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Méduse

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 04/12/2024

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Je regardais une photo monumentale d’un homme en face d’un miroir pleine longueur. Les pans de la robe orientale qu’il portait étaient entr’ouverts sur son corps nu. Il regardait ce corps en surtout son sexe en érection avec un regard amoureux.

« Quel animal splendide et bien membru. L’animal mâle se doit d’être vertical. » j’entendais une voix rauque à côté de moi, comme si elle se parlait à elle-même. Je me tournais sur une femme très âgée d’une laideur admirable, les cheveux parfaitement blanchies en chignon, le visage tout ridé et plissé, qui à son tour se tourna vers moi.

« Monsieur est narcissique », dit-elle, mais sans désapprobation, quand elle a vu mon visage, parce que la photo que nous venions d’admirer dans une salle d’exposition était une photo de moi-même. « Non seulement vous aimez vous regardez mais vous aimez également qu’autrui vous regarde. »
« Coupable des deux chefs d’accusation », j’avouais en souriant.
« Ce n’était pas une accusation, mais un constat. Mais même si on le considérait comme un péché, ce serait un pêché facilement à comprendre et à pardonner, quand on a un beau corps comme le vôtre.
« Merci. Vous me flattez. »
« Evidemment. Parce que c’est un compliment bien mérité et que de l’entendre est la raison principale pour laquelle vous posez. »
De l’entendre de sa bouche de vieille femme me faisait même plus plaisir que si c’était une jeune femme qui m’avait donné ce compliment, parce que le contraste avec sa vieillesse à elle me rendait encore plus fier et conscient de ma jeunesse à moi.
« Oui », répondis-je en monosyllabe, pour ne pas devoir lui avouer mes pensées.
« Vous vous exposez uniquement devant des photographes ?»
En me posant cette question, elle me regardait avec des yeux pénétrants qui me déshabillaient jusqu’à l’os, qui fouillaient et palpaient mon corps. De me faire regarder nu en photo par elle m’avait flatté et réconforté, mais ce regard intrusif, qui ne cachait point ses désirs, me donnait un tout autre sentiment, déconfortant et déconcertant, parce que me déshabiller de mon propre gré pour une photographe était tout à fait autre chose que de me faire déshabiller contre mon gré par les yeux de cette femme, qui prenait possession de mon corps et qui faisait que je me sentais beaucoup plus nu que je ne m’étais jamais senti devant la caméra. Son intérêt pour moi était érotique et pas esthétique. J’étais choqué.
« Vous voulez savoir si je suis exhibitionniste, si j’aime m’exposer dans des endroits publics, devant des étrangères, non sollicité ?», je devinais.
« Exactement !»
« Non. Ce n’est pas parce que je pose, qu’il faut me prendre pour un pervers autant. »
« Dommage. »
« Dommage ?»
« Dois-je me répéter ? Vous m’avez bien entendu. Dommage. Dès mon adolescence, sans le vouloir consciemment, j’exerçais une sorte d’attirance sur ce type d’hommes, comme s’ils me connaissaient mieux que moi-même. Ils aimaient se coller contre moi dans le tramway et me faisaient sentir leur érection. Dans le Bois de la Cambre où je me promenais tôt le matin ils sortaient leur sexe devant moi. Et vous savez, ils avaient raison. J’ai dû m’avouer très vite que j’adorais cela, que cela m’excitait sexuellement de voir ces sexes masculins debout, de voir ces hommes se masturber devant moi, de voir se crisper leur visage, de les voir éjaculer leur sève printanière, de les voir écumer et fertiliser l’humus de la forêt, d’être témoin de tout cela. » Sa voix avait sonné passionnée, mais devenait triste lorsqu’elle continue. « Je me promène toujours, mais cela ne m’arrive plus malheureusement. Soit parce que ce type d’homme n’existe plus, soit et plus probablement je crains, parce qu’ils ne veulent pas se produire devant une vielle femme nonagénaire. Dorénavant la seule façon pour moi de voir des hommes nus est de visiter des galeries d'art, et de m’imaginer que c’est à moi qu’ils montrent leurs beaux corps musclés et leur sexes priapiques. Ce n’est qu’une illusion hélas » soupira-t-elle.

Sur ces mots d’une nostalgie insondable, elle s’éloigna et laissa traîner derrière elle un parfum de perversité. Ce n’était que maintenant que je voyais que sous la robe longueur cheville, boutonnée jusqu’au cou, elle chaussait des hauts talons vertigineux, en érection, et qu’elle se déhanchait comme si elle avait toujours un cul.

Même si elle ne l'avait pas dit explicitement, j'avais ressenti un reproche dans ses mots, comme si elle m'accusait de lâcheté d'une certaine manière, parce que j'osais seulement me montrer nu par caméra interposée, et pas en direct.

