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Sexe à la Banque Alimentaire partie 2

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Lue : 421 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 16/04/2020

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Je me suis glissé à l’intérieur. Si, il y avait deux ans de cela, j’étais arrivé si tôt, c’était parce que je voulais faire bonne impression. Aujourd’hui, c’était parce qu’ainsi, on avait un moment rien que pour nous.
Elle était dans l’entrée, seule pour l’instant, déjà occupée à préparer des colis. J’ai avancé vers elle, secoué comme toujours, quand je la voyais, par quelque chose qui me dépassait. Il y avait bien quelque chose de passionnel entre nous, alors même que pas mal de choses nous séparaient, à commencer par l’âge. Elle était habillée simplement et avec sensualité, comme toujours. Une robe noire simple, qui collait à son corps impeccable, avec de bottes noires à talon aiguille, hautes. Je me suis approché d’elle, nos bouches se sont jointes, nos langues accrochées, pour un long baiser qui aurait pu durer des heures. Elle a caressé ma queue à travers le tissu de mon pantalon, toute raide déjà.
—Allez, viens, on va partager notre moment à nous.
On avait certains rituels, comme celui de boire le café ensemble quand je venais, et de manger des croissants. Une base stable, alors que ce qui constituait le cœur de notre relation, la sexualité, était toujours changeant.
En deux ans, notre rapport l’un à l’autre avait été en constante évolution. Elle avait su me montrer que, le sexe ce n’était pas un banal coït, un vagin entourant une queue, ou une queue se glissant ans un vagin, mais une infinité de possibilités, et qu’on pouvait passer une vie entière à faire l’amour, sans jamais suivre deux fois le même chemin, non seulement parce qu’un acte n’avait jamais le même chemin, le même aboutissement, la même saveur, mais aussi parce qu’existaient d’AUTRES pratiques, que la plupart des gens ‘bien’ auraient honni, mais que ceux qui avaient l’esprit ouvert appréciaient sans tabou.
Ca avait été par vagues successives.
Quand nous nous sommes trouvés dans son bureau, un peu plus isolés, elle s’est tournée vers moi. Dessous, elle avait, comme c’était souvent le cas, un collant sans culotte, qui s’arrêtait au milieu de son ventre, et qui soulignait ses charmes, de ses jambes impeccablement dessinées, à ses hanches pleines, en passant par son ventre plat, qui partait en pente douce vers son sexe, déjà ouvert, et coulant, ses sécrétions ayant laissé des marques irisées sur le nylon.
—Quand je t’attends, le matin, ma chatte se dilate, et je mouille…J’ai toujours envie de me toucher…Tu vois, deux ans déjà, et j’ai du mal à me passer de toi…
J’aurais pu lui dire que c’était réciproque.
Elle a rabaissé sa robe, et on a pris le petit déjeuner, tranquillement, en discutant. C’était pour ainsi dire le calme après la tempête.
On ne s’est pas installés face à face, de part et d’autre de la table, mais côte à côte. Ainsi on pouvait manger et se caresser en même temps. On était mus par le même besoin, irraisonné et passionnel, de toucher l’autre, à la fois pour calmer nos envies et pour sentir qu’il était bien là, à notre disposition. Je suis venu, à travers le tissu de la robe, caresser ses seins, ses fesses, glisser sur son ventre, je me suis aventuré sur ses jambes, alors qu’elle promenait ses mains sur moi. Elle m’a défait, a mis ma queue à nu et est venue me masturber doucement, me laissant puis revenant. J’étais gorgé de sang, bien raide, comme toujours lorsque j’étais avec elle. Elle m’a parcouru de la pulpe de ses doigts, de ses ongles, même courts. Du jus pré-sécrétif sortait, coulait de mon méat, qui dégoulinait sur ma chair, et la trempant quand elle me caressait. Elle lapait ses doigts.
