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Sexe et carwash 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 23/05/2024

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SEXE ET CARWASH

Partie 1

J'ai retrouvé hier les carnets dans lesquels j'ai tenu mon journal pendant plus de cinq ans. La période pendant laquelle j'installais des portiques de lavage pour véhicules de tous ordres. J'avais commencé très jeune à rédiger mon journal, et j'ai gardé cette habitude jusqu'à la quarantaine.
Retrouver ces notes m'a permis de replonger dans un passé d'autant plus disparu que ce marché alors en pleine expansion s'est un jour fermé, car il était saturé.
Je suis passé à d'autres choses.
Ce qui m'a plu, en relisant ces pages, ça a été de faire revivre cette époque, moins pour le travail que pour le sexe, qui tenait une très grande place dans ma vie à ce moment...
...Et en a toujours une aussi importante.
Voici quelques pages...Je les ai reprises, retravaillées, corrigées pour offrir quelque chose de cohérent...

Je suis arrivé très tôt, comme tous les matins quand je n'étais pas en mission. L'entreprise se situait dans l'une de ces zones industrielles, toutes semblables et toutes différentes, à la périphérie des villes.
Ici se trouvait une société qui installait des portiques pour laver des voitures. Un créneau particulier.
J'avais fini une mission la veille, j'étais rentré tard, et je venais chercher mes ordres pour les prochains jours.
Et puis je savais que Christine était là, et qu'elle m'attendait.
Elle m'avait envoyé un SMS le matin même, et m'avait dit: 'Viens vite. Je t'attends. J'ai envie d'une queue. De la tienne.'
Le message était clair.
La société pour laquelle je bossais était une entreprise de moyenne importance, dont le patron, habile, accrocheur et grande gueule, était parvenu à contractualiser avec les firmes qui développaient un marché en pleine expansion. Elles se partageaient le gâteau dans le pays.
Elle fournissait et installait ces portiques qui permettent de laver les voitures de manière automatique. Si vous lavez votre voiture vous-même, vous ne voyez pas de quoi je veux parler, mais si vous avez l'habitude, par flemme, ou parce que vous pensez que c'est mieux fait, de vous rendre dans une de ces stations de lavage automatique qui sont établies un peu partout dans le pays, alors vous voyez de quoi je veux parler. Il y a, pour schématiser, des portiques métalliques, hauts et épais, qui vont et vient autour de votre voiture, l'humidifient, puis répandant du savon, la frottent, la rincent, la frottent à nouveau.
Moi j'arrivais, et à partir d'un kit, en deux ou trois jours, j'installais ces portiques...Mine de rien, c'était un sacré boulot...Et ensuite, je repassais régulièrement pour de la maintenance, qu'elle soit préventive ou corrective...
Ca me faisait des journées bien remplies.
Mais aussi des journées dans lesquelles le plaisir avait sa place.
Une très grande place, même.
Oui, le sexe était essentiel pour moi et m'aidait sans doute à tenir, dans un métier difficile, exigeant, il ne fallait pas se tromper, qui requérait de nombreux déplacements et des heures de travail.
Difficile à expliquer pourquoi j'avais des rapports avec autant de filles. Je ne cherchais absolument pas à les draguer, ça ne me serait pas venu à l'idée, j'en étais d'ailleurs incapable, mais les relations se construisaient toutes seules. Une de mes théories, c'était qu'il s'agissait de femmes qui étaient, même si elles avaient un mari, un compagnon, seules, et, sans doute parce que j'étais plutôt chaleureux, je représentais une possibilité d'avoir autre chose. Pas seulement du plaisir, encore que c'était déjà beaucoup et que certains ne leur en donnaient aucun, mais aussi un regard, une attention.
Christine travaillait là depuis quatre ans, ayant succédé à quelqu'un qui avait fait l'ouverture de la boite, et un bref passage, une blonde pas vraiment agréable, épaisse et couperosée. Christine, c'était l'exact contraire. Elle était fine, avec des formes menues, mais extrêmement bien dessinées.
Ce qui faisait son charme, c'était qu'elle était souriante et de bonne humeur, sans se forcer, mais aussi qu'elle savait se mettre en valeur, ce qui n'était pas donné à toutes les femmes. Souligner ses charmes typiquement féminins, et sublimer ainsi sa sensualité. D'une multitude de façons. Des jambes gainées de nylon, une jupe très courte, un pantalon en vinyle ultra-moulant, les talons aiguille d'escarpins, de bottes, de cuissardes...