Presque malgré moi, le jour d’après, je me rendais de beau matin au Bois de la Cambre, que je traversais lentement en la guettant. J’avais presque perdu espoir quand elle se pointa, habillée en promeneuse estivale : chemisier blanc, foulard multicolore noué pour cacher son cou de dinde, pantalon ocre et chaussures de randonnée en daim. Son âge avancé ne l'empêchait pas de s'habiller avec style. Soudainement je pris peur, mais je ne pouvais plus reculer. Nous nous avançâmes l’un vers l’autre, pas comme des gens qui s’étaient déjà rencontrés, mais comme des inconnus qui se croisent et puis vont leur chemin. Arrivé en face d’elle, je m’arrêtai et lui adressai la parole comme si on ne s’était pas rencontre le jour avant, comme si je ne la connaissais pas, comme si elle était une étrangère.
« Excusez-moi madame, mais je semble m’être perdu en chemin. Je cherche la sortie. Pouvez-vous me l’indiquer ?»
En lui adressant la parole j’écartai les pans de mon manteau, déboutonnai ma braguette et sortis mon sexe, qui immédiatement commença à durcir.
« Je crains que vous risquiez de vous perdre de nouveau. Je pense qu’il vaut mieux que je vous guide. », me dit-elle, sans cacher le double-entendre, tandis qu’elle tendait une main vers ma verge, qu’elle fermait ensuite fermement sur ma queue, qui durcissait encore davantage et vertigineusement. Son poignet faisait quelques va-et-vient sur ma bite, et puis lâcha prise dès que je gémissais.
« Suivez-moi. »
Nous nous mîmes en route, ma verge toujours sortie de ma braguette, mes couilles ondulantes sur le rythme de son déhanchement à elle, en bavardant de rien comme des gens qui ne savent pas s’ils vont faire connaissance.

Quand nous sortîmes du bois sur un chemin boueux, elle se retourna vers moi. Je me rapprochais assez près d’elle pour que mon sexe touche son pantalon, et que le gland y tisse quelques fils de soie. Ce cordon ombilical de ma verge, qui nous renouait, semblait annuler, si ce n’était que pour un moment, la distance entre beauté et vieillesse, déchéance et jeunesse.
« Je m’appelle Narcisse », lui mentis-je.
« Et moi Méduse », répondit-elle d’un regard pétrifiant.

« Vous aller trouver votre chemin tout seul maintenant ?», me demanda-t-elle, touchant mon sexe de son ventre et mon visage de son haleine, qui dans mon imagination avait des relents de sperme, comme la cavité de sa bouche, entre les lèvres entr’ouvertes me semblait présager un con béant et vorace de libertine incurable.
« Je ne suis pas sûr. Pourriez-vous m’orienter ?»
« Je n’habite pas loin d’ici. Je vous propose de m’accompagner pour boire un thé ensemble et puis je vous prête mon plan des rues. »

Ses mains descendirent et refermèrent les pans de ma veste sur mon sexe, comme un rideau pour l’entracte. Cette fois-ci nous nous tûmes pendant que nous faisions chemin vers sa maison, qui s’avérait une maison de maître ou plutôt de maitresse.

Elle nous laissa pénétrer d’une clé lourde dans le vestibule d’entrée, et puis me dit : “ Cela vous dérange si je vous demande de patienter ici un moment jusqu'à ce que je vous appelle ?» Sans attendre ma réponse elle avait déjà ouvert la porte de son salon, qu’elle referma aussitôt, me laissant seul avec moi-même.

Je n'avais aucun doute sur ce qu'elle attendait de moi en me laissant seul avec moi-même. Sans le moindre doute, je me déshabillai jusqu'à la peau et me regardai ensuite dans le miroir pleine longueur qui se trouvait dans ce hall, comme sur la photo de l’exposition où nous nous étions rencontrés. J’admirais mon corps nu et surtout ma grosse bite gorgée de sang et de sperme, qui était aussi vertigineuse que les hauts talons qu’elle avait portés hier. Combien d’années cela faisait-il qu’elle n’avait plus vu un homme nu en chair et en os, pensai-je en ricanant, non sans cruauté, dans la certitude que la vue de mon corps intégralement nu, allait décupler son désir frustré pour moi, même si c’était cela qu’elle attendait de moi. Que pouvait-elle espérer de plus, en fin de compte, que de me voir à poil ? Parce qu’après tout elle avait nonante ans et moi à peine vingt.

