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Salle des fêtes

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 26/07/2023

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SALLE DES FETES

Je crois que ça a commencé ce lundi où sur le coup de neuf heures du matin, j'ai reçu un appel angoissé d'une de nos administrées.
--J'ai perdu mes papiers d'identité à la salle des fêtes samedi soir.
Je suis l'un des deux employés administratifs de cette petite commune de 2800 habitants. Je viens sur ce territoire trois jours par semaine, les lundi, mardi et vendredi les deux jours intermédiaires réservés pour un village tout proche. C'est qu'il y a de moins en moins de secrétaires de mairie, une fonction peu attirante, et mal payée, une réelle crise des vocations, qui empêche qu'on soit à temps complet sur une mairie. Concrètement, cela signifie faire énormément en très peu de temps. Pour ma part, j'ai une solution qui n'en est pas une, je fais souvent des heures supplémentaires, passant certains week-ends ici, voire restant le soir, ou revenant. Sans forcément être payé.
On a une immense salle des fêtes, qui a été construite il y a cinq ans, et qui sert très souvent. Elle est faite de multiples blocs. Il y a un très grand terrain qui permet de pratiquer tous les sports, et, dans un schéma en L, une salle pour se retrouver, que ce soit pour des réunions, des repas, avec une salle de cuisine attenante. Beaucoup de placards, de salles de réserve...Elle a coûté cher et est très utilisée.
--Il y avait un repas ?
--Oui, le repas du volley. J'ai accompagné mon fils.
--Je vais y passer tout de suite. Vous vous souvenez où vous les avez perdus ?
--Pas vraiment. J'avais ma carte d'identité et mon permis dans la poche arrière de mon jean. Je les avais pris avec moi pour faire le trajet, si je me faisais contrôler, et je ne les avais pas laissés dans la voiture. J'aurais du...
--On va les retrouver.
Je suis parti à pied jusqu'à la salle des fêtes. Le village n'est pas si grand que cela. Il y a un centre, et ensuite, le village se répartit le long de quatre axes. Pour aller jusqu'à la salle des fêtes il fallait partir vers le sud. Le village était sur un promontoire, et après un plan, on était sur de la déclivité. Un premier bâtiment, vaste lui aussi, servait pour entreposer le matériel municipal. De là, on pouvait continuer le long de la route ou bien descendre une volée de marches en bois jusqu'à la salle du premier bâtiment au second. C'est l'option que j'ai choisie. Option qui m'a permis de me rendre compte qu'à cette heure matinale, où la salle n'était pas occupée, j'avais jeté un coup d'oeil sur le planning avant de venir, il y avait quelqu'un de garé sur le parking, et la porte ouverte. En même temps, ce n'était pas surprenant. Pas mal de monde passait par la salle, pour récupérer du matériel par exemple.
La voiture était un gros coupé, et les portières étaient entrouvertes. J'ai aperçu un gros aspirateur pro, et je me suis souvenu qu'il y avait un contrat avec une société de nettoyage qui passait deux fois par semaine, plus éventuellement s'il y avait des besoins. Il y avait d'ailleurs dans l'un des placards entreposé du matériel dont un petit véhicule qui permettait de passer sur la grande surface du terrain de sport.
Je me suis glissé à l'intérieur.
Il y avait du matériel dans l'entrée, dans un seau. La personne qui nettoyait devait être pas loin.
Je me suis dit que j'allais commencer par la grande salle de réunion. Et ensuite j'élargirais.
C'est alors que j'ai entendu le gémissement. Un petit gémissement, bref. Suivi par un autre. Puis encore un autre.
Ca venait de la partie cuisine, dont la porte était entrouverte.
Je suis très naïf sans doute, parce que j'ai pensé que quelqu'un de malade se trouvait à l'intérieur.
Ce n'était pas vraiment le cas.
J'ai glissé sur le côté du mur, et j'ai jeté un coup d'oeil à l'intérieur. Il y avait un battant entrouvert, l'autre fermé. La partie supérieure du battant de droite était vitrée, et on voyait ce qui se passait dedans. J'avais eu le réflexe de prendre mon téléphone pour appeler les secours...Ce n'était pas vraiment la peine...