Il n'y avait sans doute pas un seul homme qui ne pose le pied dans l'entreprise qui ne la convoite. Ceux qui y travaillaient, administratifs, commerciaux, techniciens, ceux qui y passaient, tous les clients...Le patron...Il y avait toujours des propos qui disaient clairement l'envie. Que j'entendais, que j'avais entendus.
Je m'étais toujours demandé comment elle avait pu porter son dévolu sur moi, alors qu'entre l'équipe de l'entreprise et moi, elle croisait chaque jour des dizaines d'hommes.
Notre relation avait pris forme il y avait une dizaine de mois de cela, dans la salle de repos de l'entreprise. Il y avait une journée dans la semaine où je n'étais pas par monts et par vaux, mais je rédigeais des comptes-rendus très précis sur ce que j'avais fait dans la semaine. C'était un peu l'obsession du patron que de savoir très précisément ce qui s'était fait, et c'était plutôt bien parce qu'en relisant tous les rapports on pouvait voir s'il y avait des failles dans telle ou telle machine...Et agir en conséquence.
Je devais être très précis. Telle pièce remplacée, telle autre en commande.
J'y passais pas mal de temps.
C'était jeudi après-midi, et j'avais fait une pause pour aller boire un café. J'étais au milieu du chemin, et, je devais bien l'admettre, j'en avais un peu marre.
La salle de repos était vraiment agréable. Elle était très grande, bien éclairée, avec un évier, des placards, des fauteuils en cercle autour d'une table, et d'autres fauteuils le long des murs. Il y avait des cafetières, une bouilloire, de la vaisselle...
Quand je suis rentré dans la pièce, la bonne odeur du café la remplissait. La cafetière venait de chauffer, et du café nous attendait.
C'était grâce à Christine. Calée sur un fauteuil autour de la table ronde, elle avait une tasse de café à la main. Elle m'a souri.
Je me suis servi une tasse pleine, et je suis venu me caler face à elle.
Je n'avais à ce moment aucune intention précise. Simplement faire une pause, et parler à une femme que je trouvais sympathique. Bien sûr, je n'étais pas indifférent aux charmes de Christine, mais j'avais toujours pensé qu'elle avait une vie à l'extérieur de l'entreprise. Avec un homme.
C'est en m'asseyant, si ça avait été du cinéma on aurait parlé d'un panoramique haut-bas, que j'ai pu profiter de ce qu'elle mettait en valeur. La veste d'un tailleur, noire, ouverte sur un corset mauve qui soulignait la finesse de sa taille et le dessin de ses seins, petits mais bien ronds, une jupe de tailleur, assortie, très courte, qui donnait à voir la quasi intégralité de ses jambes, parce qu'elle était remontée lorsqu'elle s'était assise, des jambes fines et impeccablement dessinées, jambes gainées d'un collant couleur chair, et masquées jusqu'au dessous du genou par une paire de bottes que je ne lui avais encore jamais vues, elle en avait pourtant une belle collection, rouges, neuves, luisantes, avec des talons aiguille.
Elle a renouvelé son sourire, en me demandant:
— Tu fais une pause?
— Je rédige mes rapports, et oui, j'avais envie de faire une pause.
Elle a avalé une gorgée de café avant de me dire:
— J'ai envie de m'offrir à toi.
Je me suis dit que je n'avais pas bien entendu. Elle avait du dire autre chose. Même si je ne voyais pas bien quoi. J'ai envie de t'offrir un chocolat? Il n'y avait pourtant pas de chocolats à l'horizon.
— Tiens, regarde.
Elle s'est un rien relevée, avant de se laisser retomber sur le siège. Mais entre temps, elle avait retroussé sa jupe sur ses hanches, pour mettre son ventre à nu.
Ses jambes étaient entrouvertes, elle les a ouvertes en grand. Pour me donner à voir son bas-ventre.