« Entrez. »
J’entrais La pièce était immense, le sol recouvert d'un épais tapis dans lequel mes pieds déchaussés s'enfonçaient doucement. Elle était assise dans un fauteuil à l'extrémité d'une longue table en chêne, avec un plateau en verre sur lequel une théière en porcelaine de Chine fragile fumait, à côté d'une simple tasse vide sur une soucoupe avec une cuillère en argent posée dessus. La position dans laquelle elle était assise ne pouvait être plus pudique, pieds, tibias, genoux et cuisses serrés. Je remarquai qu’elle avait échangé ses chaussures de promenade pour des talons hauts et ses habits de promeneuse pour une robe d’un noir qui semblait avaler la lumière qui rentrait par les larges fenêtres grandeur femme. Elle fumait une cigarette longue et étroite, élégante comme un pénis élancé, et la suçait avec la même avidité qu'elle sucerait un sexe d’homme, soufflant des nuages de fumée grisâtre de sa bouche et de ses narines qui semblaient préfigurer des nuages de sperme. C'était une image longuement réfléchie et vicieuse. Cette femme était une grande perverse millénaire.

En ligne avec ce que j’avais pensé elle n’était pas surprise de me voir totalement nu et en érection. Mais contrairement à ce que j’avais espéré elle ne semblait point languir. Elle me regarda en réalité comme si j’étais tout habillé.
« Approche-toi. », commanda-t-elle d’un air autoritaire comme si elle s’adressait à un valet. Hier et tantôt elle m’avait vouvoyé, maintenant elle me tutoyait, comme pour établir un rapport de force. Sans avoir à me dire ce qui était attendu de moi, je me suis approché d'elle et lui ai versé une tasse de thé, que je lui ai ensuite remise. Elle porta la tasse à ses lèvres parcimonieuses, sirota, le petit doigt levé, tandis que, presque négligemment et comme si c'était la chose la plus normale au monde, l’autre main descendait, et saisissait mon sexe, tâtonnant les couilles et la verge. Puis sa mais griffue commença à pomper ma queue. Un gémissement involontaire m’échappa. Dans mon imagination chauffée par mon excitation sexuelle et le plaisir je me voyais déjà éjaculer mon sperme comme le lait manquant dans sa tasse qu’elle me tendrait avec la même nonchalance dont elle branlait ma queue bandante, et qu’elle boirait ensuite jusqu’à la dernière goutte.

« Tu veux que je te regarde n’est-ce pas ?», demanda-t-elle quand je ne m’y attendais plus, d’un ton d’interrogatoire, comme si voulait m’entendre avouer mon péché narcisse. Au moment où elle prononça cette question elle lâcha ma queue.
« Oui. Je l’admets. Volontiers. »
Elle dévisagea mon corps de haut en bas, de bas en haut, ses yeux se croisant finalement sur le prisme de mon sexe en érection. Son regard de vieille femme faisait grimper mon pénis loin au-delà de mon nombril.
« Je savais bien que tu étais exhibitionniste même si tu ne le savais pas encore toi-même. »
« Oui, vous aviez raison. » Je la vouvoyais toujours, à cause de son âge évidemment, mais aussi à cause de son autorité naturelle. Cette femme aimait dominer.
« Cela t’excite n’est-ce pas, de te montrer nu en public, comme tu l’as fait tantôt à moi, dans la forêt ? Cela te fait bien bander ?»
« Oui, tellement. »
« Et cela te donne un sentiment de pouvoir, hein, de montrer ta grosse queue gorgée de sperme et de sang, et de te penser désiré en vain par une vielle femme telle que moi ? Une nonagénaire qui ne peut pas qui ne peut plus attendre plus d'un homme que qu'il se montre nu devant elle ?»
C’était comme si elle avait lu mes pensées de tout à l’heure.
« Oui. »
« Et surtout cela te fait te sentir roi de te faire regarder te masturber la queue que je ne pourrais jamais posséder n’est-ce pas. »
« Oui. ». Je saisissais mon sexe dur et commençais à me branler, comment tous ces exhibitionnistes l’avaient fait dans les forêts de sa jeunesse déchue. Je me pensais en pouvoir en voyant son regard suivre la main qui s’accélérait, en y allant fortissimo, sans m’épargner, claquant mon poing contre mes couilles, avec ce son incomparable de chair contre chair, pendant que sa bouche s’entrouvrait sur une langue qui lécha ses lèvres parcimonieuses.

« Et vous, vous aimez regarder les hommes qui se dénudent devant vous n’est-ce pas ?», lui lançai-je d’un ton cruel. « Et vous, ce que vous adorez encore mille fois plus c’est de voir un homme nu se branler sous vos regards, de voir se crisper son visage, de les voir éjaculer sa sève printanière, de le voir écumer et fertiliser l’humus de votre tapis, d’être témoin de tout cela, n’est-ce pas ?», lui demandai-je parce que je voulais lui faire répéter son aveu non sollicité du jour d’avant.