Nous étions partis, depuis quelques jours, sur une nouvelle pratique. La dernière gorgée de café bue, comme une incitation, elle est revenue se positionner dans son grand fauteuil. Avant de se laisser y glisser, elle a roulé sa robe à sa taille, a descendu son collant, puis elle s’est laissée partir en arrière, et elle a amené sa jambe droite sur l’accoudoir, s’ouvrant encore plus ainsi, même si son sexe était déjà dilaté et donc ouvert. Ainsi, j’avais une vue imprenable sur son intérieur, ses parois internes, toutes roses, luisantes de ses sécrétions, le bombement de son utérus au fond. Ses lèvres encadraient sa béance, épaisses et gonflées, et son clitoris disait son excitation, qui dardait.
J’ai approché ma main de sa béance, commençant par caresser le pourtour de son sexe, autant pour lui procurer du plaisir, m’en procurer, que parce que ça me permettait de tremper ma main de ses secrétions. Avoir la main ainsi lubrifiée, c’était une sorte de garantie que les choses se passeraient bien, mais il était fort probable que j’aurais pu agir même avec la peau sèche.
Elle me regardait faire alors que j’ai amené mes doigts au bord de sa béance. J’ai commencé par mettre le majeur, l’index…J’avais largement la place. Ce que je lui faisais, ça aurait été sans nul doute impossible avec une fille plus jeune, ou qui n’aurait pas eu le sexe d’Andrée. Capacité physiologique, ou conséquence d’une longue pratique, son vagin était une cavité large, chaude et accueillante.
Cela faisait une semaine de cela, on était ici dans ce même bureau, elle buvait un café, en milieu d’après-midi, on venait de finir, je l’aidais pour des tâches administratives, elle était debout devant moi, moi assis, je venais de finir la comptabilité, elle avait une autre robe, rouge celle-là, fluide et collante, et moi j’avais plongé la main dessous, ce jour-là elle avait une culotte, et moi j’avais la main dans sa culotte, et je la caressais. Je connaissais son corps, son sexe par cœur, mais je ne m’en lassais pas. Je voulais en profiter, parce que je savais qu’immanquablement, un jour, il y aurait une séparation.
—Si tu mettais un doigt dedans ?
Ca, je l’avais déjà fait. J’avais glissé un doigt, puis un autre dedans, et je m’étais mis à aller et venir.
—Et si tu mettais plus ?
Ca s’était fait tout seul…Un autre doigt, le quatrième…J’avais naturellement replié mon pouce, et j’avais eu la main entièrement en elle. De nouvelles sensations, intenses, qui m’avaient submergé et envouté, d’avoir autour de moi l’essence même d’Andrée, ce qu’elle avait de plus intime…La chaleur et l’humidité, un univers simple et complexe à la fois, je sentais des renflements, des creux, des saillies…Ses liquides qui coulaient sur moi…Au bout de mes doigts, aussi, ses parois internes, aussi délicates que de la soie…Mon regard avait glissé sur mon bras, au-delà de mon poignet, je ne voyais plus ma main, totalement engloutie en elle, main qui, d’abord malhabile, puis plus expérimentée, s’est mise à bouger, comme agissant d’une vie propre, et à la caresser. Elle a eu un de ces sourires qui signifiait que ce que je faisais lui plaisait.
—Je veux que tu me fouilles bien, et que tu me caresses longtemps.
On avait procédé comme ça, moi assis, elle debout, ma main en elle, explorant, puis caressant quand j’avais bien connu ce paysage interne…Il y avait eu un moment de latence, puis un basculement, soudain, elle s’était mise à trembler, à frémir…L’accélération de l’écoulement de ses liquides intimes m’avait fait comprendre qu’elle était en pleine jouissance. Elle s’était cambrée, et avait crié, en m’intimant :
—Continue, surtout, ne t’arrête pas, qui m’avait poussé effectivement à continuer de la fouiller. Comme cela lui arrivait souvent, elle avait eu plusieurs orgasmes, inondant ma main, et coulant le long de ses jambes, dans son collant.
