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Sexe à l'étage partie 2

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Lue : 1165 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 18/05/2021

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Les moments qu’on pouvait passer ensemble avaient pris une nouvelle dimension. ici, on était isolés, réellement tranquilles, et ça donnait une nouvelle liberté à notre relation. Ca nous a donné de la légèreté, de l’espace, le sentiment qu’on pouvait aller plus loin.
Cela n’empêchait pas qu’elle faisait son boulot, et moi le mien. Elle m’apprenait, j’assimilais. Mais il y avait ce basculement.
Elle s’est métamorphosée, devenant celle que j’aurais aimé qu’elle soit. C’était curieux comme le regard de quelqu’un pouvait conduire à une métamorphose. Sans être dans l’excessif, sa présence en ce milieu l’en empêchait, elle est devenu, d’une fois sur l’autre, et pour toutes les suivantes, nettement plus sexy. Des tenues plus près du corps, des manières troublantes, pantalons serrés, robes collantes, du cuir, du lycra, des top plus décolletés. Un maquillage sans doute plus marqué.
Elle était sur la ligne, à la frontière entre le sexy et l’indécent. Je me disais qu’elle devait troubler pas mal d’hommes.
Il n’y avait pas de formule parfaite, mais sans aucun doute, nos cours se partageaient entre le travail, et puis, une fois que l’essentiel était fait, le sexe, un sexe qui devenait plus audacieux, plus cru, ou peut-être fallait-il le voir comme un flirt poussé.
Il y a donc eu ce jour de la métamorphose, le jeudi, où, j’étais déjà installé dans notre nouveau repère, elle m’a rejoint avec un pantalon en vinyle extrêmement moulant, qui collait à ses formes, les magnifiant, sans qu’il semble y avoir un vêtement entre le pantalon et sa peau et un top orange qui était tout aussi collant. Elle m’a souri, et c’est vrai que dans ce simple sourire, il y avait la volonté, mais aussi la conscience de sa métamorphose.
On a commencé le cours. Elle a fini par me demander, entre deux exercices:
—Ma nouvelle féminité te plait? J’ai décidé de changer. Ton regard sans doute, sinon je serais restée plus fade. Je me laisserai plus aller à mes envies. J’avais refoulé pas mal de choses… Je sens qu’elles remontent moi. En plus, il y a pas mal de positif entre nous…
—Comme quoi?
—Tu progresses…Dans ton travail, et dans ton désir…
C’était certain qu’elle était métamorphosée. Sans cela, sans aucun doute, elle ne serait pas venue me caresser, me trouvant semi-érigé d’une érection qui ne voulait sans doute pas dire son nom.
Ici, contrairement à deux étages en dessous, on pouvait tout se permettre. J’en avais conscience. Elle aussi. C’est sans doute pourquoi elle a attrapé ma queue et elle l’a sortie de mon pantalon. Clairement, il y allait y avoir une parenthèse. Mais c’était bien comme cela.
Elle m’a caressé doucement, en me disant:
—J’avais plus ou moins tiré un trait sur ma sexualité. Pas mal de déceptions…Je ne pensais pas que ce serait avec toi qu’elle reprendrait vie. Tu vois la vie, ce sont des surprises permanentes…
Malgré cette pause dans sa vie sexuelle, elle savait caresser, et elle aimait caresser, et c’était sans doute vrai pour toutes les techniques sexuelles qu’elle pouvait mettre en oeuvre. Elle m’a masturbé savamment, dans une caresse par laquelle elle faisait monter la tension en moi sans me porter à mon paroxysme, jouant sur cette tension. C’était vraiment très bon, et je me suis abandonné à ce plaisir, sans d’ailleurs avoir besoin de chercher à contrôler ma jouissance, car elle savait précisément s’arrêter au bon moment. Elle tournait sur moi, allant de zone en zone, me faisant par exemple découvrir le plaisir d’une caresse appuyée sur mes couilles, partie sur laquelle aucune fille ne s’était aventurée avant. Ce n’était pas le cas de mon gland, mais elle avait une manière de le frôler, de l’ongle, qui m’a donné aussi un plaisir très fort. Je crois bien que je n’avais jamais été, masturbé par une fille, aussi gros, et que je n’avais jamais autant suppuré, une véritable inondation qui trempait ma queue mais aussi sa main.
