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Sexe avec une GILF
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SEXE AVEC UNE GILF
Ca a été le hasard qui m'a fait rencontrer Ginette.
A l'époque, il y a pas si longtemps de cela, d'ailleurs, je faisais partie d'une association locale qui évoquait la résistance, durant la seconde guerre mondiale, dans la ville de G. et alentour. Il y a eu un moment où les responsables, conscients qu'ils y avait plusieurs associations mémorielles dans le Tarn, associations vieillissantes, ont pensé que ce serait bien de se rencontrer pour mutualiser nos moyens et nous entraider.
Il y avait eu des discussions qui avaient duré un certain temps, avant qu'on ne bascule sur un moment plus festif.
C'était comme ça que j'avais fait connaissance de Ginette.
Je l'avais immédiatement remarquée.
Elle avait, et largement, dépassé le stade de la MILF.
Elle, elle était au stade de la GILF.
Et pourtant, dès que mon regard s'est posé sur elle, j'ai senti ma queue se durcir.
Il était vrai qu'elle n'avait absolument pas renoncé, contrairement à beaucoup de femmes qui estiment que, passé un certain âge, c'est fini, à la féminité, et à se mettre en valeur.
Elle avait passé les 70 ans, à mon avis, mais elle était vraiment désirable.
Elle était très grande, une chevelure blonde épaisse, bien sûr, elle n'était plus blonde, mais ses cheveux étaient teints, et elle aurait eu tort de les laisser blancs, alors qu'elle avait par ailleurs un charme certain, qui aurait été affadi.
Un visage bien dessiné, et maquillé.
Ce qui m'a surtout troublé, c'est son corps, et comment il était enveloppé. Elle portait une simple robe noire, vraiment très courte, elle s'arrêtait quelques centimètres en dessous du minou, les jambes gainées de nylon, assorties à une paire de cuissardes noires.
Quand elle bougeait, on pouvait se rendre compte qu'elle ne portait pas un collant, mais des bas stay-up, dont les jarretières de dentelle élastiquée effleuraient.
Il n'y a rien de plus transparent que le noir, et dans la salle baignée de lumière, on pouvait, en observant bien, se rendre compte qu'elle était nue sous la robe. Voir sa peau...Ses hanches, son ventre, son pubis, son dos, et aussi ses seins...Non, elle n'avait rien dessous.
C'est en la regardant que j'ai compris, une idée qui s'est précisée dans les jours qui ont suivi que l'amour n'avait pas d'âge. J'avais trente ans, elle soixante-dix, voire plus, et pourtant j'étais attiré par elle plus que je n'avais pu jamais l'être par des filles de mon âge. Il y avait simplement deux êtres qui pouvaient se plaire ou pas, et, dans mon cas, une personne fascinée par une autre.
Je ne me faisais pourtant aucune illusion sur ce qu'elle pouvait ressentir pour moi.
Jusqu'à ce qu'on m'amène près d'elle pour me la présenter.
— Je vous présente Fred D... C'est lui qui a fabriqué l'expo dont nous nous servons aujourd'hui.
Elle m'a souri. M'a tendu la main. Une main douce et chaude. Elle a gardé ma main dans la sienne plus longtemps qu'elle ne l'aurait du, son regard planté dans le mien. Je me suis félicité d'avoir un grand blouson qui descendait bas et masquait mon bas-ventre. Un instant, j'ai même cru que j'allais me jouir dessus tellement elle me troublait.
On a discuté. De ce que j'avais fait...Elle, dans son association, elle s'occupait de faire des recherches dans les archives. De près, je pouvais faire la même constatation que de loin: le noir, c'est vraiment transparent. Et j'étais surpris de constater que ses seins étaient hauts, fermes et galbés. Alors que je les aurais imaginés flasques, et pendant sur sa poitrine, à son âge. Comme quoi, on pouvait vivre sur des clichés. Et effectivement, à son contact, j'ai bien compris que j'avais vécu et je vivais sur des clichés. Il n'y avait pas de péremption pour les corps, pour les femmes, pour le désir...Et j'avais été très con de le penser...
Ça a basculé un peu plus tard...L'alcool coulait à flots, et on avait un peu trop bu. Est-ce pour cela qu'elle m'a glissé, s'approchant de moi ?
— Ca vous dirait une fellation?
J'ai d'abord pensé avoir mal entendu. Peut-être qu'elle me disait simplement: 'Ca vous dirait quelques glaçons?' J'avais un verre à la main...Alors elle a formulé autrement.
— J'ai envie de te sucer la queue. Les toilettes dans ce bâtiment sont très loin de la salle...Je vais partir la première. Si tu as envie que je te prenne dans ma bouche, tu attends un peu et tu me rejoins.
Et elle s'est éloignée, quittant la salle pour partir dans les dédales de ce grand immeuble ancien.
J'ai jeté un coup d' oeil autour de moi. Personne ne nous observait. Alors je me suis décidé à emprunter le couloir, effectivement très long. Il n'était pas droit mais sinueux, passant devant autant de portes closes.
Les toilettes étaient tout au fond. J'ai poussé la porte. Elles étaient mixtes. Il y avait un lavabo sur le côté et trois cabines. Installée dans l'une des cabines, la robe roulée à sa taille, les cuisses ouvertes, Ginette se vidait la vessie. Il n'y avait pas de slip accroché à sa jambe, au niveau du genou, ou à la cheville, puisque, je ne m'étais pas trompé, elle n'en avait pas. Ses jambes étaient magnifiquement dessinées, encore rehaussées par les bas stay-up, et ces bottes à talons aiguille qui lui arrivaient en dessous du genou. J'avais rarement vu d'aussi jolies jambes, et, comme j'ai pu le constater par la suite, elle avait un corps magnifique, harmonieux, équilibré, absolument pas abîmé par l'âge.
Elle avait aussi, en tout cas, une belle chatte, glabre, rasée sans doute pour ne pas donner à voir de poils blancs, une belle proéminence accompagnée par un gros paquet de lèvres sorties d'elle, dont le gonflement disait à mon sens son excitation à s'exhiber, tout comme ce gland clitoridien en pleine érection. J'en avais rarement vu d'aussi gros...C'était troublant, tout comme de voir son urètre poussé en avant, saillant, dont sortait son pipi.
Avait-elle eu un besoin urgent auquel elle n'avait pu résister ou alors était-ce une manière de me troubler, en m'offrant un acte très intime? Difficile de trancher, et chez elle, je devais le comprendre par la suite, tout était ambigu et ambivalent.
Elle a relevé la tête et m'a jeté:
--Viens, je peux te prendre dans ma bouche pendant que je pisse.
