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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 04/12/2024
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Salon de coiffure partie 1
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SALON DE COIFFURE
partie 1
Ca a basculé et je ne m'y attendais pas du tout. Mais alors vraiment pas. Elle était là, et elle tournait autour de moi. Vraiment une jolie fille. Pas très grande, avec des formes menues, blonde, cheveux mi-longs, des traits délicats. Elle avait une robe noire qui soulignait son corps, plutôt courte, elle s'arrêtait en haut des cuisses. Ce qui me troublait, et je la regardais sans doute avec trop d'insistance pendant qu'elle tournait autour de moi et qu'elle me coupait les cheveux, c'étaient deux détails. D'abord, elle avait ses jambes gainées de nylon, ce qui n'était pas un exploit, mais il ne s'agissait pas d'un collant, mais de bas. Ça se voyait parce qu'elle n'avait pas bien calculé, ou alors elle se foutait qu'on voit les accroches, ou elle trouvait ça sexy, et effectivement c'était plutôt sexy que de voir des deux cercles noirs, épais, larges, de dentelle élastiquée qui faisaient tenir les bas. Ensuite, elle avait des bottes noires, neuves, ou c'était tout comme, à talons aiguille, qui montaient jusqu'à ses genoux, et je trouvais ça particulièrement excitant.
Et là où ça a basculé, c'est quand elle m'a dit:
— Vous savez, si vous avez envie, vous pouvez mettre vos mains sous ma robe, ou même la soulever, et me caresser. J'ai pas de slip en dessous.
Je me suis demandé si j'avais bien entendu ou si j'avais des hallucinations. Je l'ai regardée, je crois avec une expression surprise. Et elle m'a dit:
— N'hésitez pas. Vous ne paierez aucun supplément. Je m'occupe de vos cheveux, vous vous occupez de ma chatte.
J'ai vu ça comme une invitation à agir. Et je ne me suis pas gêné. Elle était sur le côté, et il a fallu que je me torde en biais, mais ça le faisait. Je suis venu poser mes mains juste en dessous de ses genoux, Je voulais le contact du cuir, lisse, froid, et celui du nylon, électrique, avec déjà la chaleur de sa chair qui le traversait. Je suis remonté. Elle continuait de me coiffer, imperturbable.
La situation était à la fois probable et totalement irréaliste. Probable parce qu'on était seuls dans ce salon de coiffure où je venais pour la troisième fois. J'avais déjà remarqué qu'il n'était pas très fréquenté. On avait l'avantage de pouvoir venir sans RDV, c'était ce qui m'avait fait le choisir. Irréaliste, parce qu'il y avait une grande baie vitrée. Mais en même temps, et elle devait avoir ça à l'esprit, les gens passaient, plongés dans leurs pensées, sans regarder vers l'intérieur. C'était d'ailleurs ce qui m'avait toujours frappé. Comme le disait un de mes amis: 'Tu te mets à poil en plein milieu de la ville, personne ne te verra.' Et c'était vrai que les gens passaient sans regarder dans la vitrine, aux prises avec leurs tourments.
J'ai remonté doucement le tissu de sa robe pour libérer ses hanches et ses fesses. Elle avait la peau douce, indéniablement. De biais, je voyais, sous un angle, la cambrure de son derrière, et la pente naturelle, lisse, sans poils, qui amenait à son sexe, niché entre ses cuisses, dont dépassaient deux bouts de lèvre. Elle m'y avait invité, et j'ai exploré son intimité. Je suis venu sur ses hanches, sur ses fesses, rondes et bien fermes, dans son sillon, avant de remonter sur son sexe. La pulpe de mes doigts contre son sillon, l'épaisseur de ses lèvres... Une chose était sûre: ma caresse ne l'a pas laissée indifférente, car un jet de liquide est sorti, mouillant mes doigts et coulant sur sa chair, suivi d'un deuxième, un liquide épais et sirupeux, et, alors que je persistais sur sa fente, la caressant, il y a eu d'autres jets de mouille qui ont coulé d'elle, et ses lèvres ont gonflé, se sont étendues et distendues...