J'ai été surpris, voire décontenancé par la scène qui s'est offerte à moi.
C'était une véritable cuisine, dont l'installation avait d'ailleurs coûté fort cher, sur la partie de gauche il y avait un plan de travail, le mur de droite était lui garni par appareils de cuisson et frigos...
Les fesses posées sur le plan de travail juste à côté de l'évier, une ravissante blonde d'une trentaine d'années, grande et fine, se donnait du plaisir.
Je ne m'attendais pas à ça. Ou plutôt à tout sauf à ça.
Je ne savais d'ailleurs pas qui nettoyait. Je me rappelais pourtant qu'on avait signé un papier avec une de ces multiples sociétés de nettoyage, mais il y avait une contractualisation avec plusieurs mairies, ce n'était pas notre mairie qui s'en était occupée, et c'était la première fois que je rencontrais un employé.
Elle avait une blouse blanche, déboutonnée, et des baskets. Apparemment, elle ne mettait pas grand chose sous la blouse. Il y avait une petite culotte blanche roulée en boule à sa cheville gauche, et un soutien-gorge lui aussi blanc dont elle avait extrait deux seins pas très volumineux, mais ronds, dont elle pinçait les tétons, des tétons durs, d'une main.
La blouse était ouverte sur un corps longiligne et fin. Mon regard est descendu le long de ce corps, jusqu'à arriver à un triangle qui disait qu'elle était une vraie blonde. En dessous, il y avait un sexe dilaté d'excitation. Il était bien ouvert, ses lèvres gorgées de sang, son intérieur visible, rose.
Elle aurait pu se caresser avec ses doigts, au lieu de cela, elle avait récupéré, certainement dans les tiroirs, un objet avec lequel elle se donnait du plaisir. Avait-elle eu envie de se donner du plaisir et pris cet objet au hasard, parce qu'il semblait approprié, ou bien était-ce l'objet qui avait suscité son envie de se donner du plaisir ? En tout cas, elle en faisait un usage très personnel, le faisant aller et venir dans sa muqueuse intime...
C'était en cuillère en bois avec un long manche, et un creux ovale, mais plutôt allongé...Elle la tenait par là, et le manche était sombre des sécrétions qui coulaient d'elle, et qui trempaient le bois, mais aussi ses chairs.
Je pensais qu'elle allait continuer sur la même pratique, sur le même rythme, et jouir, mais il n'en a rien été. C'est ça qui est formidable avec la sexualité, c'est qu'elle se joue de multiples manières et qu'elle est toujours inattendue, même quand on est en plein dedans. Imaginait-elle quelques secondes plus tôt qu'elle allait ainsi basculer ?
Elle a retourné la cuillère, et elle a poussé la partie ovale en elle. C'est rentré sans difficulté, sans doute parce qu'à cette étape de son excitation, elle était suffisamment dilatée. Elle a poussé un gémissement de contentement quand la surface ovale a été en elle, et elle a repris sa caresse intime.
On voyait bien à son corps, sa manière de se tenir, de se positionner, de se cambrer, mais aussi d' haleter, de gémir, qu'elle était proche de la jouissance. Elle a lâché une espèce de cri, rauque, pas très fort, mais très profond, issu des tréfonds de son ventre, de ce ventre dans lequel la jouissance venait de se mettre en route. Elle s'est cambrée, une cambrure qui a mis en valeur sa silhouette impeccable. La preuve la plus tangible qu'elle jouissait, ça a sans doute été ce qui est sorti autour de la cuillère, des jets de mouille projetés à l'extérieur de son sexe comme autant d'éjaculations, qui sont partis dans les airs, et ont atterri sur ses jambes.
La dernière chose que j'ai vue, ça a été la sortie de la cuillère de son sexe. Elle l'a fait très lentement. L'ustensile de cuisine est réapparu petit à petit, et j'ai bien vu que ça lui avait procuré une vague de plaisir, bien moins forte que la précédente, mais quand même intense.
Je me suis éclipsé. J'ai attendu quelques minutes qu'elle se soit rajustée pour rentrer à nouveau dans le bâtiment. Je ne voulais pas qu'elle pense que j'avais pu la mater.
