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Secrétaires de mairie partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 11/07/2025

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SECRETAIRES DE MAIRIE
PARTIE 2
UN MOIS PLUS TARD
Il était sept heures du matin, et David D., installé dans son bureau, passait en revue les dossiers que Lisa lui avait déposés le soir, avant de partir. Lui était à une réunion intercommunale.
Son recrutement avait été plus qu'une bonne chose. Elle avait été au-delà de ce qu'il aurait pu espérer. Bien au-delà de ses horaires, et bien qu'intervenant également dans une autre mairie, elle faisait la majorité de son emploi du temps ici, elle n'hésitait pas à venir très tôt, et rester tard le soir. Elle était redoutablement efficace. Et son collègue de la mairie dans laquelle elle intervenait aussi louait également ses mérites. Parmi les 11 personnes également recrutées, d'autres venaient chercher conseil auprès d'elle...
Et puis, il y avait le reste.
David D. était marié, à une très belle femme, et il se demandait comment il avait pu basculer ainsi.
En même temps, il n'y avait pas forcément à aller chercher très loin. Sa femme, si ravissante soit-elle n'avait aucune attirance pour la sexualité. Pour elle, faire l'amour était un acte purement reproductif. Elle avait voulu des enfants, très tôt, deux, ce qu'elle avait obtenu. Depuis, l'acte sexuel n'existait plus pour elle, et quand elle condescendait à faire l'amour, c'était non seulement très rare, mais aussi quand elle n'avait plus d'excuse à lui opposer. Acte sexuel qui se résumait généralement à une pénétration vaginale. Pas question d'envisager autre chose.
Ces derniers temps, David avait été tellement découragé par la posture de son épouse, qui, totalement passive, et ne prenant apparemment aucun plaisir, attendait qu'il jouisse, qu'il avait décidé de renoncer aux rapports sexuels avec elle. Ca n'était d'ailleurs pas vraiment un problème dans leur relation car ils s'entendaient parfaitement bien par ailleurs.
Le souci, c'était que David aimait le sexe, avait envie de rapports sexuels constamment, et rêvait de choses plus élaborées, mais aussi d'une partenaire qui soit active, qui ne soit pas un simple bout de viande attendant qu'il ait joui sans rien ressentir.
Et il y avait eu cette rencontre.
Comme quoi, la vie pouvait être belle parfois.
Si sa démarche avait été intéressée, elle aurait très bien pu ne pas donner suite, lorsqu'elle avait été finalement recrutée.
Ca n'avait pas été le cas.
Une semaine plus tard, elle revenait à la mairie. La secrétaire en titre, qui prenait sa retraite à la fin du mois, devait lui montrer tout ce qu'il y avait à faire.
A la fin de la journée, tout le monde était parti, elle s'était glissée dans son bureau, elle portait une jolie robe bleu ciel, courte et moulante, avec de belles cuissardes, elle s'était appuyée sur une étagère, se pliant en deux après avoir remonté la robe, sous laquelle n'avait pas de slip, juste des bas hold-up, et elle lui avait proposé, avec un regard qui disait qu'il pouvait lui faire ce qu'il voulait:
— Viens me fouiller avec ta grosse queue.
Il y avait eu sans aucun doute quelque chose de très animal qui s'était joué, et énormément d'envie et de frustration quand il s'était approché d'elle, en pleine érection, obnubilé par la vision de cette vulve nichée en haut de ses cuisses, toute gonflée, dont débordaient ses lèvres, et qui s'humidifiait, mouillant les chairs, car s'il était excité, elle l'était aussi. Elle tendit sa main droite en arrière, et l' ouvrit pour lui présenter un préservatif emballé d'alu. Il le déchira et en gaina sa queue gonflée de désir, avant de venir appuyer son gland contre ses lèvres. Oui, elle était tout sauf neutre, ça l'excitait tout autant. Il en eut pour preuve le jaillissement de mouille, puissant, qui vint pour partie tremper sa queue, le reste finissant au sol. Il poussa pour rentrer en elle, ce qui provoqua de nouvelles éjaculations autour de la verge qui remplissait petit à petit la muqueuse souple et chaude, merveilleuse gaine autour de sa queue.
Il rentra en elle, se retrouva complètement avalé, jusqu'à la racine de sa queue. Il poussa un soupir, immobile, se remplissant de ces sensations si fortes. Il sentit un mouvement, remarqua qu'elle se masturbait, frottant son gland clitoridien dans un mouvement circulaire, pour rajouter du plaisir, une caresse qu'elle continua tout le temps qu'il allait et venait dans sa vulve, la caressant et se caressant. Il la sentait vibrer. Elle ne s'offrait pas uniquement, si c'était le cas, par intérêt, mais pour avoir du plaisir...Ou alors elle s'offrait par intérêt, mais elle avait quand même du plaisir. Difficile de savoir au final. Mais ça avait peu d'importance. Ce qui comptait, c'était ce moment qu'ils partageaient, loin de tout, coupés du monde, et le plaisir qui montait en eux. Il sentait bien le corps de la jeune femme vibrer.