Elle s'est pourtant dégagée pour venir se caler pile juste en face de moi, ciseaux à la main, mais ça n'était pas pour me couper les cheveux. Mes jambes l'en empêchaient d'ailleurs. Non, elle voulait que je voie parfaitement. Elle m'a d'abord présenté ses fesses, rondes, hautes, cambrées, avant de se retourner et de me laisser voir son sexe. Elle était ouverte à présent, elle s'est ouverte encore plus avec un geste audacieux, en fichant ses deux index dans sa vulve, et en s'écartant. Une vision parfaite sur son intérieur. Certes partielle. Une muqueuse toute rose, qu'elle m'offrait.
Elle est arrivée de l'autre côté. Ma main est revenue sur elle. Ses fesses, son ventre, son sexe, qui a inondé ma main.
Ma coupe prenait fin.
— Ca vous convient?
— Parfait.
Et c'était vrai que la coupe était parfaitement réussie. Mais la séance était, elle, différente. A preuve d'ailleurs, elle venait de poser sa paire de ciseaux pour me défaire et tirer de mon pantalon une queue en pleine érection. Elle s'est penchée sur moi, et sans façon, elle m'a pris dans sa bouche, faisant aller et venir celle-ci sur une partie de ma queue.
Une femme, que je connaissais déjà, elle m'avait coiffée la fois précédente, a surgi de l'arrière-boutique, et traversé. Je pensais que ça sonnerait la fin de ce moment de plaisir, mais ça n'a absolument pas été le cas. Elle a eu un sourire, qui disait qu'elle approuvait totalement. Assez ironiquement, c'était elle qui m'avait coupé les cheveux la fois précédente, et elle m'avait séduit. J'avais aimé qu'elle soit dans un début de cinquantaine, qui lui donnait des charmes épanouis. Elle portait un caleçon et un top très collants, qui soulignaient ses charmes. Elle m'avait fait fantasmer. Elle avait un côté froid, réservé, et pourtant, paradoxalement je la voyais bien avec une queue dans la main ou dans la bouche, ou s'empalant sur une queue, mais toujours en faisant mine de ne pas y toucher.
Elle est restée quelques secondes derrière le comptoir, le temps de taper quelque chose sur le clavier de son ordinateur, et puis elle nous a rejoints. Elle s'est penchée sur moi, et sa cadette a laissé ma queue sortir de sa bouche, dégoulinante de salive. Se sentait-elle obligée de partager, ou bien existait-il une complicité entre elles? Difficile de savoir. En tout cas, elles m'ont caressé de la langue, et c'était sacrément bon.Un plaisir intense, qui était autant visuel, de voir ces deux filles qui baladaient leurs langues sur ma queue et les faisaient se rejoindre pour se frotter, ce qui me donnait plutôt à penser à une réelle complicité entre elles,
— Viens, on a encore le temps, il n'y a personne ce matin...
— Tu crois qu'on peut prendre le risque ?
— On se débrouillera...De toute façon, les gens ne voient rien...
La plus jeune s'est redressée, elle a passé une jambe par dessus moi. C'est l’aînée qui a calé le tout, avec un sourire sur son visage qui disait qu'elle aimait vraiment le sexe. Elle a attrapée la jeune coiffeuse par les hanches et elle l'a faite descendre sur ma queue, après avoir tiré de la poche de sa blouse un préservatif dont elle a déchiré l'emballage pour venir le poser sur ma queue, avec une habileté qui en disait long de son goût pour le sexe. Ce qui m'a vraiment plu, c'est qu'au lieu de mettre sa petite copine face à moi, elle m'a présenté son dos, et ses fesses, pleines et cambrées. Entre ses cuisses, bien visible, sa vulve, qui ruisselait, et dans laquelle elle m'a fait entrer et glisser jusqu'au fond. La fille a crié quand mon gland a cogné contre son utérus. Je me suis senti gainé par son sexe, comme j'aimais l'être. Elle a bougé sur moi, se faisant aller et venir sur ma queue, pendant que sa copine baladait ses mains sur nous, lui pétrissant ma queue, venant tirer sur ses lèvres, appuyer ses doigts sur ma queue quand elle sortait...