Elle portait un collant basique, du lycra coupé pour venir envelopper ses jambes et son ventre, avec une couture simple qui allait de la partie postérieure à la partie antérieure. Avec ce collant, contrairement à ce qui pouvait se passer avec d'autres, il n'y avait pas une partie qui servait de protection, de masque, pour cacher les parties les plus intimes. De la sorte, et parce qu'elle avait largement ouvert ses cuisses, je pouvais parfaitement voir son sexe. Elle me l'offrait. Un cadeau magnifique, pour un homme que celui du dessin d'un sexe de femme nettement visible, dont il puisse se délecter. Et j'ai eu tout le temps de le regarder. Unique, comme peut l'être chaque sexe de femme. Je me suis délecté de son dessin, déjà de ce triangle qu'elle avait gardé, en ne faisant pas le choix, contrairement à de nombreuses filles, de faire disparaître ce qui, à mes yeux, constituait l'un des charmes intimes d'une fille, sa toison pubienne. Au contraire, elle avait fait le choix de conserver ses poils, lesquels étaient blonds, épais, un triangle qui donnait envie de balader ses doigts, sa langue dedans...Et puis juste en dessous, il y avait l'ouverture de son sexe. Excitation, ou simple état, encore que le vagin d'une femme évoluait constamment et n'était pas deux fois pareil. Et dont sortaient ses lèvres, des lèvres épaisses, charnues, qui s'étalaient hors d'elle, et, j'en étais bien convaincu, encore appelées à gonfler, à grossir, à mesure que son excitation croîtrait. J'ai eu envie immédiatement d'amener mes doigts, ma langue, ma queue contre son sexe, de les balader dans sa toison, de les frotter contre ses lèvres, avant de finalement me glisser en elle.
J'ai pensé qu'il s'agissait de sa part de simplement s'exhiber, de m'allumer, mais elle m'a dit:
--J'ai envie d'un moment de plaisir avec toi. Maintenant.
En très peu de temps, je me suis posé un bon paquet de questions. Je n'aurais jamais pensé qu'elle ait envie de s'engager dans quelque chose d'intime avec moi. Qu'au contraire, elle se tiendrait systématiquement hors toute relation sexuelle. Cette proposition soudaine me déconcertait un peu. Mettait aussi en évidence clairement, alors que j'aurais pu en douter, l'envie que je pouvais avoir d'elle, qui avait été d'autant plus fluctuante que je n'avais pas eu vraiment l'occasion de me rapprocher d'elle et que je n'espérais rien.
— Ici?, j'ai demandé.
— Il n 'y a pas grand monde ici dans l'après-midi, et on pourra toujours se dégager. Fais-moi confiance, je sais gérer ce genre de situation.
Si elle le disait...Je n'avais plus qu'à me laisser emporter par l'envie que j'avais d'elle.
C'est d'ailleurs elle qui a tout fait, quand elle a senti chez moi un acquiescement, non pas par la parole, mais par mon corps, mon attitude. Sous mes yeux, restant d'abord dans une pause quasi identique, elle a déchiré son collant pour mettre son ventre à nu. Elle a suivi la ligne de couture, qui courait au milieu de son ventre, a pincé à un endroit, au niveau du sexe, tiré, le collant s'est déchiré facilement. Son sexe s'est retrouvé à l'air libre. L’œil accroché à elle, j'ai pu remarquer, ce qui ne m'était pas apparu à travers le lycra, la luisance de son sexe, ses chairs d'abord sèches venaient en quelques secondes de se couvrir d'une pellicule d'humidité.
Elle a plongé la main dans la poche de sa veste. Je me suis demandé ce qu'elle allait y chercher. La réponse, je l'ai rapidement eue. Elle a remonté un préservatif emballé. Ca m'a intrigué de constater ainsi qu'elle se trimbalait avec sur elle des préservatifs. Il y avait pas mal d'implications derrière,que j'ai toujours voulu ignorer, me concentrant sur notre rapport.
Elle a contourné la table pour venir me défaire. Elle a trouvé ma queue dans mon pantalon. Il y a eu de la joie, du plaisir, sur son visage, quand elle a enveloppé ma queue. Attendait-elle un gros calibre? J'étais en tout cas en pleine érection, saisi, emporté par le désir que j'avais pour elle. Elle m'a mis à nu, le visuel a semblé la combler un degré de plus, avant de déchirer l'emballage du préservatif, de le retirer, tout huileux, de l'aluminium, et de l'ajuster sur mon gland. Elle l'a fait couler le long de ma queue, avec des gestes fluides.
La suite était logique, elle a aussi été très rapide. Elle s'est laissée descendre sur moi, attrapant à mi-chemin ma queue pour la guider vers l'entrée de son sexe. L'espace d'un instant, de ce qui m'a semblé un long instant, alors qu'elle se laissait glisser vers moi et sur moi, j'ai pu bien voir ses lèvres qui gonflaient littéralement, me surprenant, manifestant la manière dont les chairs intimes d'une femme pouvaient se congestionner d'excitation. Était-ce parce qu'elle guidait ma queue vers son sexe que ça s'est fait du premier coup, sans dérapage aucun? J'ai senti que la gaine de son vagin, chaude, étroite et douce, me prenait, et le plaisir a été immédiatement au rendez-vous, de la sentir autour de moi, d'autant plus fort que j'en avais longtemps rêvé, sans jamais l'espérer. Même si mon plaisir ne s'était pas forcément cristallisé autour d'un moment à l'identique.
Elle avait en tout cas très envie de sexe, et de plaisir. Elle s'est accrochée à moi, à mes épaules, et elle s'est caressée avec ma queue, qui était fichée en elle, se faisant monter et descendre sur moi jusqu'à ce qu'elle explose dans une série d'orgasmes qui l'ont secouée et l'ont propulsée ailleurs.
Elle s'est effondrée contre moi, avant de me souffler:
— Tu n'as pas joui. Je te sens encore bien dur en moi. Dommage qu'on n'ait pas plus de temps. Si on prolonge, on prend trop de risques...Tu vas voir...Je vais t'aider à finir.
Elle s'est soulevée, dégageant ma queue de l'étreinte de sa chatte. Je serais bien resté logé en elle, entouré par son intimité, envahi par la sensation si forte de son sexe autour de moi. Envisageant même d'autres possibilités. Que par exemple elle se soulève, fasse glisser ma queue de quelques centimètres en arrière pour la poser contre sa muqueuse anale, et me pousse à l'intérieur. J'aimais prendre des filles par le cul, sentir l'étroitesse de leur rectum autour de moi...Ou qu'elle joue avec ma queue de sa bouche et de sa langue. Il y avait par là des dizaines d'axes possibles...
Ca a été beaucoup plus simple. Plus efficace aussi, sans doute. Sa main est venue encercler ma queue. Chaude, douce, habile. Elle a esquissé un mouvement de va-et-vient. Déjà très haut, je n'ai résisté que quelques secondes avant d'exploser dans le préservatif dont j'ai rempli le réservoir. Un orgasme très fort.
J'ai en tout cas découvert qu'elle aimait le sperme. En effet, elle a fait glisser le préservatif le long de ma queue, en gardant le réservoir au creux de sa paume. Une fois qu'il a été totalement dégagé de ma verge, elle en a attrapé les rebords, les a étirés. De la sorte, elle a eu accès au fond du préservatif, rempli de semence. Une semence bien blanche et bien crémeuse qu'elle a lapé, sous mon œil stupéfait. Avec gourmandise. Je ne l'avais pas imaginée faire cela. Comme quoi...
J'avais pensé que ce ne serait qu'un one shot. J'avais eu tort.
Le lendemain, je suis arrivé, tôt comme à l'accoutumée. Quand je partais en mission je récupérais une tonne de documents à faire signer par le client. Des dossiers épais. Et évidemment, c'était elle qui gérait tout. Elle était là bien avant tout le monde.
Ce matin-là, elle portait un pantalon en vinyle très moulant qui soulignait ses formes sans négliger le moindre détail, avec une chemise rouge et une veste de la même couleur.
J'étais convaincu que pour elle, le moment passé ensemble n'était qu'une parenthèse. Elle avait eu très envie de sexe. C'était déjà oublié. Chassé de son esprit.
Je ne m'attendais à rien.
Au lieu de ça, je l'ai vue, après m'avoir tendu les dossiers, contourner le bureau et venir chercher ma queue dans mon pantalon. Me défaire, me sortir, trouver une queue déjà bien gonflée. Elle m'a fait une fellation, une simple fellation, mais des fellations comme ça, on en redemandait. Comment avait-elle acquis cette habileté ? Instinct, expérience ? Difficile à savoir, en tout cas, son savoir-faire m'a comblé. Ca a donné la marque des jours à venir. Elle a commencé par bien me masturber pour que je sois tout dur, puis elle s'est occupée de moi avec sa bouche et sa langue. Elle m'a d'abord pris partiellement dans sa bouche, sans bouger. Ca pouvait sembler inutile, mais c'était au contraire une très bonne idée. Ca m'a permis de bien sentir la gaine de sa bouche autour de moi, sa chaleur, son humidité. Puis elle s'est mise à bouger sur moi, me poussant toujours plus loin, en s'arrêtant toutefois à l'orée de sa gorge. Elle m'a ressorti, couvert de salive, balayant ma chair de sa bouche, venant frotter mon gland de sa langue, descendant pour avaler mes couilles et les mordiller...Me reprenant dans sa bouche, puis me ressortant à nouveau, variant, sa langue se baladant sur mes couilles, ses dents mordillant mon gland, puis ma tige...A chaque cycle, sa bouche autour de moi, et puis des caresses à chaque fois variées et dissociées...Un plaisir intense, et la jouissance qui se rapprochait. Il y a eu un moment où j'ai passé une ligne, et je n'ai pas pu revenir en arrière. Elle l'a bien senti, et elle m'a bloqué dans sa bouche pour se remplir de mon sperme. Il n'y a pas eu une goutte de sperme dehors, et une partie de ma jouissance a sans doute été due à l'image que j'ai emportée avec moi, comme les sensations, de cette main fourrée dans le pantalon, sous sa culotte, un bouton défait, la fermeture-éclair baissée, la vision d'un slip rouge lui aussi, sous laquelle a bougé une main jusqu'à l'orgasme.