Pendant qu'elle continuait de se vider la vessie, un jet continu, elle a commencé à lécher ma queue d'une langue avide. C'était une expérience terriblement excitante, et j'ai failli exploser de jouissance. Excitante parce qu'elle avait une habileté incontestable, réellement impressionnante, pour parcourir ma queue et me donner du plaisir, excitante aussi parce qu'elle avait vraiment un beau corps, et c'était vraiment troublant d'avoir à portée de regard, de main et de queue une aussi belle femme, mais aussi parce que c'était terriblement à la fois déconcertant et fascinant d'avoir un moment de sexe avec une femme d'un certain âge, et même d'un âge certain qui soit si différente des clichés que je pouvais avoir dans la tête.
Sa langue tournait sur moi, inlassable. Elle a cassé le rythme de cette première caresse en ouvrant la bouche et me prenant dedans. Une cavité chaude et humide. Certains hommes disaient qu'ils préféraient être dans la bouche d'une femme plutôt que dans son sexe, et, dans la sienne, je n'étais pas loin de le penser. Elle faisait aller et venir sa bouche sur moi, s'interrompant pour esquisser une caresse autre, venant enfoncer sa langue dans mon méat, ou pour me mordiller les couilles. J'aurais été curieux de savoir de quoi sa vie sexuelle avait été faite. Un mari, plusieurs maris, des amants, des maîtresses? Je la voyais comme une femme d'une rare beauté, et d'une réelle sensualité, qui aimait, contrairement à d'autres, le sexe, pour qui ça n'était pas une obligation, mais un plaisir, et qui avait du en profiter au maximum, mais aussi qui voulait continuer à en profiter, jusqu'à la fin, et qui pouvait se le permettre parce qu'elle était magnifique. La preuve...
Elle s'interrompit au bout d'un moment pour me dire:
— J'ai envie de boire ton sperme et que tu jouisses dans ma bouche...On se reverra et on fera d'autres choses...Tu pourras mettre ta queue où tu veux...J'aime tout...
Avec une telle promesse...Je me voyais bien la pénétrant ici, dans cette cabine. Il aurait suffi que je rabatte le couvercle, que je m'asseye et qu'elle vienne s'empaler sur moi... Mais elle en avait décidé autrement...Elle avait un bon tiers de ma queue dans sa bouche, et elle a frotté mon gland de sa langue jusqu'à ce que je commence à cracher mon sperme. J'ai eu un des meilleurs orgasmes qu'il m'ait jamais été donné d'expérimenter. Son habileté, la situation...Il y a des moments qui sont vraiment bons...
Je me suis écarté. Elle s'est redressée. Elle ne risquait pas de remonter sa culotte pour masquer sa moule. Elle n'en avait pas.
Elle m'a souri, et m'a dit:
— Tu as ton portable sur toi? Je vais y inscrire mon numéro...Tu m'appelleras quand tu auras envie de sexe, et si je suis libre.
Il se trouvait par le plus grand des hasards qu'elle habitait à deux rues de chez moi. Une réelle ironie, mais aussi une grande facilité. Dire que nous habitions tout près l'un de l'autre sans nous connaître...Et qu'on aurait pu, si on s'était connus plus tôt, avoir tous ces moments de plaisir qui sont venus par la suite...
Je l'ai appelée le lendemain matin, très tôt. J'avais infiniment envie de la revoir. Je pensais qu'elle dirait non. Qu'elle voudrait me faire comprendre qu'il fallait attendre. Au contraire, elle m'a répondu, quand je lui ai dit que je finissais tôt dans l'après-midi:
— Je t'attends, la chatte ouverte.
Je n'ai pas oublié ce premier moment. Pas plus que les autres d'ailleurs...J'avais un rien d'appréhension. Je me demandais comment ça se passerait, si on arriverait à s'entendre, si la magie de la première fois n'avait pas été dissoute.
Elle m'a ouvert en peignoir, avec un sourire radieux sur le visage. Peignoir entrouvert. Dessous elle avait un corset, dont ses seins sortaient en partie, énormes globes blancs et tentants. Le corset s'arrêtait au-dessus de son pubis, et laissait son sexe à nu. Sa tenue était complétée par des talons aiguille et des escarpins rouges avec un talon d'une quinzaine de centimètres qui la cambraient bien.
Ma verge a pris une érection complète en quelques secondes, très dure. Je crois bien que je n'avais jamais autant désiré une femme qu'elle.
Son corps et le mien ont fait contact. Nos bouches se sont rejointes pour un baiser sensuel, contact des lèvres d'abord puis des langues. Je sentais son corps contre moi, son épaisseur, ses formes, sa chaleur. Elle, d'évidence, elle sentait ma queue, roide de désir, contre elle. Elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon, agile, habile, et l'a masturbée. Je me suis détaché de notre baiser pour faire sortir ses seins de son corset. Ils me fascinaient depuis que je les avais vus en transparence, l'autre jour, pour leur galbe parfait. Une vérification? Sans doute en partie. Ils tenaient, en tout cas, leur promesse, ronds, pleins, et effectivement très fermes. J'ai gobé l'extrémité d'un sein, léchant un téton, déjà un rien durci, pour le faire durcir encore plus. Je suis passé d'un sein à l'autre, pendant qu'elle me masturbait.
J'avais tant d'envies. Ça fait deux ans maintenant, et je ne me suis toujours pas rassasié. Quand je la vois, j'ai envie de TOUT lui faire.
Je l'ai attrapée par les fesses, soulevée, et posée un peu plus loin, sur le divan que j'avais aperçu. Elle est partie en arrière, les pattes en l'air. J'ai plongé sur sa chatte et je me suis mis à la caresser de la langue. Elle avait une grosse chatte, une chatte façonnée par l'âge, une chatte comme n'en aurait pas eu une fille de dix-huit ans. Très grosse, avec ces lèvres qui, j'ai pu le constater par la suite, même quand elle n'étaient pas excitée, sortaient d'elle, faisaient un gros paquet qui tendait les tissus de ses culottes quand elle en mettait, repliées sur elle-mêmes, ne demandant qu'à s'épanouir, à se gorger de sang et s'allonger, et un gland clitoridien comme je n'en avais jamais vu. Il était, au degré zéro de son excitation, caché sous une peau, mais il se décalottait très vite, et son érection avait quelque chose de fascinant. J'en avais rarement vu d'aussi épais et d'aussi long.
Avec elle, c'était vraiment agréable de faire l'amour parce que son corps réagissait très vite, et elle manifestait vocalement son plaisir. Dès les premières secondes. Entre commentaires et gémissements, petits cris...
Sa chatte, par son volume, c'était un monde à explorer. S'aventurer sur ses lèvres, sucer ce gland clitoridien, glisser sa langue de plus en plus facilement dans un intérieur qui ne demandait qu'à s'ouvrir...
Ce qui m'a le plus sidéré, et ça n'aurait pas du, puisqu'elle cassait tous les clichés que je pouvais avoir, ça a été le fait qu'elle mouille, et qu'elle mouille même abondamment, alors que je pensais qu'une femme, passé la ménopause, avait la chatte toute sèche...Elle ruisselait, au contraire, et je lapais ses jus intimes avec avidité, goût à la fois amer et sucré...