Le meilleur était pourtant à venir. Si jeune soit-elle, elle ne manquait pas d'expérience et d'habileté. Elle a contracté ses muscles vaginaux, pour en levant ses jambes graciles et gracieuses, pivoter, me prodigant, en même temps qu'elle tournait pour être face à moi, une caresse comme je n'en avais encore jamais eu, me contractant et me caressant en même temps. Elle a relâché la pression, pendant que la grande blonde venait faire glisser sa blouse et le haut de sa robe, qui s'est retrouvée toute tire-bouchonnée à sa taille. Elle a dévoilé de petits seins ronds dont elle a bouffé les tétons durs, les faisant sans doute encore plus durs, avec ardeur.
C'est un peu sèchement que la blonde d'âge mûr a jeté à la jeune femme:
-Dis donc, c'est bien de partager !
Elle avait ce caleçon noir très moulant qu'elle a tiré vers le bas. Le slip fuschia qu'elle portait en dessous a suivi le même chemin. J'ai aperçu une tâche de mouille au fond.
Elle avait des formes beaucoup plus volumineuses. Un cul allongé et beaucoup plus charnu, coupé en deux par une fente profonde, et une grosse moule, avec des lèvres et un gland clitoridien déjà tout mouillés d'excitation impressionnants. Un autre corps, qui avait vécu, et qui me faisait aussi très envie. La question ne se posait à vrai dire pas, car elle aussi avait très envie, et elle est venue se poser sur moi en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Je me suis demandé un instant, le genre de question stupide qu'on va se poser dans certains moments de la vie, comment ma queue allait pouvoir rentrer entre ses lèvres, épaisses, mais c'est passé et je me suis retrouvé enveloppé par sa vulve. Une tout autre sensation que celle de sa jeune collègue, sans que le sexe de celle-ci n'ait pas été accueillant et plaisant. Une impression de confort, de chaleur. Elle s'est faite monter et descendre sur moi, prenant son plaisir en arrosant mes chairs. Elle avait un haut avec des boutons, que sa collègue a défait, faisant jaillir des seins aussi lourds que le volume de sa tenue le laissait supposer. Ses seins étaient bien dessinés, mais aussi et surtout très fermes. Avec de bons tétons que la jeune femme est venue bouffer, tout comme la MILF l'avait fait sur elle.
La situation a basculé quand un jeune type a pénétré dans le salon. Ce qui m'a frappé, et fait comprendre que j'avais jusqu'à présent loupé l'essentiel de ce qui se passait ici, ça a été qu'il n'a absolument pas paru surpris de ce qui s'est passé. Il s'est approché, les filles ont senti sa présence, elles ont tourné la tête vers lui pour lui faire un sourire. Il s'est défait, révélant une queue qui s'est allongée sous nos yeux. Il est venue la présenter à la fille d'âge mûr, qui a tourné la tête vers lui, tout en continuant de se faire monter et descendre sur ma queue. Avec une envie évidente, elle a tendu la tête vers lui, et elle est venue chercher le membre. J'ai été admiratif de la manière dont elle a pu dissocier son corps en deux parties. La partie qui se faisait monter et descendre sur la queue dilatée et qui éprouvait du plaisir, et celle qui caressait, de la langue et de la bouche la verge offerte. Il y avait quelque chose d'assez magique dans ce moment, parce que la queue se dilatait de minute en minute, je dirai même de seconde en seconde. Je me suis dit que le gars allait jouir sur son visage ou dans sa bouche, mais ça n'a pas été le cas. Il s'est produit quelque chose de plus excitant. Il y avait une table basse, pas loin, sur laquelle était disposé du matériel de coiffure...La jeune femme s'est pliée en deux, en biais, offrant son cul rebondi, ouvert par sa position, ses plissements anaux visibles au fond de son sillon, mais aussi sa moule, toute gonflée, dilatée par l'excitation et le plaisir, ses lèvres fines allongées loin d'elle, de l'ouverture de son sexe. Il est venu derrière elle, et j'ai pu tout voir parce que j'étais pile dans l'axe, et qu'ils étaient légèrement décalés...Il y avait une coupelle sur la table, et elle en a sorti un préservatif...Ca m'a fait penser que décidément, j'avais loupé jusqu'alors un axe de fonctionnement de ce salon...Elle l'a déchiré, le gars a fait le reste, faisant glisser le préservatif le long de sa queue, puis sa verge entre les lèvres, jusqu'à être totalement dans le sexe de la belle.
