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Sexe au secrétariat des urgences

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 05/07/2022

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SEXE AU SECRETARIAT DES URGENCES



Ca faisait trois ans qu'on était ensemble, Sylvie et moi, quand elle m'a fait cette proposition.
Je m'étais approché d'elle pendant qu'elle lavait des légumes dans l'évier. Elle était en jupe. Une jupe noire qui lui arrivait au genou. Je l'avais remontée, puis roulée à sa taille. Dessous, elle avait un string blanc qui s'enfonçait entre ses fesses. J'avais bien remarqué qu'elle portait un string sous sa jupe, pas en regardant dessous, mais parce qu'elles avaient une manière de bouger qui laissait penser qu'elles n'étaient pas enserrées.
J'avais souvent envie de sexe, et elle aussi. De la sorte, on se complétait parfaitement. Et il fallait bien dire que, et ce pour la première fois de mon existence, j'avais trouvé quelqu'un avec qui je m'entendais parfaitement, sans aucun nuage. Très loin de ce que j'avais pu vivre de par le passé, et elle aussi.
Elle a bien compris où je voulais en venir. Je savais qu'elle aimait bien, et moi aussi évidemment, ces moments où on cassait la routine de la journée avec un moment de sexe.
Elle a essuyé ses mains sur un torchon, et elle a tendu les mains en arrière pour sortir ma queue de mon pantalon, la prenant au creux de sa main gauche.
--Elle est bien chaude et bien dure. Exactement ce qu'il me faut.
Une autre femme aurait dit 'Non, pas maintenant, j'ai pas envie...' Sa réponse à elle, outre cette caresse sur ma queue, ça a été de se plier en deux pour mieux m'accueillir, en projetant vers moi sa croupe impeccablement pleine et rebondie qui constituait un de ses atouts charme. Deux points d'entrée, sa muqueuse anale que la position révélait et le gonflement de son sexe, chairs délicates et entrouvertes, dont jaillissaient ses lèvres. Elle avait des lèvres longues et fines, fascinantes. Comme le reste de son corps d'ailleurs. Ca faisait huit ans qu'on se connaissait, et il avait fallu cinq ans avant que quelque chose ne se passe entre nous. Elle était arrivée au club de self-défense où je m’entraînais régulièrement une année après moi. Difficile de ne pas la remarquer. Les tenues de sport sont révélatrices, très moulantes des charmes, ou éventuellement de l'absence de charme. J'avais été fasciné de voir son corps si bien dessiné. Chacun a le corps qu'il a et des corps peuvent attirer dans leurs particularités. Le sien était d'une rare harmonie. A l'image d'ailleurs d'un visage aux traits fins.
Elle avait cinquante-trois ans, je l'avais su un jour tout à fait par hasard, une liste qui traînait. 20 ans pile de plus que moi.
Elle m'avait sans doute plu immédiatement, plus encore quand j'avais appris à la connaître. Chaleureuse, optimiste, souriante, et fine, elle ne m'avait pas déçu.
Mais je n'avais jamais osé me laisser aller à des pensées et des envies que je refoulais de toutes mes forces. Je ne connaissais pas sa vie personnelle. Je l'imaginais vivant avec quelqu'un, et heureuse. Et puis...Il y avait vingt ans de différence entre elle et moi. Même si on s'entendait bien, comment pourrait-elle s'intéresser à quelqu'un qui n'appartenait pas à la même génération ?
Ce qui avait tout changé, ça avait été une soirée, celle de notre club, fin mai. On faisait un petit diner, et on passait la soirée ensemble.
Cette année-là, elle était arrivée différente. Pour la soirée du club, elle venait d'habitude en jean et T-shirt. Et là...Elle avait une robe rouge, longue, qui soulignait sa silhouette, et s'évasait à partir de la taille pour partir en largeur au niveau de ses jambes. C'était la première fois que je la voyais avec une robe et elle la magnifiait, tout autant d'ailleurs que ses tenues de sport, ou même ses jeans, mais différemment.
Elle est venue se poser près de moi, au moment où on se calait à table pour le dîner.
Je n'ai pas pu m'empêcher de lui dire:
--Tu es particulièrement belle ce soir.
--L'important, c'est que je te plaise.