— Tu lèches bien, elle m'a complimenté.
Ma queue, entre mes cuisses était raide de désir à en être douloureuse, et je me caressais pour apaiser la tension croissante qui était en moi.
— J'ai envie de sentir ta queue en moi. Pénètre-moi. Regarde, la boite près du divan...Il y a des capotes dedans...Je tiens pas à choper une sale maladie.
J'ai obéi. Effectivement, la boite contenait des boites de préservatifs très diverses, ce qui m'a laissé penser qu'elle faisait une consommation sinon frénétique, du moins importante. Je ne devais pas être son seul partenaire. Je me suis gainé d'un préservatif. Ignorant que, la fois suivante, pour me faire une démonstration de ses capacités, elle se collerait un préservatif identique contre les dents, me prendrait dans sa bouche et descendrait le latex le long de ma queue pour la poser sur moi, un travail impeccable, visible quand elle remonterait. Je n'étais encore qu'au début de la découverte.
J'ai glissé sur elle. Une position classique, en missionnaire, mais on est ensuite passé sur d'autres, sans que je sorte de sa vulve. J'ai ripé, elle a attrapé ma queue et elle m'a fait rentrer en elle. Je me suis retrouvé entouré par une vulve brûlante. Je l'ai fouillée. Elle a gémi. On est parti ensuite sur d'autres positions, elle sur le côté, jambe levée, moi collé à son dos...Elle a ensuite basculé à quatre pattes.
Il y a eu un moment, ou enfin, à force de sentir cette queue dilatée frotter son intérieur, elle s'est mise à jouir.
Même ça, c'était impressionnant.
En criant, elle a éjaculé autour de ma queue des jets de liquide qui n'avaient rien à voir avec les écoulements plus clairs sortis précédemment. C'était blanc, épais, on aurait dit du sperme.
Ça a été après qu'elle a mis en pratique une de ses techniques. Que je ne connaissais pas. Que sans doute aucune fille plus jeune ne connaissait, et dont la mise en œuvre m'a bien réaffermi dans mes convictions. Oui, sans aucun doute, outre l'attraction physique qu'elle pouvait exercer sur tout homme, elle savait beaucoup, elle avait plus de technique que d'autres filles. Que la plupart d'entre elles, en fait.
La première fois qu'elle a resserré ses muscles vaginaux autour de moi, je n'ai pas compris ce qui se passait. Une sensation d'une caresse délicate, qui m'a enveloppé et donné du plaisir. Et puis, elle était assise sur moi, avec un sourire qui disait son savoir-faire, son triomphe aussi de me surprendre, elle a réitéré sa caresse, se contractant autour de moi, serrant, et desserrant, me prenant et me reprenant, une caresse inédite, forte et douce à la fois, mais surtout irrésistible. J'ai été incapable de tenir, et j'ai joui, crachant mon sperme en elle en jets copieux, projetés contre les parois de son vagin avec violence, bien que contenus dans le latex, qui l'ont faite jouir à nouveau en se tordant.
J'ai bien compris que j'avais trouvé la femme que j'attendais depuis longtemps. Une femme qui n'était pas et ne serait pas effarouchée par les plaisirs du sexe, qui serait magnifique, et qui m'apprendrait beaucoup plus de choses que je ne croyais en savoir. Mais aussi quelqu'un avec qui je m'entendrais, simplement, et c'était bien le cas avec Ginette.
On s'est mis à se voir de plus en plus. En fait, dès que j'avais un moment je passais, elle m'accueillait, et on faisait l'amour directement. Et c'était toujours très bon, dans une harmonie que je n'avais pas connue souvent.
Surtout, notre relation s'était installée dans la durée.
Il s'est passé quelques temps avant que notre relation ne sorte du cadre du sexe proprement dit, et qu'elle m'invite pour manger chez elle, pour assister à des expos...Je me posais la question au début de savoir ce que les gens pourraient penser de nous, s'ils penseraient qu'on était en couple. Il y a souvent des signes qui trahissent bien des choses...Mais je me suis rendu compte que je m'en fichais, au final.
L'autre question que je me posais, c'était de savoir si les hommes et les femmes que je croisais avaient entretenu ou entretenaient une relation avec elle.
Question qui devait trouver une réponse quelques semaines plus tard.
A l'occasion d'une exposition, Ginette a été rejointe par une très jolie brune d'une quarantaine d'années, au physique avantageux, et qui exsudait le sexe.
J'ai immédiatement compris, en m'approchant d'elles, qui y avait quelque chose entre elles. Une manière de se tenir, de se poser. Une proximité évidente. Quelque chose qui sautait aux yeux.
Je me suis approché, ma verge se durcissant à mesure que je m'approchais d'elles. Troublé par ce lien que je sentais entre elles, qui me faisait imaginer des jeux sexuels, mais aussi par le charme de celle qui, je l'appris quelques instants plus tard, s'appelait Adèle. Une chevelure épaisse, longue et soyeuse, un joli visage, rond, harmonieux, avec des pommettes très marquées, et un maquillage qui en soulignait les charmes, un perfecto ouvert sur un débardeur rouge sous lequel elle avait, d'évidence les seins nus, ils gonflaient le tissu, on les voyait bouger dessous, et les tétons, un rien durcis, ou peut-être plus, tendre la matière. Elle avait également un pantalon en vinyle hyper-moulant, qui collait à ses cuisses, à son pubis et à son sexe, le dessinant avec tellement de précision qu'on comprenait bien qu'elle n'avait pas de slip en dessous, le gonflement du sexe, la fente au milieu, mais aussi les lèvres qui sortaient d'elle. Un peu plus tard, quand elle s'est retournée, j'ai eu l'occasion de voir son derrière, un cul très charnu, rond et très rebondi. Le tissu s'enfonçait dans la fente au milieu.
— Je te présente Adèle, une amie très proche. On se connaît depuis deux ans, et on passe de bons moments ensemble.
Tout était dit. Ce qui ne l'était pas forcément, c'était que je semblait plaire à Adèle, laquelle était modelée sur Ginette, sans quoi elles ne se seraient pas rapprochées, et avait le feu au cul.
Il y avait eu un moment, pendant l'expo, où elle et moi on s'était retrouvés seuls dans un couloir. Face à moi, et sans hésitation, elle m'avait dit:
— Tu me plais!
Et pour me le prouver, elle avait d'abord soulevé son débardeur, me présentant des seins lourds, mais fermes, avec de larges aréoles toutes roses, et des tétons durs, que l'air ou l'excitation avaient durci encore plus, puis elle avait baissé son pantalon en vinyle...Dessous, il y avait une chatte toute gonflée, et, au moment où elle me l'a montrée, un jet de liquide a coulé, dans son aine, et à l'intérieur de sa cuisse. Elle a tenu à se retourner, pour me présenter son cul, fendu en deux par un sillon profond.