Je suis revenu, m'interrogeant, avant de franchir le seuil sur la crédibilité de ma démarche. Elle m'avait forcément sinon vu, du moins senti. Pourtant, dans les minutes qui ont suivi, elle n'en a rien laissé paraître.
Je l'ai trouvée dans le lieu de réunion à nettoyer le sol avec une serpillière. Il y avait donc eu ce banquet le samedi soir, mais le nettoyage était toujours approximatif.
Mon œil gauche s'est posé sur la jeune femme, elle était près de la fenêtre, et la lumière du matin traversait implacablement sa blouse, laissant voir une silhouette que j'avais déjà aperçue, mais différemment. Assez curieusement, c'était aussi, sinon plus excitant de la voir ainsi, à travers une blouse. Elle avait rajusté sa culotte, qui enveloppait ses parties intimes. J'ai repensé au spectacle qu'elle m'avait offert, me demandant ce qu'il était advenu de la cuillère. On pouvait imaginer plein de scénarii possibles, sans savoir lequel était le bon. Je l'imaginais ayant mis de côté la cuillère, pour s'en servir dans la soirée, en repensant à ce moment de plaisir le matin. Je me voyais bien aussi récupérant la cuillère, je ne savais pas où elle était, mais il y avait des sacs à l'entrée, et la reniflant.
--Bonjour.
--Bonjour. Je suis le secrétaire de mairie. Pardon de vous déranger, je suis venu récupérer des papiers oubliés. Ils sont là.
La femme qui avait appelé les avait sans doute machinalement posés avant de penser et de passer à autre chose.
Elle serait contente de savoir que je les avais retrouvés.
La jeune femme avait posé son aspirateur et elle s'était approchée de moi. L'occasion pour moi de la voir de plus près. De respirer un parfum de lavande, De remarquer un visage joliment dessiné, des traits fins, de grands yeux bleus, et des cheveux qui devaient être beaux quand, et j'imaginais bien que c'était l' obligation du travail, ils n'étaient pas attachés, d'un blond clair. Un instant j'ai eu l'envie, irrationnelle, de lui demander de défaire l'attache qui tenait ses cheveux, un élastique j'ai pensé, qui avait bloqué une masse blonde au sommet de son crane, pour les voir couler et se positionner, quelque chose de simple mais d'érotique. Troublant, sans doute, comme de la sentir près de moi, sentir sa chaleur, l'épaisseur de son corps, et aussi de repenser au spectacle qu'elle m'avait offert quelques minutes plus tôt. Je me suis rendu compte que ma queue était toute dure, et j'ai remercié intérieurement le Destin, ou je ne savais trop quoi d'autre, d'avoir une chemise longue qui camouflait, au moins partiellement, mon trouble.
-Je m'appelle Gwenaëlle, je nettoie ici depuis deux mois. Je suis enchantée de vous connaître.
La lumière l'entourait, l'enlaçait, dessinait sa taille fine et le creux de son nombril sous la blouse.
--Je vous laisse travailler. Pardon de vous avoir dérangé.
Elle a souri, et j'ai bien lu ce qu'il y avait dans ce sourire. C'était une fine mouche, et elle avait bien lu en moi qu'elle me troublait. Et si en plus elle avait perçu que je l'avais vue se caresser...Difficile pour un homme de ne pas être troublé par les charmes féminins, surtout quand ils étaient mis en avant de manière si évidente...
Je suis reparti pour la mairie à pied, et la queue raide, traversé par des fantasmes très crus dans lesquels elle venait soulager ma queue raide, en la prenant dans sa main, sa bouche, ou dans son intimité. C'était une évidence, c'était une fille qui aimait le sexe. Qui aimait le plaisir. En donner et en prendre. Au cours de mes pérégrinations, de mes relations amoureuses très diverses, j'avais vu, compris, qu'il y avait deux types de filles. Celles pour qui le sexe avait une grande importance, qui estimaient qu'il procurait plaisir et bien-être et celles pour qui c'était quelque chose de pas très propre, et plutôt une contrainte pour faire qu'une relation perdure. Rien ne m'avait troublé plus que de découvrir un soir, en rentrant chez moi, une petite copine, installé dans le canapé, le jean et la culotte aux chevilles, occupée à se caresser parce qu'elle avait eu simplement envie. Pour d'autres ce type de plaisir était totalement honni. Et pas mal d'autres aussi...Pas de ça, pas de ça...
