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Sexe à l'étage partie 1

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Lue : 1729 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/05/2021

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Il était dix-sept heures quand j’ai quitté l’appartement.
—C’est ton dernier cours?
—Je passe l’examen après demain. On va faire une séance ultime…Elle me fait travailler sur des sujets d’entrainement.
—Heureusement que tu l’as trouvée sur la route. Tout le monde dit qu’elle est remarquable, et elle t’a énormément aidé.
—Si je réussis, ce sera grâce à elle, je le sais bien.
J’ai tourné la tête. Je ne voulais pas qu’elle lise la tristesse sur mon visage. J’avais du mal à admettre que je ne verrais plus Marie-Annick à l’avenir. Et pas seulement parce qu’elle m’avait permis de passer d’un niveau médiocre à la certitude que j’allais réussir mon examen.
J’ai quitté l’appartement, et je suis parti la rejoindre.
Cela faisait plusieurs années à présent que j’habitais ici dans le logement de fonction réservé aux gestionnaires du centre de formation. Mes parents étaient tous les deux administratifs et le centre recevait chaque jour des dizaines de personnes à former, dans des domaines très divers, qui avaient tous à voir avec les métiers de l’industrie.
Moi-même, j’avais suivi une filière très différente, scientifique, que je poursuivais ailleurs. Trois fois par semaine, j’allais suivre des cours. Le reste du temps, je buchais comme un malade, dans le but de réussir mes examens de fin d’année qui me permettraient, je l’espérais de valider mon diplôme et de commencer à travailler en entreprise. Encore six mois et je verrais enfin le bout du tunnel.
J’avais fait la connaissance de Marie-Annick il y avait deux ans de cela. Je m’étais rendu compte que j’étais mauvais en langue, j’avais choisi l’espagnol pour ces quatre ans d’études qui devaient me permettre de devenir ingénieur, et je voulais à tout prix compenser cela. Je ne voulais pas échouer parce qu’il me manquerait un point ou deux.
J’en avais parlé à table. Quelques jours plus tard, mon paternel m’avait dit:
—On a une jeune prof d’espagnol qui serait d’accord pour te donner des cours. Ca se passerait bien entre vous, elle a juste quelques années de plus que toi…Elle est jeune et dynamique…Ecoute, je te propose de passer la voir quand tu es à la maison…Tiens, je t’ai photocopié ton emploi du temps…
C’était comme ça que le lendemain, je m’étais présenté au moment d’une récréation devant sa salle. J’étais arrivé juste avant que ça ne sonne. Un flot d’élèves étaient sortis de la salle.
Je m’étais présenté dans l’encadrement de la porte. Elle ne m’avait pas entendu arriver. J’avais eu la première vision de sa personne, une première vision qui avait sans doute été comme un signe annonçant ce qui allait venir, même si je ne l’avais pas pris comme ça. Se pensant seule, elle remontait son collant, qui avait sans doute descendu. Elle avait retroussé sa jupe, la passant dans la ceinture de cuir qui entourait sa taille, et elle tirait sur le lycra qui la gainait, pour remonter ce qui était descendu.
Elle ne portait pas de slip sous le collant, et comme elle était de trois-quarts, j’ai eu le temps d’apercevoir, très brièvement, le triangle d’une toison, ainsi que le renflement de son sexe.
Concentrée sur ce qu’elle faisait, elle ne m’avait absolument pas entendu. Elle a laissé retomber la jupe noire et courte, de son ensemble jupe/veste, et ce n’est qu’après qu’elle a réalisé que j’étais là. Elle est devenue toute rouge. Mais rien ne disait après tout que j’avais été le témoin de la remontée de collant.
—Bonjour, je m’appelle David B…Pardon de vous déranger…
—David, oui, rentrez, n’hésitez pas…Je suis enchantée de faire votre connaissance. Votre papa m’a parlé de vous…Si je peux vous aider, ce sera avec plaisir.
