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Secrétaires de mairie partie 4

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 04/08/2025

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SECRETAIRES DE MAIRIE
PARTIE 4
Installée dans le mini amphithéâtre, la vingtaine de secrétaires de mairie écoutait le discours de l'homme qui leur expliquait l'évolution du cadre législatif du métier tout en prenant des notes...Et avec visiblement la tête ailleurs...Et pas que la tête. On disait souvent que l'une des qualités féminines essentielles, c'était de faire deux choses à la fois, et ça s'appliquait parfaitement ici. Adriana en avait la preuve directement dans la ligne de son regard: une grande blonde, très fine, mais qui ne manquait pas de charme pour autant, elle tenait en fait son charme de sa finesse cassée par des formes voluptueuses, fouillait la petite culotte de sa voisine de droite, avec qui elle avait apparemment, ou alors c'était une hallucination, des liens intimes. Une brune plus petite, avec, elle aussi, des formes voluptueuses qui était partagée entre le plaisir qu'elle pouvait éprouver et la nécessité de prendre des notes. Ce qu'Adriana admirait le plus, c'était son visage, impassible, alors que d'évidence, elle éprouvait du plaisir.
Elle avait une simple culotte de coton, noire, et, petit à petit, autour et entre les doigts qui la caressaient, le tissu devenait sombre de la mouille qui coulait.
C'était infiniment troublant, et il y avait sans aucun doute autant de mouille qui trempait sa petite culotte. Ca ne risquait pas d'arriver à Lisa posée près d'elle, mais dans un angle, hors axe, qui ne pouvait pas se repaître du spectacle, et prenait des notes avec le plus grand sérieux. Et de toute façon, elle n'avait pas de culotte...
Ce qui excitait le plus Adriana, c'était qu'on ne voyait rien. Ce qui est caché, et qu'on doit imaginer a cent fois plus de force. Elle ne savait pas ce qui se passait, mais elle pouvait l'imaginer cent fois. Ecrire cent scénarii sans savoir lequel était bon. Deux doigts qui frottent un gland clitoridien pour le faire gonfler...Ces mêmes deux doigts qui tournent sur des lèvres pour les faire gonfler...Ou qui glissent dans la délicatesse d'une muqueuse humide et qui se trempent des liquides les plus intimes qui soient...Un sexe de fille, d'abord clos qui s'ouvre, des chairs qui se gonflent...
Elle eut une frisson...
Elle aurait bien aimé que ce soit sa main qui soit dans le slip de la belle brune et qui la fouille.
D'ailleurs, la plupart des femmes présentes dans l'amphi, chacune avec son charme propre, était désirable. Autant de possibilités.
Ce qu'Adriana n'aurait pas imaginé, c'était comment les choses s'étaient déroulées depuis leur arrivée à toutes.
Des femmes entre 25 et 50 ans, qui ne se connaissaient pas, mais partageaient comme point commun d'avoir été recrutées tout récemment pour tenter, mais en vain, de combler un gouffre. Grandes, brunes, petites, rousses. Elles étaient arrivées toutes quasiment au même moment à l'hôtel et avaient fait connaissance. Ca aurait pu être froid, au contraire, elles avaient sympathisé. Elles s'étaient installées partie bar et avaient discuté de leur expérience. Chacune avait un passé dans le monde du travail, différent.
L'après-midi avait glissé et s'était dissous dans la soirée. Elles s'étaient éparpillées pour se retrouver pour dîner finalement ensemble.
Ca avait été dans la soirée, Adriana avait pu s'en rendre compte, que les filles s'étaient vraiment lâchées.