J'ai rappelé l'administrée qui s'était inquiétée. Elle m'a demandé si je pouvais lui ramener la carte. Je l'ai assurée que je passerais en début d'après-midi. Je savais qu'elle n'en avait pas un besoin immédiat, elle faisait du télé-travail deux jours par semaine, elle me l'avait rappelé le matin en me téléphonant.
--Vous m'avez sauvé la vie.
--Je n'ai pas fait grand chose.
--Je sais payer mes dettes.
J'allais avoir une bouteille de plus sur mes étagères. On m'en offrait souvent pour tel ou tel service rendu. Comme je ne buvais pas, j'en avais une bonne collection que je sortais quand je recevais. C'était aussi bien que de se faire insulter, comme c'était parfois le cas.
Il était onze heures du matin quand le téléphone a sonné. J'étais seul dans le local, le maire ou les adjoints ne passaient pas forcément quand j'étais là, je les contactais quand il y avait des soucis.
--Bonjour, vous êtes bien la personne que j'ai vu tout à l'heure? J'ai un problème, et je ne sais pas si vous pouvez m'aider. Ecoutez, mon véhicule ne démarre pas. Alors ce n'est pas le mien, c'est celui de l'entreprise, c'est un électrique, et moi je ne suis pas habituée à l'électrique. De toute façon, quel que soit le véhicule, je dois bien reconnaître que je n'y connais pas grand chose.
--J'arrive.
Elle était sortie de mon champ d'attention...Je ne pensais pas la revoir, du moins pas ce jour...Je suis reparti vers la salle des fêtes. Elle m'attendait, appuyée contre le véhicule, en tirant sur une cigarette. Le sourire qu'elle m'a dédié m'a laissé penser qu'elle avait au moins de la reconnaissance pour moi d’être venu. La blouse avait laissé la place à un T-shirt et un caleçon qui soulignait ses formes.
--Merci d'être venu. Normalement j'ai fini pour la matinée, et je reprends cet après-midi.
--J'ai une petite idée du problème. Si vous me laissiez m'installer à la place du conducteur...
Confuse, elle s'est écartée. Je me suis calé sur le siège et j'ai mis le contact. Sans surprise, les batteries étaient déchargées.
--Vous avez récupéré le véhicule ce matin ?, j'ai demandé.
--Oui.
--Je suppose que dans votre entreprise, on a oublié de le mettre en charge ce week-end. Vous avez regardé le témoin ?
--Euh, non.
--Les batteries sont vides.
--Aie.
Elle s'est mordu l'ongle, en signe de perplexité ou de nervosité.
--Mais il y a une solution, j'ai proposé.
Elle m'a regardé comme si j'étais le magicien qui venait de sortir un lapin du chapeau.
J'ai désigné la borne chargement. Elle était à l'entrée du parking. Le véhicule étant à plat, il allait falloir débloquer le frein, le faire tourner, le diriger vers la borne, et là, brancher le véhicule.
--J'y ai même pas fait attention. Et pourtant je passe devant deux fois par semaine. En fait, je me soucie pas trop de charger le véhicule, ils le font pour nous...
--Maintenant, vous saurez être autonome.
--Et comment je ferai pour payer la charge ?
--On a une carte. Votre entreprise me remboursera, vous m’amènerez 7 euros. Vous vous mettez au volant, je vais pousser et vous guider.
Ca s'est bien passé. On a fait demi-tour, et amené le véhicule pile devant la borne. Là, j'ai débloqué la borne et mis en charge.
--C'est une charge rapide, mais il va falloir patienter,si vous voulez une charge pleine.
--Je peux attendre 45 minutes.
--Bon, je vous laisse. Je reviens dans 45 minutes.
J'allais m'éloigner, quand elle m'a dit :
--Non, attendez.
Je me suis figé.
--Ecoutez...Ce que vous avez fait, c'est vraiment très sympa...Alors je voudrais vous dire merci...
--Vous savez, c'est le métier qui veut ça. Quand on est secrétaire de mairie, on passe la journée à rendre des services.