Le temps d’une récréation, j’ai pu prendre la mesure de sa personne. Sans doute que, même si je ne m’en suis pas rendu compte immédiatement, je suis tombé sous le charme. J’avais 22 ans, elle devait en avoir 28 ou 29 et, elle n’en était sans doute d’ailleurs pas forcément consciente, elle avait beaucoup de charme. Son visage était aussi délicatement dessiné que son corps était gracieux. Des cheveux blonds coupés plutôt courts, avec une frange, dégageaient un joli visage, légèrement maquillé. Son tailleur, une tenue forcément sage pour sa profession, mettait quand même en valeur un corps dont j’avais eu un aspect plus poussé de la féminité.
Elle m’a proposé qu’on se voie, en comparant son emploi du temps et le mien deux fois par semaine, dans cette même salle, une fois qu’elle aurait fini ses cours.
Et donc deux jours plus tard, je la rejoignais. Je lui avais amené mes travaux. Guère convaincants, c’était une évidence. Elle m’a proposé qu’on reprenne tout à zéro. De la grammaire, du vocabulaire, des exercices.
Je l’ai tout de suite appréciée. Elle était calme, patiente.
Et puis j’appréciais énormément son charme. En fait, j’étais constamment dans le décalage entre ce qu’elle était et ce qu’elle aurait pu être. Elle était forcément neutre, or je la voyais beaucoup plus sexy je l’imaginais avec des tenues plus moulantes, beaucoup plus maquillée. C’était un jeu dont je ne me lassais pas.
C’est au bout de trois mois qu’elle m’a jeté, on venait de finir une heure de leçon, et ce qu’elle m’enseignait commençait à porter ses fruits:
—Tu sais, ça se voit, enfin c’est une question d’intuition féminine, que je te fais fantasmer. Ca me fait toujours plaisir, remarque. C’est vraiment très flatteur.
Ca avait été à mon tour de rougir.
Je ne sais pas ce qui lui était passé par la tête, quand elle m’avait dit:
—Ca fait trois mois qu’on travaille ensemble, si tu veux je t’accorde un petit plaisir. Une récompense. C’est une parenthèse.
faisant basculer soudain sur notre relation sur autre chose. Je m’étais rendu compte que j’avais pensé tourner certaines idées dans ma tête, mais je n’étais peut-être pas le seul.
Je savais ce que je voulais. Sans doute même que j’y pensais depuis le premier jour.
—Quand je suis arrivé, le premier jour, tu ne t’en es pas rendue compte, tu remettais ton collant en place. Je vois que tu en portes un aujourd’hui. J’aimerais que tu soulèves ta jupe et que tu me laisses te regarder.
C’est sorti comme je le pensais, et je l’ai regretté quasi immédiatement. C’était venu du coeur, ou du ventre, c’était en tout cas ce dont j’avais envie.
Elle a souri.
—Tu es un petit cochon, dis donc…Enfin, si c’est ce qui te plait…
Je dois dire que je ne pensais absolument pas qu’elle accéderait à ma demande. Qu’elle dirait non, et qu’on continuerait sur notre lancée.
A ma grande surprise, elle est venue se camper devant moi, et elle a soulevé sa jupe. Elle portait très souvent des tailleurs jupe/veste, parfois pantalon/veste qui la mettaient en valeur, avec un côté sensuel dont elle n’avait pas forcément conscience. J’avais le sentiment qu’elle se sous-estimait, et qu’elle sous-estimait ses charmes.
Je me suis dit qu’on devait avoir atteint déjà un certain degré d’intimité pour qu’on en arrive là. Qu’elle puisse ainsi soulever sa jupe et me donner à voir ce qu’il y avait à voir en dessous.
Elle portait aussi ce jour-là un collant. Sans slip dessous.
—Tu ne mets jamais de slip sous un collant?
—Ca se suffit à soi-même, tu ne penses pas?
—Oui on peut dire ça.