— Tout ça sera à toi, il faudra simplement trouver l'occasion.
L'occasion, elle est venue quelques semaines plus tard.
Je passais, à présent, chez Ginette sans téléphoner avant. Si elle n'était pas dispo, je repartais, mais c'était rare.
Ça a été comme ça que je les ai trouvées ensemble, Adèle et elle, un jeudi après-midi, sur le coup de trois heures.
Je rentrais généralement sans même frapper. Je me suis glissé dans la pièce centrale, avant d'entendre des gémissements dans la chambre à côté. Je n'ai pas pensé que, si Ginette gémissait, c'était parce qu'elle avait mal...
Je me suis avancé doucement, curieux de savoir ce que j'allais découvrir.
Je n'ai pas été déçu.
Une fille, j'ai immédiatement compris qu'il s'agissait d'Adèle, j'ai reconnu sa chevelure, sa silhouette, ses formes, était calée à quatre pattes sur le lit, le visage enfoui entre les cuisses de Ginette, grande ouvertes. Ginette avait les jambes écartées, et le cunni que lui prodiguait Adèle, dont je ne voyais malheureusement pas grand chose, semblait lui procurer un réel plaisir. Mais je ne doutais pas de l'habileté de sa maîtresse.
Dans sa position, Adèle était parfaitement offerte, le cul tendu et ouvert. Mon regard a glissé sur son intimité, des plissements de son anus à sa vulve, béante, ses lèvres toutes gonflées, gorgées de sang, son intérieur bien visible, tout rose, et ses jus intimes coulant, mouillant ses chairs et les faisant luisantes...
Une voix s'est élevée, la voix de Ginette, différente de d'habitude, déformée par le plaisir.
— Baise-là. Elle n'attend que ça. N'oublie pas de mettre une capote.
La capote, c'était l'obsession de Ginette. De toute façon, j'y aurais pensé. Je me suis gainé, avant de rejoindre la couche, la queue raide comme elle ne l'était que quand je rejoignais Ginette.
Je ne l'ai d'ailleurs pas pénétrée tout de suite. J'avais envie d'explorer, de découvrir.
Je suis venu tourner autour de ses parties intimes. Examinant de plus près ce que j'avais vu de plus ou moins loin. Venir me positionner sous le ventre d'Adèle m'a d'abord permis de voir ce qui se passait plus loin, et comment la jeune femme léchait la vulve de sa partenaire, avec un mélange d'avidité et d'habileté troublant. Moi, je suis remonté plus haut, là où, dans sa chair, s'amorçait le sillon d'Adèle, et je suis descendu de la langue pour une caresse en aller-retour, qui l'a faite gémir dès les premières secondes. Une zone ultra-sensible, avec un point qui l'était encore plus, son anus, dont j'ai parcouru et reparcouru les plissements. J'ai sentit que la muqueuse, fermée, s'ouvrait. Adèle, tout en bouffant consciencieusement la chatte de son amie, gémissait, sans doute perturbée dans son cunni par le plaisir qu'elle prenait.
Et je suis descendu sur sa chatte. J'y avais longtemps pensé, depuis qu'elle m'avait offert son corps, j'avais eu envie. C'était bon d'avoir enfin ce qui vous avait fait rêver, après avoir attendu. Mieux même que de l'avoir tout de suite. J'ai plongé droit au milieu de la muqueuse, rose, ouverte, et qui était arrosée par des liquides qui coulaient avec abondance, comme un torrent. Je l'avais lapée, me remplissant de ce goût unique qu'ont les sécrétions d'une femme, différent selon chacune d'entre elles et selon les moments.
Je n'ai rien entendu...Sauf la voix de Ginette dans ma tête...Hallucination ou réalité ? Phénomène de transmission de pensée? Il fallait bien dire qu'on était proches, elle et moi...Une voix qui me disait: 'Maintenant...Tu l'as assez caressée avec ta langue, ce dont elle a envie maintenant, c'est que tu rentres ta queue en elle et que tu caresses ses muqueuses à l'intérieur.
Je me suis redressé et je suis venu poser mon gland contre ses lèvres. Adèle était tellement ouverte qu'on aurait pu enfoncer trois queues en même temps en elle. J'ai frotté mon gland, tout gros, contre ses lèvres, bien épaissies par le sang qui y avait afflué sous l'effet de l'excitation, sans qu'elles atteignent la taille de celles de Ginette. En une sorte de réponse, elle a coulé avec plus d'abondance. Et puis j'ai glissé en elle...Une chatte aussi humide que fondante...J'ai déjà éprouvé l'extase en la pénétrant. Elle a poussé un long gémissement, avant d'accompagner mes mouvements de va-et-vient d'autres gémissements et de petits cris...
C'était curieux, parce que ce phénomène de transmission de pensée, imaginaire bien sûr, se poursuivait dans ma tête. 'Tu vas nous baiser toutes les deux.'
Et, assez curieusement, sans que rien ne soit dit, l'une et l'autre, elles se sont dégagées, et calées côte à côte, pour m'offrir leurs culs. Leurs fesses ouvertes, et leurs chattes dilatées et dégoulinantes. Chaque femme a un corps dessiné différemment, ce qu'elles partageaient elles deux, en tout cas, c'est qu'elles étaient aussi excitantes l'une que l'autre.
Elles se sont embrassées de la manière la plus excitante qui soit, langues sorties et se frottant avec ardeur. Un spectacle auquel il aurait été difficile de résister.
Il n'y a pas de télépathie quand Ginette s'est retournée et m'a proposé:
— On voudrait que tu fouilles bien nos chattes, et ensuite, quand on n'en pourra plus que tu nous sodomises...Jusqu'à ce qu'on n'en puisse plus là non plus...Tu crois que c'est envisageable ?...
En guise de réponse, je suis venu sur elle, et je l'ai pénétrée avant de m'activer en elle...
Ce qui a ajouté un degré de plus, ça a été que, quand j'étais dans le ventre de l'une des filles, l'autre s'affairait sur elle...Lui léchant les tétons, lui suçant le clitoris, enfonçant un doigt dans son anus...Et réciproquement...
Quand j'ai senti de la lassitude de leur part, à force d'avoir le sexe fouillé, et que moi aussi j'ai eu envie de changer, je me suis calé dans leur anus...L'une et l'autre partageaient le fait d'avoir une muqueuse anale souple, qui disait, à minima qu'elles s'étaient déjà souvent faites prendre par là...Et à maxima qu'elles prenaient du plaisir aussi par là. Elles se masturbaient mutuellement, et on a fini par jouir, ensemble, chacun d'entre nous éjaculant. Jamais je crois je n'avais joui aussi fort, mais sans doute aussi à l'unisson d'autres personnes.
Ça promettait de beaux jours à venir.
