ACCUEIL > Divers > Récit : Secrétaires de mairie partie 3
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/07/2025
Histoire précèdente <<<
Secrétaires de mairie partie 3
+0
Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/07/2025
Découvrez les filles coquines près de chez vous :
SECRETAIRES DE MAIRIE
PARTIE 3
Il était très tôt ce jeudi matin, et Adriana attendait, debout à l'arrêt de bus. Mais elle n'attendait pas le bus, simplement qu'on la prenne en voiture, pour une formation qui devait durer deux jours, et conduire une partie des secrétaires de mairie du département, celles qui avaient été volontaires, à une formation sur l'utilisation de l'IA pour le travail administratif.
La formation avait lieu à 60 kilomètres de là, et une plate-forme avait été mise en place, qui permettait de s'inscrire pour partir en co-voiturage, mais aussi de partager une chambre d'hôtel.
Adriana avait vingt-six ans, c'était une très grande blonde qui culminait, quand elle avait des talons, presque à deux mètres, avec des formes voluptueuses, mises en valeur ce jour-là, alors qu'elle portait des vêtements très simples, un caleçon et un pull, les deux tendus par ses formes.
Elle avait fait une licence de droit, avait d'abord travaillé dans une entreprise à vérifier des contrats, avant de lire cet article où on annonçait un recrutement de secrétaires de mairie. Elle avait postulé, trois mois avant Lisa et avait été recrutée, après un entretien avec un autre maire. Elle se partageait elle entre trois petites municipalités.
Quand elle avait consulté le tableau, il ne restait qu'une possibilité de binôme, qu'elle avait saisi.
Il était encore très tôt, et quand elle vit le véhicule ralentir, elle sut que c'était pour elle. Même si elle fut surprise que ce soit une puissance BMW.
La voiture s'arrêta pile devant elle. Elle aperçut très brièvement la conductrice, qui descendit de voiture et lui fit un sourire immense.
— C'est toi Adriana ?...Moi Lisa. On met ton sac dans le coffre?
Adriana resta un instant figée, tétanisée par le charme de la femme qui se tenait devant elle, sentant en même temps qu'elle mouillait sa culotte.
Adriana aimait les garçons. Mais aussi les filles. En un mot, elle était bisexuelle. Une bisexualité qu'elle assumait, et à laquelle elle n'envisageait pas de renoncer. Deux plaisirs différents mais complémentaires, pour elle.
Ces derniers temps, ça avait été la disette. Adriana avait du mal à se voir aller avec quelqu'un qu'elle connaissait à peine et qui ne lui plaisait pas particulièrement, elle préférait s'abstenir.
La femme qui était devant elle, par contre, lui avait plu dès la première seconde.
Elle dégageait pas mal de choses. Elle avait un corps que la nature avait bien sculpté, tout en courbes, et aussi quelque chose d'infiniment sensuel, que d'autres femmes n'avaient définitivement pas. Il y avait des filles très belles qui ne dégageaient rien. Elle au contraire, dégageait quelque chose de très fort. La regarder, c'était imaginer quasi immédiatement des situations sexuelles. Adriana la voyait avec un sexe dans la bouche, empalée sur une, voire deux verges, mais aussi bouffant la chatte d'une fille...
Elle portait une tenue qui bien que classique, soulignait allégrement sa féminité. Une tailleur bleu pétrole, avec sous la veste, un soutien-gorge assorti qui enveloppait une poitrine volumineuse, et seulement un soutien-gorge, le reste, c'était sa peau nue, une jupe très courte, du nylon gris enveloppant ses jambes, visible jusqu'à ce qu'une paire de cuissardes noires à talons aiguilles prenne le dessus. Neuves ou quasi-neuves, bien luisantes.
L'imagination, surtout quand on est en manque, permet de construire bien des schémas. Adriana s'est vue faire beaucoup de choses à cette femme qu'elle ne connaissait pas quelques instants plus tôt.
C'était un peu comme une devanture de pâtisserie. Certains gâteaux donnaient très faim, d'autres non.
La secrétaire de mairie devant elle lui donnait très faim.
Elles glissèrent à l'arrière de la voiture.
— Elle est à toi?
— Pas du tout, elle fait partie des véhicules de la mairie.
— Et le maire a accepté que tu la prennes?
— Je lui donne ma chatte, mon anus, et ma bouche. Et beaucoup de plaisir.