Après les premiers jaillissements, la jeune femme avait manifesté son plaisir d'une manière tout aussi humide mais différente. Un ruissellement intense mais continu, qui avait arrosé les jambes de la femme, sa queue, et le sol...Il faudrait passer un coup de serpillière avant de partir. La femme de ménage passait tôt le matin, David l'imaginait bien contemplant ce qui devenait une flaque, intriguée, y fichant les doigts, et comprenant que c'était de la cyprine.
Elle l'avait surpris—elle le surprenait toujours en ce qui concernait la sexualité, en expulsant d'elle sa queue, dilatée à l'extrême. Elle avait sans doute compris qu'il n'en avait plus pour longtemps. Elle avait, sans se retourner, les deux mains tendues en arrière, roulé le préservatif pour mettre sa queue à nu, et elle avait amené son gland dilaté entre ses fesses, quasiment tout en haut, mais un peu plus bas que la naissance du sillon, de sorte que sa croupe avale le gland. Sa main gauche avait glissé jusqu'à ses couilles qu'elle avait malaxé. Le sperme avait commencé à gicler, accompagnant un orgasme puissant, coulant dans sa raie, sensation chaude qui l'avait faite jouir elle aussi...Elle avait éjaculé, des jets puissants qui avaient trempé ses jambes et ajouté de la cyprine sur le sol.
Et puis...Il y avait ces moments ensemble, souvent tôt le matin ou tard le soir, qui permettaient à David de renouer avec une sexualité qu'il pensait avoir perdue à jamais. Dans le silence de la mairie, qui les enveloppait, un peu comme dans une cathédrale. Le plaisir, sans tabou, sans contrainte, c'est rare, et David avait totalement conscience de l'intensité de ces moments, tout comme leur côté éphémère. Il fallait en profiter tant que c'était possible.
Il avait le sentiment d'une réelle complicité entre eux.
Ce matin-là, il finissait de signer les derniers documents en repensant à sa tenue de la veille. Un tailleur mauve, jupe et veste. Sous la veste un soutien-gorge mauve lui aussi, assorti. Elle avait des bottes en daim, noires, avec des talons aiguille. Il aimait bien imaginer son dressing. Il voyait une série impressionnante de tailleurs, classiques mais infiniment sexy, et, tout autant, une belle collection de bottes. Il se demandait souvent, il ne lui avait pas posé la question, si les très beaux soutien-gorge, de la lingerie fine, qu'elle achetait, elle les prenait en ensemble, soutien-gorge plus culotte, ou si elle prenait uniquement le soutien-gorge, sachant que ce n'était pas forcément possible de les avoir séparément. Et au-delà, il se demandait si il y avait des moments où elle mettait un slip. Il ne se souvenait pas, depuis qu'elle travaillait ici, l'avoir vue autrement que cul nu. Il y avait-il d'autres occasions, d'autres opportunités, où elle passait une culotte? Ou avait-elle fait le choix de renoncer définitivement à masquer ses parties les plus intimes? Certaines filles par exemple ne mettaient pas de culotte quand elles portaient un collant, mais en mettaient le reste du temps. Il y avait au final beaucoup de questions qu'on pouvait se poser, sans forcément avoir des réponses.
Ses talons brisèrent le silence de la mairie. En entendant ce bruit, si familier, mais aussi si lié à elle, il y eut un shoot d'adrénaline et de désir dans son corps, et sa verge devint très dure. Clairement, il n'avait pas épuisé le désir qu'il pouvait ressentir pour elle. Un jour peut-être...Mais ce jour lui paraissait très loin.
Elle traîna quelques instants dans le bureau à côté. Il aimait ces moments de latence, d'attente, même si ça poussait son envie de la voir à un paroxysme.
Enfin, elle surgit dans la pièce.
Une fois encore, elle était flamboyante. Et ultra-désirable. Elle avait une chemise blanche, dont les premiers boutons n'étaient pas fermés. L'enjeu n'était d'ailleurs pas de créer un décolleté, mais plutôt la manière dont la lumière, selon comment elle se plaçait, permettait de voir A TRAVERS LE TISSU, et dessinait, sous des angles différents, une poitrine ronde, ferme, nue, et qui serait semblablement nue et offerte, quelle soit la personne qui regardait. C'était même sûr que certains ne verraient rien.