--Si vous n'étiez pas venu....
--Vous vous seriez débrouillée....On se débrouille toujours. La jugeote, c'est ce qu'il y a de mieux partagé.
--Je tiens à vous marquer ma reconnaissance. On peut aller un moment à l'intérieur, ce sera plus discret.
Et si par hasard j'avais pu avoir encore un doute sur ses intentions, elle a tendu sa main vers moi et elle l'a posée sur mon pantalon. J'avais, sans en être vraiment conscient, une semi-érection qui a pris beaucoup d'importante quand ses doigts sont venus exercer une caresse souple.
--Voià une bite bien dure, dont j'aimerais bien profiter.
Elle avait le regard brillant, un regard qui disait clairement qu'elle avait envie de sexe. Envie de moi ou ça aurait été n'importe qui ? Elle m'attirait suffisamment pour que je ne me dérobe pas.
Un coup d' oeil sur les voyants de la borne, et je suis parti vers la salle des fêtes. Une bonne odeur de détergent baignait les lieux. Elle est partie vers le local multi-fonction, m’entraînant en me tenant par le poignet, Là, ça a été très vite. Elle est venue se coller contre moi, me faisant sentir la chaleur et le poids de son corps. Sa bouche a rejoint la mienne, on a d'abord été lèvres contre lèvres, puis elle a glissé sa langue à l'intérieur pour venir caresser la mienne, et on les a furieusement frottées l'une contre l'autre. C'était vraiment très bon. Elle a attrapé mes deux mains, et les a amenées sous le caleçon, dans sa culotte, au contact de ses fesses, que j'ai senti fermes et pleines contre mes doigts, les caressant doucement pendant qu'elle venait chercher ma queue dans mon pantalon. Elle a parue ravie de ce qu'elle venait de trouver. Elle a caressé ma queue avec des gestes doux qui m'ont rempli de chaleur et plus dilaté, une main habile, qui savait bien caresser. Elle est descendue sur mes couilles, les massant doucement, signe pour moi que son expérience et de son goût pour le sexe, parce qu'aucune fille ne m'avait fait ça avant. Est-ce ça, ou sa caresse sur ma queue plutôt ? Mon liquide pré-séminal s'est mis à jaillir de mon méat comme si c'était une fontaine. Elle est venu le laper...
--Hmmm c'est bon...J'aime tout ce qui sort de la queue d'un homme...
Elle a attrapé une chaise pour venir se positionner devant moi. Juste avant de se caler sur la chaise, elle a descendu le caleçon, le jetant sur le sol, puis son slip le long de ses jolies jambes, levant une jambe pour qu'il reste accroché à la cheville de l'autre. Se calant sur la chaise, elle a ouvert les jambes au maximum, en compas pour me faire voir son intimité.
--Regarde bien, tu y penseras quand tu te branleras.
J'ai bien vu, mais de plus près, une intimité qu'elle avait stimulée avec la cuillère deux heures trente plus tôt. Le dessin irrégulier de ses lèvres qui s'étalaient en dessous de sa toison de blonde. Elle a décalotté son clitoris, qui est apparu, fin et long, et s'est allongé sous mes yeux, une érection qui disait son excitation.
La position ouvrait naturellement son sexe, ouverture qu'elle a accentuée en introduisant ses index en elle et en s'écartant au maximum, pour me laisser bien voir une muqueuse toute rose dont s'écoulait un liquide huileux qui, parce qu'elle s'exhibait, parce que je la regardais ou les deux, devenait de plus en plus abondant. Elle m'a laissé le temps de bien la regarder avant de laisser son sexe se refermer. Au moins partiellement, parce que l’exercice l'avait excitée et elle s'était dilatée en peu de temps de sorte qu'on voyait une plus grande partie de son intérieur que lorsqu'elle avait commencé à ouvrir les jambes. En même temps qu'elle venait donner des coups de langue avides sur ma queue, elle a amené deux doigts au niveau de son gland clitoridien, et elle s'est mis à le frotter. C'était très excitant de voir les deux doigts qui appuyaient sur elle, et faisait gonfler ce petit bout de chair, ça l'était aussi de voir de la quantité de jus qui sortait d'elle croissait de manière exponentielle, à la mesure de son excitation. Elle avait sur le visage une expression extatique, celle de quelqu'un pour qui, d'évidence, le sexe a énormément d'importance, qui est à la recherche du plaisir, intense et unique, que celui-ci peut procurer. Elle ruisselait, dans un flux régulier, ça venait tremper ses cuisses et la chaise.