Quand elle avait eu repris ses esprits, elle m’avait dit, alors que je lapais ma main, souillée des différentes couches de liquide qui s’y étaient déposées, fluides ou plus épaisses…
—Je vais m’occuper de toi…
Elle avait tendu la main vers ma queue, que j’avais mise à nu. Ramolissante, elle était sillonnée par les trainées de sperme qui venaient d’en sortir. L’expérience m’avait tellement excité que je m’étais joui dessus.
On en était à un nouveau stade aujourd’hui. Je maitrisais mieux la chose. J’avais bien vu dans des pornos des filles se faire pénétrer par des mains d’homme, mais c’était quelque chose que je n’avais jamais vécu. Je trouvais ça particulièrement excitant. On avait récidivé déjà plusieurs fois, ça nous plaisait autant à l’un qu’à l’autre. Et je me trouvais à nouveau la main plongée en elle, en terrain familier, caressant son intérieur, alors qu’elle se laissait aller à sa jouissance, frôlant ses reliefs et me glissant dans ses creux…Autant qu’être à l’intérieur d’elle et la caresser, ce qui me plaisait, c’était de voir comment elle réagissait, de sentir les frémissements de son corps, et d’observer les expressions de son visage. Ce que j’avais toujours aimé en elle, c’était qu’elle se donnait à la jouissance sans retenue ni faux-semblants. J’avais mis ma queue à nu, et je me masturbais, en même temps que je la fouillais.
—Retiens-toi, et je te donnerai ton plaisir après, elle a suggéré.
Elle, elle s’occupait de frotter son clitoris, qui, décalotté, sorti de la chair qui l’emprisonnait, était très long et très dur.
—Là ça vient, oh je sens que je suis entrain de jouir…
Elle s’est tendue, a lâché un gémissement, s’est tendue à nouveau, traversée par plusieurs orgasmes, coulant sur le fauteuil, et le long de ma main, se caressant le clitoris avec ardeur jusqu’à une totale détente.
Je me suis redressé et j’ai présenté ma queue distendue devant son visage. Elle avait plusieurs options. Elle a choisi de me masturber, avec cette habileté qui n’appartenait qu’à elle, sa main lente, rapide, puis de nouveau lente, tournant sur moi, venant exciter mon gland, jouer avec mes couilles, maintenant une tension, la calmant, puis la suscitant à nouveau, jusqu’à ce arriver enfin un point de non-retour, et que mon sperme jaillisse. Elle a ri, elle aimait ça, alors que ma semence partait, et maculait son visage et ses cheveux. Les éjacs faciales, j’avais toujours trouvé ça ridicule dans les pornos, mais les vivre, c’était autre chose. Ce qui me plaisait, c’était autant que la semence puisse atterrir au petit bonheur la chance, qu’il n’y ait rien d’écrit, de contrôlable, que de voir après son visage maculé.
On en était là quand on a entendu cette voix derrière nous, une voix claire, féminine, qui nous a dit :
—Bonjour ! Oh…Pardon…
A vrai dire, en y repensant, plus tard, je me suis rendu compte, mais il a fallu que je revienne en arrière, qu’une partie de moi, celle qui n’était pas concentrée sur mon rapport avec Andrée, avait perçu une présence, et qu’elle était là depuis beaucoup plus longtemps, peut-être même depuis le moment où j’avais plongé ma main dans le vagin d’Andrée, et qu’elle avait joué les voyeuses, se signalant au dernier moment.
Andrée et moi on l’a regardée tous les deux. La jeune femme qui se tenait devant nous était vraiment magnifique, dans tout l’éclat de ses vingt ans, un peu moins ou un peu plus peut-être. Elle était très grande, mais ça n’empêchait pas qu’elle avait un corps parfaitement bien formé, poitrine lourde, hanches marquées, cuisses pleines, fesses charnues et hautes comme je m’en suis rendu compte quand elle s’est retournée un peu plus tard. Elle était habillée simplement, un pull gris et un jean, qui la collaient et soulignaient ses charmes. La touche la plus érotique de sa silhouette, c’étaient des cuissardes qui gainaient ses jambes jusqu’à mi-cuisses.