On a été dans un moment, qui, plus que les précédents, a vraiment été hors du temps. Dans la recherche et la proximité d'une jouissance qui arrivait vers nous. La petite blonde a joui la première, lâchant des couinements et des jaillissements crémeux autour de la queue qui bougeait en elle. Le gars, comme une réponse, a lui sorti sa queue de la vulve de sa partenaire de quelques instants, arraché le latex, et lâché une infinité de jets de sperme sur les fesses de la fille. La femme mûre qui se faisait monter et descendre sur moi s'est elle aussi mise à jouir, se tordant dans tous les sens sur moi, éjaculant elle aussi. Elle s'est soulevée pour faire sortir ma queue de sa chatte. J'étais dilaté à l'extrême. Elle a collé ma queue contre son ventre, et elle m'a massé doucement. Je n'ai pas pu retenir ma jouissance plus longtemps, crachant des jets copieux de sperme qui ont maculé son ventre, ses seins, et sont montés jusqu'à son visage.
L'assemblage qu'on avait constitué, pour quelques instants, s'est dissous. Ca a été drôle et étrange. Le salon a retrouvé sa fonction première. La MILF sensuelle est partie au comptoir, la petite blonde a fini de me couper les cheveux. Le gars, sa queue rangée, s'est positionné dans un siège, attendant que la blonde vienne s'occuper de lui. On aurait cru que rien ne s'était passé. Comme une porte ouverte sur un monde parallèle, qui se serait refermée.
Je n'avais pourtant pas eu d'hallucinations. Il y avait au moins quelque chose qui me le disait. Quand je me suis approché du comptoir pour payer, j'ai remarqué sur le visage de la blonde que l'âge rendait séduisante un trait de sperme qu'elle n'avait pas gobé du bout de ses doigts comme le reste. Elle m'a souri et fait un clin d' oeil.
J'allais m'éloigner quand elle m'a dit, comme si elle avait lu en moi :
— Ici on coupe les cheveux, mais on vient aussi pour le plaisir. Mais seulement pour des gens qui nous inspirent.
partie 1
Ca a basculé et je ne m'y attendais pas du tout. Mais alors vraiment pas. Elle était là, et elle tournait autour de moi. Vraiment une jolie fille. Pas très grande, avec des formes menues, blonde, cheveux mi-longs, des traits délicats. Elle avait une robe noire qui soulignait son corps, plutôt courte, elle s'arrêtait en haut des cuisses. Ce qui me troublait, et je la regardais sans doute avec trop d'insistance pendant qu'elle tournait autour de moi et qu'elle me coupait les cheveux, c'étaient deux détails. D'abord, elle avait ses jambes gainées de nylon, ce qui n'était pas un exploit, mais il ne s'agissait pas d'un collant, mais de bas. Ça se voyait parce qu'elle n'avait pas bien calculé, ou alors elle se foutait qu'on voit les accroches, ou elle trouvait ça sexy, et effectivement c'était plutôt sexy que de voir des deux cercles noirs, épais, larges, de dentelle élastiquée qui faisaient tenir les bas. Ensuite, elle avait des bottes noires, neuves, ou c'était tout comme, à talons aiguille, qui montaient jusqu'à ses genoux, et je trouvais ça particulièrement excitant.
Et là où ça a basculé, c'est quand elle m'a dit:
— Vous savez, si vous avez envie, vous pouvez mettre vos mains sous ma robe, ou même la soulever, et me caresser. J'ai pas de slip en dessous.
Je me suis demandé si j'avais bien entendu ou si j'avais des hallucinations. Je l'ai regardée, je crois avec une expression surprise. Et elle m'a dit:
— N'hésitez pas. Vous ne paierez aucun supplément. Je m'occupe de vos cheveux, vous vous occupez de ma chatte.
J'ai vu ça comme une invitation à agir. Et je ne me suis pas gêné. Elle était sur le côté, et il a fallu que je me torde en biais, mais ça le faisait. Je suis venu poser mes mains juste en dessous de ses genoux, Je voulais le contact du cuir, lisse, froid, et celui du nylon, électrique, avec déjà la chaleur de sa chair qui le traversait. Je suis remonté. Elle continuait de me coiffer, imperturbable.