Ca a été le hasard qui m'a fait rencontrer Ginette.
A l'époque, il y a pas si longtemps de cela, d'ailleurs, je faisais partie d'une association locale qui évoquait la résistance, durant la seconde guerre mondiale, dans la ville de G. et alentour. Il y a eu un moment où les responsables, conscients qu'ils y avait plusieurs associations mémorielles dans le Tarn, associations vieillissantes, ont pensé que ce serait bien de se rencontrer pour mutualiser nos moyens et nous entraider.
Il y avait eu des discussions qui avaient duré un certain temps, avant qu'on ne bascule sur un moment plus festif.
C'était comme ça que j'avais fait connaissance de Ginette.
Je l'avais immédiatement remarquée.
Elle avait, et largement, dépassé le stade de la MILF.
Elle, elle était au stade de la GILF.
Et pourtant, dès que mon regard s'est posé sur elle, j'ai senti ma queue se durcir.
Il était vrai qu'elle n'avait absolument pas renoncé, contrairement à beaucoup de femmes qui estiment que, passé un certain âge, c'est fini, à la féminité, et à se mettre en valeur.
Elle avait passé les 70 ans, à mon avis, mais elle était vraiment désirable.
Elle était très grande, une chevelure blonde épaisse, bien sûr, elle n'était plus blonde, mais ses cheveux étaient teints, et elle aurait eu tort de les laisser blancs, alors qu'elle avait par ailleurs un charme certain, qui aurait été affadi.
Un visage bien dessiné, et maquillé.
Ce qui m'a surtout troublé, c'est son corps, et comment il était enveloppé. Elle portait une simple robe noire, vraiment très courte, elle s'arrêtait quelques centimètres en dessous du minou, les jambes gainées de nylon, assorties à une paire de cuissardes noires.
Quand elle bougeait, on pouvait se rendre compte qu'elle ne portait pas un collant, mais des bas stay-up, dont les jarretières de dentelle élastiquée effleuraient.
Il n'y a rien de plus transparent que le noir, et dans la salle baignée de lumière, on pouvait, en observant bien, se rendre compte qu'elle était nue sous la robe. Voir sa peau...Ses hanches, son ventre, son pubis, son dos, et aussi ses seins...Non, elle n'avait rien dessous.
C'est en la regardant que j'ai compris, une idée qui s'est précisée dans les jours qui ont suivi que l'amour n'avait pas d'âge. J'avais trente ans, elle soixante-dix, voire plus, et pourtant j'étais attiré par elle plus que je n'avais pu jamais l'être par des filles de mon âge. Il y avait simplement deux êtres qui pouvaient se plaire ou pas, et, dans mon cas, une personne fascinée par une autre.
Je ne me faisais pourtant aucune illusion sur ce qu'elle pouvait ressentir pour moi.
Jusqu'à ce qu'on m'amène près d'elle pour me la présenter.
— Je vous présente Fred D... C'est lui qui a fabriqué l'expo dont nous nous servons aujourd'hui.
Elle m'a souri. M'a tendu la main. Une main douce et chaude. Elle a gardé ma main dans la sienne plus longtemps qu'elle ne l'aurait du, son regard planté dans le mien. Je me suis félicité d'avoir un grand blouson qui descendait bas et masquait mon bas-ventre. Un instant, j'ai même cru que j'allais me jouir dessus tellement elle me troublait.
On a discuté. De ce que j'avais fait...Elle, dans son association, elle s'occupait de faire des recherches dans les archives. De près, je pouvais faire la même constatation que de loin: le noir, c'est vraiment transparent. Et j'étais surpris de constater que ses seins étaient hauts, fermes et galbés. Alors que je les aurais imaginés flasques, et pendant sur sa poitrine, à son âge. Comme quoi, on pouvait vivre sur des clichés. Et effectivement, à son contact, j'ai bien compris que j'avais vécu et je vivais sur des clichés. Il n'y avait pas de péremption pour les corps, pour les femmes, pour le désir...Et j'avais été très con de le penser...
Ça a basculé un peu plus tard...L'alcool coulait à flots, et on avait un peu trop bu. Est-ce pour cela qu'elle m'a glissé, s'approchant de moi ?
— Ca vous dirait une fellation?
J'ai d'abord pensé avoir mal entendu. Peut-être qu'elle me disait simplement: 'Ca vous dirait quelques glaçons?' J'avais un verre à la main...Alors elle a formulé autrement.
— J'ai envie de te sucer la queue. Les toilettes dans ce bâtiment sont très loin de la salle...Je vais partir la première. Si tu as envie que je te prenne dans ma bouche, tu attends un peu et tu me rejoins.
Et elle s'est éloignée, quittant la salle pour partir dans les dédales de ce grand immeuble ancien.
J'ai jeté un coup d' oeil autour de moi. Personne ne nous observait. Alors je me suis décidé à emprunter le couloir, effectivement très long. Il n'était pas droit mais sinueux, passant devant autant de portes closes.
Les toilettes étaient tout au fond. J'ai poussé la porte. Elles étaient mixtes. Il y avait un lavabo sur le côté et trois cabines. Installée dans l'une des cabines, la robe roulée à sa taille, les cuisses ouvertes, Ginette se vidait la vessie. Il n'y avait pas de slip accroché à sa jambe, au niveau du genou, ou à la cheville, puisque, je ne m'étais pas trompé, elle n'en avait pas. Ses jambes étaient magnifiquement dessinées, encore rehaussées par les bas stay-up, et ces bottes à talons aiguille qui lui arrivaient en dessous du genou. J'avais rarement vu d'aussi jolies jambes, et, comme j'ai pu le constater par la suite, elle avait un corps magnifique, harmonieux, équilibré, absolument pas abîmé par l'âge.
Elle avait aussi, en tout cas, une belle chatte, glabre, rasée sans doute pour ne pas donner à voir de poils blancs, une belle proéminence accompagnée par un gros paquet de lèvres sorties d'elle, dont le gonflement disait à mon sens son excitation à s'exhiber, tout comme ce gland clitoridien en pleine érection. J'en avais rarement vu d'aussi gros...C'était troublant, tout comme de voir son urètre poussé en avant, saillant, dont sortait son pipi.
Avait-elle eu un besoin urgent auquel elle n'avait pu résister ou alors était-ce une manière de me troubler, en m'offrant un acte très intime? Difficile de trancher, et chez elle, je devais le comprendre par la suite, tout était ambigu et ambivalent.
Elle a relevé la tête et m'a jeté:
--Viens, je peux te prendre dans ma bouche pendant que je pisse.