Elle avait un visage bien dessiné, plutôt ovale, avec une bouche charnue, soulignée par un trait de rouge, et de grands yeux dans lesquels se lisait une détermination sans faille. Visage encadré par de longs cheveux blonds.
—Je suis passée…Je ne sais pas si c’est le bon moment…Je suis étudiante, j’ai du temps libre, et je souhaiterais devenir bénévole.
J’ai jeté un coup d’œil à Andrée. Une denrée rare. Une personne jeune.
—Approchez-vous.
On n’était pas encore vraiment présentables, pourtant ça n’a pas paru la gêner outre mesure. Andrée a très rapidement ramené sa jambe, elle s’est soulevée, sa robe est tombée, en même temps qu’elle remontait son collant. Elle avait encore, elle s’en est rendu compte, du sperme sur le visage, et elle a rapidement passé un Kleenex sur son visage, pendant que je me rajustais. La voir avait donné une nouvelle vigueur à ma queue.
Je me suis éclipsé.
—Je suis en bas, je vais vérifier l’inventaire.
Elles m’ont rejoint un quart d’heure plus tard.
—Deléanna va rejoindre notre équipe. Elle sera là demain matin. Tu lui expliqueras comment on fonctionne ?
C’est le moment de transmettre ce qu’Andrée m’a transmis.
Le dimanche matin, à présent, on ouvre aussi. En effet, pas mal de superettes sont ouvertes, et on ramasse de la nourriture auprès d’eux, qu’on va porter le lundi matin.
C’était le moment de fermer tout. Le samedi, généralement, il ne restait que nous dans le bâtiment. Je l’ai aidée à boucler portes et portails pendant que la ravissante blonde s’éloignait. J’ai tiré le large battant métallique qui fermait l’accès à l’entrepôt, et laissé mon regard glisser sur Déléanna qui s’éloignait. Les talons de ses cuissardes la cambraient et ajoutaient du relief à sa silhouette.
—Alors, elle te plait ?
Je n’ai pas répondu, soudain honteux. Un quart d’heure plus tôt, je ne voyais que par Andrée, et voilà que cette fille me faisait fantasmer.
—Elle a tout pour elle…Elle est jeune, fraiche…Je suis certaine qu’elle aussi elle aime le sexe, et que même à son âge, elle a pas mal d’expérience. Va, je ne t’en voudrai pas si tu te laisses tenter par elle…
—Pas question, j’ai répondu. C’est pas mon style. Tu me conviens parfaitement.
—Je ne suis pas jalouse. Tu peux avoir la jeune ET la vieille.
On s’est séparés sur cette phrase. J’y ai pensé toute la soirée. C’était une perspective qui ne me déplaisait pas. Chacune dans leur style, elles me faisaient fantasmer. J’avais tendance à penser que l’opposition entre elles n’était qu’apparente. Une jeune, une vieille, mais il y avait chez la ravissante blonde, j’en étais sûre, le même goût pour le sexe, un sexe riche et élaboré.
Je me suis endormi en me disant qu’il faudrait que je laisse les choses venir.
Le lendemain matin, j’ai eu une surprise à mon arrivée. Déléanna était déjà là. On est toujours dépassé par quelqu’un dans la vie. Je me suis demandé si elle était extraordinairement sérieuse, si elle voulait montrer qu’elle était sérieuse, ou si simplement elle voulait m’allumer.
En tout cas, elle avait tout ce qu’il fallait pour, et la voir a fait durcir mon sexe d’une manière incontrôlée. Mon père avait souvent une expression imagée, quand il voyait une jolie fille ‘Elle ferait bander un mort !’ Ca s’appliquait parfaitement dans cette situation. Elle était irrésistible. Appuyée contre sa vieille 205, elle tirait sur une cigarette, dans un geste nonchalant et teinté d’érotisme. Mais tout en elle était teinté d’érotisme. Elle avait changé de tenue. Une jupe plissée à tissu écossais, très courte, qui dégageait ses jambes gainées de nylon. Elle avait abandonné ses cuissardes pour des bottes noires, luisantes, plissées, qui lui arrivaient sous le genou. En haut, elle avait un chemisier blanc, semi-transparent, qui laissait voir un soutien-gorge rouge, sous une veste en jean.