Sur le moment, Adriana crut que c'était une plaisanterie, une forme d'ironie. Ce ne fut que plus tard qu'elle comprit que c'était bien le cas. Mais à ce moment-là, elle connaissait la femme d'âge mûr bien mieux.
Elle récupéra le sac de sa collègue, et se tourna pour le poser dans la malle, profonde. Elle se plia en avant, révélant ainsi à Adriana les deux tiers de ses fesses aussi charnues que rebondies, coupées en deux par un sillon profond, enveloppées par le nylon d'un collant qui les sublimait, nylon entièrement transparent qui laissait tout autant voir une grosse moule toute gonflée entre ses cuisses, elle aussi coupée en deux par une fente dont dépassaient deux bouts de lèvre. Difficile de ne pas en avoir envie...Adriana l'aurait bien attrapée par les hanches, la bloquant dans cette position, pour venir glisser sa langue dans sa raie, bien la balader dedans, en s'attardant sur sa muqueuse anale, avant de glisser sur sa moule, s'enfoncer dedans de la pointe de sa langue, mais ça n'aurait pas été difficile, parce que la balade dans le sillon fessier lui aurait mis le ventre en feu et ouvert le sexe. Elle aurait lapé avec avidité ses liquides intimes.
Adriana se ressaisit. Non, ce n'était pas parce qu'elle était cul nu sous son collant que cela signifiait qu'elle avait envie de s'offrir à elle. Elle faisait partie de ces filles qui ne mettaient pas de slip, point à la ligne. Il n'y avait rien à en conclure.
Le coffre refermé, les deux femmes s'installèrent, Lisa derrière le volant, Adriana à la place du mort.
Adriana fut très vite emportée par le trouble et le désir. Le parfum de la femme, capiteux, sa présence, l'épaisseur de son corps, sa chaleur...Et ce qu'elle voyait, tout comme ce qu'elle ne voyait pas. Il y avait deux odeurs qui dominèrent très vite, celle du parfum, et celle du cuir de ses cuissardes, intense, disant qu'elles étaient neuves.
Lisa conduisait, une conduite souple, concentrée. On voyait qu'elle maîtrisait ce qu'elle faisait, une maîtrise qui s'étendait sans doute à toute son existence.
Adriana se demanda par la suite pourquoi elle avait formulé cette demande. Une envie trop forte? L'idée qu'elle pouvait être en confiance avec la jeune femme et lui révéler ses pensées et ses envies.
Elle s'était dit, la phrase sortie de ses lèvres, qu'elle n'aurait pas du dire ça, que c'était la pire connerie à dire...Trop tard...
--J'aimerais toucher le cuir de tes cuissardes...En avoir la sensation. J'adore caresser le cuir.
Et c'était vrai. Elle avait un souvenir très fort lié à ça, celui d'une copine en fac, une blonde dodue, petite et ronde, avec une chevelure soyeuse et qui aimait porter des cuissardes, elle se souvenait de paires somptueuses, qui lui avaient fait l'année. Une lesbienne pure et dure avec qui elle avait eu très vite une relation. Le jeu le plus fort auquel elle avait joué avec elle, ça avait été de caler son sexe sur la cuissarde, Emmanuelle était allongée et de se frotter le sexe contre la sensation unique du cuir, qu'elle inondait de ses sucs intimes, en regardant sa copine blonde se fouiller la chatte de ses doigts habiles.
Elle lui avait dit plus tard:
— Quand je serai seule, je pourrai renifler mes cuissardes, en me branlant, tu leur as donné une nouvelle vie, une nouvelle dimension, en les trempant de ta mouille.
De bons souvenirs, mais là, pour le moment, c'était la fille qui était près d'elle qui la préoccupait...Et qui venait d'accepter qu'elle touche ses cuissardes.
Adriana mit ses mains sur le cuir avec un plaisir intense. Sensations qu'elle retrouvait, mais cependant différentes, le froid du cuir, son lisse...Elle se dit qu'elle aurait passé des heures ainsi à caresser le cuir...Elle ne se gêna pas, en tout cas, baladant ses mains sur toute leur surface...
Au plaisir de toucher, se mêlait le plaisir visuel. Penchée comme elle l'était, et tout en sentant les jambes de la femme s'animer, quand elle freinait, accélérait, embrayait, elle avait une vue parfaite du reste des jambes et du ventre de la jeune femme. Troublée par ce qu'elle voyait. Le reste des cuisses, qu'elle avait envie de caresser, et le sexe, offert au regard, son renflement, coupé en deux par une fente verticale, sa toison, taillée au rasoir, mais bien présente, comme un écrin, sexe enveloppé par le nylon du collant, comme isolé, mais paradoxalement plus offert.