--Tu veux qu'on fasse ça rapidement ou qu'on prenne le temps d'avoir réellement du plaisir ?, elle m'a demandé.
Il n'y avait personne d'autre que moi à la mairie, mais j'avais fermé celle-ci à clef. J'y étais souvent seul, et quand un administré m'appelait, ça m'arrivait de la quitter sans que cela pose problème. Après tout, elle m'avait bien appelé pour un problème de véhicule, même si on avait basculé sur autre chose.
--Je crois qu'on peut profiter des 45 minutes de la charge, je lui ai répondu.
--Alors ce sera parfait. On pourra aller au fond des choses. Dans tous les sens du terme. Ce matin, je me suis réveillée avec le feu au cul.
Elle a poussé un petit gémissement, se pinçant le clitoris de manière délicate, un premier mouvement qui a été suivi par d'autres. Son sexe a paru se contracter, et des jets de mouille sont sortis, crachés de manière spasmodique, comme autant de mini-éjaculations.
Elle a eu un petit rire, avant d'ajouter :
--Mais je me réveille tous les matins avec le feu au cul. Depuis que j'ai découvert le sexe, plus jeune, son pouvoir immense, je suis obsédée au dernier degré. Une journée sans plaisir, ce n'est pas une journée réussie.
--Et tu arrives à trouver des partenaires ?
Son sourire s'est élargi.
--Tu sais le plaisir, on peut s'en donner tout seul, et c'est très très bon. Jamais pareil. Il y en a qui sous-estiment cette ressource, crois-moi. Et puis...Quand tu fais des avances à des hommes, que tu leur laisses entendre qu'il y a du sexe à la clef, crois-moi ils disent rarement non. Il suffit de se faire comprendre, et ça, ça n'est pas un problème. Il y a toujours de bonnes rencontres...Comme toi, tu vois...Et s'il n'y a pas de rencontres...J'ai un carnet d'adresses fourni, des garçons ou de filles que je peux appeler et qui ne disent pas non à un moment avec moi.
Elle a conclu la parenthèse en ouvrant la bouche, la portant vers ma queue, gonflée de sang et d'excitation, et avalant un morceau de celle-ci, la calant dans sa bouche avant de la frotter de la langue. C'était bon d'être dans la bouche d'une femme, entouré par sa chaleur humide. Je n'oublierais pas ce moment, et plus largement cette matinée. Elle m'a caresse ainsi un moment avant de descendre sur mes couilles, et d'en gober une puis l'autre, pour lui appliquer le même traitement. Qu'elle m'ait pris dans sa bouche m'avait fait encore plus gros, et ma queue,agitée de spasmes, gonflait sous mes yeux. J'avais été rarement aussi dur, épais et long. Ce qui était curieux, c'était que je me sentais dans un état étrange, une sorte d'antichambre du plaisir où il faisait vraiment très bon être, sans risque de basculer dans une jouissance qui aurait tout gâché.
Sans doute pourtant que j'ai cassé le schéma qu'elle avait élaboré, quand je me suis dégagé, et, tombant à genoux, je suis venu entre ses cuisses. Elle était ultra-sensible, et ultra-sexuée, et le coup de langue que j'ai donné en travers de son sexe, sur ses lèvres gorgées de sang, lui a fait lâcher un gémissement qui l'a cambrée. Et projeté dans ma bouche un jet de mouille au goût sucré.