Pendant qu'elle continuait de se vider la vessie, un jet continu, elle a commencé à lécher ma queue d'une langue avide. C'était une expérience terriblement excitante, et j'ai failli exploser de jouissance. Excitante parce qu'elle avait une habileté incontestable, réellement impressionnante, pour parcourir ma queue et me donner du plaisir, excitante aussi parce qu'elle avait vraiment un beau corps, et c'était vraiment troublant d'avoir à portée de regard, de main et de queue une aussi belle femme, mais aussi parce que c'était terriblement à la fois déconcertant et fascinant d'avoir un moment de sexe avec une femme d'un certain âge, et même d'un âge certain qui soit si différente des clichés que je pouvais avoir dans la tête.
Sa langue tournait sur moi, inlassable. Elle a cassé le rythme de cette première caresse en ouvrant la bouche et me prenant dedans. Une cavité chaude et humide. Certains hommes disaient qu'ils préféraient être dans la bouche d'une femme plutôt que dans son sexe, et, dans la sienne, je n'étais pas loin de le penser. Elle faisait aller et venir sa bouche sur moi, s'interrompant pour esquisser une caresse autre, venant enfoncer sa langue dans mon méat, ou pour me mordiller les couilles. J'aurais été curieux de savoir de quoi sa vie sexuelle avait été faite. Un mari, plusieurs maris, des amants, des maîtresses? Je la voyais comme une femme d'une rare beauté, et d'une réelle sensualité, qui aimait, contrairement à d'autres, le sexe, pour qui ça n'était pas une obligation, mais un plaisir, et qui avait du en profiter au maximum, mais aussi qui voulait continuer à en profiter, jusqu'à la fin, et qui pouvait se le permettre parce qu'elle était magnifique. La preuve...
Elle s'interrompit au bout d'un moment pour me dire:
— J'ai envie de boire ton sperme et que tu jouisses dans ma bouche...On se reverra et on fera d'autres choses...Tu pourras mettre ta queue où tu veux...J'aime tout...
Avec une telle promesse...Je me voyais bien la pénétrant ici, dans cette cabine. Il aurait suffi que je rabatte le couvercle, que je m'asseye et qu'elle vienne s'empaler sur moi... Mais elle en avait décidé autrement...Elle avait un bon tiers de ma queue dans sa bouche, et elle a frotté mon gland de sa langue jusqu'à ce que je commence à cracher mon sperme. J'ai eu un des meilleurs orgasmes qu'il m'ait jamais été donné d'expérimenter. Son habileté, la situation...Il y a des moments qui sont vraiment bons...
Je me suis écarté. Elle s'est redressée. Elle ne risquait pas de remonter sa culotte pour masquer sa moule. Elle n'en avait pas.
Elle m'a souri, et m'a dit:
— Tu as ton portable sur toi? Je vais y inscrire mon numéro...Tu m'appelleras quand tu auras envie de sexe, et si je suis libre.
Il se trouvait par le plus grand des hasards qu'elle habitait à deux rues de chez moi. Une réelle ironie, mais aussi une grande facilité. Dire que nous habitions tout près l'un de l'autre sans nous connaître...Et qu'on aurait pu, si on s'était connus plus tôt, avoir tous ces moments de plaisir qui sont venus par la suite...
Je l'ai appelée le lendemain matin, très tôt. J'avais infiniment envie de la revoir. Je pensais qu'elle dirait non. Qu'elle voudrait me faire comprendre qu'il fallait attendre. Au contraire, elle m'a répondu, quand je lui ai dit que je finissais tôt dans l'après-midi:
— Je t'attends, la chatte ouverte.
Je n'ai pas oublié ce premier moment. Pas plus que les autres d'ailleurs...J'avais un rien d'appréhension. Je me demandais comment ça se passerait, si on arriverait à s'entendre, si la magie de la première fois n'avait pas été dissoute.
Elle m'a ouvert en peignoir, avec un sourire radieux sur le visage. Peignoir entrouvert. Dessous elle avait un corset, dont ses seins sortaient en partie, énormes globes blancs et tentants. Le corset s'arrêtait au-dessus de son pubis, et laissait son sexe à nu. Sa tenue était complétée par des talons aiguille et des escarpins rouges avec un talon d'une quinzaine de centimètres qui la cambraient bien.
Ma verge a pris une érection complète en quelques secondes, très dure. Je crois bien que je n'avais jamais autant désiré une femme qu'elle.
Son corps et le mien ont fait contact. Nos bouches se sont rejointes pour un baiser sensuel, contact des lèvres d'abord puis des langues. Je sentais son corps contre moi, son épaisseur, ses formes, sa chaleur. Elle, d'évidence, elle sentait ma queue, roide de désir, contre elle. Elle est venue chercher ma queue dans mon pantalon, agile, habile, et l'a masturbée. Je me suis détaché de notre baiser pour faire sortir ses seins de son corset. Ils me fascinaient depuis que je les avais vus en transparence, l'autre jour, pour leur galbe parfait. Une vérification? Sans doute en partie. Ils tenaient, en tout cas, leur promesse, ronds, pleins, et effectivement très fermes. J'ai gobé l'extrémité d'un sein, léchant un téton, déjà un rien durci, pour le faire durcir encore plus. Je suis passé d'un sein à l'autre, pendant qu'elle me masturbait.
J'avais tant d'envies. Ça fait deux ans maintenant, et je ne me suis toujours pas rassasié. Quand je la vois, j'ai envie de TOUT lui faire.
Je l'ai attrapée par les fesses, soulevée, et posée un peu plus loin, sur le divan que j'avais aperçu. Elle est partie en arrière, les pattes en l'air. J'ai plongé sur sa chatte et je me suis mis à la caresser de la langue. Elle avait une grosse chatte, une chatte façonnée par l'âge, une chatte comme n'en aurait pas eu une fille de dix-huit ans. Très grosse, avec ces lèvres qui, j'ai pu le constater par la suite, même quand elle n'étaient pas excitée, sortaient d'elle, faisaient un gros paquet qui tendait les tissus de ses culottes quand elle en mettait, repliées sur elle-mêmes, ne demandant qu'à s'épanouir, à se gorger de sang et s'allonger, et un gland clitoridien comme je n'en avais jamais vu. Il était, au degré zéro de son excitation, caché sous une peau, mais il se décalottait très vite, et son érection avait quelque chose de fascinant. J'en avais rarement vu d'aussi épais et d'aussi long.
Avec elle, c'était vraiment agréable de faire l'amour parce que son corps réagissait très vite, et elle manifestait vocalement son plaisir. Dès les premières secondes. Entre commentaires et gémissements, petits cris...
Sa chatte, par son volume, c'était un monde à explorer. S'aventurer sur ses lèvres, sucer ce gland clitoridien, glisser sa langue de plus en plus facilement dans un intérieur qui ne demandait qu'à s'ouvrir...
Ce qui m'a le plus sidéré, et ça n'aurait pas du, puisqu'elle cassait tous les clichés que je pouvais avoir, ça a été le fait qu'elle mouille, et qu'elle mouille même abondamment, alors que je pensais qu'une femme, passé la ménopause, avait la chatte toute sèche...Elle ruisselait, au contraire, et je lapais ses jus intimes avec avidité, goût à la fois amer et sucré...
