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Sexe au cinéma

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Lue : 25896 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 26/12/2010

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Ce soir là, nous avions prévu d'aller, mon mari et moi, au cinéma.

Mais en rentrant de son travail vers 18h30, il était de mauvais poil et nous nous sommes chamaillés comme cela arrive de temps en temps à tous les couples.

Je lui faisais la gueule et comme à chaque fois, il tentait d'arranger les choses :

- Aller, on en parle plus, fais toi belle et on va voir ce film.

Mais cette fois-ci, je n'étais pas d'humeur à me réconcilier aussi vite et s'il croyait que comme à chaque fois cela allait s'arranger sur l'oreiller, alors là, il se m'était un doigt dans l'œil.

Vous connaissez les femmes... je m'étais décidé à abuser de la situation, j'allai l’allumer toute la soirée et puis arriver au moment venu je me refuserais à lui, cela le fera réfléchir et je vengerais mon égo.

Sitôt dit, sitôt fais, petite douche, parfum délicat, dessous plus que provoquant, escarpins à talon haut et petite robe vaporeuse au décolleté provocateur.

Le miroir reflétait une image de moi très sexy et glamour, j'étais sure d'atteindre mon but, l'exciter comme un fou et tan pis pour lui.

Ce petit jeu m'avait un peut émoustillée malgré moi, me préparer ainsi, imaginant son excitation avait fini par me chauffé légèrement le bas du ventre et me rendre un peut moite, mais j'étais néanmoins décidée à aller jusqu'au bout de mon stratagème.

En sortant de la salle de bain, j'ai aperçu son regard avec un léger sourire, d'une part, il me confirmait que je lui faisais de l'effet mais aussi qu'il croyait avoir réussi à m'apprivoiser et que sa soirée allait se passer comme il l'espérait.

Nous sommes donc allé au cinéma, il y avait du monde, dans la file d'attente, les regards des autres hommes sur moi me confirmaient l'attirance que je provoquais dans ma jolie robe.

La salle était déjà bien remplie, et l'ouvreuse à eu du mal à nous trouver deux places cotes à cotes, c'était dans les derniers rangs et je me suis retrouvée à coté d'un homme d'environ la cinquantaine, grisonnant, plutôt bel homme et qui me regarda de la tête aux pieds alors que je m'installais dans le fauteuil.

Je dois avouer que son regard ma troublé, profond et insistant, parcourant lentement mon corps et malgré que cela n'ai duré que quelques secondes, cela a suffit à me faire rougir et créer une légère panique au plus profond de mon être.

A tel point que j'ai demandé à mon mari de me passer sa veste pour me couvrir les jambes que je trouvai trop exposées, ma robe était devenue subitement trop courte à mes yeux et cela amplifiait mon trouble.

- Tu as froid ? me demanda mon mari.

- Pas encore, mais tu sais dans ces salles il fait toujours un peu frisquet.

Soudain, la salle tomba dans la pénombre, pour laisser place au film, ce qui ma rendue encore plus mal a l'aise, j'avais l'impression que cela créait une sorte d'intimité entre cet homme et moi alors qu'il n'en était rien.

Je cherchais à me donner une certaine contenance, en repensant à ce début de soirée et au plan que je m'étais fixé pour en quelque sorte punir mon mari, mais mon esprit se concentrait de plus en plus sur cet homme à coté de moi.

Mes pensées avaient malgré moi augmenté ma sensibilité et mon excitation, se sentir belle et désirée ne peut laisser aucune femme insensible et je ne pensais presque plus à mon petit désir de vengeance.

Je repensais à cet homme, son regard sur moi et à la promiscuité de nos corps, l'un à coté de l'autre, j'étais en totale sécurité là avec mon époux à mes cotés et ma gêne se dissipait peut à peut.

C'était finalement plaisant comme situation, se laisser aller à ressentir le désir de cet inconnu sans pour autant courir le moindre risque, c'était même très excitant une douce chaleur envahissait petit à petit mon bas ventre et mes mains devenaient légèrement moites, ce sont des signes qui ne trompent pas.

Je n'ai donc même pas réagi lorsque le bras de mon voisin de fauteuil est venu s'appuyer contre le mien en se posant sur l'accoudoir qui nous séparait.

Je me sentais si bien et j'ai pris cela comme une suite logique à toute cette situation, de même lorsque j'ai senti son pied venir lui aussi contre le mien.