Elle ne répondit pas.
« Tourne-toi. », dit-elle d’une voix impérieuse.
Je pouvais qu'obéir. Je devinais qu’elle voulait se caresser hors de mes regards, qu’elle allait retrousser sa robe sur ses jambes maigres et décharnées, au-delà de ses hanches osseuses, mais qu’elle était honteuse de me montrer son corps décrépité et surtout son vieux con que je m’imaginais poilu avec des grosses lèvres lâchées, comme si elle avait crainte que la vue de son corps ferait disparaître mon érection. J’entendis en effet de légers froissements de vêtements.
« Vous allez vous masturber aussi ? Je veux bien me retourner sur vous, savez-vous. N’ayez crainte. Je veux bien vous regarder jouir. » Je ne mentais pas. Ce n’était pas un sacrifice de ma part, bien au contraire. Cela contribuerait encore plus à mon cruel plaisir de voir cette pauvre vieille se masturber faute de pouvoir se faire baiser par le bel étalon jeune que je me savais.

Un long silence suivit, comme si elle hésitait à me répondre malgré mes encouragements honnêtes. J'ai tendu mes oreilles pour discerner tout halètement ou mouvement précurseur de doigts humides. En vain. Elle demeura silence. Je sentais ses yeux glisser le long de mes omoplates et le long de mes vertèbres à mes fesses, ce qui me mit mal à l'aise. Hésitait-elle encore ou essayait-elle de me faire sortir de mon équilibre mental ?

« Beau cul, bien musclé » entendis-je sa voix briser ce silence.
Un craquement de cuir me dit qu’elle sortait du fauteuil. Après un moment je sentis la chaleur de son corps derrière moi et puis une main sur mes fesses, palpant, explorant, tâtonnant la graine et la texture de ma peau, et la fermeté de ma chair, comme pour se confirmer que c’est bel et bien un vrai homme nu qu’elle regardait et pas une image. Soudainement elle donna une ferme claque sur mon cul, que je sentais rougir. Je grognais.

Je m’attendis à ce qu’elle se mette devant moi. Mais sa voix désincarnée continua. « A quatre pattes maintenant bête mâle que tu es. Oui. Comme cela. Genoux écartés. Fléchis les charnières de tes coudes. De cette façon il est encore plus beau, ce cul. »
Dans cette position, mon cul s’élevait tout seul, mes couilles en lourde pendaison entre les piliers de mes cuisses. A ma surprise l‘attitude soumise à laquelle elle m’avait subjuguée m’excitait sexuellement, excitation se traduisant dans des démangeaisons délicieuses dans mon anus.

« Mais qu’est-ce qu’il cache donc, ce cul divin ? Ecarte tes fesses d’une main. Davantage. Davantage. Montre-moi leur secret. Les voilà, tes couilles en pendule. Le voilà, le joli fion. »
L'intensité avec laquelle son regard invisible pénétrait mon trou du cul, faisait que les poils de mes bras se hérissaient et que ma bite se durcissait davantage.

Et encore plus quand tout d’un coup je sentis la pression d'un talon entre mes omoplates. Comme ses yeux tout à l'heure, il glissa sur mes vertèbres et du coccyx jusqu'à mes fesses. Soudain le talon frotta mon anus, le taquina d’une douce pression que je voulais plus forte, me tortura en me faisant attendre. Je gémissais malgré moi.
Elle riait à gorge déployée. Mais ce n’était pas un rire joyeux, loin de là, bien au contraire, c’était un rire satanique, un rire d’allumeuse d’hommes.
« Tantôt, quand tu rentrais dans mon salon, tout nu, le corps et le sexe tout droits, plein de toi, tu avais pensé que j’allais te regarder le corps nu immédiatement n’est-ce pas ? Tu voulais me faire languir après toi n’est-ce pas ? Tu étais déçu que je ne réagissais pas comme tu voulais n’est-ce pas. Tu aurais voulu que je te complimente sur ton beau corps et ta belle bite n’est-ce pas ? Quand tu as commencé à branler cette bite, à te produire devant moi, tu te sentais remonter en pouvoir n’est-ce pas ? Tu te sentais roi et empereur en même temps. Tu aurais voulu que je me mette à me masturber le con devant toi, parce qu’une vieille comme moi ne pouvait jamais espérer se faire monter par le bel étalon jeune que tu es. N’est-ce pas ? Avoue-moi. ». Elle savait tout. Elle avait tout deviné.
« Oui. Je l’avoue. »
« Mais maintenant, à quatre pattes, fesses en l’air, mes yeux dans ton trou de cul, mon talon contre ton orifice, contre ton fion, tu te sens encore roi ? Tu te sens encore en pouvoir ?»
« Non. C’est vous qui êtes en pouvoir. C’est vous la reine souveraine. »
Elle riait de nouveau d’un rire cruel et diabolique.