Notre rapprochement a été teinté de particularités qui ont fait, sans aucun doute que je suis devenu accro à ce qu’elle me proposait, à son corps que je trouvais parfait, mais aussi à sa manière d’être, que j’adorais. Ainsi, alors que d’autres filles qui m’avaient masturbé allaient simplement au bout, en faisant des pauses, elle m’a dit, de sa voix qui vous entourait:
—Tu peux jouir maintenant…
Et c’est cette voix qui a déclenché ma jouissance. Je me suis laissé aller, encouragé par elle, ma semence sortant comme j’avais l’impression qu’elle n’était jamais sortie, on aurait dit qu’elle était capable de faire jaillir de moi des litres de sperme qui s’y seraient accumulés.
On s’est calés aussi ce jour-là sur un rythme binaire qu’on a gardé. Elle me donnait du plaisir, je lui donnais du plaisir.
Elle s’est redressée, et elle est venue se poser pile devant moi.
—Tu défais mon pantalon, et après tu fais ce que tu veux.
C’est avec de l’émotion, loin de ce qui s’approchait souvent d’une quasi indifférence quand j’étais avec certaines filles, on cherchait juste un moment de plaisir, rien de plus, que j’ai défait le bouton qui tenait le pantalon de vinyle à sa taille. En descendant la fermeture-éclair, j’ai eu la surprise de découvrir que, contrairement à ce que je pensais, elle avait dessous une culotte rouge, mais c’était sans aucun doute ce qu’on appelle de la lingerie invisible.
Le pantalon était aussi serré que collant, et j’ai eu du mal à le descendre, mais elle m’a laissé faire et prendre mon temps, et je suis parvenu à le tirer jusqu’à ses genoux. J’ai pensé que c’était un peu curieux que je l’aie d’abord vue le sexe nu, même si c’était sous un collant, pour ensuite la découvrir avec une culotte. Une culotte en satin, avec, au niveau de la bosse de son sexe, un renflement marqué, une tâche sombre, bien visible, bien large et qui disait clairement, au cas où j’aurais pu en douter que le trouble et l’excitation étaient partagés.
C’est avec une émotion qui faisait écho à celle que j’avais pu éprouver en descendant son pantalon que j’ai tiré la culotte vers le bas pour la mettre à nu.
L’excitation qui laissait son empreinte sur son sexe métamorphosait celui-ci. Rien à voir avec la vision du premier jour. Ses lèvres étaient toutes gonflées, et sorties d’elle, et l’intérieur de son sexe était clairement visible, son clitoris même, tout fin, sortait de sa gaine. Avec une envie immense, j’ai plongé sur elle, mes mains venant envelopper ses fesses, rondes, fermes et chaudes au creux de mes paumes, en même temps que je caressais son sexe, avec l’intention de lui procurer autant de plaisir qu’elle venait de m’en procurer, sans, d’évidence que ce soit le cas. Je me sentais bien malhabile comparé à elle. Pourtant, je suis quand même arrivé à la faire gémir de plaisir. Ses liquides sont devenus plus abondants, qui ont coulé dans ma bouche, me remplissant de son goût le plus intime et le plus enivrant. Je caressais doucement ses fesses en même temps. Elle a poussé une sorte de long soupir quand j’ai dardé ma langue pour la faire rentrer en elle. C’était une pénétration bien ridicule, c’est certain, comparé à ce qu’aurait pu faire une queue, mais elle a quand même à en juger par ses réactions, éprouvé du plaisir, déversant un véritable torrent dans ma cavité buccale. J’ai glissé mes doigts dans la fente qui coupait sa croupe en deux, et j’ai caressé doucement le fond du sillon, jusqu’à me centrer sur les plissements anaux, lui procurant apparemment un plaisir supplémentaire. Elle m’a d’ailleurs dit clairement:
—Continue à ma caresser la zone anale, ça me procure énormément de plaisir…
Elle a été effectivement emportée dans un orgasme qui résultait d’une action conjuguée sur ces deux zones, remplissant ma bouche d’un torrent de liquide.