La situation était à la fois probable et totalement irréaliste. Probable parce qu'on était seuls dans ce salon de coiffure où je venais pour la troisième fois. J'avais déjà remarqué qu'il n'était pas très fréquenté. On avait l'avantage de pouvoir venir sans RDV, c'était ce qui m'avait fait le choisir. Irréaliste, parce qu'il y avait une grande baie vitrée. Mais en même temps, et elle devait avoir ça à l'esprit, les gens passaient, plongés dans leurs pensées, sans regarder vers l'intérieur. C'était d'ailleurs ce qui m'avait toujours frappé. Comme le disait un de mes amis: 'Tu te mets à poil en plein milieu de la ville, personne ne te verra.' Et c'était vrai que les gens passaient sans regarder dans la vitrine, aux prises avec leurs tourments.
J'ai remonté doucement le tissu de sa robe pour libérer ses hanches et ses fesses. Elle avait la peau douce, indéniablement. De biais, je voyais, sous un angle, la cambrure de son derrière, et la pente naturelle, lisse, sans poils, qui amenait à son sexe, niché entre ses cuisses, dont dépassaient deux bouts de lèvre. Elle m'y avait invité, et j'ai exploré son intimité. Je suis venu sur ses hanches, sur ses fesses, rondes et bien fermes, dans son sillon, avant de remonter sur son sexe. La pulpe de mes doigts contre son sillon, l'épaisseur de ses lèvres... Une chose était sûre: ma caresse ne l'a pas laissée indifférente, car un jet de liquide est sorti, mouillant mes doigts et coulant sur sa chair, suivi d'un deuxième, un liquide épais et sirupeux, et, alors que je persistais sur sa fente, la caressant, il y a eu d'autres jets de mouille qui ont coulé d'elle, et ses lèvres ont gonflé, se sont étendues et distendues...
Elle s'est pourtant dégagée pour venir se caler pile juste en face de moi, ciseaux à la main, mais ça n'était pas pour me couper les cheveux. Mes jambes l'en empêchaient d'ailleurs. Non, elle voulait que je voie parfaitement. Elle m'a d'abord présenté ses fesses, rondes, hautes, cambrées, avant de se retourner et de me laisser voir son sexe. Elle était ouverte à présent, elle s'est ouverte encore plus avec un geste audacieux, en fichant ses deux index dans sa vulve, et en s'écartant. Une vision parfaite sur son intérieur. Certes partielle. Une muqueuse toute rose, qu'elle m'offrait.
Elle est arrivée de l'autre côté. Ma main est revenue sur elle. Ses fesses, son ventre, son sexe, qui a inondé ma main.
Ma coupe prenait fin.
— Ca vous convient?
— Parfait.
Et c'était vrai que la coupe était parfaitement réussie. Mais la séance était, elle, différente. A preuve d'ailleurs, elle venait de poser sa paire de ciseaux pour me défaire et tirer de mon pantalon une queue en pleine érection. Elle s'est penchée sur moi, et sans façon, elle m'a pris dans sa bouche, faisant aller et venir celle-ci sur une partie de ma queue.
Une femme, que je connaissais déjà, elle m'avait coiffée la fois précédente, a surgi de l'arrière-boutique, et traversé. Je pensais que ça sonnerait la fin de ce moment de plaisir, mais ça n'a absolument pas été le cas. Elle a eu un sourire, qui disait qu'elle approuvait totalement. Assez ironiquement, c'était elle qui m'avait coupé les cheveux la fois précédente, et elle m'avait séduit. J'avais aimé qu'elle soit dans un début de cinquantaine, qui lui donnait des charmes épanouis. Elle portait un caleçon et un top très collants, qui soulignaient ses charmes. Elle m'avait fait fantasmer. Elle avait un côté froid, réservé, et pourtant, paradoxalement je la voyais bien avec une queue dans la main ou dans la bouche, ou s'empalant sur une queue, mais toujours en faisant mine de ne pas y toucher.