« C’est qui qui est en désir maintenant, dis-moi ?!»
« Moi. »

Sur mon aveu elle augmenta la pression du talon.
« Et qu’est-ce que tu désires ?»
« Que vous m’enfoncez le cul de votre talon d’impératrice », suppliai-je, abandonnant toute trace de fierté comme une offrande sur l’autel de son autorité lascive.
Elle ricanait d’une voix rauque, savourant le plaisir de mon abandon et de mon humiliation.
« Je vous en supplie. Ne me laissez plus attendre. Enfoncez-moi le cul. » Finalement le talon s’enfonça, au-delà de mon sphincter, qui se resserra comme pour l’empêcher de retirer son talon, vainement, parce qu’elle le retira en effet, pas totalement, mais déjà elle poussait de nouveau. Le talon aiguille s’enfonçait et se retirait dans un va-et-vient toujours plus brutal, toujours plus loin dans mes entrailles.
« Baisez-moi le cul », criai-je, comme une bête, réduit par elle à un état animal, excité comme jamais auparavant. Je sentis le gland de ma bite me chatouiller dans une démangeaison préorgasmique. Je voulais prendre ma bite dans ma main pour me masturber, cette fois-ci pas pour l’exciter et la faire soupirer, mais pour me soulager moi-même.
« Non, je te l’interdis. Tu es à moi. Tu es ma propriété, à en faire ce que je ne veux, pas ce que tu veux. »
Et puis, comme pour me punir de mon audace, elle retira son talon, cette fois définitivement, me laissant avec un sentiment d’abandon. Quelques secondes insupportables s’écoulèrent, pendant lesquelles je la suppliai de me le mettre de nouveau. J’avais été aux anges, maintenant j’étais en enfer. Mes couilles me faisaient mal, tellement elles n’étaient gorgées d’un sperme impatient qui mendiait de gicler.

Puis à mon grand soulagement, je sentais des ongles se promener sur le pourtour de mon anus, comme autant de fourmis. Oui ! De nouveau je mendiais, totalement à sa merci, au-delà de toute pudeur et de foute fierté mâle. « Je vous en supplie. Enfoncez-moi le cul. » Je voulais qu’elle me mette un doigt, deux doigts, trois doigts, quatre doigts. Je rêvais qu’elle me mette toute la main, jusqu’au poignet, jusqu’au coude. Je voulais qu’elle fasse un poing jusqu’au plus profond de mes entrailles. Ses mains écartaient déjà le trou de mon cul. J’aidais en poussant pour que l’orifice s’ouvre. « Tu t’es déjà exposé comme ça devant une photographe, le fion béant ? » « Non jamais, que pour vous Madame. » Un ongle long grattait mon anus grand ouvert. « Oui. Oui. Allez-y. » Mais ce n’était pas ce que j’anticipais qui se passa. D’abord je sentis son rire résonner dans le plus profond de mes tripes. Ensuite et soudainement une fine fléchette de respiration souffla dans le trou de mon cul. Ses lèvres se serraient contre mon cul comme des ventouses et la pointe de sa langue entra dans mes entrailles, pendant qu’une main agrippait d’un poing mon sexe en dessous de mes couilles. Cette langue chaude me fouillant au plus profond de moi-même me rendait fou de désir. Je haletai comme un chien, langue pendante, tandis qu’elle pétrit mes couilles et branla ma bite.

Tellement je voulais que ce plaisir s’éternise qu’il s’arrêta, comme pour me punir de trop désirer. Ses lèvres et sa langue n’étaient plus qu’un souvenir sur en dans mon cul. Une pause qui me semblait interminable suivit. Que me réservait-elle ? Soudain, j'ai été envahi par un sentiment de panique. Je craignais qu’elle allât me renvoyer chez moi, après m'avoir complètement dépouillé de toute fierté, alors que c'était moi qui avais voulu la faire languir.

Ces prochains mots semblaient confirmer ma peur.
« Cul en l’air, t’ayant fait fourrer le fion par mon talon et ma langue, tu te sens encore roi ? Tu te sens encore en pouvoir ? »
« Non. »
« Très bien. Je voulais encore te l’entendre confesser une dernière fois. Tu es à moi, l’entends-tu ? Tu feras tout ce que je te dis de faire, est-ce compris ?»
« Oui, Maîtresse. »
J’entendis un crépitement de cuir. Elle s’était rassise.

« Lève-toi », ordonna-t-elle alors. Obéissant je me levai.
« Retourne-toi », commanda-t-elle ensuite. Obéissant je me tournai et la regardai fulguré.
Elle était comme avant dans le fauteuil, pieds, tibias et cuisses pudiquement serrés, mais contrairement à tout à l’heure maintenant elle était aussi nue que moi-même en cet instant, à la seule exception de ses talons hauts qu’elle chaussait encore.

