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Sexe et carwash 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 23/05/2024

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SEXE ET CARWASH
PARTIE 2
Je suis arrivé à A... deux départements plus haut sur le coup de dix heures. J'en avais pour deux bonnes journées, alors je n'étais pas spécialement pressé. Je savais de toute façon exactement le temps qu'il me fallait pour installer un portique, temps facturé justement selon le décompte donné à mon patron, et je gérais mes horaires pour qu'en deux jours ce soit fini. A vrai dire le décompte était toujours faux, car je prenais une fourchette maximum, mais je travaillais toujours plus vite. Il y avait toutefois des impondérables, alors je préférais calculer large.
Je suis d'abord passé devant le grand espace qui devait accueillir le car wash, en périphérie de la ville. Comme tous les espaces dédiés à cette fonction, il était et devrait être simple, pour accrocher le client, lui faire penser que l'utilisation serait aisée--et elle devait l'être. Par contre, le graphiste avait déjà installé le gigantesque panneau qui signalait la franchise avec une accroche banale mais efficace: 'Votre voiture est sale! Lavez-la 24 heures sur 24...Aucune tache ne résiste au Pachyderme...' Le Pachyderme, c'était l'une des franchises pour laquelle on travaillait, avec un logo évocateur, un éléphant qui déversait de sa trompe les liquides qu'il avait absorbés sur un véhicule.
Mais avant d'entreprendre l'installation, il fallait que je montre patte blanche. Je me suis rendu en centre ville pour rencontrer les propriétaires.
Je me posais beaucoup de questions les concernant. Quand j'avais pris contact avec eux pour la première fois, pour leur expliquer les travaux que j'allais entreprendre, planifier et rassurer, j'étais arrivé dans un petit local qui ne payait pas de mine en centre ville. Il y avait un simple panneau GESTION, un lieu modeste avec une grande table, des chaises, deux fauteuils, un meublé bourré de dossiers. Lors de notre discussion, ils m'avaient appris qu'ils avaient racheté petit à petit pas mal de locaux et de biens qui leur rapportaient et leur permettaient de vivre. Il y avait des appartements, un restaurant, une laverie, une petite épicerie, une station-essence, et leur projet, c'était de monter cette station de lavage.
Ils se présentaient comme de simples associés, et c'était vrai que sur leur plaque, il y avait bien deux noms distincts. Mais je m'étais demandé quelle était leur relation. Simple associés, amis, amants? Difficile de savoir. La seule certitude qu'on pouvait avoir, c'était qu'ils s'entendaient très bien. Une réelle complicité. La clef de leur réussite, d'évidence. Et pourtant ils n'avaient physiquement rien de commun. Lui dans la quarantaine, pas très grand, plutôt trapu, pas vraiment attirant...Elle...Elle devait avoir aussi une quarantaine d'années, mais c'était...Je crois bien que je n'avais jamais posé le regard sur une femme aussi attirante. Elle exsudait la sexualité. On voyait immédiatement que c'était une fille qui aimait le sexe, et qui ne devait pas manquer une occasion de faire l'amour. S'il y avait une chance, si minime soit-elle, qu'elle ait des rapports sexuels, elle devait s'engouffrer dans la faille, si minime soit-elle.Elle savait, d'une manière que j'étais tentée de trouver extrême, mettre en valeur ses charmes. J'allais dire les vendre. Elle était très grande, et elle se grandissait encore, avec des talons de dix centimètres. Talons de bottines, de bottes, de cuissardes...Elle avait des formes, des seins, des fesses, des hanches, et elle le faisait clairement savoir. Des pantalons ultra-moulants, des caleçons, des robes, des bustiers, des corsets, des jupes ultra-courtes, autant de tenues qui soulignaient de manière extrême ses charmes, jusqu'à en avoir le vertige. Et en tout cas avec une précision de détails qui ne laissait rien à l'imagination.
Elle ne me laissait pas indifférent. Je me souvenais parfaitement de la manière dont ma verge avait durci, en quelques secondes seulement, quand je l'avais vue pour la première fois. J'avais été aussi séduit par sa silhouette, elle portait ce jour-là un pantalon en vinyle, qui la collait et la dessinait avec une précision hallucinante, et un corset sous une veste, dont une énorme paire de seins semblait vouloir désespérément sortir.
Ce qui m'avait séduit, autant sinon plus que ses charmes exacerbés, ça avait été sa froideur. Une froideur dont elle ne s'était jamais départie en ma présence.
Je n'espérais absolument pas avoir une relation avec elle, même un simple coup d'un soir. Nous n'appartenions pas au même monde. Elle avait beaucoup d'argent, et puis pour elle, je n'étais qu'un simple sous-fifre, un employé chargé d'installer ces portiques. Mon univers, c'était plutôt celui des serveuses, des employées de commerce que je levais dans une boite, qui n'avaient pas de grand espoir pour leur avenir, qui vivaient une vie médiocre et morose, même si elles étaient mariées.Mon destin n'était pas meilleur que le leur, alors on se retrouvait pour une nuit, à oublier ce déterminisme social qui nous accablait.
Je suis arrivé à leur local sur le coup de huit heures. Elle était là, lisant attentivement des documents. Je me suis glissé à l'intérieur. Son partenaire était absent. Sans doute ailleurs. Ils se déplaçaient souvent, en tout cas quand leurs investissements le réclamaient.