Le Dimanche, généralement, Andrée arrivait plus tard, vu que nos tâches étaient limitées ce jour-là, même s’il y avait toujours à faire, on croulait sous l’administratif. Les tâches étaient limitées, je prenais la fourgonnette et je partais faire le tour des magasins ouverts.
Je suis descendu de voiture et je me suis approché.
—Prête à démarrer ?
—Il faut bien.
J’ai amorcé mon rituel du dimanche matin. La seule différence, c’était que d’habitude, j’étais seul, alors que cette fois-ci, elle était avec moi. Je lui ai proposé de garnir la camionnette de cagettes, pendant que je montais au bureau voir si on avait des appels. Souvent, il y avait des personnes qui nous contactaient, des particuliers, qui nous faisaient des dons…C’était effectivement le cas…Jean-François R…, un des soutiens de la BA me proposait de passer chercher 30 kilos de tomates chez lui.
Ravi par cette bonne nouvelle, je suis redescendu.
Déléanna était pliée en deux et en même temps plongée dans la partie arrière de la camionnette, occupée à ranger méthodiquement les cagettes. Ce faisant, elle dévoilait généreusement une bonne partie de son anatomie la plus intime, d’autant plus révélée par le double positionnement. La jupe était évidemment une jupette, très courte, et elle avait glissé, pour dévoiler les trois-quarts de ses fesses, qui étaient ce que promettait son jean la veille, charnues et rondes, fendues en deux par sillon profond, magnifiées par la position, mais aussi par la cambrure du bas de ses reins. Sous le collant, elle n’avait pas le soupçon d’une culotte, de sorte qu’on pouvait bien voir ses fesses nues mais aussi, parce qu’il n’y avait nul parement qui aurait pu le dissimuler, son sexe, niché entre ses cuisses, boursouflement coupé en deux par une fente dont sortaient deux lèvres que le nylon écrasait. J’ai fixé le spectacle, fasciné, en m’approchant.
—On va y aller…Je viens d’avoir une bonne nouvelle…Un jeune agriculteur qui nous fait cadeau de 30 kilos de tomates…On a aidé son père en d’autres temps, et il ne l’a pas oublié.
Je lui ai demandé si elle voulait prendre le volant. Elle m’a répondu qu’elle préférait me laisser conduire.
Au moment où je démarrais, elle s’est tournée vers moi. Une jambe restant en contact avec le sol, l’autre glissant, pliée, sur le côté, elle m’offrait une vue intégrale sur son sexe, sous un autre angle. Un triangle blond assorti à ses cheveux, et une fente ouverte sur ses lèvres.
—Est-ce que tu trouves que j’ai une jolie petite chatte ?
Je n’ai pas répondu, et je suis parti sur les départementales en direction de nos points de contact.
—Hier, j’ai tout vu.
—Tu as vu quoi ?
—Ce qui s’est passé entre vous. C’était bien. J’ai mouillé ma petite culotte.
—Ca ne risque pas d’arriver aujourd’hui, j’ai répondu.
—Je pourrais mouiller mon collant.
—Tout est possible.
—C’était…Très spécial ce qui s’est passé entre vous…
—Chaque sexualité est différente.
—Ca fait longtemps que vous êtes…Amants…
—Deux ans…
—Il y a une grosse différence d’âge entre vous…
—Quand on est attirés par quelqu’un, les différences n’ont pas d’importance…Au contraire, elles vont souvent renforcer une relation…
—J’aimerais qu’on me fasse la même chose, ou quelque chose d’approchant…J’adore le sexe, mais moi je n’ai pas la chance de connaître des moments aussi originaux…
Ca s’est fait très rapidement. Il y avait, dans son corps, sur son visage, quelque chose qui disait clairement qu’elle était toute entière en attente. Et en moi il y avait cette envie, depuis que je l’avais vue sur le seuil du bureau. Les paroles d’Andrée la veille me déculpabilisaient.