Le chignon était dénoué, les cheveux blanchis semblaient vouloir réconforter de leur caresse les épaules parsemées de taches de vieillesse. La peau était écailleuse, ce qui lui donnait un aspect reptilien, mais de reptile cruel. Le corps était maigre, les côtes visibles. Les sacs décharnés des seins tombaient de fatigue jusqu’au nombril du ventre ridé. C’était tout ce qu’on imagine un vieux corps être. Elle était hideuse.

Mais en dépit de la déchéance certaine et irrémédiable de ce corps, elle respirait la confiance en elle, nullement intimidée par la vue de mon corps jeune, beau, plein de santé et mâle, et rayonnant d’une sexualité en puissance. Elle était reine souveraine. Assise sur le trône de son orgueil elle se juchait sur ses talons aiguilles, symboles de son pouvoir sexuel.

“ C’est un miroir que je te tends, un miroir qui te montre ce que tu ne savais pas, mais que tu sais dès à présent, que tu veux me regarder comme je te regarde, tout nu, toute nue. »
Elle disait vérité. Elle prenait mes yeux en otage et les conduisaient sur son corps comme mes yeux conduisaient ses yeux sur le mien, de haut en bas, de bas en haut, en puis de nouveau, mais plus lentement. Et donc pendant qu’elle regardait mon torse nu avec concupiscence, elle prenait ses seins à mains pleines en les pointant vers moi, les pointes rouge vif comme le bout de sa cigarette tantôt. C’était comme si elle me montrait son corps quand il était encore jeune, les cheveux noirs, la peau lisse, les nichons placés très haut sur le corps, assez petits mais parfaitement ronds comme des ballons gonflés, noués aux mamelons, la peau transparente sur des veines bleues, comme signe de sa noblesse et ce qui leur donnait un air fragile, malgré leur fermeté indéniable. Elle était tellement belle que ma bouche était devenue sèche. Auparavant j’avais bandé parce que je voulais me faire désirer par elle, maintenant je bandais parce que je la désirais elle. Elle le savait. Elle savait tout de moi. Elle savait que ce je voulais voir avant même que mes yeux descendirent avec convoitise, avant même que mes yeux se croisèrent et se fixèrent sur le prisme de son sexe, qui était caché de mes yeux derrière la porte verrouillée de ses genoux.

Sans attendre ma réplique, d’un geste éhonté elle écarta les jambes en les drapant sur les accoudoirs du fauteuil, de sorte que son pubis, qui à ma très grande surprise était rasé à poil, que son con d’animal félin se dénudait et s’ouvrait sur lui-même, aspirant mes yeux dans l'entonnoir moelleux et humide qu'elle ouvrit encore plus loin en écartant les lèvres de sa chatte avec deux doigts, des lèvres charnues et fort développées comme des ailes déployées. Cette déchirure, ce con soudainement et largement décousu à la couture me laissa bouche bée. Je bandais à n’en pouvoir plus.

« Tu me désires n’est-ce pas ?»
« Oui. »
« Tu ne me vois plus comme une vieille femme alors ?»
« Il y a à peine un instant que je vous voyais quand vous étiez jeune. Mais maintenant je veux vous voir comme vous êtes maintenant, avec votre corps d’aujourd’hui, une vielle femme certes, mais femme excitée et excitante, et despotique. »
« A raison. Et je suis heureux que tu le vois parce les autres hommes ne voient plus au-delà de cette vieille tête. A tort. Parce que je suis une femme incroyablement chaude, je l'ai toujours été et je le suis toujours. Avec une âme en chaleur et une chatte en chaleur. »

Elle enfonçait un doigt dans l’aperture béante, comme si c’était la bite que j’avais pris en main en que je tendis vers elle, même si elle n’avait point besoin de cette confirmation de mon désir. J’attendis qu’elle commence à se masturber devant moi pour commence à me masturber devant elle, enfin complices. Elle haletait sans gêne aucun et s’en donnait à cœur joie. Ma main suivait le rythme de sa main, et rattrapait celle-ci chaque fois qu’elle s’accélérait. Nous rîmes d’un rire libéré et libérateur.

« Merde, ta grosse bite me rend folle. » D’entendre ce cri obscène sortir de la bouche de cette dame nonagénaire centuplait mon désir pour elle. Sur ce, elle sortit son doigt mouillé de ce con juteux, qu’elle m’ouvrit de nouveau, mais cette fois-ci des deux mains, avec ses ongles tirant vers l’extérieur les ailes de ses lèvres pubiques mais impudiques, impudiques et publiques. Il ne restait plus qu’accomplir, qu’exécuter. Il ne restait plus qu’à pénétrer et à fourrer cette chatte.