C’est une semaine plus tard, et sans doute parce qu’elle pressentait ce qui pouvait se passer, qu’elle a posé les enjeux.
—J’ai envie de te proposer un défi.
On venait de venir nos révisions, et on avait basculé sur l’autre versant. Elle était assise sur moi et on s’embrassait simplement bouche contre bouche, langue contre langue.
—J’ai envie qu’on garde nos échanges tels quels jusqu’à ton examen. Ca fait deux mois, mais c’est bien d’attendre.
Je comprenais bien ce qu’elle voulait me dire.
—Je te propose une récompense à la mesure de la note que tu auras. Comme ça, ça te stimulera.
—Tu penses à quoi? je lui ai demandé, alors qu’elle allait chercher ma queue dans mon pantalon et qu’elle la masturbait doucement, la faisant durcir.
—Pour l’instant, il est hors de question que tu enfonces ton sexe en moi. Ca sera la récompense si tu réussis l’examen. Ca te stimulera, et puis il est souvent mieux d’attendre et de désirer que de passer à l’acte, même si ça peut aussi être très bon. J’ai nettement tendance à penser qu’anticiper et imaginer, c’est aussi parfait. Si tu as un seize je te laisserai venir dans mon sexe. Dix-huit, tu auras toute liberté pour rentrer où tu voudras. On fait un deal sur ces termes?
Je n’ai pas attendu avant de lui donner mon accord. Ca me plaisait de poser ainsi une échéance, que tout ne soit pas acquis tout de suite, qu’il y ait une attente, une excitation et un risque. Car je ne me sentais pas pour le moment d’avoir soit seize, soit dix-huit. Je tournais à douze, et elle me notait comme me noteraient les examinateurs. Ce serait une excellente motivation.
Et pourtant, je n’étais pas obsédé par l’idée de la pénétrer. Ce que nous faisions ensemble, ce flirt poussé, me convenait totalement. C’était déjà beaucoup.
L’imagination travaille beaucoup quand il s’agit de sexe, et c’était vrai que, dans des moments de solitude et de tranquillité, j’anticipais le moment où (je me disais que j’arriverais à avoir les notes convoitées, même si je doutais atrocement par moments)je glisserais en elle, imaginant ces deux options aussi excitantes l’une que l’autre, glisser dans sa vulve ou venir en elle peut-être d’abord dans son sexe, puis plus bas, ou simplement me planter dans sa muqueuse anale. J’imaginais ce moment, mon sexe glissant en elle, sa chaleur autour de moi, ses muqueuses m’enveloppant et me caressant.
Je savais bien pourtant que la réalité serait autre que tout ce que je pouvais imaginer. Mais rêver ainsi était une manière de rendre encore plus tangible notre relation. C’était construire un avenir possible, alors même que je me posais tellement de questions concernant notre relation. Il me restait deux mois avant de passer l’examen. Et ensuite? Un dernier moment, si j’avais ces notes et ce serait la fin? Elle avait pris une réelle importance pour moi, qui allait bien au-delà d’un simple rapport sexuel, même si c’était le biais par lequel nous nous étions rejoints.
Le dernier cours a eu lieu un jeudi. Le sentiment que quelque chose se terminait. Etait-ce parce que c’était ce dernier moment, dans cette salle où nous partagions des moments d’apprentissage, et d’autres plus intimes, qu’elle s’était faite particulièrement belle? Elle portait une robe magnifique, noire avec des fleurs blanches dessus, longue et fluide qui la magnifiait. Elle resplendissait.