Ce serait par contre peut-être moins le cas pour le pantalon qu'elle portait. Un pantalon en skai qui dessinait son corps en collant à ses formes bien réelles. Il dessinait ses hanches, ses fesses et son sexe. Et puis la matière, à la base, était excitante.
Mais le plus excitant, au final, n'était pas vraiment là.
Elle tourna et retourna devant lui, histoire de bien l'allumer, comme s'il ne l'était pas assez.
Il y avait...
...Une fermeture éclair...
Une fermeture éclair pas seulement devant, une braguette classique, mais une fermeture éclair qui commençait devant, et finissait derrière...Au-delà des fesses...
Ou alors, si on changeait de perspective, elle commençait derrière, et finissait devant.
— Tu as droit à une série de gages, chaque fois que tu réussis, je descends la fermeture-éclair, ça te dit ?
C'était le genre de challenges qu'il aimait. Elle avait le don pour rendre tout excitant.
— La première descente est gratuite...On commence par derrière ou par devant, qu'est-ce que tu préfères?
— Devant...
Elle tira la fermeture-éclair vers le bas, sur un bon centimètre. Un bout de chair et sa toison. Elle lui avait demandé une fois :
— Tu me vois mieux avec ma toison ou le sexe rasé? Il y a toujours des options...
Il lui avait répondu clairement que pour lui, un vrai sexe de fille était garni de poils, et que c'était cent fois plus excitant de voir la fente d'un sexe couverte, entourée par des poils.
Depuis, elle avait laissé pousser et sa toison prenait de l'ampleur. Ca lui plaisait énormément.
Est-ce qu'elle avait une culotte dessous? Il ne se rappelait pas l'avoir vue avec un slip depuis qu'il la connaissait et qu'elle lui donnait son corps. Elle devait en avoir, au fonds d'un tiroir...Oubliés...
— OK, si tu veux en voir plus, il faut que tu me montres ta queue...
David avait bien remarqué, compris, qu'elle jouait avec lui, depuis le début, et qu'elle exerçait un ascendant total sur lui. Elle était secrétaire, lui maire et président de la communauté de communes...Mais dans cette intimité qui s'était développée entre eux, les rôles étaient renversés. Totalement. Il se soumettait à ses désirs, à ses manipulations...
Mais sans doute que, très simplement, elle lui donnait ce que jamais personne ne lui avait donné auparavant. Il avait été déjà marié une fois, avec connu bien des femmes, mais ça n'avait jamais été comme avec elle...Quelque chose de bien routinier...Sans surprise, sans excitation...Et là, c'était tout le contraire. Pour lui qui abordait la cinquantaine, une manière de revivre, de retrouver une seconde sexualité, ou plutôt de découvrir une sexualité comme il n'avait jamais connue, une sexualité riche et intense, hors des clichés et des normes, hors du poids moral. Il ne se souvenait que trop des femmes qu'il avait pu côtoyer et qui refusaient tout ce qui sortait d'une sexualité classique, ou et quand un simple cunni devenait un acte de perversion.
David tira sa queue de son pantalon et la présenta au regard de la secrétaire de mairie. Il était en pleine érection. Il n'était sans doute jamais aussi gros ni aussi long qu'à son contact. C'était qu'il la désirait terriblement, et ce désir ne s'était épuisé, et ne s'épuisait en rien.
Elle était la maîtresse du jeu, mais on voyait bien, clairement et vite, qu'elle ne pouvait pas rester impavide et qu'elle était troublée par ce qui se passait et ce qu'elle voyait.
En tout cas, elle ne trichait pas. Elle descendit la fermeture-éclair, et de plus qu'un centimètre, laissant voir, dans un trait vertical, la toison, jusqu'à ce qu'elle soit remplacée par le début des lèvres, entre lesquelles pointait la rondeur d'un gland clitoridien qui le surprenait souvent par ses capacités érectiles et sa taille en érection. Un de ses meilleurs souvenirs, c'était quand elle lui avait offert, très simplement son sexe en lui disant: 'Tu fais ce que tu veux avec, mais tu ne mets pas ta queue dedans...' Elle était calée sur le canapé, se laissant aller contre le dossier, sa robe en skaï retroussée sur un ventre toujours nu, et les jambes gainées de cuissardes grises...Il avait entamé un cunni, peu convaincu au début, avant de réaliser qu'il lui donnait un plaisir qu'il n'aurait pas imaginé qu'elle puisse avoir. Il ne savait d'ailleurs pas non plus aussi doué pour faire un cunni à une fille...Sa langue parcourant des chairs qu'il avait compris être ultra-sensibles, qu'il sentait sous sa langue gonfler, et avec des coulures de liquide qui étaient vite devenues des jaillissements.