Qu'il y ait une attirance mutuelle entre certaines, c'était envisageable. La bisexualité lui semblait plus répandue que ne le pensaient certains. Mais là...A cause de l'alcool? Ça avait été l'explosion. Marquée en tout premier quand une belle rousse avait été chercher la bouche d'une brune installée à ses côtés avec qui la proximité s'était installée progressivement tout au long de la soirée. Bouche ouverte, elles avaient frotté leurs langues l'une contre l'autre, longtemps, et tous les verrous avaient alors cédé. La preuve la plus flagrante, Adriana l'avait eue tout près d'elle. Une des filles avait plongé entres les cuisses d'une autre, avec laquelle elle flirtait depuis un moment. La fille avait une jupe courte. Elle se souleva, et sa voisine plongea les mains sous sa jupe et descendit une petite culotte blanche, qui resta accrochée à une cheville, avant de plonger, bouche la première pour lui faire un cunni.
Elles avaient une salle à part. La soirée s'était prolongée, et l'une d'entre elles avait soufflé au serveur.
— Vous pouvez nous laisser finir la soirée seules?
Qui annonçait ce qui laissait entrevoir, mais elle ne l'avait pas compris, ce qui allait se passer dans les minutes à venir.
Lisa était à l'opposé d'elle. Elle se leva. Elle portait une belle robe de soirée, fluide, mais qui soulignait malgré tout ses charmes. Elle s'approcha d'Adriana. Alors que les couples se formaient, elle, elle n'avait flirté avec personne, mais au contraire, elle n'avait pas lâché du regard Adriana. C'était elle qui lui plaisait. Clairement, elle voulait continuer avec sa partenaire de voyage, peut-être parce que les moments lors du trajet avaient été bons. Et c'était vrai qu'Adriana n'avait pas envie d'une autre femme, même si les secrétaires de mairie présentes avaient toutes un charme certain.
Lisa se cala devant elle, attrapa l'ourlet de sa robe, qui lui arrivait en dessous du genou et remonta le tissu, se dévoilant. Le cuir de bottes noires luisantes, à talons aiguille, qui lui arrivait en dessous du genou, du nylon, cette fois pas d'un collant, mais des bas stay-ups, hyper excitants eux aussi, qui finissaient leur course à mi-cuisse,
Elle n'avait toujours pas de slip. Par contre, quelque chose était collé contre son ventre, et planté dans son sexe. Le soulevé de robe dégagea ce qui s'apparentait à une queue artificielle qui se mit à dodeliner devant son pubis.
Adriana examina l'objet avec attention. Il était marron, c'était du plastique, un type de plastique qu'elle ne connaissait pas, qui semblait à la fois rigide et souple, et reproduisait plutôt gauchement une queue. Ce qui n'empechait sans doute pas qu'elle puisse lui donner du plaisir.
Ce qui frappa le plus Adriana, cependant, ce fut de constater que le gode ne tenait pas avec le harnachement classique des godes-ceinture, mais qu'il était uniquement accroché à sa vulve, avec une partie plantée en elle, qu'elle découvrir plus tard, une boule qui, dessinée d'une manière particulière, devait sans aucun doute coller à la forme de l'intérieur d'un vagin pour pouvoir s'y ficher et y être bloqué.
Sans un mot, et alors que les autres couples s'adonnaient aux plaisirs saphiques, Lisa attrapa Adriana par la main, et elle l’entraîna jusqu'au divan posé près de la baie vitrée, qui donnait sur le parking, mais dont les rideaux avaient été tirés.
Le passage à l'acte fut très rapide. Lisa se laissa glisser sur le canapé. Elle avait accroché sa robe à ses hanches. La queue de plastique, collée contre son ventre était merveilleusement obscène et lui donnait un charme extraordinaire. Elle était plus que troublante, fille avec une queue, et Adriana, à cet instant, n'avait plus qu'une envie, qu'elle la prenne.
