Sexe entre amis 3

Partie 3 : Salope en chaleur

Après ce geste troublant de la sublime Jeanne, je restais seul pour la journée. Dans l'après-midi, l'un des garçons m'envoya un message disant qu'ils restaient sur place, sauf Jeanne, qui préférait dormir ici. Je répondais évidemment qu'il n'y avait pas de problème et ne pouvais retenir mon imagination qui me renvoyait des images de moi baisant cette salope de Jeanne.

En fin de journée donc, elle était de retour. Le repas se passa normalement et chacun alla se coucher dans sa chambre. J'avoue avoir été déçu, espérant sans trop y croire que je pourrais enfin me soulager dans cette chatte si appétissante. Je me couchais nu à cause de la chaleur et décidais d'espionner ma voisine de chambre par la grille d'aération. Elle était nue et se touchait! Son corps sublime s'étalait sous mes yeux. Sa chatte entièrement lisse se faisait caresser par ses mains expertes. Cela provoqua aussitôt chez moi une érection en béton. Tout en regardant Jeanne passer ses doigts lentement sur sa chatte, caressant ses lèvres et cherchant son petit bouton, je commençais à faire de même avec mon membre.

Soudain je la vis ouvrir un tiroir et en sortir un gode de bonne taille, supérieure à celle des bites de moi et mes potes. Elle fit glisser la tête de l'objet quelques secondes sur son sexe avant de l'y enfourner en entier d'un coup. Elle gémit fort et sa respiration s'accéléra. Ma main qui se trouvait sur mon sexe fit de même. Elle continuait de se limer intensément, et j'aperçu que son autre main avait introduit un doigt dans son anus. Quelle cochonne! Elle mériterait que je vienne la remplir. Et si...Je m'imaginais lécher sa chatte et me délecter de sa cyprine avant d'y introduire mon gourdin et de la défoncer comme elle méritait.

Je décidais de me manifester, sans toutefois trahir ma position, et d'attendre une réaction. Au milieu des soupirs et gémissements de Jeanne, j'allumais la lumière, claquais une porte de placard, avant d'éteindre et attendre. Rien ne se passa, si ce n'est que les gémissements prirent de l'ampleur avant de s'arrêter quelques instants après. Je m'endormais en me disant que j'avais sans doute rater une occasion, ma bite tendue à mort me le rappelant vivement.

Au milieu de la nuit, je sentis une présence près de moi. Ouvrant les yeux, je vis Jeanne, toujours nue, debout devant moi et caressant mon sexe, se dressant fièrement. Cette situation me réveilla complètement en quelques secondes. Me voyant troublé, Jeanne me dit:
"Je sais que tu attends ça depuis le début des vacances coquin"

Je ne pouvais le nier et elle pris ça pour un oui car elle se mit à genoux et avala mon gourdin d'un coup. Tout en caressant mes couilles, elle lustrait mon gland avec sa salive et faisait aller et venir ses doigts sur ma bite. Celle-ci disparaissait à une allure de plus en plus rapide dans la bouche et la gorge de cette salope. Je me croyais dans un rêve.
"Humm tu suces trop bien salope j'ai eu envie de ça dès le premier soir"

Pour toute réponse elle accéléra la cadence et j'étais proche d'exploser dans sa bouche.
J'hésitais entre prolonger le plaisir jusqu'au bout et me retirer pour profiter de son corps, mais la décision fut prise sans moi:
"Vide toi j'ai envie de sperme, mon mec adore gicler dans ma bouche et moi avaler. On aura toute la nuit pour que tu me saute".

Et elle me branla en se contentant de me lécher les bourses et me regardant comme la cochonne qu'elle était. Quand elle sentit que mon jus venait et que j'étais sur le point de jouir, elle posa mon gland sur sa langue et accueilli ma semence en souriant avant d'avaler d'un trait en me faisant un clin d'oeil.

Je bandais encore, mais moins fort qu'il y a quelques instants. En attendant de retrouver mes pleines capacités, je fis allonger ma partenaire d'un soir au bord du lit pour lui retourner la politesse. elle écarta les jambes et me caressa les cheveux au moment où ma langue commença à glisser sur sa chatte déjà humide. Ma langue jouait avec ses lèvres et s'insinuait plus avant dans sa vulve avant de ressortir et titiller son clito. J’entendais sa respiration s'accélérer et de faibles gémissements. Après lui avoir léché la chatte pendant plusieurs minutes dans tous les sens, elle releva ma tête et me lança un regard de braise en me disant:
"Prends-moi! Je sais que tu veux me défoncer alors vas-y....."

J'eu à ce moment un léger sentiment de culpabilité par rapport à mon ami, son mec.
"Te prends pas la tête pour lui (était-elle devin?), ils doivent être en train de se taper Sophie"

Ce genre de pratique et de raisonnement dépassait tout ce que j'aurais pu imaginer avec Christine, ma femme.
Ma femme.....
Je me lançais alors à l'assaut de ce corps bouillant. Je me glissait entre ses cuisses et mon sexe entra dans le sien sans souci, mon langue ayant produit son effet sur sa chatte.

Je mis ses jambes sur mes épaules et commença à la limer. Plus elle gémissait, et plus je la pillonais de coups de bite de plus en plus rapide et puissant.
"Oui va y baise moi défonce moi"
"T'aimes ça salope te faire baiser"
"Oui j'suis qu'une pute baise moi plus fort"

Encore une chose qui n'arrivera jamais avec ma compagne...
Je la fis mettre à quatre patte et la pris en levrette, avec une vue imprenable sur son pétard de rêve. je crachais sur sa rondelle et y introduisit un doigt.
"Aie doucement"...
"Je sais que tu aimes ça petite chaudasse"

Elle me répondit par un clin d'oeil et se cambra.
J'entrais deux doigt et tout en continuant de lui démonter la chatte, je branlais son cul.
"Encule-moi quand tu veux"
"Je sais et j'y compte bien"

Mais je voulais que la surprise soit totale. Après lui avoir largement dilaté le trou avec mes doigts, je ralentis la cadence de mes coups de reins entre ses cuisses pour préparer la transition.
Sans prévenir, je retirais ma bite lubrifiée de cyprine de sa chatte, pour m'engouffrer dans son anus dilaté.
v Elle lança un cri de douleur avant de commencer à gémir. Quelques instants plus tard elle ondulait du bassin pour accompagner mes mouvements de hanches.
"hummm c'est bon salaud"

Je rêvais de ce moment et je savourais ce cul si bandant, qui semblait fait pour la sodomie. Au bout de plusieurs minutes, je sentis que j'allais juter et le lui dit.
"pas grave, tapisse moi le conduit avec ton jus".

En accélérant la cadence, je jouissais juste après une bonne dose de sperme dans son cul. Elle se dégagea et me nettoya le gland avec la langue.
M'embrassant, elle ajouta:
"Je retourne dormir. Ça restera entre nous et peut être que si tu es sage...."

Un clin d'oeil conclut cette phrase, qui me laissait toute latitude pour imaginer la suite. Mais les garçons rentraient demain et nous partions le matin d'après. Peu de chance donc qu'une telle situation se répète.

Le sommeil vint me prendre et mes rêves étaient faits de sodomie de fellation et de baise.....