J'étais consciente que mon manque de réaction pouvait laisser penser à cet inconnu des intentions qui n'était pas les miennes, mon corps lui, ne me ma pas permis de réagir comme s'il se laissait engouffrer dans l'excitation qui l'envahissait.

Mon cœur battait plus fort et plus vite et je ne pouvais plus bouger faisant semblant d'être concentré sur le film alors que tous mes sens étaient en ébullition.

Mon mari, lui ne s'était aperçu de rien plongé dans son écran, sur de lui, se délectant peut être par avance des suites qu'il envisageait pour la soirée, du moins c'est les pensées qui m'ont traversé l'esprit à ce moment là comme pour me déculpabilisé de cette excitation qui me submergeait de plus en plus.

J'ai pris conscience que j'étais prête malgré moi à subir les choses, comme si je ne pouvais rien y faire et peut être même désirant que cela ce fasse, comme si les intentions de mon voisin étaient claires et précises alors que peut être il n'en était rien, d'ailleurs que pouvait-il faire ? Là à coté de mon mari, c'est sûrement cette troublante situation qui me faisait divaguer, tel un phantasme qui ne peut et ne doit se réaliser, mais qui néanmoins nous fait rêver.

Mais pour mon inconnu, mon manque de réaction la libéré de toute retenue comme je le craignais et l'espérais à la fois, j'ai senti sa main se faufiler lentement sous la veste de mon mari qui me cachait encore les jambes, très lentement comme pour vérifier mon consentement à chaque centimètre gagné, relevant savamment le léger tissu de ma robe pour pouvoir se faufiler selon ses intentions.

J'ai ressenti sa main chaude toucher ma cuisse sur laquelle il marqua une pose, ce qui ma complètement électrisée, faisant tomber les ultimes pensées raisonnables que se doit d'avoir toute femme sérieuse, mais je n'avais déjà plus les moyens de réagir ni même la volonté de m'opposer aux désirs de cet homme.

Rassurer et plus que jamais sur de lui, il remonta très lentement sur ma peau tiède et du bout des doigts, il dégageât les pans de ma robe de part et d'autre de mes cuisses pour libérer la totalité de mes jambes.

Comme si de rien n'était, sans aucun regard ni mot, il a commencé à caresser mes cuisses, remontant à chaque fois un peut plus, jusqu'à venir frôler la dentelle qui présentait l'ultime barrière entre lui et ma plus profonde intimité.

Mes sentiments s'affolaient, mélange entre réel plaisir et peur des conséquences, si mon mari ou quelqu'un d'autre s'apercevait de ce qui se passait ? J'avais même peur de ses réelles intentions, que pouvait-il bien avoir en tête, jusqu'où allait-il aller ? Vers quel plaisir allait-il m'emmener ?

A ces pensées, j'ai senti ses doigts passer sous le fin tissu de mon string et venir se glisser au contact de mon intimité, qui je dois l'avouer dégoulinais bien malgré moi, cela me rendait légèrement honteuse qu'il puisse ainsi découvrir à quel point il me faisait de l'effet.

Et c'est bien malgré moi que mes hanches se sont misent lentement à onduler, comme pour mieux ressentir les caresses perverses mais néanmoins délicieuses de cet inconnu.

Quelle sensation extraordinaire de se faire ainsi doigté dans la pénombre, avec mon mari juste à coté ne se doutant de rien. Je crois qu'à ce stade des choses, je ne craignais plus rien, ne pensant qu'a ses caresses indécentes. Me surprenant à avancer mon bassin dans le fauteuil et à écarter mes cuisses pour mieux m'offrir à ses doigts qui maintenant me fouillaient délicatement.

Il a sûrement apprécié ma réactivité, car il a empoigné ma vulve à pleine main comme pour tâter une marchandise qu'il sentait déjà sienne. Je restais là, offerte, les yeux mi-clos dans l'attente des ses initiatives que j'espérais au fond de moi encore plus osées.

Comme s'il avait compris mes plus profonds désirs, d'un geste expert il appuya son pouce fermement sur mon clitoris, puis il pénétra profondément ma vulve avec son index et son majeur avec une facilité déconcertante tellement je mouillais et enfin il vint me titiller l' anus avec les deux derniers doigts disponibles.

Je ne sais pas comment expliquer la perversité de la scène, il faisait cela avec une lenteur de félin tout en appuyant le moindre de ses mouvements afin de me prodiguer le maximum de plaisir, d'ailleurs cette forme de discrétion me rassurais, il ne souhaitait pas se faire remarquer, mais juste profiter de mon corps sans en demander la permission.