Il y avait en tout cas une évidence: alors même que la caresse d'Adriana glissait sur ses cuissardes, pas même en contact avec sa chair, la MILF en éprouvait un trouble qui était directement visible dans la manière dont son sexe se métamorphosait. D'abord au repos, il avait commencé à subir les transformations de l'excitation, s'ouvrant, légèrement, puis un peu plus vite, laissant voir un intérieur rose. Les lèvres, au repos, s'étaient gonflées et allongées, et la boule ronde en haut de ses lèvres s'était allongée comme le nez de Pinocchio. Surtout, elle s'était mise à mouiller, et si ses liquides intimes mouillaient sa chair, ils se déposaient aussi contre le nylon, le faisant briller.
De quoi perdre la tête.
Adriana se sentait surtout se liquéfier, trempant sa culotte, et son sexe s'ouvrir d'excitation, ses chairs gonflant. Un processus pas tellement différent au final.
Elle se dit que, non, elle ne s'était vraiment pas attendue à ça, dans ce trajet en co-voiturage.
Ça aurait pu en rester là, mais la brune flamboyante lui dit:
— Tu sais, tu peux monter tes mains plus haut...Aussi haut que tu veux, en fait...
Si ça n'était pas une invitation...Pourtant, Adriana était un rien intimidée. Son premier geste, fut de poser sa main à mi-chemin entre le haut de la cuissarde et de déborder sur la chair. Immédiatement, il y eut une double sensation qui la tourneboula, celle de cette chaleur qui monta dans sa main, et se propagea, comme un méga feu de forêt, dans son corps, et celle du nylon, douce et électrique à la fois. Ce fut si fort que ça annihila toute timidité. Elle savait qu'elle n'aurait plus de limites à présent.
Elle caressa une cuisse, puis l'autre. Le feu et l'électricité. Une sensation plus que plaisante...Qui la figea, l'hypnotisa, la troubla et l'excita. Elle était dans tous ses états.
Elle sentit que la belle MILF ralentissait. Elle redressa la tête. Un parking, sur le bord de la route, un grand espace, qui plus est isolé en partie par une rangée de buissons. Et il n'y avait personne de garé.
Elle coupa le contact et adopta une position plus pratique, une jambe levée, contre le dossier des deux sièges, l'autre, plaquée à la portière. Ainsi elle était totalement offerte.
Adriana fit glisser ses mains le long de ses cuisses, s’imprégnant de ses sensations. Incapable d'attendre que la jeune femme monte plus haut, Lisa vint masturber son sexe à travers le nylon. Un mouvement circulaire, autour du gland clitoridien qui se tendit d'une manière spectaculaire. Une mini-bite songea Adriana, qui s'étirait jusqu'à tendre le nylon qui recouvrait sa vulve. Elle élargit petit à petit le cercle de la caresse, et adopta un mouvement régulier, élargissant la caresse puis la rétrécissant sur le gland clitoridien. Quelque chose d'aussi efficace que troublant. Sa mouille coulait d'abondance, trempant et faisant luire une zone toujours plus grande de lycra.
— Viens remplacer mes doigts...Mets les tiens, ce sera cent fois meilleur pour moi...
Il y avait une double ligne, à la fois horizontale et verticale, tracée dans le lycra, qui se rejoignait au niveau de l'entrejambes. Ariana appuya sur ce point et le collant s'ouvrit très facilement, mettant sa chair à nu. Une odeur forte, odeur de cyprine, lui monta aux narines.
La MILF sensuelle lui avait proposé de caresser son sexe mais Ariana aimait faire ce qu'elle voulait, et ce dont elle avait envie. Raison pour laquelle elle plongea sur elle de la bouche. Ce n'était pas forcément commode dans la voiture mais l'inconfort ajoutait au trouble et au plaisir. Sa langue dardée vint sur les chairs aussi intimes que délicates, et Lisa poussa un premier gémissement qui fut suivi par bien d'autres. De cette langue, Ariana s'empara de sa chatte et la caressa du mieux qu'elle le pouvait, buvant la cyprine qui dégoulinait dans sa bouche, un nectar précieux pour elle. Sa langue tourna sur les chairs intimes, caressant zone après zone, et Ariana fut surprise de mettre en œuvre autant d'habileté. Sans doute que la superbe MILF l'inspirait.