Cette fois, je pouvais en prendre plein les mirettes, aussi longtemps que je voulais. Ses jambes, bien dessinées, mises en valeur par le nylon qui les gainait. Le collant montait sur son ventre, s’arrêtant à son nombril. Elle n’avait pas de culotte dessous, il n’y avait pas une partie du collant qui faisait culotte, comme c’était parfois le cas, pas d’empiècement pour masquer sa chatte. Je la redécouvrais, et je la découvrais en même temps. La toison qu’elle avait conservée, qui disait que sa couleur de cheveux était sa vraie couleur, un blond cendré, la pente naturelle et émouvante de son pubis, le renflement marqué de son sexe, coupé en deux. La différence marquante entre la première fois où je l’avais vu et aujourd’hui, c’était qu’il y avait un bout de lèvre qui en sortait.
On aurait du s’arrêter là, et à vrai dire, je n’attendais rien de plus, mais elle m’a dit:
—Si tu veux caresser, tu peux, mais pas sous le collant. A travers. Dessous, ça sera une autre fois.
C’était Noel avant l’heure. Je n’en avais pas espéré autant. J’ai même hésité un instant. Mais mon envie l’a emporté.
J’ai posé la main au niveau de son genou. Immédiatement, deux sensations ont afflué, qui m’ont rempli, la chaleur intense de son corps, et l’électricité du collant. J’ai fermé les yeux, me laissant aller au plaisir de cette sensation. Je suis remonté le long de sa cuisse.
Elle avait son visage baissé vers moi, et elle me souriait avec bienveillance. Mais j’étais bien conscient qu’elle éprouvait du plaisir. Le signe le plus manifeste, c’était sans doute que, sous mes yeux, enfermé dans le lycra, son sexe évoluait de manière manifeste, se dilatant, d’évidence, s’ouvrant, ses lèvres sortant d’elle et s’étendant en dehors d’elle. En même temps, ses sécrétions vaginales commençaient à sourdre d’elle, qui faisaient ses chairs brillantes, tout autant que le nylon.
Je suis venu sur la plénitude de sa cuisse, puis j’ai glissé sur son ventre, au niveau de nombril.
—Tu peux me caresser le sexe, je ne t’en empêcherai pas, elle m’a rassuré.
Je me suis dit que c’était vraiment étrange que nos relations aient évolué ainsi. Il n’y avait pourtant pas eu de signes tangibles, et je n’avais pas perçu qu’elle puisse avoir envie que je me livre sur elle à des gestes tels que ceux auxquels je m’adonnais à présent. Mais c’est vrai qu’on ne lit jamais dans l’esprit des gens.
Je suis descendu sur son pubis. Je tremblais un peu. J’ai perçu au bout de mes doigts la masse de ses poils, comme un coussin délicat. J’aurais aimé passer mes doigts au milieu, mais il était clair que je ne me sentais pas d’enfreindre la consigne qu’elle m’avait donné.
J’allais arriver sur son sexe quand j’ai perçu quelque chose. Le couloir était silencieux, mais j’ai senti une présence, alors même qu’il n’y avait aucune trace, aucune ombre sur le vitrage opaque. J’ai retiré ma main. Elle a compris tout de suite, baissant sa jupe, et se rasseyant.
Bien nous en avait pris. La porte de la salle s’est ouverte, et une femme de ménage, son chariot à côté d’elle, enveloppée dans une blouse bleue a fait son apparition.
—Oh pardon, je ne savais pas qu’il y avait quelqu’un.
On s’est regardés. On avait eu chaud. Pour ce soir, l’expérience était terminée.
Je n’imaginais d’ailleurs pas qu’il puisse y avoir une suite. Pourtant, quand je suis arrivé, deux jours plus tard, sur le coup de quatre heures, elle rangeait ses affaires. J’ai pensé qu’elle regrettait ce qui s’était passé et qu’elle ne voulait plus qu’on se voie. Au lieu de cela, elle m’a dit:
—Viens, on va monter au dernier étage. On sera plus tranquilles.