Ce qu'il faisais d'ailleurs très bien et même trop bien, provoquant en moi une telle excitation, que s'il n'y avait pas eu la présence de mon mari et des autres personnes autour de nous, il aurait pu faire de moi tout ce qu'il aurait bien pu souhaiter sans que je soit en mesure de m'opposer ou de lui résister.

L'abondance de mon jus intime était telle que sa main semblait pourvoir entrée toute entière en moi sans aucune résistance, ses lents mais profonds vas et vient me rendaient folle, presque au bord de l'évanouissement tellement le plaisir me submergeait. Je ne contrôlais plus rien autours de moi il n'existait plus que mon corps et cette main qui me fouillait au plus profond.

Je me suis mordue les lèvres pour ne pas crier, j'ai crispé tout mon corps pour ne pas laisser la jouissance transparaitre mais elle était bien là, explosant en moi, puissante et dévastatrice, je me suis laisser aller à jouir sous les doigts de cet inconnu, juste à coté de mon mari, cachant à peine ma dépravation la plus intime.

Les doigts de mon inconnu sont resté en moi comme pour libérer les moindres restes de plaisir qui pouvaient circuler dans mon corps encore frémissant et de son autre main il a fait glisser la mienne sous son pardessus qu'il avait soigneusement placé lui aussi sur ses jambes, il la posé sur son sexe déjà libéré, chaud et bien gros, j'ai compris que lui aussi voulais sa jouissance et je ne pouvais lui en vouloir au regard de ce qu'il m'avait fait subir, j'ai empoigné son sexe a pleine main et commencer un langoureux va et vient sur toute la longueur de la verge, frottant savamment mon pouce sur le bout du gland qui suintait lui aussi son plaisir.

Je ressentais l'afflux de sang dans les veines épaisses de cette queue qui me paraissais énorme, mes caresses étaient précises et discrètes, j'aurais souhaité que cela dure ainsi des heures, ses doigts dans ma chatte encore luisante et moi lui branlant la bite au risque d'un scandale, j'éprouvais une certaine fierté de pouvoir à mon tour lui rendre ce plaisir intense qu'il m'avait offert bien malgré moi.

Mais son excitation était elle aussi à son comble car j'ai senti son jus chaud coulé sur mes doigts avec le soubresaut significatifs de la verge que nous connaissons si bien nous les femmes, j'ai senti le relâchement de ses doigts dans ma vulve humide et satisfaite, lentement et toujours discrètement il les à retiré, replaçant délicatement au passage la délicate dentelle de ce qu'il me restait de pudeur féminine.

Presque tendrement, il a nettoyé mes doigts encore gluants de sa jouissance avec un mouchoir, puis il a doucement replacé son sexe, encore gros dans son pantalon tout en maintenant ma main contre lui, comme pour partager un moment de tendresse et peut être me remercier pour ce délicieux moment partagé.

Je n'avais même pas remarqué que le générique du film défilait devant nous sur l'écran et que les gens se levaient déjà pour sortir, juste le temps de reprendre mes esprits et d'entendre mon époux me demandé si le film m'avait plus, mon inconnu tout en me relâchant me glissât quelque chose dans la main que je me suis empressé de cacher.

OUI, très bien... très sympa... mon chérie, on a bien fait de venir.

Mon homme à élégamment pris mon manteau pour m'aider à le revêtir, me confirmant ainsi qu'il n'avait rien remarqué de la scène, ce qui quelque part me soulageât et me permettrait de moins ressentir la culpabilité de m'être laissé aller à ce point avec cet inconnu, qui au détour avait déjà disparu.

Je me suis blottie avec tendresse contre mon mari encore excitée de toutes ces émotions et malgré notre début de soirée tendue, j'étais décidé à ce qu'à son tour, il puisse profiter de cette soirée, sans pour autant qu'il sache qu'il aurait dû remercier notre inconnu du cinéma.

C'est donc avec cette belle intention et en allant vers notre voiture que j'ai discrètement regarder ce que cet homme m'avait glissé dans la main, une carte de visite sans nom, juste un numéro de téléphone et ce petit mot " à bientôt "...
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Histoire de dominique.71

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Commentaires du récit : Sexe au cinéma

Le 24/08/2011 - 02:07 par joduvar
bonsoir dominique, tres agreable recit, une immersion total avec une description qui ma emoustillé je cite : "L'abondance de mon jus intime" qui a un effet devastastateur..

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