A force de fréquenter les départementales de la région, je savais qu’un kilomètres plus loin, il y avait une aire de parking. Par chance, elle était déserte. J’ai ralenti, et je me suis arrêté. J’ai coupé le contact et je suis descendu de voiture. Elle a bien compris ma manœuvre, débloquant la portière et se tournant pour m’accueillir, avec une expression joyeuse sur le visage. Elle a projeté son ventre vers moi, et s’est soulevée quand elle a compris que je voulais descendre son collant. Je suis venu le chercher à sa taille, et je l’ai tiré vers le bas. Une odeur forte de sécrétions intimes m’a enivré. Elle mouillait d’abondance, excitée par la situation. Son sexe était ouvert, chairs luisantes, lèvres gorgées de sang, qui s’étaient épanouies hors de sa vulve. En souriant, elle s’est calée dans le fauteuil, et s’est mieux offerte, venant poser une jambe sur le tableau de bord pour me donner accès à son sexe. J’ai plongé sur elle avec envie, venant parcourir son sexe de ma bouche, avec la volonté de lui donner du plaisir…Contrairement à ce qu’elle aurait pu souhaiter, sans doute, je ne me voyais pas lui faire ce que j’avais fait la veille à Andrée. Ca aurait été la trahir. Chaque relation impliquait pour moi des pratiques différentes.
Mais cela a semblé la satisfaire. J’avais caressé de nombreuses fois Andrée ainsi, ma langue fouillant son sexe. Ces deux années à son contact avaient développé en moi une habileté que je n’avais pas avant. J’ai bien senti qu’au fil des minutes, alors que je la parcourais, tournant sur sa chair exposée, elle perdait le contrôle, ce qu’elle n’avait peut-être pas imaginé au départ, et que le plaisir montait en elle. J’ai parcouru ses lèvres avant de venir sur son clitoris, qui s’était décalotté de lui-même. Fin et long, il se gorgeait de sang. Il n’avait rien à voir avec celui d’Andrée…Je l’ai travaillée un moment, sentant les soubresauts de son corps sous l’effet de ma caresse avant de glisser sur autre chose. Faisant darder ma langue, je me suis glissé en elle, la faisant rentrer aussi loin que possible pour la caresser, appuyant sur tout ce que je pouvais atteindre…Elle s’est mise à gémir, alors que ses jus coulaient dans ma bouche, me remplissant de son goût amer.
Au bout d’un moment, elle m’a dit :
—Descends sur mon anus…Je suis très sensible par là.
J’ai glissé sur un pan de chair lisse avant de me retrouver sur les plissements de son anus. Effectivement, elle était très sensible de ce côté-là, et elle m’en a donné la preuve très vite…Alors que je parcourais sa rondelle, elle s’est mise à gémir sans retenue, des gémissements qui n’avaient rien à voir avec ceux qu’elle avait libérés précédemment. J’ai senti sa muqueuse anale, close au départ, se détendre, et j’ai pu glisser en elle, dans un conduit plus étroit, dont je suis venu agacer la chair sensible. Elle avait amené ses doigts sur son clitoris, et elle le frottait d’une manière frénétique, alors que fouillais sa muqueuse anale avec plus d’intensité.
—Putain, je crois que je vais…
Le mot c’était sans doute jouir, mais elle ne l’a pas prononcé, poussant un cri et se tendant, alors qu’elle éjaculait comme un homme, crachant des jets de liquide qui sont venus me tremper.
—Tu ne fais pas les choses à moitié, j’ai dit en me redressant. Ca va être génial d’arriver devant nos contacts en puant les sécrétions vaginales.
—Bah, ils baisent eux aussi. Et s’ils ne baisent pas, ils sauront ce que c’est d’avoir du plaisir…
—S’ils sont jaloux on n’aura plus rien…
Je savais qu’il y avait une grande boite à l’arrière avec des chiffons. Je me suis épongé, alors qu’elle se rajustait. Elle s’est redressée, m’a rejoint.