Elle n’a pas empêché que nos bouches et nos corps se rejoignent une fois les ultimes consignes données. Elle m’avait donné les dernières copies corrigées. Aucune erreur…Ca me donnait à espérer…Je me suis dit que ce serait un beau doublé si j’arrivais à réussir l’examen et obtenir ce qu’elle me promettait. Mais je me suis assombri aussitôt. L’idée que nos chemins puissent diverger après ce dernier moment promis me démoralisait. Mais je n’avais pas eu le courage de lui parler de cela.
Elle est venue récupérer ma queue dans mon pantalon et l’a faite durcir avant de s’approcher un peu plus et de soulever sa robe. Dessous elle avait les jambes gainées de bas stay-up et une petite culotte blanche qui collait à son pubis et son sexe, souillée par ses sécrétions vaginales qui marquaient la culotte, à l’endroit où ses lèvres la tendaient, par une large tâche.
J’ai vécu ma dernière expérience d’un sexe sans pénétration, mais riche, varié, et troublant, quand elle a attrapé ma queue et qu’elle l’a amenée contre son slip. Contre mon gland les sensations ont tout de suite été très fortes, et j’ai du me retenir pour ne pas jouir sur le champ, un jaillissement de liquide pré-sécrétif venant poisser mes chairs et mouiller le coton du slip. Les sensations m’envahissaient, et étaient la cause de mon plaisir. La douceur lisse du coton, l’humidité qui avait trempé le tissu et les chairs en dessous, et au-delà le dessin de son sexe, l’ouverture sur son intérieur bien perceptible, tout autant que le relief de ses lèvres. Elle m’a fait frotter contre elle, et j’ai bien senti que, si je prenais du plaisir, elle en avait aussi, à la manière dont son sexe s’ouvrait contre de plus en plus, dont ses liquides intimes coulaient et rendaient la paroi de la culotte de moins en moins épaisse et de plus en plus transparente.
—Si tu as une bonne note, tu auras le droit de pousser le tissu sur le côté ou de le faire descendre, et de faire glisser ta queue entre mes lèvres. Je suis sûre que tu l’as déjà imaginé des millions de fois depuis que j’ai posé les enjeux. Mmmm. Ca sera bon pour toi mais aussi pour moi. Il faudra que tu la fasses rentrer lentement, millimètre après millimètre, pour qu’on ait toutes les sensations…J’y ai pensé autant que toi et je me suis caressée autant que toi…Ta queue me remplissant, frottant contre mes muqueuses…Je me suis un peu prise à mon propre piège, ça m’a fait autant fantasmer que toi.
Tout en parlant elle continuait de me frotter contre elle…J’ai explosé de jouissance, contribuant à finir de tremper le slip en l’arrosant de sperme. Pendant que je jouissais encore, elle a remonté mon gland plus haut, à hauteur de son clitoris, dont j'ai senti la trace à travers le coton, pendant qu’elle se frottait fébrilement pour se faire jouir.
—Et voilà, les cours sont finis. Mais si tu veux, on fera un debrief de l’épreuve.
Je suis parti avec une sensation étrange. Une période se terminait. Et je ne savais pas si elle pourrait ouvrir sur une autre, comme je le souhaitais.
Je dois dire malgré tout que j’avais une semaine et demi d’examens, intenses, et elle est malgré tout passée au second plan. Enfin pas totalement, parce que, je ne m’y attendais pas du tout, elle m’envoyait chaque jour, en particulier le matin, le midi et le soir, entre les moments d’examen, je lui avais donné mon calendrier, des mots d’encouragement. ‘Je pense à toi. Ca va bien se passer.’ Et il n’y avait pas que les mots…Il y avait aussi les photos de son anatomie. Des photos intimes. Avec à chaque fois le même message. ‘Pour te donner du courage.’ Elle déployait toute une gamme, ça allait du plus soft au plus hard. Des photos d’elle habillée, avec un tailleur, une jolie robe, sa bouche ou ses yeux en gros plan, ses seins sortis de son soutien-gorge, une série où elle était en petite tenue, slip et soutien-gorge, s’étant photographiée dans des positions diverses, aguichantes, puis plusieurs clichés de son intimité, close ou qu’elle entrouvrait avec ses doigts, soit qu’elle appuyait sur les lèvres, en présentant leur face interne, ou décalottant son clitoris, ou encore deux doigts glissés en elle pour s’ouvrir et me présenter son sexe de la manière la plus profonde qui soit.