C'est une phrase qui m'a un peu surpris. On avait parlé de tout et de rien au fil du temps, elle avait même plus ou moins évoqué ses deux mariages qui n'avaient pas vraiment fonctionné, et le fait qu'elle ne croyait plus trop à quelque chose de solide ou de stable. Une sorte d'intimité entre nous. Mais je n'avais jamais imaginé qu'elle puisse avoir le souci de me plaire.
Pourtant, ce soir-là, on est partis, comme à l'accoutumée vers une discussion purement amicale. On s'entendait vraiment bien, et quand on commençait à se parler, ça pouvait durer un bon moment.
C'était au dessert qu'elle m'avait dit:
--Je te propose qu'on s'éclipse plus tôt que prévu. Après le dessert. Tu sais que j'habite juste à côté. J'ai envie qu'on fasse l'amour ensemble. Ca te dit?
Elle m'avait dit ça sur le même ton sur lequel elle m'aurait dit 'Passe-moi le sel!' ou 'La viande n'était pas vraiment assez cuite!'
J'avais été un rien décontenancé.
--Ca me va tout à fait.
Elle habitait effectivement juste à côté, mais ça je le savais déjà. Une rue à traverser, un rond-point une petite rue, passer par dessus la voie de chemin de fer et on était chez elle. Elle habitait dans un immeuble de trois étages.
On avait marché côte à côte, dans un moment de latence, de flottement. On avait continué de parler. Pour moi, c'était un moment vraiment particulier, parce que je sentais bien qu'on était entrain de basculer d'un état à un autre, et je n'avais jamais imaginé que ce soit possible.
Ca s'est concrétisé sur la passerelle. Elle s'est retournée vers moi et j'ai bien compris qu'elle avait envie qu'on s'embrasse. Sa bouche est venue chercher la mienne, et l'a trouvée. On n'oublie jamais les premiers baisers, et il avait donné la dimension de notre relation à venir: un baiser intense, fort...Il y avait eu sans doute pas mal d'attente de sa part comme de la mienne, moins à la surface pour moi... J'avais frôlé son corps à travers ses vêtements, ferme et chaud.
Dès la porte de l'appartement, ça avait été l'explosion. On aurait sans doute du s'abandonner à l'envie de l'autre plus tôt, mais c'était certain, ce n'était pas mûr. On avait littéralement plongé l'un sur l'autre, pour passer un temps infini à faire l'amour. On n'avait pas du s'endormir avant quatre, cinq heures du matin. Heureusement, le lendemain c'était dimanche.
Et depuis...On était ensemble. Et on s'entendait bien. Y compris pour les moments de sexe comme celui-ci.
--Viens en moi, j'ai très envie.
Et au cas où j'aurais soudainement eu des hésitations, elle avait glissé deux doigts dans son sexe, et l'avait ouvert. Elle avait toujours des gestes, des paroles qui renouvelaient le rapport qu'on pouvait avoir, maintenaient l'excitation, l'envie. Il n'y avait nulle lassitude entre nous, et c'était bien, quasi miraculeux qu'il en soit ainsi.
Elle a maintenu son sexe ouvert le temps que j'approche mon gland de ses lèvres, et que je commence à rentrer en elle. Dans certains couples, il y a une lassitude, ce n'était vraiment pas mon cas. Je glissais en elle avec à chaque fois un plaisir renouvelé, et dont je découvrais de nouvelles facettes. J'aimais la sentir autour de moi, sentir ses muqueuses, souples et chaudes me prendre et m'envelopper. Rien que cela, être en elle, c'était déjà un plaisir immense, même si j'aimais partir sur d'autres chemins. Et elle aussi.
J'ai glissé en elle, et elle a poussé un petit soupir quand la tête de ma queue est venue taper contre son utérus.
--Fouille-moi bien. J'ai envie que tu me caresses longtemps dedans.
Et ca a été ce qui s'est passé...Ma queue a bougé en elle, la caressant, mais c'était aussi une caresse pour moi que de sentir sa muqueuse délicate frotter contre moi. Son sexe s'ouvrait, et ses liquides intimes ruisselaient autour de moi.
