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Sexe et agroforesterie

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Lue : 781 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/02/2021

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Il y a six ans très précisément qu’avec deux amis, qui, comme moi, ont fait un BTS agricole, on a crée une petite société qui fonctionne plutôt bien. On travaille sur toute une gamme de services, ça va de la plantation à l’entretien de jardins, mais aussi de l’élagage et du débroussaillage…Tout ce qu’on peut nous demander qui a à voir avec les espaces verts. On aime travailler en plein air. Nous, ce qui nous fait vivre, et vivre mieux c’est d’être en contact avec la nature. Nous sommes adeptes d’une agriculture plus que raisonnée, pas d’intrants, du respect pour les végétaux mais aussi pour l’homme.

On prend souvent des stagiaires qui, font, comme nous l’avons fait, des BTS agricoles. On trouve que c’est bien de mettre un pied à l’étrier à plus jeune que nous, mais aussi de les initier à des cultures plus respectueuses.
C’est comme ça que Manu, après bien d’autres, est venu faire un stage chez nous. Il a vingt-cinq ans et il est passionné par tout ce qui est nature. Il a fait un BTS espaces forestiers, et envisage une licence pro.

Ce jour-là, je l’ai emmené sur un chantier. Il s’agissait de faire, chez un particulier des plantations d’arbres, après avoir coupé des arbres en fin de vie.
Il est vaillant et passionné.
C’est alors qu’on terminait qu’il m’a dit:
—Je voudrais passer voir ma copine en rentrant.
—Ta copine habite dans le coin?, je lui ai demandé.
—En fait, je viens de me rendre compte qu’elle est à deux kilomètres d’ici.
—Tu n’étais jamais venu la voir avant?
—On ne se connait que depuis deux mois, et il se trouve que généralement on se voit en ville, ou alors elle vient chez moi. Donc je n’étais jamais venu chez elle. Il faut dire qu’elle vit encore avec ses parents. Elle s’occupe de sa maman qui est paralysée…Pas simple…

