ACCUEIL > Triolisme > Récit : La ruée vers Laure partie 2

La ruée vers Laure partie 2

+9

Lue : 646 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 03/03/2021

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Elles me regardaient avancer vers elle.
C’est dans le temps pendant lequel j’ai approché, un temps qui a semblé se dilater, que je les ai observées attentivement, et que j’ai vu des différences entre elles, quant bien même elles semblaient identiques. Elles étaient blondes toutes les deux, même visage, même coupe de cheveux, même corps. Pourtant quand on regardait bien, on voyait les différences. La fille de droite était plus jeune de quelques années, sa soeur cadette donc. Leur corps aussi, quoi qu’identique, n’était pas dessiné pareil. On s’en rendait compte parce qu’elles portaient l’une comme l’autre des tenues moulantes, Laure une robe noire courte et collante sous laquelle, j’en étais certain, elle n’avait rien d’autre, sa soeur une combinaison comme les pompistes ou les garagistes, rouge vif, qui donnait un dessin et une dimension précises de son corps, jusqu’à ses parties intimes. Il n’y avait, comme pour Laure, c’était une évidence, aucun obstacle entre sa chair et le tissu, la combinaison à même la peau.
Sa soeur avait un peu plus de hanches, une croupe plus rebondie, et un peu plus de poitrine. Les détails plus intimes, je les ai découverts plus tard, quand elles se sont offertes à moi. Un sexe totalement rasé pour une, alors que l’autre avait gardé ses poils…Une tache de naissance pour l’une, une cicatrice pour l’autre…Ce genre de détail que l’on ne connait vraiment que quand on acquiert une connaissance plus poussée du corps de l’autre, plus intime, à force de faire l’amour, de le voir, de le toucher…
—Je te présente ma soeur, Elrika…Elle habite pas loin de la maison. Elle est bibliothécaire pour le conseil départemental, elle supervise les prêts de livres, et on est très souvent ensemble.
Elle m’avait totalement caché l’existence de sa soeur, sans surprise, parce qu’elle masquait des pans de sa vie, qu’elle ne révélait que petit à petit.
—Je suis enchantée de faire votre connaissance, Laure m’a beaucoup parlé de vous.
Elle m’a tendu la main, chaude et douce au coeur de la mienne, la laissant sans doute plus de temps qu’elle ne l’aurait du. Il y a eu un moment où on est restés figés, un moment étrange, celui de tous les possibles, puis nous sommes rentrés à l’intérieur.
La maison était vaste, meublée simplement, et accueillante, sans rien d’arrogant, contrairement à bien des maisons. Elles m’ont guidé vers le living. Je me suis calé sur l’un des deux canapés qui se faisaient face, elles se sont mises face à moi, après qu’Elrika nous ait servi un apéritif à chacun. Sur la table basse, il y avait de quoi manger. Mais la faim qui nous tenaillait était autre. On a discuté, déjà l’esprit ailleurs, histoire de se donner une contenance, et une bonne conscience aussi, et de ne pas fondre immédiatement sur nos envies. L’alcool m’a fait tourner la tête, mais sans doute moins que les possibles qui se dessinaient dans mon esprit.
Elrika a fini par quitter le canapé pour venir s’asseoir près de moi. Ca a basculé tout de suite. Elle a posé la main au niveau de mon bas-ventre, j’étais à moitié dur, sentir la chaleur de sa main contre moi a fait gonfler ma queue de manière radicale. Elle m’a libéré de ma prison de tissu, ma queue a jailli à l’air libre, gonflant très rapidement, et encore plus quand sa main, chaude et douce est venue m’enserrer et qu’elle m’a caressé doucement. En face de nous, Laure, qui me montrait depuis un bon moment qu’effectivement, fidèle à ses habitudes, elle ne portait pas de slip sous ses vêtements, a libéré l’accès à son sexe en venant poser une jambe sur l’accoudoir du divan, et elle s’est mise à se caresser, frottant son sexe qui sous mes yeux s’est ouvert et s’est mis à couler.
Elrika s’est penchée sur moi, et, après m’avoir caressé de sa main, elle s’est mise à me caresser de sa bouche, faisant courir ses lèvres sur ma chair. Je n’ai pas pu m’empêcher de gémir. Elle se débrouillait aussi bien que sa soeur. Mais ça n’était pas une surprise. Je me suis demandé si c’était la première fois qu’elle partageaient un garçon…Les minutes qui ont suivi, puis ces trois jours où ça a été sexe du matin jusqu’au soir m’ont clairement laissé penser que ce n’était pas le cas.