— Tu lèches bien, elle m'a complimenté.
Ma queue, entre mes cuisses était raide de désir à en être douloureuse, et je me caressais pour apaiser la tension croissante qui était en moi.
— J'ai envie de sentir ta queue en moi. Pénètre-moi. Regarde, la boite près du divan...Il y a des capotes dedans...Je tiens pas à choper une sale maladie.
J'ai obéi. Effectivement, la boite contenait des boites de préservatifs très diverses, ce qui m'a laissé penser qu'elle faisait une consommation sinon frénétique, du moins importante. Je ne devais pas être son seul partenaire. Je me suis gainé d'un préservatif. Ignorant que, la fois suivante, pour me faire une démonstration de ses capacités, elle se collerait un préservatif identique contre les dents, me prendrait dans sa bouche et descendrait le latex le long de ma queue pour la poser sur moi, un travail impeccable, visible quand elle remonterait. Je n'étais encore qu'au début de la découverte.
J'ai glissé sur elle. Une position classique, en missionnaire, mais on est ensuite passé sur d'autres, sans que je sorte de sa vulve. J'ai ripé, elle a attrapé ma queue et elle m'a fait rentrer en elle. Je me suis retrouvé entouré par une vulve brûlante. Je l'ai fouillée. Elle a gémi. On est parti ensuite sur d'autres positions, elle sur le côté, jambe levée, moi collé à son dos...Elle a ensuite basculé à quatre pattes.
Il y a eu un moment, ou enfin, à force de sentir cette queue dilatée frotter son intérieur, elle s'est mise à jouir.
Même ça, c'était impressionnant.
En criant, elle a éjaculé autour de ma queue des jets de liquide qui n'avaient rien à voir avec les écoulements plus clairs sortis précédemment. C'était blanc, épais, on aurait dit du sperme.
Ça a été après qu'elle a mis en pratique une de ses techniques. Que je ne connaissais pas. Que sans doute aucune fille plus jeune ne connaissait, et dont la mise en œuvre m'a bien réaffermi dans mes convictions. Oui, sans aucun doute, outre l'attraction physique qu'elle pouvait exercer sur tout homme, elle savait beaucoup, elle avait plus de technique que d'autres filles. Que la plupart d'entre elles, en fait.
La première fois qu'elle a resserré ses muscles vaginaux autour de moi, je n'ai pas compris ce qui se passait. Une sensation d'une caresse délicate, qui m'a enveloppé et donné du plaisir. Et puis, elle était assise sur moi, avec un sourire qui disait son savoir-faire, son triomphe aussi de me surprendre, elle a réitéré sa caresse, se contractant autour de moi, serrant, et desserrant, me prenant et me reprenant, une caresse inédite, forte et douce à la fois, mais surtout irrésistible. J'ai été incapable de tenir, et j'ai joui, crachant mon sperme en elle en jets copieux, projetés contre les parois de son vagin avec violence, bien que contenus dans le latex, qui l'ont faite jouir à nouveau en se tordant.
J'ai bien compris que j'avais trouvé la femme que j'attendais depuis longtemps. Une femme qui n'était pas et ne serait pas effarouchée par les plaisirs du sexe, qui serait magnifique, et qui m'apprendrait beaucoup plus de choses que je ne croyais en savoir. Mais aussi quelqu'un avec qui je m'entendrais, simplement, et c'était bien le cas avec Ginette.
On s'est mis à se voir de plus en plus. En fait, dès que j'avais un moment je passais, elle m'accueillait, et on faisait l'amour directement. Et c'était toujours très bon, dans une harmonie que je n'avais pas connue souvent.
Surtout, notre relation s'était installée dans la durée.
Il s'est passé quelques temps avant que notre relation ne sorte du cadre du sexe proprement dit, et qu'elle m'invite pour manger chez elle, pour assister à des expos...Je me posais la question au début de savoir ce que les gens pourraient penser de nous, s'ils penseraient qu'on était en couple. Il y a souvent des signes qui trahissent bien des choses...Mais je me suis rendu compte que je m'en fichais, au final.
L'autre question que je me posais, c'était de savoir si les hommes et les femmes que je croisais avaient entretenu ou entretenaient une relation avec elle.
Question qui devait trouver une réponse quelques semaines plus tard.
A l'occasion d'une exposition, Ginette a été rejointe par une très jolie brune d'une quarantaine d'années, au physique avantageux, et qui exsudait le sexe.
J'ai immédiatement compris, en m'approchant d'elles, qui y avait quelque chose entre elles. Une manière de se tenir, de se poser. Une proximité évidente. Quelque chose qui sautait aux yeux.
Je me suis approché, ma verge se durcissant à mesure que je m'approchais d'elles. Troublé par ce lien que je sentais entre elles, qui me faisait imaginer des jeux sexuels, mais aussi par le charme de celle qui, je l'appris quelques instants plus tard, s'appelait Adèle. Une chevelure épaisse, longue et soyeuse, un joli visage, rond, harmonieux, avec des pommettes très marquées, et un maquillage qui en soulignait les charmes, un perfecto ouvert sur un débardeur rouge sous lequel elle avait, d'évidence les seins nus, ils gonflaient le tissu, on les voyait bouger dessous, et les tétons, un rien durcis, ou peut-être plus, tendre la matière. Elle avait également un pantalon en vinyle hyper-moulant, qui collait à ses cuisses, à son pubis et à son sexe, le dessinant avec tellement de précision qu'on comprenait bien qu'elle n'avait pas de slip en dessous, le gonflement du sexe, la fente au milieu, mais aussi les lèvres qui sortaient d'elle. Un peu plus tard, quand elle s'est retournée, j'ai eu l'occasion de voir son derrière, un cul très charnu, rond et très rebondi. Le tissu s'enfonçait dans la fente au milieu.
— Je te présente Adèle, une amie très proche. On se connaît depuis deux ans, et on passe de bons moments ensemble.
Tout était dit. Ce qui ne l'était pas forcément, c'était que je semblait plaire à Adèle, laquelle était modelée sur Ginette, sans quoi elles ne se seraient pas rapprochées, et avait le feu au cul.
Il y avait eu un moment, pendant l'expo, où elle et moi on s'était retrouvés seuls dans un couloir. Face à moi, et sans hésitation, elle m'avait dit:
— Tu me plais!
Et pour me le prouver, elle avait d'abord soulevé son débardeur, me présentant des seins lourds, mais fermes, avec de larges aréoles toutes roses, et des tétons durs, que l'air ou l'excitation avaient durci encore plus, puis elle avait baissé son pantalon en vinyle...Dessous, il y avait une chatte toute gonflée, et, au moment où elle me l'a montrée, un jet de liquide a coulé, dans son aine, et à l'intérieur de sa cuisse. Elle a tenu à se retourner, pour me présenter son cul, fendu en deux par un sillon profond.