—Bon, écoute, je m’arrête, je te laisse un quart d’heure…Je vais fumer une cigarette. Ca te suffira un quart d’heure?
Il a semblé ravi.
—Parfait, j’ai pas besoin de plus.
Je me suis demandé à quoi allait servir ce quart d’heure. J’avais des images très soft qui me venaient, et d’autres qui l’ étaient nettement moins. Enfin, comme on dit, il faut que jeunesse se passe.
Il s’est activé sur son téléphone pendant qu’on regagnait le camion.
—Je te guide, elle habite un peu plus loin…
Il a fallu reprendre la départementale, et remonter, lentement. A gauche comme à droite, alternaient champs, bois et quelques maisons…Il regardait sur son appli…
—Normalement, là un peu plus loin.
J’ai aperçu une silhouette sur la gauche, une fille qui attendait à l’entrée d’un chemin. Quelques détails, une crinière noire, un sweat shirt jaune et un caleçon noir. J’ai ralenti, attendu que la circulation cesse et je suis parti sur la gauche. Le chemin était goudronné, mais il ne conduisait qu’à une maison et ses dépendances. Sur la droite, il y avait une sorte de parking, goudronné, mais vide pour le moment, sauf pour un engin agricole. J’ai freiné, et je me suis arrêté là.
La fille était encore au bout du chemin. Elle est revenue vers nous, et j’ai pu la regarder plus en détail pendant que mon stagiaire descendait, et avançait vers elle. J’ai senti ma queue se durcir. Elle était très attirante. Elle avait un visage bien dessiné, ovale, avec de magnifiques yeux bleus. Il y avait, surtout, quelque chose en elle qui suggérait une certaine sensualité, et, au-delà, qu’elle aimait le sexe, et les minutes qui ont suivi n’ont pas vraiment contredit cela. Elle avait aussi un corps vraiment bien dessiné, des courbes que le caleçon noir qu’elle portait soulignaient, en ne laissant pas grand chose à l’imagination. Ses hanches, ses cuisses, son pubis, son sexe, et ses fesses quand elle s’est tournée, étaient vraiment soulignées. J’ai pensé qu’elle le portait à même la peau, sans slip dessous. Il ne semblait en tout cas pas y avoir l’obstacle d’un tissu entre le caleçon et ses chairs intimes.
Ce qui m’incitait à penser ainsi, c’était qu’elle portait, en haut, un sweat-shirt zippé, et que la fermeture éclair était descendue de moitié, laissant voir sa chair nue, et la moitié de seins bien ronds. Tel que je voyais les choses, et je ne me trompais certainement pas, elle devait, il m’avait dit qu’elle avait, employée de secrétariat dans un lycée, une semaine de congé, soit se balader à poil chez elle, soit dormir, nue, dans son lit. Quand il l’avait appelée, elle avait passé en hâte le caleçon et le sweat-shirt pour le rejoindre.
Elle était vraiment magnifique, mais d’évidence, avec vingt ans de moins que moi, et apparemment amoureuse, elle n’était pas pour moi.
Je me trompais lourdement.
On dit souvent que les amoureux sont seuls au monde. En tout cas certains ont de fortes tendances exhibitionnistes.
Ils se sont mis à s’embrasser. D’abord très classiquement lèvre contre lèvre, puis elle a sorti sa langue, lui la sienne, et ils l’ont frottée. C’était vraiment troublant, et ce n’était pas ça qui allait me faire débander. Il m’avait dit en arrivant qu’elle était ‘très chaude’…Lui aussi apparemment…
Ca a été très vite. J’ai même été surpris. Autant parce qu’ils étaient debout au milieu du parking, que parce que j’étais là. Mais ça n’avait pas l’air de les gêner. Elle a été chercher sa queue dans son pantalon, le défaisant et péchant sa bite dans son caleçon. Sa queue est apparue, longue et raide, gorgée de sang. Lui, peut-être incité par son geste, a baissé son caleçon. Elle était effectivement nue dessous. Contrairement à pas mal de jeunes femmes elle n’était pas adepte du sexe dépourvu de poils, et elle avait gardé un triangle fourni, même s’il devait être taillé. Juste en dessous, dans une pente naturelle, je pouvais voir nettement son sexe, qui n’était pas au repos, mais dilaté, d’une dilatation grandissante d’excitation. Il s’ouvrait, et ses lèvres, bien visibles, se gorgeaient de sang et s’allongeaient. Le garçon est venu poser ses doigts dessus et il l’a caressée, alors qu’elle commençait à faire aller et venir sa main sur la tige, qui, bien que roide, a encore pris plus de volume et d’épaisseur.
Je pensais qu’ils allaient se masturber mutuellement, jusqu’à la jouissance, mais il n’en a rien été.
La ravissante brune n’avait pas semblé me remarquer jusqu’à présent. Ce n’était bien entendu pas le cas, Elle a remarqué:
—Ton employeur va se sentir frustré s’il se contente de nous regarder, tu ne crois pas?
Elle s’est approchée, sans lâcher sa queue, l’entrainant dans son mouvement, et elle a ouvert la portière. Elle a tendu la main vers mon pantalon. Je n’ai rien fait pour l’en empêcher. Elle m’a mis à nu de sa main libre. Deux queues ne se ressemblent pas. Mais elles étaient dans le même état, gorgées de sang à cause de l’excitation.
La brune était tout près de moi, et je sentais l’odeur d’un parfum que je ne connaissais pas, un parfum qui me troublait. J’ai tendu la main vers elle. J’ai craint un instant de froisser Manu en la touchant, avant de me rendre compte qu’il avait dépassé le stade de la jalousie, et qu’au contraire, cela lui plaisait qu’on s’engage dans un triangle sexuel. J’ai eu la première sensation de ses poils au bout de mes doigts, soyeux et doux, avant de descendre sur l’ouverture de son sexe, et sentir la délicatesse de ses lèvres, et de graisser la pulpe de mes doigts de ses sécrétions vaginales qui coulaient abondamment, trempant ses chairs.