Je connaissais les lieux, j’y avais joué quand j’étais tout petit. Le dernier étage était un étage à part, en effet, il n’avait pas été aménagé en salle de cours. Les pièces qui s’alignaient étaient utilisées à des fins diverses. On y entreposait du matériel, je le savais. Certaines étaient vides.
On a pris l’escalier. Elle était devant moi. Même avec la contre-plongée, je n’arrivais pas à voir sous sa jupe courte plus haut que ses cuisses. Elle a résolu le problème entre le dernier étage officiel et le vrai dernier étage avec un geste audacieux. Parce que nous étions à l’abri des regards, elle a soulevé sa jupe, avec une impudeur dont je ne l’aurais pas cru capable. Sous un autre collant, j’ai aperçu ses fesses nues, deux fesses rondes, charnues, bien rebondies, dont ses escarpins avec des talons hauts sans l’être trop accentuaient le galbe, et, niché entre ses cuisses le bourrelet de son sexe.
On a fait l’escalier comme cela, elle tenant sa jupe, moi le regard rivé à cette croupe.
L’escalier arrivait pile au milieu du couloir. Elle m’a entrainé sur la gauche, jusqu’à s’arrêter devant une porte. Elle a pris une clef sur son trousseau.
—Ici, on sera tranquilles.
La pièce était en effet vaste. Il y avait du mobilier qui avait été déclassé, une grande table au milieu, des chaises, et un grand divan dans un coin.
—Dans mes heures de trou, je viens travailler ici. Je m’y trouve au calme. Ce sera bien pour nous deux.
Je me suis demandé si cela impliquait simplement qu’on travaille ou qu’on aille au-delà.
Elle a fermé derrière nous et elle est venue répondre à ma question en se postant juste devant moi.
—C’est bien de finir ce qu’on a commencé, non?
J’ai ramené ma main à l’endroit précis où je l’avais deux jours plus tôt et je suis descendu sur son sexe. C’était une situation nouvelle, pour une raison précise: si deux jours plus tôt mes caresses avaient eu le temps de l’exciter, là, il était encore totalement clos. Il n’y avait même pas un bout de lèvre qui dépassait.
Je suis venu tourner sur elle, me remplissant des sensations qu’elle me donnait, mais aussi de l’évolution de son sexe.
J’ai été ému, je crois de ce contact avec le relief de son sexe, son gonflement, la fente qui le coupait en deux. Alors que je la caressais, j’ai senti que ses chairs s’ouvraient, et qu’elles se projetaient contre la paume de ma main. J’ai bien perçu aussi le premier jaillissement de liquide, puissant, suivi par un écoulement continu, mais moins puissant.
Je l’ai caressée doucement…Elle semblait trouver ça bon, gémissant et se cambrant…Elle a fini par attraper ma main, et elle m’a fait la frotter de plus en plus rapidement contre son sexe. J’ai compris qu’elle jouissait quand elle s’est figée et cambrée, en lâchant un profond gémissement. Elle a lâché des jets qui ont inondé son collant, des filets de sécrétions coulant sur ses chairs.
Après, il a fallu reprendre les cours…Je crois qu’on avait tous les deux la tête ailleurs.
On avait en tout cas posé le schéma de ce qui est venu par la suite. On se voyait deux fois par semaines, il y avait bien sûr le travail, les révisions, l’apprentissage, et puis le basculement, sans transition, sur le sexe, comme une délicieuse parenthèse.
Il y avait entre elle et moi une sorte d’entente, aussi bien sur le plan de l’apprentissage que sur celui du sexe.
Des moments intenses, que j’attendais avec impatience, et qui laissaient des traces en moi. Ces moments tournaient en moi en boucle. J’étais hanté par tout ce qu’avaient saisi mes sens, et que j’avais enregistré.
Ce jour-là, il n’y a rien eu d’autre que cette caresse, mais les choses ont évolué dès le mardi suivant.
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