— Tout ça sera à toi, il faudra simplement trouver l'occasion.
L'occasion, elle est venue quelques semaines plus tard.
Je passais, à présent, chez Ginette sans téléphoner avant. Si elle n'était pas dispo, je repartais, mais c'était rare.
Ça a été comme ça que je les ai trouvées ensemble, Adèle et elle, un jeudi après-midi, sur le coup de trois heures.
Je rentrais généralement sans même frapper. Je me suis glissé dans la pièce centrale, avant d'entendre des gémissements dans la chambre à côté. Je n'ai pas pensé que, si Ginette gémissait, c'était parce qu'elle avait mal...
Je me suis avancé doucement, curieux de savoir ce que j'allais découvrir.
Je n'ai pas été déçu.
Une fille, j'ai immédiatement compris qu'il s'agissait d'Adèle, j'ai reconnu sa chevelure, sa silhouette, ses formes, était calée à quatre pattes sur le lit, le visage enfoui entre les cuisses de Ginette, grande ouvertes. Ginette avait les jambes écartées, et le cunni que lui prodiguait Adèle, dont je ne voyais malheureusement pas grand chose, semblait lui procurer un réel plaisir. Mais je ne doutais pas de l'habileté de sa maîtresse.
Dans sa position, Adèle était parfaitement offerte, le cul tendu et ouvert. Mon regard a glissé sur son intimité, des plissements de son anus à sa vulve, béante, ses lèvres toutes gonflées, gorgées de sang, son intérieur bien visible, tout rose, et ses jus intimes coulant, mouillant ses chairs et les faisant luisantes...
Une voix s'est élevée, la voix de Ginette, différente de d'habitude, déformée par le plaisir.
— Baise-là. Elle n'attend que ça. N'oublie pas de mettre une capote.
La capote, c'était l'obsession de Ginette. De toute façon, j'y aurais pensé. Je me suis gainé, avant de rejoindre la couche, la queue raide comme elle ne l'était que quand je rejoignais Ginette.
Je ne l'ai d'ailleurs pas pénétrée tout de suite. J'avais envie d'explorer, de découvrir.
Je suis venu tourner autour de ses parties intimes. Examinant de plus près ce que j'avais vu de plus ou moins loin. Venir me positionner sous le ventre d'Adèle m'a d'abord permis de voir ce qui se passait plus loin, et comment la jeune femme léchait la vulve de sa partenaire, avec un mélange d'avidité et d'habileté troublant. Moi, je suis remonté plus haut, là où, dans sa chair, s'amorçait le sillon d'Adèle, et je suis descendu de la langue pour une caresse en aller-retour, qui l'a faite gémir dès les premières secondes. Une zone ultra-sensible, avec un point qui l'était encore plus, son anus, dont j'ai parcouru et reparcouru les plissements. J'ai sentit que la muqueuse, fermée, s'ouvrait. Adèle, tout en bouffant consciencieusement la chatte de son amie, gémissait, sans doute perturbée dans son cunni par le plaisir qu'elle prenait.
Et je suis descendu sur sa chatte. J'y avais longtemps pensé, depuis qu'elle m'avait offert son corps, j'avais eu envie. C'était bon d'avoir enfin ce qui vous avait fait rêver, après avoir attendu. Mieux même que de l'avoir tout de suite. J'ai plongé droit au milieu de la muqueuse, rose, ouverte, et qui était arrosée par des liquides qui coulaient avec abondance, comme un torrent. Je l'avais lapée, me remplissant de ce goût unique qu'ont les sécrétions d'une femme, différent selon chacune d'entre elles et selon les moments.
Je n'ai rien entendu...Sauf la voix de Ginette dans ma tête...Hallucination ou réalité ? Phénomène de transmission de pensée? Il fallait bien dire qu'on était proches, elle et moi...Une voix qui me disait: 'Maintenant...Tu l'as assez caressée avec ta langue, ce dont elle a envie maintenant, c'est que tu rentres ta queue en elle et que tu caresses ses muqueuses à l'intérieur.
Je me suis redressé et je suis venu poser mon gland contre ses lèvres. Adèle était tellement ouverte qu'on aurait pu enfoncer trois queues en même temps en elle. J'ai frotté mon gland, tout gros, contre ses lèvres, bien épaissies par le sang qui y avait afflué sous l'effet de l'excitation, sans qu'elles atteignent la taille de celles de Ginette. En une sorte de réponse, elle a coulé avec plus d'abondance. Et puis j'ai glissé en elle...Une chatte aussi humide que fondante...J'ai déjà éprouvé l'extase en la pénétrant. Elle a poussé un long gémissement, avant d'accompagner mes mouvements de va-et-vient d'autres gémissements et de petits cris...
C'était curieux, parce que ce phénomène de transmission de pensée, imaginaire bien sûr, se poursuivait dans ma tête. 'Tu vas nous baiser toutes les deux.'
Et, assez curieusement, sans que rien ne soit dit, l'une et l'autre, elles se sont dégagées, et calées côte à côte, pour m'offrir leurs culs. Leurs fesses ouvertes, et leurs chattes dilatées et dégoulinantes. Chaque femme a un corps dessiné différemment, ce qu'elles partageaient elles deux, en tout cas, c'est qu'elles étaient aussi excitantes l'une que l'autre.
Elles se sont embrassées de la manière la plus excitante qui soit, langues sorties et se frottant avec ardeur. Un spectacle auquel il aurait été difficile de résister.
Il n'y a pas de télépathie quand Ginette s'est retournée et m'a proposé:
— On voudrait que tu fouilles bien nos chattes, et ensuite, quand on n'en pourra plus que tu nous sodomises...Jusqu'à ce qu'on n'en puisse plus là non plus...Tu crois que c'est envisageable ?...
En guise de réponse, je suis venu sur elle, et je l'ai pénétrée avant de m'activer en elle...
Ce qui a ajouté un degré de plus, ça a été que, quand j'étais dans le ventre de l'une des filles, l'autre s'affairait sur elle...Lui léchant les tétons, lui suçant le clitoris, enfonçant un doigt dans son anus...Et réciproquement...
Quand j'ai senti de la lassitude de leur part, à force d'avoir le sexe fouillé, et que moi aussi j'ai eu envie de changer, je me suis calé dans leur anus...L'une et l'autre partageaient le fait d'avoir une muqueuse anale souple, qui disait, à minima qu'elles s'étaient déjà souvent faites prendre par là...Et à maxima qu'elles prenaient du plaisir aussi par là. Elles se masturbaient mutuellement, et on a fini par jouir, ensemble, chacun d'entre nous éjaculant. Jamais je crois je n'avais joui aussi fort, mais sans doute aussi à l'unisson d'autres personnes.
Ça promettait de beaux jours à venir.
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