J'avais sous les yeux son sexe, tout gonflé de sang, ses lèvres qui s'étaient allongées et épaissies, un clitoris tout fin qui s'étendait devant elle, une vision nette et précise de son sexe auquel l'excitation avait donné de la béance, et sans doute que j'avais envie de le voir ainsi, de près, même si je ne me le serais pas avoué, depuis que je l'avais aperçu de loin le matin, quand elle glissait la cuillère en bois en elle. Il n'y a rien de plus beau qu'un sexe de femme. Elle m'aurait sans doute dit que pour elle, il n'y avait rien de plus beau qu'une queue. La bite tendue entre les cuisses, plus dure qu'elle ne l'avait jamais été, grâce à elle, je l'ai d'abord caressée de la langue, tournant sur son extérieur, avant de glisser ma langue en elle et de venir caresser sa muqueuse, poussant aussi loin que je pouvais.
J'avais rarement vu une fille qui éprouvait un plaisir aussi fort, aussi sincère. Les yeux clos, la bouche ouverte, basculée contre le dossier de la chaise, elle gémissait sans retenue, s'abandonnant.
Un état second, dont elle a émergé pour me dire :
--J'ai envie de te sentir en moi. Tu crois que c'est possible ?
Elle n'a même pas attendu la réponse, à vrai dire. D'un geste vif et déterminé, elle s'est redressée et elle a été pécher quelque chose dans la poche de son manteau, sa croupe pleine tendue vers moi, en haut de ses jambes fines, et encore plus tendue quand elle s'est penchée en avant pour attraper le préservatif.
Elle a déchiré, debout devant moi, l'emballage du préservatif pour une démarche inédite, qui disait à la fois son appétence pour le sexe, et son expérience. Elle a récupéré la rondelle enduite de lubrifiant, et elle est venue la coller contre ses dents. Je me suis demandé ce qu'elle voulait faire. Je l'ai compris quelques instants plus tard quand elle s'est penchée sur moi et qu'elle a fait glisser sa bouche sur ma queue. Ca n'a duré que quelques secondes, une sensation de chaleur très forte, mais très brève, d'autant plus forte sans doute qu'elle avait été brève, elle a remonté sa bouche, ma queue était enveloppée de latex. Elle a tiré un peu sur le réservoir pour le dégager, avant de me pousser sur la chaise.
Son regard et le mien se sont posés sur ma queue, obstinément raide, sans doute plus épaisse qu'elle ne l'avait jamais été avec aucune fille. A cet instant, rien ne me faisait plus envie que de la pénétrer, et sans aucun doute, elle n'avait elle aussi qu'une envie, me sentir en elle. Elle a posé la face intérieure de ses doigts contre ma queue, histoire de la guider, alors qu'elle se laissait descendre sur moi. Mais la jonction entre nos sexes s'est faite sans souci, peut-être justement parce qu'elle avait bien visé. J'ai vu mon gland disparaître dans l'entrée de son sexe, comme avalé par ses lèvres. Elle n'avait jamais été aussi radieuse. Elle l'a été encore plus en se laissant glisser sur ma queue, la faisant disparaître centimètre après centimètre au cœur de sa muqueuse que j'ai senti, pour mon plus grand plaisir, m'envelopper. Il y a des moments qui sont très bons, et être dans le sexe d'une femme, c'en était un. Elle m'a avalé totalement, ses lèvres toutes gonflées venant reposer sur mon pubis, la racine de ma queue restant seule visible. Je sentais contre mon gland le poids de son utérus. Elle a poussé un long soupir.
--Je préférerais mourir que vivre sans queue.
On est restés comme ça, dans un moment d'éternité. Nous ne nous connaissions pas quelques heures plus tôt, que j'aie ma queue dans son ventre tissait entre nous un lien fort, celui de l'intimité et du plaisir.
Ainsi posée sur moi, elle était offerte à mes mains. Je suis venu me balader sur elle, ses cuisses, ses hanches....J'ai remonté son sweat-shirt et j'ai sorti ses seins de son soutien-gorge, hauts perchés, ronds, avec des pointes que l'excitation avait durci...Je les ai caressées doucement, avant de glisser sur ses fesses, pleines, charnues, et d'imprimer un mouvement de va-et-vient à son corps. Le frottement de nos muqueuses l'une contre l'autre, c'était très bon, et elle s'est mise à gémir. Sa mouille, toujours aussi abondante, coulait autour de moi, arrosant littéralement ma queue...C'était bien une certaine idée du bonheur que d'être enveloppé par le gant chaud, souple et élastique d'une vulve féminine.