J'ai aperçu des morceaux d'elle derrière le bureau. Capturé des détails qui ont fait monter mon envie d'elle de pas mal de degrés. Une robe rouge extrêmement collante, et courte, laissant ses jambes bien visibles. Gainées de nylon, avec de magnifiques bottes rouges assorties. Elle avait les jambes ouvertes de telle sorte que j'ai pu me rendre compte que le nylon n'était pas celui d'un collant, mais de bas, dont j'apercevais l'accroche, épaisse et sombre autour de sa cuisse, ainsi que la peau nue, au-delà. Tout au fond il y avait aussi un slip noir, tout simple.
J'aurais passé ma journée avec elle dans le bureau, j'aurais pété un cable. Mais peut-être que les deux associés étaient aussi amants, auquel cas...
J'ai été très surpris. Pour la première fois, elle m'a souri. Et ce sourire l'a véritablement changée, ajoutant très clairement et très nettement à son charme. Elle m'a semblé plus détendue que je ne l'avais jamais vue.
— Vous êtes finalement arrivé, elle m'a dit.
— Hé oui, je suis bien là. Je vais vous installer les portiques. Il me faudra deux jours je pense.
Elle m'a surpris en me proposant :
— Je vous offre un café ? Je viens d'en faire, et je vais en boire un.
— Je ne dis pas non.
Il y avait effectivement, je l'avais bien remarqué, sur une table, sur la gauche, tout ce qu'il fallait pour faire une pause, thé, café, ustensiles adéquats, des biscuits...Elle a attrapé deux tasses et nous a servi, l'occasion de voir la robe tendue sur sa croupe, ses jambes dévoilées au-delà des bas.
Elle s'est retournée vers moi, a amené les deux tasses. Je pensais qu'elle allait se caler derrière sa table de travail, me tendre une tasse et poser l'autre devant elle. Au lieu de cela, elle l'a contournée, et est venue tout près de moi. Mais vraiment tout près. J'ai bien senti la chaleur et l'épaisseur de son corps, l'odeur envoûtante d'un parfum que je ne connaissais pas aussi. J'ai senti mon sexe se durcir encore plus. Avec une érection visible. J'ai ramené les pans de mon blouson sur moi, mais c'était trop tard.
Elle m'a dit :
— Vous savez où coucher ce soir ?
— Je n'ai pas encore réservé d'hôtel...Je vais m'en occuper dans la matinée. Je trouverai bien une chambre bon marché.
— Ca vous dirait de venir dormir chez moi? J'ai un grand appartement, et je vis seule. Il y aura largement de la place pour vous.
J'ai été surpris. Mais moins sans doute que de la voir poser sa main au niveau de ma queue et me palper, à travers le tissu du pantalon. L'envie, l'avidité même, se lisaient dans son regard.
— Je sens une queue bien dure dans ton pantalon. J'ai bien vu que je te plaisais, dès le premier jour. Tu as envie aujourd'hui.
Elle est tout de suite allée plus loin, me libérant avec rapidité pour mettre ma queue à nu.
— Hé ben dis donc, tu as vraiment une belle queue. Tu veux que je te fasse quelque chose ? Viens, on va aller à l'arrière. On a bien deux minutes.
La queue à nu, je l'ai suivie.
Dans la grande salle à l'arrière, il y avait une immense table avec des cartons d'archive dessus, des dossiers, mais aussi des chaises. Elle m'a poussé sur l'une d'entre elles, s'est assise sur l'autre, et elle a commencé à me caresser de la langue, avec une avidité évidente, et une habileté qui ne l'était pas moins. Ca faisait longtemps qu'on ne m'avait pas fait une aussi bonne fellation. Sa langue comme une caresse, venue ensuite sur mes couilles, glissant sur ma tige pour descendre, mais aussi pour remonter. Ce moment resterait gravé en moi, j'y penserais en me branlant.
En plein nirvana, elle avait le regard ailleurs. Elle a enchaîné sur un mouvement classique, faisant monter et descendre sa bouche sur ma queue. Cette gaine chaude...Difficile de n'y résister. Je sentais la jouissance monter en moi. Elle s'est dégagée un instant, m'a dit :
— Jouis, si tu as envie. Je suis bien sûre que ce soir tu auras encore la bite dure.
Elle a refermé sa bouche sur moi, et elle m'a massé doucement les couilles. Je n'ai pas pu tenir. J'ai explosé de jouissance, crachant ma semence, et sentant qu'elle glissait dans son gosier. Elle avait une expression de ravissement sur le visage. Elle aimait le sperme en tout cas, parce qu'elle a léché mon gland, quand, après les grands jaillissements de sperme, du liquide coulait encore. Elle s'est redressée. Du sperme coulait à la commissure de ses lèvres, qu'elle est venue récupérer de l'index, suçant celui-ci ensuite.
Elle est repassée dans la grande salle, moi à sa suite. Elle avait encore la bouche pleine de sperme. Elle a griffonné quelques lignes sur une feuille qu'elle m'a tendue. Son adresse et son numéro de portable.
--Tu passes quand tu as fini ta journée.
Elle a dégluti pour faire couler le sperme qui était encore dans sa bouche dans son gosier. J'ai quitté le local. Il était temps de me mettre au travail.
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Histoire de JamesB

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