Laure s’est redressée, et elle est venue la rejoindre. A deux, elles se sont partagées ma queue, se répartissant les zones, modulant leurs caresses. Du liquide pré-sécretif s’est mis à couler d’abondance de mon méat, qu’elles ont lapé avec une expression gourmande. Elrika est descendue sur mes couilles, pendant que Laure prenait ma queue dans ma bouche. Je devais me retenir pour ne pas jouir. On a pourtant basculé sur autre chose. Elrika a attrapé le poignet de sa soeur pour l’entrainer sur le canapé, et la faire s’allonger sur le dos à ses côtés. Elles ont ouvert leurs jambes pour me donner accès à leurs sexes.
—Viens nous lécher…Il paraît que tu es habile avec ta langue.
Laure et Elrika semblaient très complices. Je n’avais aucun doute que Laure avait partagé les détails de nos moments les plus intimes. Dont les cunnis qu’elle me réclamait et que je lui faisais. C’était un exercice que j’aimais, et disposer de leurs sexes, semblables et cependant différents m’excitait énormément. Pendant que je parcourais leurs lèvres, que je me glissais dans leurs intérieurs, à la rencontres de leurs muqueuses que leur excitation trempait, leurs jus coulant dans mon gosier, je remarquais les détails qui faisaient que leurs sexes se ressemblaient et étaient pourtant différents, la toison sur le pubis de Laure, l’absence totale de moindre poil, mais aussi le dessin de leurs lèvres différent, et le fait que le clitoris d’Elrika saillait, plus long et plus épais que celui de Laure.
J’avais eu des doutes…Devais-je venir ou pas? Je craignais de me sentir mal à l’aise dans la maison où elle vivait avec un autre homme…Tout ce que je retenais à présent, c’était cette harmonie entre nous, et le plaisir d’avoir ces deux femmes, aussi désirables l’une que l’autre.
Leurs sexes se sont dilatés sous mes caresses buccales, me donnant à voir leurs intérieurs. Je frottais ma queue contre le cuir du canapé, une caresse qui m’excitait et m’apaisait en même temps. J'ai craché deux ou trois jets de sperme.
Elles se sont redressées, et elles ont basculé à quatre pattes sur le divan. Se tendant vers moi dans une position à laquelle aucun homme n’aurait été capable de résister, moi le premier. Leurs croupes charnues tendues vers moi, galbées différemment, celle d’Elrika un poil plus charnue et sans aucun doute plus rebondie, coupées en deux par un sillon profond, que leur position ouvrait sur leur anus. Fidèle à ses passions pour les jouets, Laure avait un anus plug fiché en elle, alors que l’autre était nature, les plissements qui étaient gravés dans sa chair visibles. Plus bas entre leurs cuisses, leurs sexes ouverts, lèvres sorties, dégoulinant de sécrétions qui faisaient luire leurs chairs.
A cet instant, rien ne me faisait plus envie que de me glisser alternativement dans l’une et l’autre, de sentir la délicatesse et la chaleur de leurs chairs intimes autour de ma queue. Je me suis rapidement enveloppé d’un préservatif, tiré de la boite que j’avais apporté. Elrika s’est tournée et m’a jeté:
—Tu viens? On t’attend.
C’est en elle que je me suis planté tout d’abord, emporté dès les premières secondes par des sensations fortes…Après l’avoir remplie de ma queue, je me suis mis à aller et venir en elle. Elle a gémi de plaisir, alors que je la sentais ruisseler autour de moi. Puis je suis passé à Laure. Je cherchais des points de comparaison. Il n’y en avait pas vraiment. C’étaient simplement deux muqueuses comme une caresse autour de moi, qui frottaient ma queue et me donnaient un plaisir intense…
Je voulais leur donner du plaisir, moi aussi…A force de les fouiller, en alternant les rythmes, j’ai senti leurs corps réagir, le plaisir s’emparer d’elles. Elles ont monté vers ce moment de jouissance où tout explose, leurs corps tordus par la jouissance, ne retenant pas leurs cris.
J’étais resté dans leurs chattes. J’avais envie de me glisser dans l’étroitesse de leurs canal anal, mais j’ai senti que j’allais jouir. J’ai ôté le préservatif, et j’ai arrosé leurs croupes charnues de ma semence.
Vidé de mon sperme, mais aussi de mon énergie, je me suis laissé tomber sur le canapé. Laure s’est éclipsée un instant pour revenir avec trois peignoirs. Ce serait sans doute nos tenues pendant ces trois jours. Inutile de nous rhabiller.
Même si j’avais joui, ma queue était encore toute dure.
—Si on allait s’installer dans une chambre d’amis a proposé Laure?
Avec, flottant devant moi de merveilleuses perspectives, celles d’un sexe varié et sans limites, je les ai accompagnées à l’étage.
9 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : La ruée vers Laure partie 2


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :