ACCUEIL > Divers > Récit : La salle de bains ou maquillage pour Saliha partie 3

La salle de bains ou maquillage pour Saliha partie 3

+7

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/07/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

LA SALLE DE BAINS OU MAQUILLAGE POUR SALIHA
PARTIE 3
Le rituel du matin s'était calé un peu par hasard, et à présent on en avait vraiment l'habitude.
On partait travailler tous les deux en même temps. On se levait, on se préparait.
Je venais la rejoindre dans la salle de bains au moment du maquillage.
Comme tous les hommes sans doute, j'aimais la voir accomplir des gestes typiquement féminins.
C'était bien le cas du maquillage.
J'aimais son visage nu de maquillage, mais fardé, il devenait un élément de séduction.
Quand je suis arrivé, elle se faisait les yeux. J'aimais ce maquillage sans doute un rien trop marqué mais qui soulignait très nettement la beauté de son regard sombre et profond.
Elle avait une robe en faux cuir,tendue par ses formes, courte, les jambes gainées par le nylon sombre d'un collant, et des bottes qui lui arrivaient aux genoux, en daim, rouge cerise.
Irrésistible comme toujours.
--Et voilà...Jamais tranquille pour se maquiller.
Je me suis approché, et je suis venu promener ma bouche sur sa nuque. Elle a frissonné.
--Heureusement qu'on est tout le temps ensemble maintenant. Tu te rends compte du temps qu'on a pu gâcher.
--On n'a rien gâché, on n'était pas prêts...
Je n'avais mis que le haut, le bas de mon corps nu. Elle a tendu la main en arrière, a trouvé ma queue qui durcissait vitesse grand V, et l'a caressée doucement.
--Ta queue, elle, en tout cas, elle est toujours prête.
--Pa totalement, non, parce que tu la fais durcir.
--Tu veux jouir comme ça ? Tu aimais bien ça au début. Ce que tu veux maintenant, c'est venir dans ma chatte.
--Je m'y trouve bien. Elle est chaude et douce, et j'aime que tu m'enveloppes.
--Je ne sais pas si je vais te laisser accéder...
Elle a alterné des mouvements, lentement, rapidement.
--Je veux toujours te faire très dur pour que tu sois énorme quand tu seras dans mon ventre.
--Qui te dit que je veux être dans ton ventre ? On peut faire autrement.
Elle aimait me surprendre, j'aimais la surprendre. C'était ça qui faisait que notre relation ne s'épuisait pas. Je me suis accroupi et j'ai remonté sa robe, bloquant le tissu à sa taille.
Dessous, il y avait deux fesses pleines, volumineuses, et rebondies, projetées, offertes pour celui qui les regardait, coupées en deux par un sillon profond. Elles tendaient le nylon du collant sous lequel elle était cul nu, pas de petite culotte dessous. Mais il fallait dire que les petites culottes, ce n'était pas le poste le plus important sur son budget achat.de vêtements. Entre ses cuisses, sa vulve, toute gonflée, déjà entrouverte, ses lèvres s'étalant contre le nylon, venant l'étirer. Il y avait une tâche d'humidité qui s'épanouissait, le faisant sombre à partir d'un point central.
Elle m'avait quand même avoué que le matin, ces derniers temps en tout cas, quand elle se maquillait, elle m'attendait et ça l'excitait terriblement. Il y avait l'attente, et puis ce côté loterie, à se demander ce que j'allais lui faire.
J'ai descendu le collant, le tirant jusqu'à ses genoux. Deux parfums me sont montés aux narines, l'un comme l'autre troublants. L'odeur d'un de ses flaçons de sels de bains, cette fois vanille. Odeur forte et entêtante qui enveloppait tout son corps. L'autre odeur, c'était celle, intense, de ses sécrétions vaginales...
J'ai plaqué mes mains sur ses fesses. Elle a frissonné. Elle était ultra-sensible, et ultra-réactive. Et puis maintenant on connaissait mieux l'autre, nos corps, et, même, inconsciemment, on savait être efficace, même si on partait sur des pistes nouvelles, pour donner du plaisir à l'autre. Car on voulait le notre, mais aussi en donner à notre partenaire...
Il fallait que je l'ouvre bien pour avoir accès à sa muqueuse anale. Je suis venu poser ma langue sur ses plissements, et j'en ai suivi le tracé. Elle s'était lavée après avoir chié. Ce n'était pas toujours le cas.