Un encouragement et un réconfort, qui me donnait la force de passer ces moments difficiles.
Je suis enfin passé, c’était la dernière, par l’épreuve d’Espagnol. Le QCM m’a semblé très facile, et j’ai enchainé sur le résumé et la mini dissertation.
C’était fini.
On s’est retrouvés le soir même dans ce local où elle m’avait donné des cours pendant six mois. C’était la première fois que je la voyais en dehors des heures de présence classiques, et il régnait ici un calme étrange. Plus qu’à l’accoutumée, on avait le sentiment d’être seuls au monde.
J’étais arrivé le premier. Elle a surgi quelques instants plus tard, fidèle elle-même, en tailleur, avec quelque chose de lumineux, cet aura qui était le sien, si fort. Je me suis dit qu’elle m’avait énormément manqué. A son regard et à la manière qu’elle a eu de s’approcher de moi, et au baiser qu’elle m’a donné, j’ai compris que c’était quelque chose de partagé. Nos bouches se sont jointes, et nos langues accrochées pour quelque chose d’intense.
On a regardé les feuilles d’examen ensemble, et je lui expliqué ce que j’avais écrit.
—Ca me semble bien parti.
On s’est caressés longuement, nos mains glissant sur le corps de l’autre, sur puis sous les tissus. Je suis venu sur son sexe de ma bouche, ses sécrétions remplissant ma gorge de son goût, de ce liquide qui était comme un alcool précieux pour moi, puis elle m’a caressé avec sa langue, avant de dégager ses seins de son soutien-gorge et de m’en envelopper.
Elle m’a massé doucement, avant de dégager ma queue et de la faire remonter dans son décolleté. Un bon tiers apparaissait. Avec une langue habile, mais ça je m’en étais déjà rendu compte, elle a tourné sur mon gland, lapant mon liquide pré-sécrétif, jusqu’à ce que je jouisse…Mon sperme a jailli en traits épais, qui n’en finissaient pas, comme si j’avais attendu de jouir avec elle, retenant mon sperme… Alors même que je passais mon temps à me caresser et à me faire jouir en regardant ses nombreux sms…
—Regarde-moi jouir.
Je me suis reculé légèrement, et mon regard a glissé jusqu’à son sexe ouvert et trempé, pendant qu’elle venait faire tourner ses doigts sur son clitoris. Elle a joui très rapidement.
Il a fallu attendre encore deux semaines avant que je n’aie les résultats, ainsi que la fiche détaillée avec les résultats.
J’avais 18 en Espagnol.
Je suis sorti de la grande bâtisse où j’avais suivi des cours pendant deux ans et j’ai eu une surprise. Je lui avais certes donné l’heure à laquelle j’allais chercher mes résultats mais je n’avais pas pensé qu’elle serait là. Et pourtant, c’était bien le cas. Elle était de l’autre côté de la rue, appuyée contre un arbre. Elle m’a fait un petit signe.
J’ai traversé la rue, heureux de la retrouver, mais aussi de l’associer à ma réussite.
Elle était très différente ce jour-là. Sans doute parce qu’elle ne travaillait pas, et n’était pas en représentation. C’était la première fois que je la voyais en jean, avec un simple T-shirt et un perfecto. Mais ce changement de style lui allait bien.
Je lui ai tendu la feuille. Elle a souri.
—Je savais que tu étais capable du meilleur.
—L’enjeu était stimulant.