Quand elle a senti que j'allais jouir, elle a fait ce qu'elle faisait souvent, une de ses particularités qui faisait que le sexe avec elle était original, innovant, sans routine. Elle a sorti ma queue d'elle. Une queue bien plus dilatée que quand elle y était entrée, couverte de sécrétions, Elle est venue me prendre dans sa bouche de quelques centimètres, et elle a fait quelques aller-retours du bout des doigts pour me faire jouir. Mon sperme est parti, dans sa totalité, dans sa bouche, soigneusement fermée pour ne pas perdre la moindre goutte de semence..
C'est la bouche encore pleine de sperme qu'elle m'a dit:
--J'ai envie qu'on fasse quelque chose ensemble au secrétariat.
Une phrase à décoder, mais le message sous-jacent était clair. Le quelque chose, c'était du sexe, et le secrétariat c'était celui des urgences d'une petite ville de province. Sauvegarder ce service, comme celui de l’hôpital tout entier avait été compliqué, et une contractualisation avec un hôpital régional avait sauvé la mise de services condamnés au départ.
--C'est risqué, non ?
--J'en ai envie depuis des mois. Il y a toujours une prise de risques bien sûr. Mais c'est ça qui est excitant.
J'étais passé plusieurs fois pour lui amener quelque chose qu'elle avait oublié, et je connaissais plus ou moins les lieux. Après un seuil, une très grande entrée, qui donnait directement sur les salles d'accueil et de soin. Le secrétariat était sur la droite. C'était un grand local, avec trois postes de travail, et un bout de cloison qui séparait l'accueil du fond. Ce dernier était dans la longueur, avec un deuxième bout de cloison. Dans la première partie, il y avait énormément de consommables, plus au fond des archives provisoires qui attendaient un transfert définitif vers deux grandes salles d'archives papier, obligatoires même si doublées par des archives informatiques.
--Et tes collègues? Vous êtes toujours deux...
Elles étaient trois au total, avec une rotation, deux sur trois.
--On se débrouillera.
Je savais qu'une de ses collègues avait souvent des absences car elle devait gérer trois enfants avec lesquels elle avait des soucis.
--Je te préviendrai quand ça sera bon.
Je ne travaillais que le matin, donc j'imaginais qu'elle prévoyait quelque chose l'après-midi. Elle semblait en tout cas à présent réellement déterminée. Le soir, on était au lit, elle caressait ma queue, elle m'a dit:
--Pour le secrétariat, tu es d'accord?
--Je ne suis jamais opposé à aucune de tes propositions,tu le sais bien.
--Je t'enverrai un SMS pour te dire quand ça sera bon. On fera ça l'après-midi, puisque tu es dispo.
Je n'ai pas répondu parce que je me suis mis à jouir, éclaboussant sa main de sperme.
Je n'y ai pas vraiment pensé les jours qui ont suivi. Pour moi, c'était un de ces plans sur la comète qu'on dessine dans sa tête, mais qui ne se concrétisent jamais vraiment. Aux urgences, les moments d'accalmie pouvaient durer très longtemps. Ou pas du tout. Quelqu'un pouvait surgir à tout moment, c'était la définition même des urgences. Donc...Il y avait une haute prise de risques, même si le fond du bureau offrait des aspects intéressants...
Je pensais donc que ça resterait une chimère, quand j'avais eu le SMS. Jeudi après-midi. 13 heures 15. 'Viens. C'est le moment.'
Je n'y pensais plus trop. Elle était partie sur le coup de 10 heures 45, pour prendre son poste de 11 heures à 20 heures.
Un rien décontenancé, j'avais quand même répondu: 'J'arrive.'
Plein d'interrogations, dix minutes plus tard, je remontais la ruelle qui amenait à l'entrée des urgences...Les gros volets qui, ouverts, donnaient accès aux ambulances et camionnettes du SAMU étaient baissés, mais il y avait l'entrée sur le côté.
Je me suis retrouvé dans l'entrée de locaux que je connaissais plus ou moins. Au fond, une partie des salles visibles, vides. Et sur le côté, le secrétariat. Les pans du bureau étaient vitrés...Ca n'allait pas être commode.
Quand elle m'a vu, elle est sortie du bureau. Pour travailler, tout le monde portait une blouse, même les secrétaires. Souvent, elles ne les boutonnaient pas. Celle de Sylvie était attachée sur les premiers boutons, par sur les derniers, laissant voir une robe noire bien coupée, qui dévoilait ses jambes. Le matin je la regardais s'habiller, et je l'avais vue les gainer de bas. Elle m'avait dit un jour qu'elle se faisait plus coquette, plus sexy et plus troublante depuis qu'on était ensemble. Elle aimait en particulier partir travailler avec un élément troublant sur elle, ou absent, pour que je pense à elle.