Je suis arrivé à l'entreprise aussi tôt que les autres jours. L'aube enveloppait les lieux. Un véhicule sur le parking, une Mazda rouge. Son véhicule à elle.
Je me suis glissé à l'intérieur. De dos, elle faisait des photocopies. Une robe noire, simple, mais très moulante, qui descendait péniblement sur ses cuisses. La journée serait longue pour ceux qui la verraient assise et pourraient avoir un regard sur son entrejambes, qu'il soit nu ou voilé... Parfois c'était pire quand il était voilé, enveloppé, souligné par une petite culotte qui dessinait son sexe d'une manière précise et nette. Ses jambes, longues et fines, étaient gainées de nylon, cette fois celui de bas stay-up. Je le savais parce que la robe donnait à voir quelques millimètres de l'élastique épais qui les tenait. Elle avait des cuissardes, rouges, vernies, luisantes, qui tranchaient avec la robe...Une manière hautement érotique de réinterpréter le rouge et le noir, et d'avoir le feu au ventre, comme toujours lorsque je la voyais.
J'ai vite compris, elle aimait bien jouer à des jeux avec moi, que celui du jour ça allait être de faire comme si je n'étais pas là.
Imperturbable, elle a continué à faire ses photocopies.
Je me suis approché et j'ai glissé à genoux. Plus que tout autre, elle me subjuguait totalement. Cela faisait deux ans qu'on était amants, et je ne ressentais aucune lassitude. Elle me plaisait, toujours troublante. Et puis je trouvais que notre relation était parfaite. Un quelconque quotidien partagé aurait sans doute usé notre rapport l'un à l'autre. Là, on se voyait le matin, et si par hasard on avait envie de se voir à l'extérieur, on se réservait une chambre d'hôtel. J'aimais faire l'amour dans ces lieux impersonnels, auxquels notre rapprochement donnait du poids pour un moment. J'en étais arrivé à penser qu'elle avait un mari, des enfants...Sans avoir la moindre certitude à ce sujet..
Elle m'a laissé faire pendant que je faisais glisser les mains sur elle, et sur les matières qui l'enveloppaient. Le cuir, luisant, lisse, froid contre mes mains, l'électricité du nylon, et à travers, en contraste, la chaleur de son corps, qui montait dans mes mains, et remplissait mon corps.
La robe était courte, mais je ne distinguais pas comment ça se présentait en dessous.
Facile de trouver une solution pour avoir une réponse. Je me suis redressé, entraînant dans mon mouvement d'ascension le tissu jusqu'à dévoiler ses reins.
Souvent, elle me l'avait confié, quand elle m'attendait, elle était cul nu, pour ensuite se voiler d'un string, d'un slip. Même si j'étais convaincu qu'elle restait cul nu. D'ailleurs, sous un collant, généralement, elle n'avait pas de culotte.
Mais c'était bien comme ça. Bien de voir ses fesses nues, très rondes et très fermes, suffisamment entrouvertes dans la position qu'elle avait adoptée pour me laisser voir le dessin de sa muqueuse anale. On disait que chaque être humain avait ses muqueuses dessinées sans qu'il y en ait deux identiques à travers le monde. Difficile de savoir si c'était vrai, en tout cas je connaissais, à force de les regarder, le dessin de ses parties intimes par cœur. Un peu plus bas, entre ses cuisses, cette vulve avec toujours ces lèvres qui semblaient pousser pour sortir d'elle, non pas un état d'excitation, mais simplement son état naturel.