—Tu as prévu de quelque chose aujourd’hui?
—Rien de programmé.
—Allez, viens je t’emmène chez moi.
Elle ne m’avait jamais en effet, convié chez elle. On était toujours restés dans cette salle isolée. Fallait-il y voire le signe que nous pouvions basculer sur autre chose? Je me suis glissé à côté d’elle dans la Twingo. Dix minutes plus tard on s’arrêtait devant un petit immeuble de deux étages, et deux minutes après, elle me faisait pénétrer dans un petit appartement coloré et très féminin.
—Tu as envie?, elle a demandé, en venant se coller contre moi, faisant peser son corps contre le mien.
—Et toi?
—Je t’ai proposé ça sur le moment, et ça m’a fait mouiller pendant deux mois. Je me caressais en anticipant ce moment…Viens, je crois que je n’aurais pas pu attendre plus longtemps.
On s’est déshabillés mutuellement. D’habitude, je remontais une robe ou une jupe, là, il y avait du changement, de la nouveauté. J’ai défait le bouton qui tenait son jean à sa taille, et je l’ai tiré vers le bas, dévoilant un slip coloré qui est aussi descendu le long de ses jambes. Anticipant sans doute ce moment, elle avait , sans doute incongrus sous un jean, gainé ses jambes de bas stay-up, qui donnaient une autre dimension quand elle a été totalement nue, une fois que j’ai fait glisser le perfecto, passer le T-shirt par dessus ses épaules, et dégrafé le soutien-gorge. On était près d’un grand lit couvert d’un dessus pourpre. Elle a fait quelques pas vers la table de chevet pour récupérer une boite de préservatifs. J’étais raide de désir. On était arrivés à une concrétisation, et contrairement à ce que j’avais craint, je n’étais pas déçu que ce moment arrive enfin, craignant une déception, un décalage par rapport à ce dont j’avais rêvé. Au contraire, je savais que ce moment allait être dans la droite ligne de tous ces rêves humides qui avaient été les miens, de cet espoir qui trouvait enfin concrétisation.
Elle a déballé le préservatif et elle l’a fait glisser sur ma queue.
Elle a glissé sur le lit, et elle s’est mise à quatre pattes, sa croupe tendue vers moi, ouverte sur les plissements de son anus, et, plus bas sur sa chatte dilatée de désir. C’était la première fois que je la voyais dans cette position, et mon désir, déjà élevé, est monté d’un cran. S’il avait été un thermomètre, sans doute qu’il aurait monté vers le degré ultime, et qu’il aurait explosé, faisant jaillir le mercure, quand, tournée vers moi, elle m’a dit:
—Viens…
Sa voix, son regard, son attitude, m’invitant à rentrer en elle. Je me suis approché, partagé entre l’émotion et le désir. Ma queue, roide, a naturellement trouvé le chemin de sa vulve, la tête de ma queue venant entre les lèvres. Je me suis rappelé de cette promesse, qui avait valeur d’un désir partagé, et je suis rentré en elle aussi lentement que je le pouvais, me laissant envahir, après un passage à vide, par la sensation de son sexe autour du mien, une enveloppe chaude et douce dont le contact me procurait énormément de plaisir. C’était à la fois différent et semblable à ce dont j'avais rêvé, une continuité et une rupture, un plaisir moins fort mais aussi plus fort que ce que j’avais construit dans ma tête.
J’ai été jusqu’au fond d’elle. Je sentais que son corps vibrait de plaisir. On a vécu toute la dimension et toute la plénitude de ce moment qu’on avait attendu, elle autant que moi, au final, pendant deux mois. Nos sexes se caressaient mutuellement. Je m’efforçais de bouger en alternant le rythme, pour un plaisir encore plus intense.