Tout en continuant de masturber Manu elle s’est penchée sur moi pour me caresser de sa bouche. Elle a dardé sa langue et a tourné sur mes chairs, me mettant le ventre en feu. Elle s’est baladée sur moi, tournant rapidement, de multiples points de contact entre lesquels elle dessinait des lignes imaginaires. Mon méat s’est mis à ruisseler de liquide pré-sécrétif.
J’avais envie de descendre son zip et de voir, enfin, ses seins. Elle ne m’en a pas empêché. Je ne suis pas descendu jusqu’en bas, le zip a suffisamment baissé pour me laisser voir deux seins biens charnus, haut perchés, mais dont le rebondi était comme on aurait pu l’espérer. Elle s’est penchée encore plus et est venue m’en gainer, délaissant la queue de Manu, qui s’est caressé, sans doute excité par le spectacle. J’ai senti la douceur extrême de sa peau et le volume de ses nénés autour de moi. Une caresse exquise qui a prolongé le bonheur que j’avais pu connaître au bout de sa langue.
Ne voulant sans doute pas délaisser son amant, elle a inversé la tendance, me masturbant en même temps qu’elle prenait Manu dans sa bouche, faisant plus classiquement aller et venir ses lèvres sur son sexe dilaté.
Elle a fini par se redresser. On était, Manu et moi à une étape supérieure de nos érections.
—Si vous me preniez tous les deux en même temps? Ca serait chouette, non?
J’avais déjà eu pas mal de petites copines et j’avais pas mal de sexe au compteur. Mais sans doute que c’était la première fois qu’une fille m’entrainait dans un coup à trois. Perspective que clairement, ni Manu ni moi nous ne refusions.
Elle m’a surpris en glissant sa main dans l’une des poches de son hoodie, et en sortant deux capotes. J’imaginais que, dans une relation encore récente, elle voulait à la fois éviter de tomber enceinte et aussi de choper des MST. Et qu’elle avait toujours des capotes sur elle parce qu’elle aimait avoir des rapports avec lui. L’autre option c’était qu’elle s’offrait à des hommes très facilement et que, pour cette raison, elle avait toujours ce qu’il fallait…
Elle a défait les emballages, et a gainé nos deux queues de latex d’un geste fluide qui trahissait une longue habitude.
On s’est calés très vite, dans une harmonie qui ne s’est achevée que dans nos jouissances. Je me suis tourné de 45 degrés, et elle est venue sur moi. Elle a attrapé ma queue et elle l’a faite glisser entre ses lèvres. La sensation enivrante de son sexe autour de moi m’a fait tourner la tête, chair de soie hyper-chaude qui m’a caressé, alors qu’elle se faisait monter et descendre sur moi. Manu était derrière, qui attendait, et, quand elle s’est reposée sur moi, ça a été le signal qu’il attendait. Il s’est approché et il l’a sodomisée. Elle a poussé un long gémissement, mais ce n’était pas de douleur. Clairement, ce n’était pas la première fois qu’il la sodomisait, ce n’était pas la première fois qu’un homme la sodomisait, et elle devait aimer ça. Il s’est mis à bouger en elle.
Ce qui m’a surpris, et m’a procuré énormément de plaisir, un plaisir sans doute immensément pervers, ça a été de me rendre compte que la chair qui séparait les orifices de la jeune femme était vraiment très fine. C’était, au final comme si nous avions lui et moi simplement frotté nos queues l’une contre l’autre. Et cela m’a procuré, ajouté à celui d’être gainé par le vagin de la jeune femme un plaisir immense, de ces plaisirs que les hommes n’avoueraient jamais. Je me suis d’ailleurs vraiment contrôlé pour ne pas jouir sur le champ.
Ca a été une parenthèse dans laquelle le mot plaisir a eu tout son sens. Le mien, celui de Manu, et celui de la ravissante brunette qui se tordait sous l’action de nos deux queues qui prenaient à tour de rôle l’initiative de la fouiller.
On est arrivé à un moment, où, même en voulant se retenir, nous étions au bout de notre contrôle. La jouissance arrivait, et nous n’arrivions plus à la stopper. Nous avons explosé dans des orgasmes intenses.
Un moment unique.
Il a fallu revenir à une réalité plus prosaique. Se séparer, se rhabiller. Manu est remonté dans la voiture, et la brune est repartie vers chez elle, avec nos regards accrochés à sa croupe charnue et rebondie. Ca avait été bref mais intense, mais on aurait sans doute rêvé de plus. C’était déjà bien comme ça.
On a repris la route, la tête dans ces souvenirs.
Ca a été deux jours plus tard qu’un numéro inconnu est apparu sur mon portable. Une voix. Je l’ai immédiatement reconnue.
—Je peux parler à Gilles D…?
—Lui-même.
—Mon prénom c’est Lucinda. Vous vous souvenez de moi?
—Difficile d’oublier ce moment.
—J’ai envie qu’on se revoie. Sans Manu. Mais je suis convaincue qu’à deux, ce sera aussi très bien. Ca vous dit? Je suis libre cet après-midi.
—J’ai un chantier à un quart d’heure de chez toi.
—Il n’y aura personne à la maison cet après-midi. Pousse jusqu’au bout du chemin.
Mon après-midi de travail prenait soudain une autre dimension.
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