Elle venait de se finir les yeux. La phase maquillage était terminée. Du rouge sur les lèvres ? Pour elle, l'élément stratégique, c'était le mascara, la bouche avait moins d'importance, et apparemment elle avait choisi aujourd'hui de la laisser nue. On arrivait de toute façon à un stade où elle ne pouvait plus se maquiller, prise par le plaisir. Elle s'est mise à gémir...
--J'ai beau vouloir me contrôler, tu me rends folle à chaque fois...Ah, c'est trop bon...
Le miroir mural était au-dessus de la vasque. Elle s'est laissée aller contre, totalement abandonnée. Dans ces moments matinaux, le temps était à la fois notre allié et notre ennemi. Je savais qu'on avait peu de temps, mais ça n'était pas un problème. On se calait sur un temps autre qui était forcément court, après on s'habillait, on quittait l'appartement, et on partait pour nos emplois respectifs. En même temps, et comme ca avait été le cas à la médiathèque, le temps se dilatait. Mais ca n'avait rien à voir avec les moments dont on pouvait profiter le soir, où on avait l'éternité pour nous.
La tête de ma queue, gorgée de sang est venue appuyer contre ses lèvres.
--Oui, elle a dit.
J'ai frotté mon gland contre ses lèvres. Elle a gémi de plaisir.
--Tu me rends folle...Mais pourquoi c'est toujours comme ça ?
C'était la merveille d'une relation forte, dans une complicité comme je n'en avais jamais connu avant. Elle non plus, elle me l'avait bien avoué.
Je l'ai caressée, mon gland gonflant encore, tout comme je sentais ses lèvres s'apaissir contre moi. Ses jus chauds et abondants coulaient et trempaient ses chairs et ma queue.
Je me suis poussé en elle...Elle a lâché un petit gémissement alors que je l'envahissais, écartant ses chairs les plus intimes et les plus douces pour m'y faire une place.
--Quand tu me remplis...Oh, tu peux pas savoir ce que ça me fait. Je voudrais garder ta queue en moi toute la journée.
--Ca serait encombrant, à force.
Mon gland est venu taper contre son utérus. Je me suis mis à esquisser des mouvements lents, allant et venant en elle. J'ai senti qu'elle faisait glisser sa main contre son gland clitoridien pour se frotter. Son plaisir était entier. Le mien était aussi très fort.
On a profité de ce moment avant qu'elle ne me dise :
--Je veux que tu me sodomises. Tu sais bien que je jouis plus fort par là Comme mon anus est fermé, contrairement à ma chatte, ton sperme reste en moi. Il suppure très lentement et je repense à ta queue en moi, me fouillant. Je suis pas très concentrée, tu vois, j'ai la tête ailleurs. Je l'étais avant de te connaître. Maintenant, c'est fini.
--L'important, c'est que tu étais concentrée quand j'allais te voir.
--J'étais concentrée sur mon envie de toi surtout.
Ca a fait un petit bruit, comme une ventouse qu'on arrache, quand j'ai enlevé ma queue de sa vulve, qui l'enveloppait de sa délicatesse et je suis remonté plus haut.
--Oh mon Dieu, tu es trop gros, tu vas jamais rentrer, tu vas me faire mal, elle a dit, quand je me suis posé sur sa muqueuse anale.
On aimait bien ce genre de dialogue qui n'avait d'ailleurs rien à voir avec la réalité. Même lorsque je l'avais sodomisée pour la première fois, et même si par là c'était forcément plus serré, j'avais glissé en elle avec aisance.
--Trop tard, il va falloir assumer, j'ai répondu, en pénétrant doucement en elle.
J'ai regardé ma queue disparaître dans sa partie la plus intime, celle qui lui donnait le plus de plaisir. Je suis rentré aux trois-quarts, avant de me mettre à bouger très lentement en elle. Elle s'est mise à gémir, et n'a plus arrêté, perdant totalement le contrôle. Mais je n'avais pas de quoi fanfaronner. Pour moi aussi c'était très bon, pas forcément meilleur que dans sa chatte, mais le plaisir était très fort, et je me suis mis moi aussi très vite à monter vers la jouissance, à me sentir gainé par cet orifice étroit. Caressé par la muqueuse chaude et étroite.
--Je crois que je vais jouir, je lui ai dit, alors que je sentais quelque chose s'allumer dans mon ventre.