— Dommage que tu n'aies pas une queue, même artificielle, pour me fouiller. Ta langue d'abord, ensuite une queue, ce serait parfait...Je n'ai rien avec moi...
Ariana s'appliqua encore plus, laissant la surface de la vulve de la MILF pour pousser sa langue en elle, et, en allant aussi loin qu'elle le pouvait, caresser ses parois internes. Au fond d'elle-même, elle voulait sans doute lui prouver qu'on pouvait jouir sans queue, naturelle ou artificielle, bougeant dans son ventre. Et il y eut un moment où ce fut effectivement le cas, Lisa poussa un cri, suivi par d'autres de moindre intensité, et éjacula, arrosant tout autour d'elle. Elles seraient bonnes pour se rafraîchir.
Ariana avait elle aussi atteint un point de non-retour, et elle avait, envie de jouir, à la fois pour se soulager et pour apaiser les tensions dans son ventre. Il y avait une option qui lui faisait terriblement envie, et à laquelle, elle le savait, elle n'allait pas résister.
Ce n'était effectivement pas facile, et pas commode dans la voiture, mais de la difficulté naissait l'excitation. Elle passa par dessus le levier du frein Lisa parut surprise un instant, et la surprise persista, preuve qu'une femme qui semblait aussi aguerrie qu'elle dans tout ce qui concernait le sexe pouvait encore découvrir des possibilités. Mais elle comprit bien où Adriana voulait en venir.
Cette dernière se posa sur la partie de sa jambe prise par la cuissarde. Ce fut avec un plaisir infini qu'elle sentit la béance de son sexe appuyer contre le cuir. C'était une chose d'avoir un contact au bout des doigts, une autre contre un sexe dilaté d'excitation, dont la dilatation permettait justement un maximum de contact. La sensation du cuir contre sa partie la plus sensible...Elle n'avait qu'un mot à dire...Une onomatopée plutôt...Hmmmmm...
Lisa la laissa faire, prendre son plaisir comme elle avait pris le sien. Il était vrai aussi qu'elle était repartie pour une seconde session, prenant cette fois les choses en main. Elle avait choisi de masturber ce gland clitoridien, en haut de ses lèvres, aussi long qu'épais. Adriana ne se souvenait pas d'en avoir vu de pareil dans ses relations avec des filles...Et la voir le masturber ajoutait une dimension supplémentaire à son excitation, la mettant dans un état qu'elle n'avait pas encore connu. Le visuel et le tactile se complétaient et la rapprochaient d'un orgasme dont elle savait qu'il serait explosif...S'il n'y en avait qu'un. La vision de ce gland clitoridien trituré était aussi hypnotique et obsédante que celle du frottement du cuir contre ses chairs ultra-sensibles, qui la brûlait, mais qu'elle n'aurait relâché pour rien au monde, qui faisait monter dans son corps un plaisir aussi intense que douloureux, qui la mettait sur le fil du rasoir, partagée entre l'envie d'un soulagement, et celle que ça continue indéfiniment. Mais il y eut bientôt un point de brûlure, plus intense que les autres, qui monta au creux de son ventre, qui s'étendit et auquel elle ne put pas résister, Comme elle l'avait anticipé, c'était fort, très fort, et elle se tordit au dessus du cuir de la cuissarde, éjaculant dessus, ses jus intimes ruisselant, badigeonnant quasiment toute la cuissarde de ses jus intimes, mais éclaboussant au-delà. Lisa fut emportée par l'orgasme de sa collègue et jouit elle aussi sans retenue, ses éjaculations achevant de tremper les deux femmes.
— Il est temps de repartir...On a des chambres réservées à l'hôtel, par deux. On se mettra ensemble. On pourra profiter de bons moments.
Rassasiée, au moins momentanément, Adriana se laissa glisser sur son siège. Ses vêtements étaient trempés, de la cyprine de la MILF ou de la sienne...Mais celle qui venait de redémarrer ne valait pas mieux.
Elle était surtout fascinée par l'état de la cuissarde, sombre de la cyprine qui l'avait marquée et qui, en coulant, avait humidifié d'une pellicule liquide le cuir jusqu'à la cheville. Incapable de se retenir, mais aussi parce qu'elle était consciente que sa partenaire accepterait tout, elle se pencha sur la botte, et pendant que Lisa maîtrisait le véhicule et progressait, elle lapa son propre foutre. Elle aimait se remplir de cyprine, elle aimait ce goût à la fois semblable et différent, selon les partenaires et le moment où elle avait été secrétée. Le temps d'arriver, sa salive avait remplaçé les jus issus des entrailles de sa collègue.