—Je voudrais plus…Ta queue…Regarde, tu bandes…Tu vas rester tout dur toute la matinée…
—Tu vas un peu vite en besogne, non ? On se connait à peine…
—Tu sais, moi je pense qu’il faut profiter des bons moments quand on peut. Imagine qu’on ait un accident d’ici une demi-heure…
C’était très curieux…Je l’ai regardée. J’avais un sentiment étrange. Une accumulation de détails…Et puis non, je me suis dit que ce n’était pas possible…
—Allez, on y va…On n’est pas spécialement en avance.
J’allais remettre le contact quand j’ai eu un SMS d’Andrée.
Tout se passe bien ?
Elle m’envoyait souvent ce type de message, Une manière de veiller sur moi.
Comme tu peux l’imaginer,
j’ai répondu.
Mes hypothèses devenant des certitudes.
On a été visiter les supérettes, les épiceries. Je l’ai présentée. Comme une confirmation de son flamboiement, les hommes lui jetaient un regard de désir, alors que les femmes étaient plutôt dans la jalousie.
Les cagettes se remplissaient petit à petit.
C’est quand on est arrivé chez JF que les choses ont véritablement explosé. JF, on se connaissait depuis deux ans, était véritablement un beau garçon. Il y avait chez lui quelque chose de très attirant. Une présence. Des hommes plus beaux que lui n’en avaient aucune, lui, si, tout en étant bien gaulé, un beau visage aux traits équilibrés et un corps robuste, sans excès, aux muscles souples. Il s’était lancé dans le bio il y avait huit ans de cela, prenant la suite de son père qui lui était dans le conventionnel. Au prix d’un travail acharné, il s’en sortait bien, et approvisionnait nombre de supermarchés, de supérettes et d’épiceries bio en produits de qualité. Et il nous donnait régulièrement une partie de sa production en souvenir du passé.
Les kilos de tomates, bien rouges, nous attendaient.
Dès la première seconde, il s’est passé quelque chose entre eux. Une attirance mutuelle, réciproque. Ce qui s’était sans doute passé entre moi et Andrée. JF et Déléanna se sont regardés et ne se sont plus vraiment quittés des yeux.
On a discuté de tout et de rien, après que je lui aie présenté Déléanna.
—Le café est chaud…Ca vous dit ?
—Je vais charger, j’ai dit. Je vous rejoins.
J’avais conscience d’être plus ou moins l’instrument de ce qui s’est passé dans les minutes qui ont suivi. Il m’aurait fallu quelques minutes seulement pour charger les casiers, mais j’ai pris mon temps, faisant même une pause, en m’appuyant contre la camionnette pour laisser le soleil m’envelopper. Ainsi, ils auraient le temps de faire connaissance.
Une bonne dizaine de minutes s’étaient écoulées quand je me suis glissé dans la maison, avec précaution.
Je n’avais pas des capacités de voyance, mais s’était mis en place ce que j’avais pu imaginer. JF était debout devant la cuisinière en fonte, et il avait baissé, ou elle lui avait baissé son pantalon. C’était la première fois que je voyais sa queue, et elle valait indéniablement le coup, longue et dure, avec pour particularité d’être tordue sur le côté. Mais ça ne semblait pas gêner Déléanna qui la parcourait de sa langue avec avidité.
—Elle est belle ta queue.
—Je crois que je vais jouir, si tu continues comme ça.
—Pas tout de suite. On va essayer autre chose. Ce sera un gage pour l’avenir.