Elle est restée quelques secondes derrière le comptoir, le temps de taper quelque chose sur le clavier de son ordinateur, et puis elle nous a rejoints. Elle s'est penchée sur moi, et sa cadette a laissé ma queue sortir de sa bouche, dégoulinante de salive. Se sentait-elle obligée de partager, ou bien existait-il une complicité entre elles? Difficile de savoir. En tout cas, elles m'ont caressé de la langue, et c'était sacrément bon.Un plaisir intense, qui était autant visuel, de voir ces deux filles qui baladaient leurs langues sur ma queue et les faisaient se rejoindre pour se frotter, ce qui me donnait plutôt à penser à une réelle complicité entre elles,
— Viens, on a encore le temps, il n'y a personne ce matin...
— Tu crois qu'on peut prendre le risque ?
— On se débrouillera...De toute façon, les gens ne voient rien...
La plus jeune s'est redressée, elle a passé une jambe par dessus moi. C'est l’aînée qui a calé le tout, avec un sourire sur son visage qui disait qu'elle aimait vraiment le sexe. Elle a attrapée la jeune coiffeuse par les hanches et elle l'a faite descendre sur ma queue, après avoir tiré de la poche de sa blouse un préservatif dont elle a déchiré l'emballage pour venir le poser sur ma queue, avec une habileté qui en disait long de son goût pour le sexe. Ce qui m'a vraiment plu, c'est qu'au lieu de mettre sa petite copine face à moi, elle m'a présenté son dos, et ses fesses, pleines et cambrées. Entre ses cuisses, bien visible, sa vulve, qui ruisselait, et dans laquelle elle m'a fait entrer et glisser jusqu'au fond. La fille a crié quand mon gland a cogné contre son utérus. Je me suis senti gainé par son sexe, comme j'aimais l'être. Elle a bougé sur moi, se faisant aller et venir sur ma queue, pendant que sa copine baladait ses mains sur nous, lui pétrissant ma queue, venant tirer sur ses lèvres, appuyer ses doigts sur ma queue quand elle sortait...
Le meilleur était pourtant à venir. Si jeune soit-elle, elle ne manquait pas d'expérience et d'habileté. Elle a contracté ses muscles vaginaux, pour en levant ses jambes graciles et gracieuses, pivoter, me prodigant, en même temps qu'elle tournait pour être face à moi, une caresse comme je n'en avais encore jamais eu, me contractant et me caressant en même temps. Elle a relâché la pression, pendant que la grande blonde venait faire glisser sa blouse et le haut de sa robe, qui s'est retrouvée toute tire-bouchonnée à sa taille. Elle a dévoilé de petits seins ronds dont elle a bouffé les tétons durs, les faisant sans doute encore plus durs, avec ardeur.
C'est un peu sèchement que la blonde d'âge mûr a jeté à la jeune femme:
-Dis donc, c'est bien de partager !
Elle avait ce caleçon noir très moulant qu'elle a tiré vers le bas. Le slip fuschia qu'elle portait en dessous a suivi le même chemin. J'ai aperçu une tâche de mouille au fond.
Elle avait des formes beaucoup plus volumineuses. Un cul allongé et beaucoup plus charnu, coupé en deux par une fente profonde, et une grosse moule, avec des lèvres et un gland clitoridien déjà tout mouillés d'excitation impressionnants. Un autre corps, qui avait vécu, et qui me faisait aussi très envie. La question ne se posait à vrai dire pas, car elle aussi avait très envie, et elle est venue se poser sur moi en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Je me suis demandé un instant, le genre de question stupide qu'on va se poser dans certains moments de la vie, comment ma queue allait pouvoir rentrer entre ses lèvres, épaisses, mais c'est passé et je me suis retrouvé enveloppé par sa vulve. Une tout autre sensation que celle de sa jeune collègue, sans que le sexe de celle-ci n'ait pas été accueillant et plaisant. Une impression de confort, de chaleur. Elle s'est faite monter et descendre sur moi, prenant son plaisir en arrosant mes chairs. Elle avait un haut avec des boutons, que sa collègue a défait, faisant jaillir des seins aussi lourds que le volume de sa tenue le laissait supposer. Ses seins étaient bien dessinés, mais aussi et surtout très fermes. Avec de bons tétons que la jeune femme est venue bouffer, tout comme la MILF l'avait fait sur elle.