PARTIE 3
Il était très tôt ce jeudi matin, et Adriana attendait, debout à l'arrêt de bus. Mais elle n'attendait pas le bus, simplement qu'on la prenne en voiture, pour une formation qui devait durer deux jours, et conduire une partie des secrétaires de mairie du département, celles qui avaient été volontaires, à une formation sur l'utilisation de l'IA pour le travail administratif.
La formation avait lieu à 60 kilomètres de là, et une plate-forme avait été mise en place, qui permettait de s'inscrire pour partir en co-voiturage, mais aussi de partager une chambre d'hôtel.
Adriana avait vingt-six ans, c'était une très grande blonde qui culminait, quand elle avait des talons, presque à deux mètres, avec des formes voluptueuses, mises en valeur ce jour-là, alors qu'elle portait des vêtements très simples, un caleçon et un pull, les deux tendus par ses formes.
Elle avait fait une licence de droit, avait d'abord travaillé dans une entreprise à vérifier des contrats, avant de lire cet article où on annonçait un recrutement de secrétaires de mairie. Elle avait postulé, trois mois avant Lisa et avait été recrutée, après un entretien avec un autre maire. Elle se partageait elle entre trois petites municipalités.
Quand elle avait consulté le tableau, il ne restait qu'une possibilité de binôme, qu'elle avait saisi.
Il était encore très tôt, et quand elle vit le véhicule ralentir, elle sut que c'était pour elle. Même si elle fut surprise que ce soit une puissance BMW.
La voiture s'arrêta pile devant elle. Elle aperçut très brièvement la conductrice, qui descendit de voiture et lui fit un sourire immense.
— C'est toi Adriana ?...Moi Lisa. On met ton sac dans le coffre?
Adriana resta un instant figée, tétanisée par le charme de la femme qui se tenait devant elle, sentant en même temps qu'elle mouillait sa culotte.
Adriana aimait les garçons. Mais aussi les filles. En un mot, elle était bisexuelle. Une bisexualité qu'elle assumait, et à laquelle elle n'envisageait pas de renoncer. Deux plaisirs différents mais complémentaires, pour elle.
Ces derniers temps, ça avait été la disette. Adriana avait du mal à se voir aller avec quelqu'un qu'elle connaissait à peine et qui ne lui plaisait pas particulièrement, elle préférait s'abstenir.
La femme qui était devant elle, par contre, lui avait plu dès la première seconde.
Elle dégageait pas mal de choses. Elle avait un corps que la nature avait bien sculpté, tout en courbes, et aussi quelque chose d'infiniment sensuel, que d'autres femmes n'avaient définitivement pas. Il y avait des filles très belles qui ne dégageaient rien. Elle au contraire, dégageait quelque chose de très fort. La regarder, c'était imaginer quasi immédiatement des situations sexuelles. Adriana la voyait avec un sexe dans la bouche, empalée sur une, voire deux verges, mais aussi bouffant la chatte d'une fille...
Elle portait une tenue qui bien que classique, soulignait allégrement sa féminité. Une tailleur bleu pétrole, avec sous la veste, un soutien-gorge assorti qui enveloppait une poitrine volumineuse, et seulement un soutien-gorge, le reste, c'était sa peau nue, une jupe très courte, du nylon gris enveloppant ses jambes, visible jusqu'à ce qu'une paire de cuissardes noires à talons aiguilles prenne le dessus. Neuves ou quasi-neuves, bien luisantes.
L'imagination, surtout quand on est en manque, permet de construire bien des schémas. Adriana s'est vue faire beaucoup de choses à cette femme qu'elle ne connaissait pas quelques instants plus tôt.
C'était un peu comme une devanture de pâtisserie. Certains gâteaux donnaient très faim, d'autres non.
La secrétaire de mairie devant elle lui donnait très faim.
Elles glissèrent à l'arrière de la voiture.
— Elle est à toi?
— Pas du tout, elle fait partie des véhicules de la mairie.
— Et le maire a accepté que tu la prennes?
— Je lui donne ma chatte, mon anus, et ma bouche. Et beaucoup de plaisir.
Sur le moment, Adriana crut que c'était une plaisanterie, une forme d'ironie. Ce ne fut que plus tard qu'elle comprit que c'était bien le cas. Mais à ce moment-là, elle connaissait la femme d'âge mûr bien mieux.