Il y eut une double conjugaison. Adriana avait une jupe noire et un slip dessous. Elle dégrafa la jupe, et fit glisser sa culotte, se retrouvant le ventre nu. Elle s'aventura sur le canapé. Lisa l'attrapa par les hanches, pour l'amener vers elle, se figeant un instant pour faire glisser une de ses mains vers son sexe, qu'elle trouva humide et ouvert. Elle la masturba doucement, faisant gémir la jeune secrétaire de mairie. Adriana, curieuse, au lieu de laisser simplement la jeune femme la caresser, tendit la main pour voir comment c'était sur le sexe de sa partenaire. Une tentative exploratrice pendant que la MILF la masturbait, frottant bien ses lèvres et allant dans l'entrée de son sexe, sans cependant se risquer plus loin. Elle sentit bien la manière dont la queue de plastique était fichée en elle, dont elle étirait la vulve mais aussi comme elle laissait passer les sécrétions vaginales de la secrétaire.
Lisa délaissa son sexe, qu'Adriana sentait béant, et l'attira vers elle.
Adriana avait déjà vécu pas mal de fois la même situation avec un homme, mais là c'était radicalement différent. Elle ne venait pas s'empaler sur une queue d'homme, mais sur la verge en plastique qu'une femme avait fiché en elle, pour lui donner du plaisir et en prendre. Ce qui la rendait vraiment folle c'était de se faire baiser par une fille pourvue d'une queue. Bien sur elle était artificielle et fichée en elle, mais dans ces moments de plaisir où l'imagination vacille, c'était comme si elle avait une vraie queue, comme si une queue lui était poussée. Et cette pensée la mettait vraiment dans tous ses états.
Les mouvements, les gestes, furent cependant quasiment identiques. Elle vint se caler au dessus de la verge de plastique, et, toujours tenue au niveau des hanches par Lisa, elle se laissa descendre vers le sexe dardé vers elle. Elle était tellement excitée que, tout au long de la descente, elle lâcha des jets de mouille qui vinrent humidifier et faire luire la surface sèche.
Elle continua de descendre, jusqu'au moment où ses lèvres entrèrent en contact avec le gland. Elle craignait, même si la tête de la queue était à présent couverte de mouille, que le contact soit rêche, mais au contraire, ce fut une grande douceur qui l'accueillit. Elle poussa un gémissement de plaisir, elle savait que ça allait être bon d'avoir cette queue en elle, tout autant que de se faire baiser par Lisa. Elle avait bien le sentiment que, quoi que Lisa tente, ce n'était jamais raté.
Elle se laissa descendre sur le membre, étonnamment doux et caressant contre ses chairs intimes. Un pur délice. Elle voulait l'avoir totalement en elle. La tête buta contre son utérus. Elle vérifia d'un regard. Elle était assise sur le pubis de Lisa, le sexe artificiel entièrement fourré en elle. Elle ferma les yeux pour laisser la sensation s'installer, celle d'être remplie.
— Le moindre mouvement, si faible soit-il, a un impact sur moi et me donnera autant de plaisir que tu pourras en avoir.
C'était dit. Elle glissa ses mains jusqu'aux fesses de sa partenaire, et se mit à la faire bouger sur la verge artificielle. Le plaisir de la caresse fut immédiat, très fort, détachant Adriana de ce qui l'entourait. C'était à la fois différent et semblable de la présence d'une queue d'homme dans son ventre. Déjà, elle ne risquait pas de tomber enceinte...Ensuite, la matière sans doute, c'était une caresse particulièrement douce, qui lui procurait un plaisir intense, fort, très différent sans doute de ce qu'elle pouvait éprouver quand une queue d'homme la fouillait.
Mais sans doute que ce qui la séduisait le plus, c'était de constater qu'effectivement, Lisa était aussi remuée par ce moment qu'elle. Il y avait bien un effet boomerang qui faisait qu'au plaisir qu'elle pouvait éprouver, correspondait son plaisir à elle. Deux plaisirs sans doute fondamentalement différents, mais dans une intensité proche.
Ça lui faisait plaisir, elle avait toujours eu ce côté voyeuriste, elle ne s'en cachait pas, de voir les autres jouir.
Et de les sentir jouir, car elle sentait bien sa partenaire trembler et frémir au rythme de la queue qu'elle faisait bouger dans la vulve...