Elle a fait glisser son blouson, puis passer son T-shirt par-dessus ses épaules. Dessous elle avait un simple soutien-gorge, blanc, en dentelle. Sa poitrine, lourde, a éclaté de splendeur une fois qu’elle a amené ses mains dans son dos pour défaire l’agrafe qui maintenait le morceau de tissu en place. Elle avait vraiment une belle poitrine, volumineuse, ronde, et ferme, d’un galbe impeccable, avec de jolies aréoles roses. Suffisamment charnue, en tout cas, pour qu’elle puisse s’en servir d’un instrument. Elle s’est laissée tomber sur un tabouret qu’elle a attrapé, et elle a encerclé sa queue de ses seins. J’ai eu une pointe de jalousie. La cravate de notaire, c’était quelque chose dont on parlait beaucoup, mais qu’on faisait peu, et je me suis dit que ce serait quelque chose à explorer avec Andrée dans les semaines à venir. La queue avait totalement disparu entre ses seins, et elle la massait doucement. Elle avait une expression radieuse sur le visage, celle d’une fille qui a découvert tous les bonheurs que peut apporter le sexe et qui entend en profiter à fond tant qu’elle le peut. Elle l’a branlé doucement avec ses seins, avant de faire émerger un gland tout rouge dans son décolleté. Elle s’est penchée, a sorti sa langue pour la balader sur le gland…C’était tout bonnement irrésistible, et je me suis demandé comment JF pouvait tenir…Elle avait en tout cas, j’ai pu le constater, un très beau profil. Qui a été maculé de multiples traits de semence quand il a été incapable de tenir plus longtemps et il lui a arrosé de visage de tout son sperme.
On est repartis. La camionnette était pleine. Une matinée positive. On allait mettre tout le frais dans les frigos pour le redispatcher dès le lendemain.
Andrée nous attendait, sourire aux lèvres. Elle avait une jupe longue en vinyle, avec un chemisier rouge et un blouson en cuir. Irrésistible comme toujours. On a commencé à décharger. Elle m’a dit :
—J’ai fait de la paperasse…Je voudrais avoir ton avis sur un point…
On a laissé Déléanna finir de vider la camionnette. Je l’ai suivie jusqu’à l’étage, pensant qu’elle n’avait sans doute pas, comme au premier jour, de slip dessous. Sa croupe ondulait librement sous le vinyle. L’imaginer nue sous la jupe me faisait toujours autant d’effet.
C’est une fois dans le bureau que je lui ai dit :
—Tu sais, quand on va chercher de la nourriture comme le matin, on a le temps de réfléchir dans la voiture…Et tu vois…Depuis l’arrivée de Déléanna hier, j’ai le sentiment qu’il y a quelque chose qui cloche. Je le sens. J’ai un minimum d’instinct. Et ce matin, à force de l’observer, j’ai vu en elle quelques détails qui t’appartiennent à toi en propre. Pas physique, vous ne vous ressemblez absolument pas, mais dans votre personnalité. Deux femmes qui ont toutes les deux le même goût immodéré pour le sexe, mais aussi et surtout pour toutes ses variantes, tout ce qu’il a de plus riche, de plus subtil et inventif…
Andrée a souri.
—Elle tenait absolument à venir travailler avec moi. Oui, elle ne s’est pas présentée comme ma fille, mais elle ne tenait pas spécialement à ce que nos liens soient connus. Ici, elle veut être comme tous les autres, sans privilèges ni reproches. SI tu me l’avais demandé, je te l’aurais dit dès la première seconde, je n’ai jamais voulu rien te cacher. J’espère que tu ne m’en veux pas ?
—Absolument pas. Je garderai le secret.
On a regardé les papiers, puis je sui redescendu. Elle m’a demandé d’aller vérifier certains stocks. Ca me faisait tout drôle d’avoir mère et fille à proximité. L’une aussi attirante que l’autre.
J’ai compris en remontant que ce ne serait pas un problème.
Elles s’étaient calées l’une comme l’autre sur le divan, côte à côte, alliées et non pas rivales, et elles m’attendaient, s’offrant. Déléanna avait enlevé son jean et sa culotte, Andrée, elle, avait roulé sa jupe à sa taille. Me regardant, avec un sourire engageant, elles m’offraient leurs croupes charnues, ouvertes de par leur position sur leurs anus, et leur vulve, nichée dans leurs cuisses, dont s’épanouissaient leurs lèvres.
Le désir est monté en moi de plusieurs crans. Les avoir l’une comme l’autre, c’était une sorte de rêve qui se matérialisait.
Je me suis dénudé, le sexe dur, et je me suis approché.
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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Sexe à la Banque Alimentaire partie 2


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