--Remplis-moi de sperme.
Elle a poussé un petit cri quand le premier jet de sperme est venu taper contre ses muqueuses internes. Jet après jet, venant saturer son rectum, je l'ai faite crier et se tordre. J'ai laissé ma queue en elle après avoir éjaculé. Comme toujours avec elle, j'étais encore dur, et prêt pour un nouveau rapport.
--Encore, elle a dit.
Je me suis remis à bouger en elle. J'ai senti qu'elle faisait glisser ses doigts dans sa vulve. Elle s'est mise à se pistonner avec violence, et j'ai adopté le même rythme qu'elle. On a joui beaucoup pius rapidement et dans un orgasme différent.
J'ai retiré ma queue de sa zone anale. Son anus, dilaté par l'épaisseur de ma queue, commençait à se refermer. Un filet de sperme, bien blanc, est sorti, coulant à l'intérieur de sa cuisse. Comme elle l'avait dit, le semence sortirait d'elle peu à peu, se glissant entre les replis de sa muqueuse anale, venant tâcher son collant. Il y avait deux semaines de cela, elle avait mis une petite culotte, qu'elle avait enlevé devant moi le soir, et m'avait tendu.
--Tiens, elle a recueilli ton sperme et ma mouille. Je me suis isolée pour me branler en pensant à ce matin, et je l'ai fait à travers ma culotte.
Je m'étais longtemps enivré de ses odeurs intimes, un vrai trip de renifler cette culotte dont les odeurs s'étaient lentement évaporées.
Elle m'a laissé remonter son collant et redescendre sa robe.
J'ai lavé ma queue à l'eau chaude, avant de repartir pour la chambre où m'attendaient caleçon et pantalon. Elle était déjà à la porte.
--Je t'attends.
Chaque matin, c'était la même chose.
Je partais avec la queue gonflée. J'aurais bien pris que ça dure un peu plus longtemps. En même temps, c'était bien de partir en ayant encore un peu faim, et de garder cette faim toute la journée. Quand on se retrouvait dans l'après-midi, ca partait immédiatement sur du sexe. La veille, j'étais passé la chercher à son travail. Elle avait un tailleur fuschia, avec dessous un T-shirt blanc. Elle avait mis des bas stay-up avec un slip entièrement transparent. Dans la voiture, la jupe était certes remontée naturellement quand elle s'était assise, mais elle avait fini de se dévoiler, se laissant voir à travers les transparences. Sa toison brune sombre, bouclée, soigneusement taillée, ses lèvres plaquées contre le tissu...Certains slips n'étaient transparents que sur une partie, celui-là l'était sur l'intégralité de son sexe, laissant aussi voir la rondeur de ses fesses, sur lesquelles elle était posée. Une tâche était apparue, au niveau de son sexe, tâche d'humidité et d'excitation.
--Quand on sera à la maison, tu viendras dedans. J'ai trop envie. J'ai envie de sentir ta queue s'enfoncer en moi sans omettre un seul centimètre, et après de bien me frotter à l'intérieur.
Elle était restée tournée vers moi, dans la même position, tout en me parlant, pendant que je nous ramenais, pour me rappeler la demande faite. A mi-chemin, parce que son imagination était sans limites, et qu'elle aimait toujours aller plus loin, elle avait basculé sur autre chose, se soulevant pour enlever son slip, dont le tissu était à présent brillant d'humidité parce qu'elle mouillait d'excitation, et elle m'avait offert son sexe nu, ses lèvres écrasées contre le tissu transparent à présent dépliées, gorgées de sang, son clitoris saillant. Elle a glissé ses deux index dans son sexe, et elle s'est ouverte plus qu'elle ne l'était jusqu'à présent, me laissant mieux voir encore sa muqueuse, toute rose, aussi bien en profondeur que sur ses parois...
--Regarde ce qui t'attend quand on sera arrivés.
Et ça avait été bon. Ce le serait sans doute ce soir.
J'ai quitté la chambre et je suis revenu vers elle. On a échangé un baiser profond, nos langues se caressant avant de sortir et de partir vers notre journée de travail.


7 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La salle de bains ou maquillage pour Saliha partie 3

Le 20/07/2023 - 14:20 par OlgaT
La suite promet d'être chaude!

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :