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Sexe entre amies

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Lue : 18013 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 02/12/2011

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Depuis quelques temps, j'ai des doutes sur mes préférences sexuelles, et je ne suis plus sûre de moi. Etant avec mon petit-ami depuis un certain temps, je me sens assez mal, je dois l'avouer. Mes doutes ont commencés au lycée. J'avais cours de sport et j'avais pris la spécialisation piscine comme ma meilleure amie pour ne pas que l'on soit séparées. C'était un comportement puéril je l'avoue mais il m'a appris beaucoup de choses sur moi même.

Marilys et moi étions meilleures amies depuis l'enfance, et on avait toujours été ( ou presque ) dans les mêmes classes, et si ce n'était pas le cas nous nous arrangions pour changer de classe et se retrouver ensemble. Nous étions très possessive l'une de l'autre, et nous n'acceptions l'amitié d'aucune autre personne, et surtout pas des filles.

Nous avions l'habitude de nous voir nues mutuellement et cela ne nous causais aucun problème. Jusqu'au premier cours de natation. Rachelle, une fille de notre lycée qui avait la réputation d'être lesbienne, était dans notre cours. Et lorsque l'on se déshabillait toutes, elle avait tendances à me regarder me déshabiller, elle avait l'air d'y prendre goût. Un jour elle m'avait même dit que ma forte poitrine l'attirait beaucoup, je répondis merci en rougissant. Et ce jour-là, Marilys ne m'adressa plus la parole pendant le reste du cours de natation, elle demeurait silencieuse, comme si quelque chose l'avait blessée.

Le soir même, elle me demandait de l'appeler. Je m’exécutais, et lui demandait si elle allait bien, car il m'avait semblé qu'a la fin du cours, elle n'allait pas très bien. Elle me répondit que tout allait bien, mais qu'elle aimerait bien que je vienne ce soir, car elle était un peu triste. Comme le lendemain nous ne commencions qu'à 10h, mes parents ne diraient rien, et puis de toutes manières nous étions presque voisines !

Lorsque j'arrivais chez elle, elle m'enlaça, comme à son habitude. Et même un peu plus fort. Puis on est allées dans sa chambre, on a allumée la radio et on a rit. Mais au bout d'un certain temps, alors que je lui avais demandé comment elle avait trouvé la natation, elle reprit son air grave. Elle me regarda dans les yeux, ses yeux bleus semblaient vides, et sa large poitrine se gonfla dans un soupir. Alors elle me prit la main et me dit qu'elle n’avait pas aimé que cette ignoble Rachelle me mate comme ça. Je pensais comprendre maintenant, Marylis était jalouse ! Je lui caressais alors la joue, et elle s'approcha de moi doucement. Je sentais sa peur mélangée avec une extrême excitation l'envahir. A travers son débardeur je pouvais même voir ses seins pointer. Elle m'embrassa. Doucement d'abord, puis de plus en plus intensément.

A ce moment même je me rendais compte que ce moment là, je l'attendais depuis longtemps. Je lui empoignais alors un de ses énormes seins qui me donnaient envie depuis si longtemps et je lui titillais le téton. Elle se mit à gémir doucement, et l'excitation l'envahissant, elle se mit à me retirer mon débardeur. Nos poitrines titanesques se faisaient maintenant fronts. Nous nous touchions, et la tension électrique entre nos deux corps ne faisaient que croitre. Je me mordis les lèvres de plaisir alors qu'elle me mordillait la pointe du téton. Mes joues rougissaient de plaisir et mon corps tout entier était esclave de ses mains de maître. Jamais mon copain n'avait réussi à me donner tant de plaisir et il le regrettait souvent. Je me sentais enfin à ma place aujourd'hui, et comme pour le montrer à Marylis, je l’allongeais doucement sur le lit et lui faisait signe d'écarter les jambes. Je commençais par embrasser son ventre puis descendre subtilement vers l'endroit visé. Arrivé à sa petite chatte, je commençais par titiller un peu sa vulve déjà ouverte et humide d'un liquide transparent et brillant à la lumière. Alors que je jouais avec ses petites lèvres elle avança ma tête en me suppliant de lui faire du bien. Elle s'abandonnait complètement à moi. Son visage de poupée, ses seins magnifiques au galbe parfait, sa taille fine et ses hanches évasées, son corps semblait sculpté dans un modèle divin, elle était juste remarquable. Alors j'approchais mes lèvres de sa vulve et léchouillait l'entrée humide. Puis insistant de plus en plus, je finis par lui aspirer bruyamment le clitoris. La radio au volume maximum peinait à masquer ses cris. Puis vint un moment où ses cris se transformèrent en hurlement, son ventre se crispa et son visage aussi, le liquide brillant devint un peu plus blanc et ruisselait jusqu'a son anus ; malgré mon inexpérience je comprenais que je l'avais comblé au paroxysme, elle avait eu un orgasme.

Quand elle reprit un peu ses forces, elle se mit à m'embrasser fougueusement, elle m'aspirait les seins très fort, car je suppose qu'elle avait compris que j'aimais sa par-dessus tout. Mais elle me laissa quelques secondes le temps d'accéder à son armoire. Et là, elle y avait caché, dans une boîte à chaussure rose, un tas d'accessoires. Dont un gode double, qui pouvait nous donner du plaisir à toutes les deux. Alors elle me dit qu'elle allait me rendre ce que je lui avais donné. Elle débuta par me faire prendre connaissance de cet objet en le frottant délicatement contre ma chatte, alors que je trouvai cela déjà fort excitant, mon désir monta en flèche dés l'instant ou elle appuya sur le bouton ON. Elle mit cette engin vibrant sur mon clitoris, et fis quelques va-et-vient. Je tentais de me retenir de gémir, mais elle m'ordonna de me laisser aller, tout en me faisant des bisous dans le cou. Puis elle enfonça l'engin dans son vagin encore humide, et me pénétra à mon tour. Le plaisir était tellement intense que ma tête se mit à tourner. Les mots sortaient tout seul, et des " Oh oui plus fort ! Plus profond Silteplaiiiiiiiis ! " M’échappaient. J'étais totalement hors de contrôle. Elle mit la vitesse de vibration là plus haute, puis bougea de plus en plus vite. Nous frottions nos clitoris l'un contre l'autre et nous nous touchions les seins c'était tellement bon. Puis nous avons trouvé notre rythme, et nous avons accéléré et encore et encore ... Jusqu'à ce que nous trouvions l'orgasme ensemble. Nos deux corps ne semblaient faire qu'un, et j'hurlais maintenant. Je sentais le plaisir monter dans tout mon être jusqu'à la pointe de mes seins, et c'était si bon ! Jamais je ne m'étais senti aussi bien.

Suite à ces ébats, nous nous sommes couchées, fatiguées. Et le lendemain en cours nous nous lancions des sourires complices. Lorsque mon copain m'envoya un message pour me tirer de ma rêverie, Marylis me dit que ce n'était pas un problème, et que tant que je n'allais pas coucher avec cette ignoble Rachelle, elle ne m'en voudrait pas d'être avec mon copain. Et depuis ce jour, quand les lundis nous avons piscines, on ne s'ennuie pas dans les douches ...
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Commentaires du récit : Sexe entre amies

Le 21/11/2022 - 10:28 par lasemelle
Superbe récit, qui ne m'a pas laissé de marbre, bien loin de là, car j'en ai encore ma trique à la main. Mille mercis.
Le 29/12/2011 - 15:03 par apollon898
Woah, cette histoire est tout simplmnt sublime, exitante tu a un vrai don continue !sil tr plait jaimerais bien que tu fasse une suitr avec ces personnage !!

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