La situation a basculé quand un jeune type a pénétré dans le salon. Ce qui m'a frappé, et fait comprendre que j'avais jusqu'à présent loupé l'essentiel de ce qui se passait ici, ça a été qu'il n'a absolument pas paru surpris de ce qui s'est passé. Il s'est approché, les filles ont senti sa présence, elles ont tourné la tête vers lui pour lui faire un sourire. Il s'est défait, révélant une queue qui s'est allongée sous nos yeux. Il est venue la présenter à la fille d'âge mûr, qui a tourné la tête vers lui, tout en continuant de se faire monter et descendre sur ma queue. Avec une envie évidente, elle a tendu la tête vers lui, et elle est venue chercher le membre. J'ai été admiratif de la manière dont elle a pu dissocier son corps en deux parties. La partie qui se faisait monter et descendre sur la queue dilatée et qui éprouvait du plaisir, et celle qui caressait, de la langue et de la bouche la verge offerte. Il y avait quelque chose d'assez magique dans ce moment, parce que la queue se dilatait de minute en minute, je dirai même de seconde en seconde. Je me suis dit que le gars allait jouir sur son visage ou dans sa bouche, mais ça n'a pas été le cas. Il s'est produit quelque chose de plus excitant. Il y avait une table basse, pas loin, sur laquelle était disposé du matériel de coiffure...La jeune femme s'est pliée en deux, en biais, offrant son cul rebondi, ouvert par sa position, ses plissements anaux visibles au fond de son sillon, mais aussi sa moule, toute gonflée, dilatée par l'excitation et le plaisir, ses lèvres fines allongées loin d'elle, de l'ouverture de son sexe. Il est venu derrière elle, et j'ai pu tout voir parce que j'étais pile dans l'axe, et qu'ils étaient légèrement décalés...Il y avait une coupelle sur la table, et elle en a sorti un préservatif...Ca m'a fait penser que décidément, j'avais loupé jusqu'alors un axe de fonctionnement de ce salon...Elle l'a déchiré, le gars a fait le reste, faisant glisser le préservatif le long de sa queue, puis sa verge entre les lèvres, jusqu'à être totalement dans le sexe de la belle.
On a été dans un moment, qui, plus que les précédents, a vraiment été hors du temps. Dans la recherche et la proximité d'une jouissance qui arrivait vers nous. La petite blonde a joui la première, lâchant des couinements et des jaillissements crémeux autour de la queue qui bougeait en elle. Le gars, comme une réponse, a lui sorti sa queue de la vulve de sa partenaire de quelques instants, arraché le latex, et lâché une infinité de jets de sperme sur les fesses de la fille. La femme mûre qui se faisait monter et descendre sur moi s'est elle aussi mise à jouir, se tordant dans tous les sens sur moi, éjaculant elle aussi. Elle s'est soulevée pour faire sortir ma queue de sa chatte. J'étais dilaté à l'extrême. Elle a collé ma queue contre son ventre, et elle m'a massé doucement. Je n'ai pas pu retenir ma jouissance plus longtemps, crachant des jets copieux de sperme qui ont maculé son ventre, ses seins, et sont montés jusqu'à son visage.
L'assemblage qu'on avait constitué, pour quelques instants, s'est dissous. Ca a été drôle et étrange. Le salon a retrouvé sa fonction première. La MILF sensuelle est partie au comptoir, la petite blonde a fini de me couper les cheveux. Le gars, sa queue rangée, s'est positionné dans un siège, attendant que la blonde vienne s'occuper de lui. On aurait cru que rien ne s'était passé. Comme une porte ouverte sur un monde parallèle, qui se serait refermée.
Je n'avais pourtant pas eu d'hallucinations. Il y avait au moins quelque chose qui me le disait. Quand je me suis approché du comptoir pour payer, j'ai remarqué sur le visage de la blonde que l'âge rendait séduisante un trait de sperme qu'elle n'avait pas gobé du bout de ses doigts comme le reste. Elle m'a souri et fait un clin d' oeil.
J'allais m'éloigner quand elle m'a dit, comme si elle avait lu en moi :
— Ici on coupe les cheveux, mais on vient aussi pour le plaisir. Mais seulement pour des gens qui nous inspirent.
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