On avait toujours un peu de temps le matin, notre grand privilège. Une bonne demi-heure au bas mot, dont on profitait pleinement.
Elle a lancé une série de photocopies, puis, pendant que celles-ci sortaient de la machine, elle a amené une main en arrière, en m'ignorant toujours pour venir me défaire et sortir ma queue de mon pantalon. Elle n'était plus surprise, à présent de me trouver toujours très dur. Et c'était vrai que je n'étais sans doute jamais aussi dur que quand j'étais avec elle. Je désirais beaucoup de femmes. Elle, je la désirais plus que tout.
Tout se déroulait entre nous avec fluidité. Cette fois, c'est moi qui ait sorti de ma poche un préservatif, et j'en ai gainé, d'un mouvement fluide, ma queue. Je suis venu me caler tout en haut de la raie, là où elle débutait dans sa chair, et j'ai appuyé mon gland, trop gros à cet endroit, trop gros aussi plus loin, sans doute, mais qui pouvait, de par sa position, facilement glisser entre ses fesses, se loger dans son sillon, et atteindre le fond de sa raie. Sensation, contre moi, d'une chair délicate et moite, et, à mi-chemin, des multiples éclats de la déchirure de sa muqueuse anale, que j'ai frottée longuement, la faisant gémir de plaisir. Je suis descendu plus bas, puis remonté plusieurs fois...Avant de me détacher et de revenir me positionner tout près de sa vulve, dilatée, lèvres épaisses, pour ne pas dire énorme, toutes gorgées de sang, trempées d'un liquide huileux, ruissellement issu de ses chairs les plus profondes, disant son plaisir et son envie. Elle était ouverte sur la béance de ses chairs roses. Dans laquelle j'avais envie de m'enfoncer. Plus rien ne comptait au monde que de pouvoir glisser en elle. C'était un de ces moments où le désir l'emporte sur tout le reste.
J'ai posé la tête de mon sexe au milieu de ses lèvres et j'ai commencé à pousser pour rentrer en elle. La toute première fois, je m'étais dit que je ne passerais pas la barrière de ses lèvres, tellement elles étaient épaisses et elles s'étalaient. Je m'étais trompé. J'avais l'habitude maintenant. Je me suis retrouvé au contact de ses muqueuses internes, chaudes et soyeuses. Un contact unique.
Trempé par ses jus intimes, je l'ai pénétrée jusqu'à ce que je ne puisse plus avancer d'un centimètre, mon gland cognant contre son utérus. Et puis je me suis mis à bouger en elle, lentement, savourant la manière dont la gaine de son sexe me caressait. Je crois bien que ça n'était jamais aussi fort, aussi bon, qu'avec elle. Cette chair délicate, infiniment douce, qui me frottait, la manière dont, d'une source au fond de son ventre coulait un liquide chaud qui me détrempait...Il y a des moments où le sexe est vraiment très bon, très fort...C'était vrai à chaque fois que j'étais avec elle...
Un suite de grognements, de gémissements, comme toujours, alors que je la fouillais...Je crois qu'on aurait aimé l'un comme l'autre que ce moment dure longtemps...En même temps, on y trouvait une éternité qui se prolongeait, jusqu'à ce qu'un sixième sens nous rappelle que nous faisions l'amour dans un temps limité, et que le temps était venu de se laisser aller à la jouissance que nous retenions.
J'étais toujours impressionné par la manière dont elle jouissait. Avant moi, et elle était prise par une série d'orgasmes qui la faisaient tressauter, gémissant, criant même son plaisir, éjaculant autour de ma queue, jusqu'à ce que j'explose, me retenant de ne pas hurler, mes éjaculations à moi projetant ma semence contre ses parois internes, quelque chose qu'elle adorait selon ses propres paroles.
Un moment d'apaisement, après la jouissance. Mon sexe encore en elle. On aurait pu continuer, jusqu'à ce qu'on soit épuisés, mais il était temps pour moi de partir travailler. Et puis le reste du personnel n'allait pas tarder à arriver.
Je me suis dégagé. Elle s'est retournée,et m'a enfin parlé.
— Tu bois un café avec moi avant de partir?
J'aimais son sourire, toujours chaleureux, et son visage. On a discuté de tout et de rien, comme si mon sexe n'avait pas été fiché dans le sien quelques minutes plus tôt et qu'on n'avait pas joui ensemble.
Il était temps pour moi de partir.
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Histoire de JamesB

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