De trois grands pas j’étais auprès d’elle, j’étais sur elle, j’étais dans elle. Mes mains comme des griffes de prédateur à côté de ses joues sur le rebord de l'appuie-tête, je plongeais ma bite dans la chaleur torride du conduit. Immédiatement le muscle expérimenté et bien entraîné de son con agrippa ma queue, l’aspirant littéralement et le guidant plus loin en elle, pendant qu’elle serrait les cuisses autour de ma taille, juste au-dessus de mon derrière, les talons de ses pieds dans la chair de mes fesses, ses ongles comme des banderilles dans les bas de mon dos, jusqu’au sang. Déchaîné je la baisai sans ménagement aucun, frénétiquement, dans une fureur érotique sans égal, me démenant dans les vestiges de ce corps jadis prodigieux, prenant ses yeux en otage, la baisant comme si c’était la fin du monde, encouragé par elle, nous invectivant mutuellement, avec des jurons qui allaient d’escalade en escalade obscène, des mots qui se montaient et forniquaient comme nos corps déchainés.
« Mais baise-mon donc. Vas-y tigre. Plus profond. Jusqu’au couilles. Jusque dans mon utérus. Plus fort. Plus fort encore. Pousse. Mais pousse donc merde. Je suis une vraie femme-moi, pas une de tes fillettes. En je veux être baisée comme une vraie femme, par un vrai homme, pas par un garçon, nom d’un chien, pas avec une tendresse de faible, mais avec la vigueur d’un homme », me cracha-t-elle son venin, sa hargne et sa salive au visage. Je crachai en retour. « Prends ça. Et puis ceci. » redoublai-je mes efforts forcenés. « Je vais te casser en deux. »
« Oui. Finalement. Exactement comme ça. Je te veux tout entier en moi. Pas que ta bite, pas que tes couilles, ton corps entier. Merde !»

Ma bite était devenue un bélier, qui enfonçait la brèche de son con sans pitié. A chaque coup forcené mes couilles pleines de sperme percutaient le tampon de ses fesses, qu'elle avait soulevé à quelques centimètres du siège du fauteuil pour me laisser aller au fond, sans tenir compte de la fragilité de son vieux corps et de ses os os décalcifiés. Je voulais la baiser partout : dans son con, dans ses aisselles, dans le creux de ses genoux, entre ses nichons, dans sa bouche, dans son cul, entre ses oreilles, dans sa tête. Je voulais la ravager, avec toute l’admiration et la haine que je sentais pour elle, la punir pour le désir de la baiser que cette vielle et laide femme avait provoqué en moi. C’était une véritable œuvre de destruction que j’accomplissais en elle.

Déjà je sentais le sperme, dont je n'arrivais plus à contrôler l'impatience, monter de mes couilles vers le haut par le tuyau creux de ma queue. Je retirai ma bite aussi loin que possible dans l’étau de ses cuisses, pour que seule la tête gonflée de ma queue soit encore en elle, puis je donnai un dernier coup et éjaculai mon sperme avec un cri sauvage dans le vortex de sa chatte. En toute vitesse je me retirais, en continuant d’éjaculer, non plus dans sa chatte, de laquelle je voyais mousser ma semence comme de l’écume, mais sur son vieux visage décrépit jusqu’à ce que celui-ci semblât pleurer des larmes de sperme, éclaboussant ses seins, inondant son ventre et ses reins. Les jets interminables de mon sperme bouillant étaient comme autant de coups de verge, faisant des vergetures blanches sur son corps, qui se secouait et se tordait en tourmente sous la brutalité de ma décharge.
« Merde. Tu l’auras voulu sale garce. Je vais t’inonder salope. Pétasse. Tu auras tout, vieille pute. »
Aboyant, rugissant, furieux et déchaîné, je vidai mon sac dans ses cheveux, dans son visage, sur ses nichons dégonflés jusqu'à ce qu'il soit juste un appendice ratatiné.

Avec le plat de sa main immédiatement elle a commencé à fouetter les lèvres de son con et son gros clitoris qui était sorti de sa housse, avec autant de haine que j’avais ressentie pour elle. Elle poussait des cris d’animal en chaleur jusqu’à ce que, à mon étonnement et ma joie, un immense jet jaillit de sa chatte. La vue de ce con qui se transformait dans une véritable fontaine de joie liquéfiée et liquide me prodigua un deuxième orgasme, mental cette fois-ci.