Elle récupéra le sac de sa collègue, et se tourna pour le poser dans la malle, profonde. Elle se plia en avant, révélant ainsi à Adriana les deux tiers de ses fesses aussi charnues que rebondies, coupées en deux par un sillon profond, enveloppées par le nylon d'un collant qui les sublimait, nylon entièrement transparent qui laissait tout autant voir une grosse moule toute gonflée entre ses cuisses, elle aussi coupée en deux par une fente dont dépassaient deux bouts de lèvre. Difficile de ne pas en avoir envie...Adriana l'aurait bien attrapée par les hanches, la bloquant dans cette position, pour venir glisser sa langue dans sa raie, bien la balader dedans, en s'attardant sur sa muqueuse anale, avant de glisser sur sa moule, s'enfoncer dedans de la pointe de sa langue, mais ça n'aurait pas été difficile, parce que la balade dans le sillon fessier lui aurait mis le ventre en feu et ouvert le sexe. Elle aurait lapé avec avidité ses liquides intimes.
Adriana se ressaisit. Non, ce n'était pas parce qu'elle était cul nu sous son collant que cela signifiait qu'elle avait envie de s'offrir à elle. Elle faisait partie de ces filles qui ne mettaient pas de slip, point à la ligne. Il n'y avait rien à en conclure.
Le coffre refermé, les deux femmes s'installèrent, Lisa derrière le volant, Adriana à la place du mort.
Adriana fut très vite emportée par le trouble et le désir. Le parfum de la femme, capiteux, sa présence, l'épaisseur de son corps, sa chaleur...Et ce qu'elle voyait, tout comme ce qu'elle ne voyait pas. Il y avait deux odeurs qui dominèrent très vite, celle du parfum, et celle du cuir de ses cuissardes, intense, disant qu'elles étaient neuves.
Lisa conduisait, une conduite souple, concentrée. On voyait qu'elle maîtrisait ce qu'elle faisait, une maîtrise qui s'étendait sans doute à toute son existence.
Adriana se demanda par la suite pourquoi elle avait formulé cette demande. Une envie trop forte? L'idée qu'elle pouvait être en confiance avec la jeune femme et lui révéler ses pensées et ses envies.
Elle s'était dit, la phrase sortie de ses lèvres, qu'elle n'aurait pas du dire ça, que c'était la pire connerie à dire...Trop tard...
--J'aimerais toucher le cuir de tes cuissardes...En avoir la sensation. J'adore caresser le cuir.
Et c'était vrai. Elle avait un souvenir très fort lié à ça, celui d'une copine en fac, une blonde dodue, petite et ronde, avec une chevelure soyeuse et qui aimait porter des cuissardes, elle se souvenait de paires somptueuses, qui lui avaient fait l'année. Une lesbienne pure et dure avec qui elle avait eu très vite une relation. Le jeu le plus fort auquel elle avait joué avec elle, ça avait été de caler son sexe sur la cuissarde, Emmanuelle était allongée et de se frotter le sexe contre la sensation unique du cuir, qu'elle inondait de ses sucs intimes, en regardant sa copine blonde se fouiller la chatte de ses doigts habiles.
Elle lui avait dit plus tard:
— Quand je serai seule, je pourrai renifler mes cuissardes, en me branlant, tu leur as donné une nouvelle vie, une nouvelle dimension, en les trempant de ta mouille.
De bons souvenirs, mais là, pour le moment, c'était la fille qui était près d'elle qui la préoccupait...Et qui venait d'accepter qu'elle touche ses cuissardes.
Adriana mit ses mains sur le cuir avec un plaisir intense. Sensations qu'elle retrouvait, mais cependant différentes, le froid du cuir, son lisse...Elle se dit qu'elle aurait passé des heures ainsi à caresser le cuir...Elle ne se gêna pas, en tout cas, baladant ses mains sur toute leur surface...
Au plaisir de toucher, se mêlait le plaisir visuel. Penchée comme elle l'était, et tout en sentant les jambes de la femme s'animer, quand elle freinait, accélérait, embrayait, elle avait une vue parfaite du reste des jambes et du ventre de la jeune femme. Troublée par ce qu'elle voyait. Le reste des cuisses, qu'elle avait envie de caresser, et le sexe, offert au regard, son renflement, coupé en deux par une fente verticale, sa toison, taillée au rasoir, mais bien présente, comme un écrin, sexe enveloppé par le nylon du collant, comme isolé, mais paradoxalement plus offert.