Elle s'est avancée vers moi et a pris ma bouche. Comme chaque fois que j'étais venu, mais cette fois un baiser différent. Elle a glissé sa langue à la rencontre de la mienne, pour la caresser en même temps que ses doigts glissaient contre mon pantalon, pour frôler ma queue.
--Viens, elle m'a dit en reculant.
Là où j'ai été décontenancé, c'est de me rendre compte qu'elle n'était pas seule. Agathe, sa collègue était devant son écran, tapant je ne savais quoi. Elle m'a fait un sourire.
Je l'avais déjà croisée plusieurs fois. Troublé par sa séduction. Une quarantaine d'années, des cheveux châtain coupés courts, elle avait un joli visage, triangulaire, et j'avais été troublé par ce que j'avais pu apercevoir lors d'une de mes visites précédentes. Debout et compulsant des dossiers, elle portait sous sa blouse, elle aussi partiellement déboutonnée, une micro-jupe, qui dévoilait des jambes parfaitement dessinées, gainées de nylon, redessinées par des bottes à talons aiguille, noires, de cuir froissé. Une image qui s'était gravée en moi.
Ca s'était fait en quelques secondes. Quand Sylvie avait envie, elle n'avait pas vraiment de limite. Elle est revenue près de moi, reprenant ma bouche, en même temps qu'elle sortait ma queue de mon pantalon. Elle s'est mise à me masturber. J'étais figé sur place, ne sachant trop que faire, me dégager, laisser faire. Au fait que tout le monde pouvait me voir s'ajoutait le fait qu'il y avait sa collègue, qui, dans son axe de vision, et même si Sylvie était tout près de moi, pouvait tout voir.
On a basculé sur quelque chose de totalement différent, et j'ai compris qu'en arrivant, je n'avais vraiment pas toutes les données, quand elle s'est tournée vers sa collègue, et qu'elle lui a dit:
--Agathe, tu veux venir m'aider à le masturber? Ca sera bien pour lui, il a toujours ma main et ma bouche sur sa queue.
Je me suis demandé si je ne m'étais pas un peu fait avoir. Derrière sa proposition, il y avait sans aucun doute une envie des deux filles d'un plan à trois. Elles devaient échanger, j'avais bien remarqué une certaine complicité entre elles, sur leur vie sexuelle, et l'idée avait du arriver, qui n'était jamais repartie, d'un partage. Agathe était peut-être toute seule en ce moment, ou bien Sylvie avait tellement évoqué nos moments ensemble qu'Agathe avait du lui dire : 'J'aimerais que ça soit aussi bien pour moi...' et Sylvie lui avait dit : ' On pourrait faire quelque chose ensemble...'
Mais cette perspective ne me déplaisait absolument pas. Je trouvais Agathe attirante, et c'était une occasion de l'approcher, occasion dont je n'aurais jamais rêvé.
Elle a surgi de derrière le bureau. Une blouse, la même ou une autre, une jupe très courte, une tradition pour elle, cette fois en vinyle, et des jambes toujours gainées de nylon, sublimées par cette fois des escarpins avec des talons aiguille d'une dizaine de centimètres.
Les deux filles sont venues m'entourer. Était-ce susceptible de tromper les gens? L'entrée était pour l'instant vide, et je savais par expérience que souvent les gens ne regardaient pas vraiment ce qui se passait sous leurs yeux.
Deux mains sur ma queue. Chaudes, douces et caressantes. Et la sensation de leur corps tout près de moi, son épaisseur, sa chaleur...Finalement, je ne regrettais pas d'être venu...
Elles se sont surtout bien réparties, sans se faire de la concurrence. La pulpe des doigts de l'une sur mon méat, pendant que l'autre allait et venait le long de ma queue, des effleurements sur mes couilles, tandis que des ongles griffaient mon membre...C'était vraiment bon...Agathe lui a soufflé:
--Mettons-nous à l'arrière, on sera plus tranquilles...