--Je ne pensais pas ce matin que je trouverais du plaisir comme ça...C'est vraiment hyper bon...Mais...Il y a quelque chose qu'il faut que je te dise, elle a ajouté, tout en continuant à bouger sur moi...
Je me suis demandé où elle voulait en venir.
--J'aime jouir par le cul. J'espère que tu n'y es pas hostile...
Elle ne m'avait de toute façon pas donné le choix. En deux coups de cuillère à pot, elle venait d'expulser ma queue de sa vulve, en se redressant, j'ai aperçu ma queue qui s'était maintenue dilatée au contact excitant de ses muqueuses, le latex trempé par ses jus intimes, et elle a amené mon gland contre ses plissements anaux, dont j'ai senti le dessin malgré le latex qui séparait nos chairs. Je me suis dit : 'Ca va pas rentrer !' mais déjà ma queue disparaissait en elle, et je ressentais la sensation spécifique d'un rectum, serré, autour de ma queue. D'un coup de ventre, elle s'est empalée totalement, de telle sorte que je sois totalement fiché en elle.
--C'est tellement bon par là, elle a soupiré...
Elle s'est faite bouger sur moi, me prodiguant une caresse plus serrée. Ca lui plaisait en tout cas énormément, elle n'avait pas menti, car elle s'est très vite mise à jouir, tendue par un premier orgasme, poussant un cri, puis enchaînant, à ma surprise, par une suite d'orgasmes qui l'ont faite tressauter et perdre le contrôle, avec un crescendo, jusqu'au dernier, le plus fort. Il a eu pour point de départ le jaillissement de mon sperme qui, bien que contenu dans le préservatif, est venu taper contre les parois de sa muqueuse anale.
Sans doute parce qu'elle avait perdu le contrôle, elle s'est mise à faire pipi, se vidant sur nous deux. J'allais pouvoir me changer.
Il a fallu revenir au plus prosaïque. Se nettoyer, éponger les flaques de pipi. J'ai jeté un coup d'oeil à mon portable. On avait été plutôt bons. On n'avait rien calculé, mais on s'était accouplés pendant 44 minutes. On est sortis et approchés du véhicule. Il est arrivé pile à sa charge maximum au moment où je posais mon regard sur ses voyants.
J'ai débranché le raccord.
--Le problème ne se posera pas cet après-midi.
Elle s'est figée un instant.
--Merci pour ton aide...Et puis...
--Oui ?
--Ca a été très bon ce moment...
--Pour moi aussi, j'ai reconnu.
--Je reviens vendredi. Espérons que je n'aurai pas de nouveau de problème de batterie.
--Tu pourras me rappeler.
--Je n'y manquerai pas.
--Peut-être même que si je n'ai pas de problème de batterie, j'appellerai quand même.
Elle s'est glissée au volant et a démarré. J'ai regardé son véhicule s'éloigner en repensant au moment qu'on avait passé ensemble. Même si elle ne téléphonait pas vendredi, ce moment qu'on avait vécu ensemble resterait exceptionnel.
J'ai repris la direction, dans la montée, du centre. Dans l'immédiat, j'allais rentrer chez moi, changer mon pantalon trempé, manger, et partir pour une autre mairie après avoir amené les papiers à la téé-travailleuse.
Les véhicules électriques, c'est silencieux, et je ne l'ai senti qu'au dernier moment. Je me suis tourné, et j'ai été surpris de la voir ralentir à mon niveau.
--Je pourrai pas attendre vendredi avant de remettre ça. Notre mon numéro sur mon portable, je te le dicte...Ce soir, je finis à 17 heures. Je t'attends chez moi pour 19 heures. 1, Impasse Fauré à B...SI tu ne trouves pas, utilise Ways.
Elle est montée jusqu'au centre du village, et elle a utilisé le rond-point pour revenir. Elle a ralenti en arrivant à mon niveau, j'étais un peu plus haut, et elle a soulevé son sweat pour me montrer ses seins, qu'elle n'avait pas rangés dans son soutien-gorge. Elle m'a tiré la langue et puis elle est partie.


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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Salle des fêtes

Le 27/07/2023 - 14:17 par OlgaT
Voilà une sacréeopportunité!

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