Elle m’a dit, au bout d’un moment:
—Je crois que je vais jouir…
Phrase qui a été suivie par une espèce de long soupir. Je l’ai sentie se tendre. La meilleure preuve qu’elle jouissait, ça a été sans doute qu’elle a a arrosé ma queue de crachements de liquides. Ca m’a tellement excité de la sentir ainsi jouir que je n’ai pas plus retenir plus longtemps ma jouissance à moi. J’ai explosé, mon sperme remplissant le réservoir du préservatif et tapant contre ses muqueuses intimes, la faisant jouir à nouveau.
Mais j’étais encore tout dur de désir. Je me suis extrait rapidement d’elle, le préservatif était trempé par ses sécrétions, luisant et transparent, que j’ai remplacé dans les secondes qui ont suivi par un autre. Je suis revenu en elle, lui procurant encore du plaisir et en prenant, jusqu'à ce qu’elle me dise:
—Je t’avais promis carte blanche, et tu l’as, mais j’ai envie de te sentir aussi ailleurs en moi. Ca te dirait?
Elle a du sentir ce qui n’était pas vraiment de la réticence mais plutôt de l’hésitation. Et comprendre que, même si j’en avais très envie, je n’avais jamais encore sodomisé une femme. Elle a tendu le bras en arrière pour venir chercher ma queue, elle l’a retirée de sa vulve, et elle l’a remontée vers sa muqueuse anale. Quelques centimètres seulement. J’étais très épais, très long, dilaté d’avoir été longtemps en elle, et son anus me semblait vraiment étroit. J’ai eu peur de lui faire mal, pourtant, elle a appuyé mon gland contre ses plissements anaux, et j’ai glissé en elle sans heurt, jusqu’à ce qu’un tiers de ma queue soit enfoncée en elle. Elle m’a lâché, m’ayant ainsi fait compris que je pouvais la prendre par les fesses, et j’ai poursuivi mon chemin en elle tout seul.
La sensation était nouvelle pour moi, une sensation d’étroitesse contre mon sexe, tellement intense que j’ai joui une nouvelle fois, crachant des jets de sperme qui l’ont faite jouir à nouveau. J’avais tellement envie, pourtant, que j’ai continué à aller et venir en elle, m’enivrant de de ce nouveau plaisir.
Plus sans doute que quand je l’avais prise par la chatte, elle jouissait sans aucune limites. Je ne l’avais jamais vue comme cela, aussi pantelante et abandonnée. Il y a eu un moment, un tournant, où elle a été emportée par une série d’orgasmes, un effet domino, le premier entrainant les autres. Elle tremblait sous moi en haletant…Son sexe ruisselait, crachant des jets de liquide en continu. Son dernier orgasme et le mien se sont confondus.
On s’est glissés sous les draps, étourdis de bonheur.
—Et maintenant, on fait quoi?, j’ai demandé.
—L’an prochain, on pourra se voir plus librement, et autant qu’on voudra. J’ai donné ma démission ce matin, je suis recrutée par une boite privée qui forme les décrocheurs. Je serai à 20 kilomètres d’ici, mais je resterai dans cet appartement. Tu pourras venir autant que tu voudras et on pourra continuer cette relation qui m’apporte beaucoup, et dont j’espère qu’elle t’apporte autant.
Elle a tendu la main vers ma queue, pour vérifier son état.
—J’ai encore envie de sexe. Ca te dit un 69?
Elle n’a même pas attendu ma réponse, venant se placer sur moi et plongeant immédiatement sur ma queue qui, bien que j’aie joui plusieurs fois, restait obstinément raide. Elle m’a gainé de sa bouche avant de la faire glisser le long de ma tige dure, faisant monter un long frisson de plaisir. En guise de réponse, je l’ai attrapée par les hanches, et je suis venu poser la pointe de ma langue là où s’amorçait le sillon qui coupait sa croupe en deux, descendant jusqu’à cet orifice qui restait ouvert d’avoir été longtemps occupé par ma queue, une muqueuse rose sur laquelle je suis venu tourner, restant sur les plissements avant de me glisser aussi loin que je le pouvais en elle.
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Histoire de JamesB

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