Pendant qu’elle jouissait et en dépit de l’intensité jamais vue avec lequel elle jouissait, elle ne s’abandonna pas à l’égoïsme de l’orgasme, cet état inverti dans lequel on se replie totalement sur soi, bien au contraire. Elle me regardait toute la durée de son climax, comme pour me signaler que son corps nonagénaire était capable de plus de plaisir que mon corps de vingt ans. Elle me rendait les invectives que je lui avais lancé au visage comme mon sperme. « Merde. Mais oui, tu l’auras voulu toi-aussi. Regarde-moi jouir, sale ordure, mais regarde donc ce que tu m’as fait, regarde mon con gicler cochon que tu es. Es-tu fier de toi hein, fumier de merde ? Je vais te tuer pour me faire mourir ainsi. »

Elle poussait un râle de mourante, le corps violemment secoué par les contractions de la mort, comme si elle allait vraiment y laisser la vie. Lentement sa rage se calma. Elle était comme morte, totalement assouvie et épuisée par l’intensité de son orgasme nonagénaire. Sa jouissance avait créé une flaque à mes pieds, dans laquelle ma bite égouttait encore quelques gouttes de sperme, avant que la flaque soit aspirée par le tapis, comme ma propre éjaculation avait été absorbée par son sexe avide, par ses cheveux et par sa peau qui semblait rajeunir momentanément avant de vieillir de nouveau.

Après un moment de silence interminable, elle croisa de nouveau les cuisses, me laissant avec un sentiment douloureux de nostalgie pour son con de nouveau interdit, et me dit : « Sortez. ».
Je m’étais attendu à tout, mais pas à cela, pas à recevoir mon congé, sans remerciement aucun, sans aucun geste de gratitude, pas pour l’avoir baisé à nonante ans, mais pour cette expérience hors du commun qu’on avait partagé et qu’elle rompait brutalement.

Sans un mot je sorti et refermai la porte du salon derrière moi. Je me regardais dans le miroir que le miroir du vestibule me tendait : mon visage incrédule, qui n’arrivait pas à comprendre, mon corps nu, mon sexe impotent, mes couilles vidées de toute leur essence, de tout sens. Cela ne faisait pas de sens. Et puis je pensais comprendre. Qu’est ce que j’attendais après tout. Qu’elle m’invite à rester, qu’elle m’invite à partager son lit, qu’elle me laissa lui souffler des attendrissements dans son oreille, qu’elle me laisse l’embrasser sur la bouche comme un amant, qu’on fasse l’amour en se réveillant ? On n’avait pas fait l’amour, on avait baisé. Comment répéter ce qui avait été imprévisible ? C’était impossible. Elle le savait de son intelligence de vieille femme qui dépassait de loin mon intelligence d’homme jeune.

Je m’habillais et m’apprêtais à sortir quand j’entendis de nouveau sa voix.
« Entrez. »
Avait-elle changé d’avis ? Voulait-elle que je reste auprès d’elle quand-même ? Je lui en voulais comme je lui en avais voulu de me congédier. Elle me décevait. M’étais-je trompé sur son compte ? Etais je plus intelligent qu’elle après tout ?

Intrigué j’entrai de nouveau dans la pièce. Elle s’était rhabillée elle aussi, assise dans le fauteuil dans la même position pudique que tantôt, pieds, tibias, genoux et cuisses serrés, comme pour me faire oublier qu’elle m’avait montré son con mouillé, ce con qu’elle semblait m’interdire maintenant. Malgré le parfum pénétrant de sueur érotique, de fornication, de sperme, de jus de chatte et de jouissance orgasmique qu’elle dégagea, son attitude était celle d’une femme totalement en contrôle, comme si elle ne venait pas de s’abandonner à mes et à ses désirs il y a à peine un quart d’heure. Elle me regarda d’un air hautain, comme si rien ne s’était passé entre nous, comme si elle ne s’était pas fait baiser comme une chienne en chaleur, même comme si elle ne me connaissait pas.

Je m’approchai d’elle comme hypnotisé par son regard reptilien, qui ne tolérant aucune dissidence et aucune désobéissance. Sur la table à côté d’elle se trouvait la théière, qui fumait de nouveau, comme elle-même, suçant une cigarette effilée comme un mince pénis, avec l’avidité d’une suceuse vicieuse d’hommes.

« Sers-moi. »
Lorsque je me trouvai tout près d’elle et comme si elle avait lancé une commande silencieuse, je déboutonnai ma braguette et tirai ma queue toujours molle et mes couilles vidées par l'ouverture. Immédiatement elle me saisit d’une main, mais comme si c’était un geste distrait. C’était comme si ses doigts possédaient des qualités magiques, parce que ma verge commençait à durcir immédiatement, et me couilles à se gonfler de sperme.

Après tout, elle savait tout, la diablesse démoniaque. C’était la seule façon possible. Le jeu recommença. Ce qui était passé était effacé. Je ne savais pas ce qui allait se passer. Le savait-elle ?
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