C'était une bonne précaution effectivement. La moitié de cloison permettrait de se masquer. A condition que personne ne fouille la pièce du regard en glissant sur la partie droite de la pièce...Mais comme les gens ne voyaient généralement pas plus loin que leur propre monde...Et qu'ils venaient ici pour des soucis de santé, légers ou plus sérieux...
On venait de s'y caler quand une silhouette a fait son apparition.
--Bon, je m'en occupe, a dit Sylvie en s'avançant vers la jeune femme qui arrivait avec un enfant en pleurs.
L'interruption n'a pas arrêté Agathe qui a attrapé un tabouret de plastique qui traînait là et qui s'y est posée pour venir balader la pointe de la langue sur ma queue, avec une expression dans laquelle se partageaient avidité et plaisir. Son positionnement avait fait que la micro-jupe était remontée le long de ses jambes, dévoilant, une double surprise, que le nylon qui enveloppait ses cuisses n'était pas celui d'un collant, mais de bas, et aussi qu'elle n'avait pas trouvé de culotte à mettre avant de partir de chez elle. En plongée, j'avais une vision impeccable du sexe qui se dessinait entre ses cuisses, que sa position ouvrait, même si sans aucun doute son excitation était aussi responsable pour cette ouverture sur un intérieur tout rose, ses lèvres étalées hors d'elle, qui se remplissaient de sang. Pendant qu'elle continuait de caresser ma queue de la langue, avec souplesse et habileté, elle a amené sa main sur sa zone intime, et a glissé un doigt en elle, qu'elle a fait aller et venir. Son sexe était sec jusqu'à cet instant, il s'est mis à suinter, faisant luire ses chairs.
Sylvie n'en avait pas fini avec la maman anxieuse pour son enfant. Elle faisait le dossier pendant qu'Agathe, après avoir baladé sa langue sur moi avait resserré sa bouche autour de moi et la faisait aller et venir sur moi...Sa cavité buccale était humide et chaude, et c'était bon, d'autant plus qu'elle y mettait toute son énergie et son envie. Je gardais l' oeil fixé sur son sexe, dont je suivais l'évolution. Il était plus dilaté, plus ouvert, et elle avait ajouté un deuxième doigt, pour un mouvement plus rapide, et des sécrétions plus abondantes.
Le silence s'est fait à nouveau. La mère et son enfant étaient parties vers une cabine d'accueil. Sans un mot, Sylvie est venue nous rejoindre. Elle s'est posée à genoux près d'Agathe, et, dans une harmonie qui disait leur complicité, elles ont partagé ma queue, de la langue et de la bouche.
On est passé sur quelque chose de plus sérieux quand les deux filles se sont redressées et ont échangé un regard. Il s'agissait bien d'un projet commun. Sylvie a tiré un préservatif de la poche de sa blouse, quelque chose de calculé là-aussi, et elle s'est penchée sur moi pour m'envelopper de latex. Elles m'avaient bien dilaté à force de me caresser de la langue et de la bouche. Long, ferme, très dur. Elle a déchiré l'emballage de la capote, posé le latex sur mon gland, et l'a fait coulisser dans un mouvement parfait. Elle et moi nous n'utilisions plus de capote, et le fait qu'elle m'en gaine disait clairement que le sexe d'Agathe et le mien allaient être en contact. Si j'avais d'abord été un peu décontenancé, à présent, cette nouvelle perspective me semblait aussi séduisante qu'excitante, et déjà j'entrevoyais d'autres perspectives...Ailleurs qu'ici...Sylvie avait-elle voulu renouveler notre relation, casser la routine?
Les questions, j'ai cessé de me les poser quand Agathe s'est redressée, repoussant le tabouret, tandis que je me laissais glisser sur une chaise. Elle a surplombé ma queue, l'a attrapée du bout des doigts pour la glisser vers son sexe. A présent, elle coulait avec beaucoup plus d'abondance, un liquide qui avait pris une autre dimension, épais et plus gras, qui a trempé le latex. Sylvie, me surprenant un peu, est venue chercher la bouche de sa collègue de travail, qui au final était devenue certainement plus qu'une collègue de travail, pour mordiller ses lèvres, en même temps qu'elle venait pétrir ses seins à travers son débardeur. Agathe a accroché ma queue de ses lèvres, et elle s'est laissée glisser sur moi, m'avalant. Son visage a dit son bonheur à sentir ma queue la remplir. Mon bonheur à moi tenant autant de sentir son sexe autour du mien que de voir Sylvie tourner sur elle, chercher à nouveau sa bouche, lui ôter son débardeur puis défaire son soutien-gorge pour mettre deux seins bien pleins à nu, et venir caresser ses tétons de la bouche. Tout aussi troublant était de voir Agathe glisser une main sous la jupe de Sylvie et fouiller dessous.