Adriana voulut ralentir les choses mais elle sentit qu'elle approchait déjà, alors qu'elle aurait voulu que ça dure plus longtemps, de la jouissance. Elle cria, emportée par l'orgasme, sentant qu'elle éjaculait, aussitôt rejointe dans le plaisir le plus intense qui soit par Lisa, qui elle aussi se mit sa jouir, ses jaillissements de cyprine en partie bloqués par la présence en elle du socle.
Elle laissa son regard errer sur les lieux. Les filles s'étaient éclipsées, sans aucun doute pour prolonger ce qu'elles avaient amorcé ici.
Adriana se souleva doucement. Insatiable, elle avait encore envie que Lisa la fouille, et la fasse jouir. Mais rien ne se passa comme elle aurait pu le prévoir. Lisa arracha devant elle le gode dans un grand bruit de succion. Elle vit pour la première fois le socle. Une boule de forme irrégulière qui dégoulinait de cyprine. Celle qui restait de son vagin coula d'elle de manière abondante, trempant le siège. Un Niagara de quelques secondes.
A cause du volume de ce socle, mais aussi de l'excitation, son sexe était une béance rose.
Elle fit basculer Adriana sur le divan. Et vint glisser le socle entre les lèvres du sexe de la jeune femme. Il trouva sa place immédiatement parce qu'elle aussi était excitée et donc ouverte et lubrifiée, même si c'était moins marqué.
— C'est ton tour!
Elle eut du plaisir à se sentir remplie, mais ce ne fut rien comparé à ce qu'elle ressentit quand, pour lui montrer le pouvoir de la queue en plastique, Lisa la masturba doucement. Elle cria de plaisir, et un orgasme, certes moins fort que ceux qu'elle avait connus précédemment, la traversa.
— Tu vois ce que c'est....Allez viens, on va dans la chambre.
Certaines portes étaient entrouvertes, et, en avançant dans le couloir, Adriana eut des visions qui la tourneboulèrent. Une fille, allongée sur le lit, les jambes aussi ouvertes qu'elle le pouvait, pendant que sa complice de deux jours...Ou peut-être plus, lui léchait la chatte avec ardeur, lui donnant un plaisir qui se lisait sur son visage de manière tellement évidente...Dans une autre chambre, un 69 parfait, les deux femmes fouillaient la vulve de l'autre de la bouche, toutes entières dans les replis les plus intimes de l'autre et dans le plaisir...
Pour elles, ça se joua autrement. Quand elles furent dans leur chambre, Lisa glissa sur le lit à quatre pattes, offrant à Adriana un spectacle qui ne pouvait la laisser indifférente. Son cul tendu vers elle, tout entier offert, de cette croupe charnue ouverte sur les plissements de son anus à cette vulve béante, dégoulinante de ses liquides intimes. Elle se retourna et lui dit:
— Tu peux la mettre où tu veux. Tout ce que je souhaite c'est que tu me baises bien!
Il n'y avait plus rien à penser, simplement l'évidence d'une envie, partagée, et celle aussi que les moments de sommeil seraient courts cette nuit.
Elle s'approcha de la jeune femme et vint poser le pénis artificiel entre ses lèvres, avant de pousser pour rentrer. Lisa poussa un gémissement lors de la pénétration, et Adriana put elle vérifier que oui, le gode avait un effet en retour dévastateur.
Elle se mit à la fouiller, Lisa perdant tout contrôle, mais ayant quand même le temps de lui dire :
--Quand tu auras bien fouillé ma chatte, je veux que tu m'encules !
Le bilan était inévitable. Beaucoup de sexe, peu de sommeil. Le lendemain, heureusement le centre de formation était tout proche, elles n'étaient pas en grande forme. Mais ce n'était apparemment pas le cas non plus des filles qui les rejoignirent, et semblaient aussi exténuées.
Elles avaient toutes bien profité de la nuit.
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Histoire de JamesB

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