s'est mis à remplir la sienne.
--Hmmm...C'est bon...
En même temps, elle caressait doucement mes couilles, comme elle savait si bien le faire.
--Je peux plus attendre. J'ai envie de te sentir dedans.
Elle est venue se poser au-dessus de moi. On a regardé tous les deux comment ça se passait. On était l'un comme l'autre très excités, elle parce qu'elle avait très envie depuis le matin, moi en partie parce que j'avais pensé ne pas l'avoir pour moi entre midi et deux, et que le sort avait été contrarié, pour le meilleur.
Elle a frotté mon gland contre ses lèvres, fermant les yeux et poussant des gémissements. Puis, tenant toujours la queue par peur de ne pas bien la guider, elle l'a faite rentrer en elle. On a vu ma verge lentement avalée, son ventre descendre jusqu'à ce qu'elle soit entièrement posée sur moi. On s'est figés, laissant les sensations nous envahir, pour elle, celle d'être remplie par ma queue, qui distendait sa muqueuse vaginale, pour moi d'avoir la chair souple et soyeuse de son sexe autour de moi, comme un gant d'une matière délicate. C' était bon de se laisser imprégner par de pareilles sensations.
--Je préférerais mourir que de ne plus avoir de queue dans la ventre. Et la tienne est parfaitement assortie à ma chatte.On était faits pour s'imbriquer. C'est une alliance parfaite.
Elle s'est faite bouger sur moi. Ma queue apparaissait et disparaissait, toute luisante de ses jus intimes, qui étaient plus abondants à chaque retour, et qui disaient clairement son excitation.
En même temps, elle est venue pincer son gland clitoridien, déjà érigé d'excitation quand elle était arrivée, mais qui avait encore gonflé, depuis qu'on s'était rapprochés. Qu'elle le tripote faisait qu'il s'épaississait et s'allongeait encore plus pour devenir une véritable bite.
--J'ai attendu ça toute la matinée. Avoir du plaisir. Oh mon Dieu, je suis déjà entrain de jouir.
Son corps était secoué de spasmes, elle s'est mise à crier, enchaînant les apex de plaisir et éjaculant sur moi des jets de liquides blancs.
--Ne jouis pas tout de suite, elle m'a dit, je veux que tu viennes dans ma bouche.
J'avais de plus en plus de mal à me contenir, pourtant.
Elle s'est laissée allée contre moi après plusieurs orgasmes, partagée entre soulagement et manque d'énergie.
--J'avais trop besoin de ça. Ton sperme va me remplir l'estomac et je tiendrai sans manger jusqu'à ce soir. Mais ce dont j'avais faim, ce n'était pas de nourriture. D'une queue. La tienne.
Elle s'est redressée, et ma queue est sortie de son sexe. Des coulures de cette substance crémeuse qui accompagnait ses orgasmes les plus puissants ont zébré la peau de ses cuisses.
Elle s'est accroupie. Dans cette position, j'avais une vision impeccable de son sexe, à la fois parce que se poser ainsi, accroupie et jambes écartées ouvrait son sexe, et que, l'excitation et le plaisir l'avaient dilatée. J'aimais la regarder d'une manière aussi intime. Je trouvais son sexe à chaque fois différent. Il y avait des plaisirs que l'on n'épuisait pas. Ceux qui étaient liés au sexe, et ceux qui étaient liés à ma belle-mère. Elle m'avait d'ailleurs habitué à s'exhiber dans les situations les plus improbables, et à s'ouvrir. Avec une audace qui me stupéfiait toujours. Mais l'audace, ça passe toujours.
Plusieurs fois, quand je lui avais rendu visite à son bureau, dans la journée, et alors que n'importe qui pouvait rentrer, elle m'avait offert un morceau de son anatomie. Une fois un sein sorti de son soutien-gorge, qu'elle avait têté, une autre fois, elle avait donc retroussé sa jupe, elle avait juste des bas stay-up en dessous, pas de slip, et, après avoir tourné son fauteuil de bureau, elle m'avait dit :
-Tiens, regarde bien, tu y penseras quand je ne serai pas disponible, et que tu te branleras.
C'était toujours en deux temps, ce discours, ou un discours proche, et puis elle m'offrait son intimité. Parfois, elle chopait ses lèvres et elle tirait dessus, m'offrant leur face interne, ou alors elle fichait un pouce et un index en elle, et elle s'ouvrait, ou encore elle faisait avec deux index. Et je pouvais voir ce qu'il y avait dans son sexe.
Cette fois-là, quelqu'un avait frappé et était rentré sans attendre. Je ne sais pas s'il avait surpris sa position, ses gestes, tirer sa robe sur elle et se retourner vers son interlocuteur.
Et c'est sans doute voir son intérieur qui a déclenché mon orgasme. La bouche ouverte, alors que des fois, elle la refermait autour de moi, elle a accueilli ma semence, aussi copieuse que ses jaillissements à elle. C'était parti pour l'essentiel dans sa bouche, mais aussi sur son visage. Quand l'essentiel de ma jouissance a été sur et en elle, elle est venue passer sa langue sur mon gland, lapant ce qui suppurait encore. Puis elle a fermé la bouche, et a avalé ma semence, pour ensuite collecter du bout des doigts les traits de semence et les bouffer aussi.
Il y a eu le temps de l’atterrissage. Elle s'est rajustée.
--Je repars avec ton sperme dans le ventre, et l'envie d'encore plus de sexe. Je suis insatiable. Je pense qu'on aura fini tôt. Je vais vite être là. Je me mettrai à quatre pattes et tu me prendras comme une chienne. Je vais y penser en attendant que le stage finisse.
Sur ce elle s'est éclipsée alors ma queue retrouvait sa raideur, et que cette image s'imposait d'elle à quatre pattes devant moi, sa robe retroussée, sa croupe charnue tendue vers moi, ouverte sur son anus, sa chatte dilatée dégoulinante plus bas, et son regard planté dans le mien, me disant qu'elle m'attendait, et que je pouvais venir où je voulais.

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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Aide-moi à m'habiller (4)

Le 24/08/2023 - 10:56 par JamesB
Venant de quelqu'un qui fait des textes aussi excellents, c'est un compliment qui me va droit au coeur.
Le 24/08/2023 - 10:29 par OlgaT
Excellent!

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