Je me suis retenu dix fois de jouir tellement j'étais excité. Finalement, j'avais bien fait d'accepter sa proposition.
Agathe s'est finalement redressée, pour laisser la place à Sylvie. Son sexe ruisselait, et le latex était détrempé. Le contact avec sa muqueuse, voir Sylvie bouger sur elle avaient encore augmenté ma dilatation. Et je sentais bien que le meilleur était à venir, comme on dit.
Sylvie est venue au dessus de moi après avoir roulé sa jupe à sa taille. Elle avait des bas, comme Agathe, je l'avais vue les passer le matin, et, si elle avait un slip quand elle était partie, il s'était volatilisée dans la matinée. Voulait-elle se démarquer de sa copine ? Plus de plaisir ? Elle me disait souvent qu'elle jouissait très fort quand je venais entre ses fesses...Elle a en tout cas attrapé ma queue, et elle l'a guidée vers sa muqueuse anale. Celle-ci souple et ouverte m'a accueilli facilement. Elle s'est faite rentrer jusqu'à m'avoir totalement absorbé.
Son sexe, lui, restait vacant, pour ainsi dire. Il disait son excitation, bien ouvert, avec ses lèvres étalées dehors et ses jus qui coulaient d'elle, aussi abondants que ceux d'Agathe.
Cette dernière a plongé sur elle, et pendant que Sylvie se faisait monter et descendre sur le membre bien dur, elle est venue travailler son sexe, donnant de bons coups de langue dessus avant d'y glisser deux doigts et de la pistonner. C'était tellement excitant que j'ai cru que j'allais jouir. Mais j'ai tenu encore. En tout cas, j'en avais à présent la certitude, quand elles étaient ensemble, elles ne faisaient pas que du travail administratif. Une autre Sylvie que je découvrais...
On était bien conscients tous les trois qu'on avait devant nous un temps limité. Pas de réelle limite, mais il y avait une barrière, floue mais bien précise au-delà de laquelle on courrait le risque de se faire prendre. En d'autres lieux, elles seraient revenues sur moi. Sylvie a joui, crachant des sécrétions que sa copine a lapé...Agathe n'avait pas eu le temps de jouir. Elles se sont en tout cas réunies sur ma queue, arrachant la latex pour me faire exploser. Deux langues sur ma queue, je n'ai pas tenu très longtemps. Agathe a pris ma queue dans sa bouche, avalant mes premiers traits de sperme, avant de la fourrer dans la bouche de sa copine, qui l'a gardée bien serrée pour boire le reste de ma semence.
Avec le sentiment que le temps était passé on s'est réajustés rapidement et je me suis éclipsé. Une bonne initiative. Une ambulance arrivait.
Sylvie finissait à 18 heures 30. J'allais l'attendre sur son chemin. Elle m'a souri.
--Alors, ça t'a plu?
--Je n'imaginais pas que ça se passerait comme ça. Ca a été très rapide.
--Ca peut être rapide et bien.
--Ca a été rapide et bien.
--Je pourrais l'inviter une après-midi où on est libres tous les trois à la maison?
Exactement ce dont j'avais rêvé. Des images et des scénarii s'écrivaient déjà dans mon esprit, tous plus excitants les uns que les autres.
--En attendant, on va passer la soirée à deux, elle m'a dit.
J'ai glissé la main sous sa robe. Le slip était toujours porté disparu. Elle a gémi alors que je caressais ses lèvres, et a mouillé ma main.
--Tu me redonnes envie...Je crois qu'on mangera un peu plus tard. J'ai envie que tu mettes ta queue dedans quand on sera à la maison.
--Tu es partie avec une culotte ce matin...
--Elle est dans mon sac...Agathe m'a léché ce matin, dans un moment de tranquillité. Je n'ai pas remis mon slip.
Cette révélation faite, on a pris le chemin de la maison.










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Histoire de JamesB

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