Il y avait en tout cas une évidence: alors même que la caresse d'Adriana glissait sur ses cuissardes, pas même en contact avec sa chair, la MILF en éprouvait un trouble qui était directement visible dans la manière dont son sexe se métamorphosait. D'abord au repos, il avait commencé à subir les transformations de l'excitation, s'ouvrant, légèrement, puis un peu plus vite, laissant voir un intérieur rose. Les lèvres, au repos, s'étaient gonflées et allongées, et la boule ronde en haut de ses lèvres s'était allongée comme le nez de Pinocchio. Surtout, elle s'était mise à mouiller, et si ses liquides intimes mouillaient sa chair, ils se déposaient aussi contre le nylon, le faisant briller.
De quoi perdre la tête.
Adriana se sentait surtout se liquéfier, trempant sa culotte, et son sexe s'ouvrir d'excitation, ses chairs gonflant. Un processus pas tellement différent au final.
Elle se dit que, non, elle ne s'était vraiment pas attendue à ça, dans ce trajet en co-voiturage.
Ça aurait pu en rester là, mais la brune flamboyante lui dit:
— Tu sais, tu peux monter tes mains plus haut...Aussi haut que tu veux, en fait...
Si ça n'était pas une invitation...Pourtant, Adriana était un rien intimidée. Son premier geste, fut de poser sa main à mi-chemin entre le haut de la cuissarde et de déborder sur la chair. Immédiatement, il y eut une double sensation qui la tourneboula, celle de cette chaleur qui monta dans sa main, et se propagea, comme un méga feu de forêt, dans son corps, et celle du nylon, douce et électrique à la fois. Ce fut si fort que ça annihila toute timidité. Elle savait qu'elle n'aurait plus de limites à présent.
Elle caressa une cuisse, puis l'autre. Le feu et l'électricité. Une sensation plus que plaisante...Qui la figea, l'hypnotisa, la troubla et l'excita. Elle était dans tous ses états.
Elle sentit que la belle MILF ralentissait. Elle redressa la tête. Un parking, sur le bord de la route, un grand espace, qui plus est isolé en partie par une rangée de buissons. Et il n'y avait personne de garé.
Elle coupa le contact et adopta une position plus pratique, une jambe levée, contre le dossier des deux sièges, l'autre, plaquée à la portière. Ainsi elle était totalement offerte.
Adriana fit glisser ses mains le long de ses cuisses, s’imprégnant de ses sensations. Incapable d'attendre que la jeune femme monte plus haut, Lisa vint masturber son sexe à travers le nylon. Un mouvement circulaire, autour du gland clitoridien qui se tendit d'une manière spectaculaire. Une mini-bite songea Adriana, qui s'étirait jusqu'à tendre le nylon qui recouvrait sa vulve. Elle élargit petit à petit le cercle de la caresse, et adopta un mouvement régulier, élargissant la caresse puis la rétrécissant sur le gland clitoridien. Quelque chose d'aussi efficace que troublant. Sa mouille coulait d'abondance, trempant et faisant luire une zone toujours plus grande de lycra.
— Viens remplacer mes doigts...Mets les tiens, ce sera cent fois meilleur pour moi...
Il y avait une double ligne, à la fois horizontale et verticale, tracée dans le lycra, qui se rejoignait au niveau de l'entrejambes. Ariana appuya sur ce point et le collant s'ouvrit très facilement, mettant sa chair à nu. Une odeur forte, odeur de cyprine, lui monta aux narines.
La MILF sensuelle lui avait proposé de caresser son sexe mais Ariana aimait faire ce qu'elle voulait, et ce dont elle avait envie. Raison pour laquelle elle plongea sur elle de la bouche. Ce n'était pas forcément commode dans la voiture mais l'inconfort ajoutait au trouble et au plaisir. Sa langue dardée vint sur les chairs aussi intimes que délicates, et Lisa poussa un premier gémissement qui fut suivi par bien d'autres. De cette langue, Ariana s'empara de sa chatte et la caressa du mieux qu'elle le pouvait, buvant la cyprine qui dégoulinait dans sa bouche, un nectar précieux pour elle. Sa langue tourna sur les chairs intimes, caressant zone après zone, et Ariana fut surprise de mettre en œuvre autant d'habileté. Sans doute que la superbe MILF l'inspirait.
— Dommage que tu n'aies pas une queue, même artificielle, pour me fouiller. Ta langue d'abord, ensuite une queue, ce serait parfait...Je n'ai rien avec moi...