Il n'avait pas choisi, au départ, de cibler son gland clitoridien, mais il avait été impressionné par la manière dont celui-ci, d'abord, invisible, s'était dévoilé, sortant de sous les chairs qui le cachaient, puis allongé, grossissant en même temps. David avait été fasciné, impressionné et avait eu l'envie, folle, décalée, peut-être, de le sucer...Comme il aurait pu sucer une queue, lui qui n'avait jamais sucé de queue. Quand elle avait senti sa bouche glisser sur lui, elle dont les réactions vocales étaient modérées avait lâché un cri, premier d'une série de petits cris, et ça avait été vraiment impressionnant, parce qu'il ne l'avait jamais vu auparavant lâchant tout, perdant le contrôle...
David avait senti son gland clitoridien grossir dans sa bouche. Prendre de la place.
Le ventre en feu, alors qu'il ne s'était pas jusqu'alors occupé de lui, il avait dégagé sa queue pour se frotter et soulager la tension qui était en lui. Assez paradoxalement, même s'il jouirait seul, même s'il ne rentrait pas sa verge dans la délicieuse gaine de son vagin, il savait qu'il y avait là du plaisir, un autre type de plaisir, plaisir très fort pour elle, plaisir pour lui de le caresser ainsi et de la sentir s'abandonner et éprouver un bonheur fou, plaisir de la voir et la sentir jouir, qui lui donnerait un orgasme d'autant plus fort.
Son gland lui remplissait littéralement la bouche quand elle explosa enfin, criant comme elle n'avait pas encore crié, il se dit qu'il espérait vraiment qu'il n'y ait personne dans la mairie, elle eut le corps secoué de spasmes, des spasmes forts, se tordant, éjaculant, le trempant une fois de plus, tandis que lui, à bout de souffle, la queue distendue, après un ultime va-et-vient sur sa verge, crachait des jets de sperme ultra copieux.
Il n'y eut pas d'autre gage. Elle s'approcha. La fermeture-éclair offrait encore une belle marge de progression. Elle lui proposa:
— Je veux que tu la descendes très lentement. Ensuite je viendrai m'empaler sur toi. Je me sens le sexe vide et j'ai envie qu'une queue me remplisse.
Ils se calèrent pour un moment de plaisir. Dans une harmonie que David n'avait jamais connu avant avec aucune femme. Elle avait tiré la fermeture-éclair jusqu'au milieu de son sexe. Il n'avait pas envie de l'ouvrir plus pour l'instant. Il vint toucher le gland clitoridien décalotté. Le frotta pour le faire gonfler. Elle gémit de plaisir. La mouille, pour l'instant au débit réduit, devint plus abondante, elle remplit l'entrée de son sexe, coula sur le Skai, mais aussi entre celui-ci et la chair. Il descendit sa main, son doigt glissa à la rencontre de la muqueuse délicate, se trempa de la mouille de la femme. Il attrapa l'accroche de la fermeture-éclair, descendit un peu plus bas, cette fois dégageant entièrement l'ouverture de son sexe. Il hasarda deux doigts en elle, et la caressa.
— Si tu continues, je vais jouir.
Il continua. Il voulait voir ce que ça donnait. Elle se cambra, cria, et cracha un jet unique et puissant de cyprine qui les trempa tous les deux.
Il tira la fermeture-éclair plus bas, arrivant sur la bande de chair lisse qui séparait ses muqueuses. Elle se retourna. Elle tendit la main en arrière pour attraper sa queue. Eut un frisson de plaisir.
--Hmmm, qu'elle est grosse...Il me tarde tellement de l'avoir dans le ventre et qu'elle me caresse dedans...
Il remonta petit à petit la fermeture-éclair. Légèrement courbée en avant, elle se masturbait. Il dégagea ses fesses un peu plus vite qu'il ne l'aurait sans doute du, appuya dessus du plat de la main, et il vint frotter sa muqueuse anale de sa langue...Elle cria.
— Tu veux me rendre folle aujourd'hui!!!
Des moments de plaisir comme ça, d'une telle intensité, David n'en avait pas connu avant et n'en connaîtrait jamais après elle. Une bonne raison de tenter de la garder aussi longtemps que possible près de lui.
Il continua jusqu'à ce que l'envie de sentir la gaine de son sexe autour de lui soit la plus forte. Il la retourna et elle vint glisser sur lui, après lui avoir passé un préservatif, récupéré entre ses seins, jusqu'à totalement avaler sa queue. Il aimait être pris et gainé par son sexe...Elle bougea sur lui, le caressant, jusqu'à ce qu'ils jouissent tous les deux, accrochés l'un à l'autre, dans une complicité qui comptait beaucoup pour eux, même s'ils auraient eu du mal à l'avouer.
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Histoire de JamesB

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