Ariana s'appliqua encore plus, laissant la surface de la vulve de la MILF pour pousser sa langue en elle, et, en allant aussi loin qu'elle le pouvait, caresser ses parois internes. Au fond d'elle-même, elle voulait sans doute lui prouver qu'on pouvait jouir sans queue, naturelle ou artificielle, bougeant dans son ventre. Et il y eut un moment où ce fut effectivement le cas, Lisa poussa un cri, suivi par d'autres de moindre intensité, et éjacula, arrosant tout autour d'elle. Elles seraient bonnes pour se rafraîchir.
Ariana avait elle aussi atteint un point de non-retour, et elle avait, envie de jouir, à la fois pour se soulager et pour apaiser les tensions dans son ventre. Il y avait une option qui lui faisait terriblement envie, et à laquelle, elle le savait, elle n'allait pas résister.
Ce n'était effectivement pas facile, et pas commode dans la voiture, mais de la difficulté naissait l'excitation. Elle passa par dessus le levier du frein Lisa parut surprise un instant, et la surprise persista, preuve qu'une femme qui semblait aussi aguerrie qu'elle dans tout ce qui concernait le sexe pouvait encore découvrir des possibilités. Mais elle comprit bien où Adriana voulait en venir.
Cette dernière se posa sur la partie de sa jambe prise par la cuissarde. Ce fut avec un plaisir infini qu'elle sentit la béance de son sexe appuyer contre le cuir. C'était une chose d'avoir un contact au bout des doigts, une autre contre un sexe dilaté d'excitation, dont la dilatation permettait justement un maximum de contact. La sensation du cuir contre sa partie la plus sensible...Elle n'avait qu'un mot à dire...Une onomatopée plutôt...Hmmmmm...
Lisa la laissa faire, prendre son plaisir comme elle avait pris le sien. Il était vrai aussi qu'elle était repartie pour une seconde session, prenant cette fois les choses en main. Elle avait choisi de masturber ce gland clitoridien, en haut de ses lèvres, aussi long qu'épais. Adriana ne se souvenait pas d'en avoir vu de pareil dans ses relations avec des filles...Et la voir le masturber ajoutait une dimension supplémentaire à son excitation, la mettant dans un état qu'elle n'avait pas encore connu. Le visuel et le tactile se complétaient et la rapprochaient d'un orgasme dont elle savait qu'il serait explosif...S'il n'y en avait qu'un. La vision de ce gland clitoridien trituré était aussi hypnotique et obsédante que celle du frottement du cuir contre ses chairs ultra-sensibles, qui la brûlait, mais qu'elle n'aurait relâché pour rien au monde, qui faisait monter dans son corps un plaisir aussi intense que douloureux, qui la mettait sur le fil du rasoir, partagée entre l'envie d'un soulagement, et celle que ça continue indéfiniment. Mais il y eut bientôt un point de brûlure, plus intense que les autres, qui monta au creux de son ventre, qui s'étendit et auquel elle ne put pas résister, Comme elle l'avait anticipé, c'était fort, très fort, et elle se tordit au dessus du cuir de la cuissarde, éjaculant dessus, ses jus intimes ruisselant, badigeonnant quasiment toute la cuissarde de ses jus intimes, mais éclaboussant au-delà. Lisa fut emportée par l'orgasme de sa collègue et jouit elle aussi sans retenue, ses éjaculations achevant de tremper les deux femmes.
— Il est temps de repartir...On a des chambres réservées à l'hôtel, par deux. On se mettra ensemble. On pourra profiter de bons moments.
Rassasiée, au moins momentanément, Adriana se laissa glisser sur son siège. Ses vêtements étaient trempés, de la cyprine de la MILF ou de la sienne...Mais celle qui venait de redémarrer ne valait pas mieux.
Elle était surtout fascinée par l'état de la cuissarde, sombre de la cyprine qui l'avait marquée et qui, en coulant, avait humidifié d'une pellicule liquide le cuir jusqu'à la cheville. Incapable de se retenir, mais aussi parce qu'elle était consciente que sa partenaire accepterait tout, elle se pencha sur la botte, et pendant que Lisa maîtrisait le véhicule et progressait, elle lapa son propre foutre. Elle aimait se remplir de cyprine, elle aimait ce goût à la fois semblable et différent, selon les partenaires et le moment où elle avait été secrétée. Le temps d'arriver, sa salive avait remplaçé les jus issus des entrailles de sa collègue.
Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.
© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.
Commentaires du récit : Secrétaires de mairie partie 3
Aucun commentaire pour le moment
Histoire précèdente <<<